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Critiques de Souryu (43)
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Partners 2.0, tome 1

Motoki est au Bureau chez Lui et Sa « Future Ex » lui reproche de ne pas l’aimer assez. Il va devoir lui promettre une soirée entre amoureux. De son côté, Tomo à une panne de réveil et avoue avec candeur avoir trouvée une super bonne vidéo cochonne, complimentant l’actrice et proposant à son chéri de la regarder ensemble. (Bisexuelle spotted !).



Tomo parle cru « Elle est géniale ta bite ! » aha ! Son chéri le Lui reproche « Les filles ne doivent pas parler comme ça » pff… C’est tellement beau une femme qui parle mal,lol ! …



Elle finira par lui dire Stop ! Rêvant d’un ou une partenaire qui la fera mieux s’épanouir. Tomo joue aux MMORPG & quelle Geek Girl attachante !



Muratang, le JH joueur de MMORPG ouvert d’esprit sera le perfect match. Motoki ; de son vrai nom.



J’ai eu de la compassion pour ces personnages et même eu l’impression de faire l’amour avec eux.



L’essentiel du manga réside dans les dialogues très cash entre Tomo et Motoki.



On a reconnu « Dsicord » dans le manga.



Les 2 héros sont des genres de Sex Friends.



Une fois qu’ils se sont trouvés, cependant, il n’y a plus aucun suspens. Et passé l’admiration du côté atypique de Tomo, la deuxième partie est bien vide…



Merci @Erilalios de l’avoir Spotted …

Phoenix

++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
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Partners 2.0, tome 1

Murata et Tomoka sortent tous les deux d’une relation amoureuse toxique. Murata joue en ligne mais voudrait quand même sortir. Il créé un calendrier collectif pour proposer aux autres joueurs de se rencontrer IRL (in real life). C’est là qu’il va sympathiser avec Tomoka qui va plus ou moins l’inciter à devenir son sex-friend. En plus, ils n’habitent pas très loin l’un de l’autre. Tomoka est clairement une allumeuse, elle pense et parle beaucoup « sexe » mais je l’ai trouvée sympathique. Murata est sympa aussi mais j’aurais aimé qu’il soit aussi décomplexé sur le sujet que sa copine. Il est parfois dérouté par le comportement de sa copine.



N’étant pas habituée à lire des mangas érotiques, je ne sais pas si c’est un code ou un choix de l’auteur de ne pas montrer de sexe mais que les seins de Tomoka. Cette romance très branchée « XXIe siècle » se lit très bien (même trop vite) et ravira sans doute les amateurs du genre. Je remercie les éditions Kurokawa et Babelio de m’avoir offert ce 1er tome dans le cadre de Masse critique.

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Magical girl holy shit, tome 1

Mijaba n’est pas une jeune fille comme les autres. Elle est complètement déjantée. Livrée à elle-même parce que ses parents sont toujours en voyage pour leur travail. Elle habite une maison souterraine, sans meuble, qui se laisse commander à la voix et livre des meubles à la demande. Mijaba est surdouée mais elle est complétement asociale. Elle adore les jeux vidéos de bastonnade et elle est très violente et dotée d’une force naturelle étonnante. Elle est plutôt canon dans son genre et sous ses airs de jeune fille innocente, elle manie les gros mots en virtuose. Elle est accro au tabac, au café et à la boisson Bref, ce n’est pas vraiment l’exemple de la lycéenne modèle, ce qu’avait cru Myu, divinité chargée de protéger l’univers contre les Strémons, sorte de Émond qui veulent dévorer tous les humains, surtout ceux qui ont des auras négatives. A peine recrutée par Myu, qui lui offre les pouvoirs de Magical Girl, elle rencontre son premier Strémon qui veut la dévorer. Sans utiliser ses pouvoirs de magical Girl, qu’elle ignore encore posséder, elle massacre le Strémon à coup de poings et de pieds. Myu n’en revient pas. Ensuite, elle arrive dans un lycée de garçon dont presque tous les élèves viennent d’être dévorés par un monstre. Là, elle retrouve le seul survivant, Rei, qui a eu le malheur de la bousculer quelques jours plus tôt. Elle veut se venger et lui casser la figure mais elle se doit d’affronter le Strémon qui est particulièrement puissant. Pour la première fois, elle se transforme en Magical Girl. Elle le massacre comme le précédent et Rei tombe complétement amoureux d’elle. Mais Mijaba possède une aura tellement négative, qu’elle attire tous les Strémons de l’univers…



