Citations de Oh ! Great (118)
Plutôt que de mettre en jeu une vie vide de sens et mourir comme un foutu ver de terre, je préfère me cramponner à mon rêve et survivre, même si j’ai l’air ridicule.
Dis-moi, qui a décidé que dans le cœur, l'âme ne pesait rien ?
On a tous quelque part, enfoui au fond de nous, notre véritable moi... Celui qui pulse sans jamais se montrer à personne.
Ce qui nous passionne nous éloigne-t-il de ceux que l’on aime ?
Un remerciement se vide de son sens, si on le répète trop.
Qui a raison ? Qui a tort ? Qu’est-ce qui est juste ? Qu’est-ce qui est faux ? Personne ne peut décider de ces choses… Mais tout le monde se bat. Car autour de nous se trouvent des gens qui partagent les mêmes idéaux. Nous sommes tous pareils. Nous combattons pour le bonheur des autres… Pour faire le bonheur d’un autre… C’est pourquoi nous n’hésitons pas à risquer nos vies.
L’homme est si faible et si fragile qu’il se brise tout de suite. Mais c’est ce qui fait son humanité. Personne ne peut se battre seul jusqu’au bout. Mais c’est aussi ce qui fait de nous des humains.
Il se métamorphose de jour en jour. J’ai de plus en plus de mal à le reconnaître. J’en suis à la fois ravie et triste. Tout devient si compliqué… Je ne vois plus qu’une partie de lui… Le reste est si loin…
Les oiseaux volent dans le ciel. Mais sais-tu pourquoi toi, tu ne peux pas voler ? Je suis certaine que tes ailes sont immenses, mais comme tu ne fais que te cramponner à la terre ferme quand tes ailes s’ouvrent, elles cognent sur le sol…
L’art de combattre a été inventé par les faibles à cause de leur pitoyable complexe d’infériorité envers les plus forts.
Un jour, tu m’as demandé ce qu’était la force. Honte sur moi, à cette époque… Non jusqu’à aujourd’hui encore, je pensais que la force c’était surmonter ses faiblesses. Or, quoi que l’on fasse, où que l’on aille, on est toujours seuls. On a beau essayer de se convaincre du contraire, en fin de compte, la seule chose que l’on puisse dépasser c’est « soi-même ». Un jour, tu m’as dit que tu te battais pour ce gamin ainsi que pour toutes les personnes que tu aimais… Tu voulais te battre à ses côtés pour comprendre sa peine et pouvoir la partager. Je l’avoue, à cet instant je t’ai enviée. J’étais jalouse de ta détermination.
Quelque chose jaillit du plus profond de ma conscience. Quelque chose qui me saisit, qui détruit mes organes internes et enserre mon cœur pour mieux le dévorer. Un serpent qu’on appelle la peur.
Ceux qui ont reçu quelque chose ne font généralement pas attention à ce qui leur a été donné. Pourtant, ceux qui donnent, le font en prenant sur leur vie...
Si je suis devenu si fort, c'est pas seulement à cause de ce corps ! C'est parce que j'ai des guerriers qui se battent avec moi ! C'est parce que je crois en eux et qu'ils m'ont donné un "cœur".
S'il nous gardait enfermés dans la cage, ce n'était pas pour qu'on ne s'enfuit pas, mais pour nous protéger. Il ne voulait pas nous perdre une seconde fois.
Les arbres enchevêtrent leurs bras pour atteindre le ciel. Les feuilles qui bourgeonnent captent la lumière et épaississent de plus en plus les ténèbres de la forêt. Les chasseurs ne remarquent pas les griffes et les prunelles luisantes des fauves tapis dans le noir. Ce soir est la nuit où les chasseurs deviennent des proies. C'est la forêt endormie.
S’entrainer en s'appuyant sur l'expérience des plus avancés. C'est pas copier... C'est juste ce qu'on appelle "apprendre".
Laisse la pluie s'occuper de tes larmes... Ne pas serrer les dents quand ça fait mal pour que le souffle de cette énergie ressorte par ta bouche.
- Je me demande en fait pourquoi tout le monde a envie de gagner à ce point ?
- L’énergie que tu mets à dire que tu peux pas le faire serait largement mieux utilisée si tu la canalisais ! Tu ne crois pas ? Avance, et peu à peu, tu auras conscience d’approcher du but...
Je me fous de ces rois ou de ces huit routes. Moi, tout ce que je veux, c’est voler et trouver ma route. Et pas question que je le fasse en léchant les bottes d’un autre.