J’avais déjà goûté aux Magical Girl avec la série Magical Girl Site. Cette série est plutôt sombre et les Magical Girl s’y affrontent ainsi qu’elles doivent se battre contre les médiatrices du site. Ici, le thème est complétement différent. Les magical Girl doivent se battre contre des entités étrangères à la terre. Rien de pessimiste si ce n’est que c’est les auras négatives qui attirent les Strémons. Mais le personnage principal, Mijaba, celle qui est élue par erreur par Myu pour devenir La Magical Girl, est tellement déjantée qu’elle en devient réellement attachante. On a l’impression que le recrutement se base sur des jeunes filles bien comme il faut, comme les concours de miss, c’est concours genre foire à bestiaux qui préfère les jolies pucelles, pures, un brin pas trop idiotes, avec des mensurations de rêve et un sourire de publicité pour dentifrice qui décape les dents tant qu’il faut des luettes de soleil pour admirer la jolie jeune femme qui doit symboliser la perfection de la féminité de tout un pays. Or, vue de loin, Mijaba ressemble à ce standard des concours de beauté mais dès qu’elle ouvre la bouche, elle emploie un langage ordurier, allume clope sur clope et se drogue au café et aux jeux vidéos particulièrement violents. Et ça fonctionne. Je me retrouve mort de rire en découvrant la Magical Girl la plus décalée de l’univers. Elle est trash, vulgaire au possible, violente comme pas deux, égoïste, enfin, elle a presque tout les défauts de la terre et ça la rend adorable. L’humour est de presque toutes les cases, c’est vraiment drôle et là « j’achèèète » comme le dit si bien un crétin de jury dans une émission crétine de télé-réalité avec des stars que personne ne connait tant qu’elle n’ont pas fait l’émission puisqu‘elle deviennent stars quand elles sont enfin passées à la télévision por apprendre à danser. (Là, j’avoue, je dérape, mais ça fait su bien, parfois. La télé réalité, ne serait-ce pas une forme de Strémon ?). Bref, ce premier tome m’accroche, j’ai vraiment ri, j’ai vraiment aimé et je vais poursuivre la lecture de cette dune fille super-héros qui n’a pas besoin d’être polie comme un galet pour être une vraie héroïne. Lu en format KINDLE avec une très belle numérisation.



Personnages :



Mademoiselle Mijaba Kayo : c’est elle qui a été par hasard choisie pour devenir Magical Girl. Elle doit combattre les « Strémons », sorte de démons qui veulent détruire la terre et dévorer des humains. Elle possède, même sans se transformer en Magical Girl, une force redoutable et une technique de combat infaillible. Elle aime la baston, le tabac, l’alcool, le café. Elle a un caractère abominable et manie les gros mots en virtuose. Au lycée, elle a peu d’amis vu son sale caractère. Ses parents sont toujours en voyage et elle vit seule.



Myu : sorte de peluche volante qui ressemble à un hybride entre un Pokémon plutôt Pikachu et de Bisounours. C’est théoriquement le mentor de la Magical Girl. Il agit un peu comme Jiminy Criquet. C’est l’élément tendresse dans ce monde de brutes, alors qu’il ;est là pour aider la Magical Girl à tuer les Strémon. Il dit s’appeler Myu mais c’est avec ce mot qu’il conclut toutes ses phrases. Sa véritable apparence qu’il prend lors de réunions avec ses collègues est une forme d’humanoïde, plutôt canon avec des oreilles d’elfe. Lui et les siens sont des Ieuds, sorte de divinité titulaire chargé de protéger. Mais leur corps n’est pas apte au combat. C’est pourquoi les Ieuds recrutent des Magical Girl et leur donnent des pouvoirs magiques.



Monsieur Rei Masanido : Lycéen qui un jour a eu le malheur de bousculer Mijaba. Cette dernière le corrige en même temps qu’elle combattait un Strémon. Il a assisté à la première transformation de Mijaba en Magical Girl. Depuis, il en est devenu complétement baba et est soumis à tous les désires de la belle héroïne. Il se fabrique un personnage de dur mais en réalité, c’est un cœur tendre. Il rêve de devenir cuisinier mais à l’école, il est tellement looser qu’à vingt-cinq ans, il est toujours en terminal.



Mya : Comme Myu, elle ressemble à un Pokémon bisounours mais femelle. Elle aussi a une apparence humaine plutôt pulpeuse. Elle semble amoureuse de Myu et décide de le rejoindre pour l’accompagner dans son rôle de mentor de Magical Girl. Elle tombe en admiration de notre héroïne déjantée. Elle conclu aussi toute ses phrases en prononçant son nom « Mya ».



Grand Ieud : en le lisant, ont se rend compte que son nom est l’anagramme de dieu. C’est le chef de Myu et Mya. L’ensemble de ces personnages veille sur l’univers et se répartissent les planètes habitées pour recruter des Magical Girl et lutter contre les Strémons.



Strémon : sorte de démons qui sont attirés par les auras négatives. Ils sont insatiables et ne pensent qu’à dévorer les humains. Il en existe avec des niveaux de dangerosité différent. Seule les magical Girl seraient capable de les combattre. Mais la passion pour les jeux vidéos violents et de bastonnade de Mijaba et sa force exceptionnelle, dopée par un caractère on ne peut plus mauvais, font d’elle un être d’exception capable de battre certains Strémons sans se transformer.



Mademoiselle Nako Shûsai : sorte de Magical Girl négative. Elle est toute habillée de noir et est aussi accompagnée d‘un petit personnage volant qui ressemble à un petit démon. Elle est née de la fusion d’un Strémon qui la dévoré et elle qui n’avait pas d’aura négative. C’est une ennemie de Mijaba qui apparaît dans le tome un et qui devrait encore être présente dans le tome deux.

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Magical girl holy shit, tome 6

Décidément, Mijaba n’aime pas les filles aux gros nichons. Ca semble être un sérieux complexe chez elle. Et pour comble, la nouvelle élève venue tout droit des Etats-Unis, bat des records au niveau équipements mammaires. En plus, elle est arrogante et se montre très irrespectueuse face à notre héroïne. Elle a été détachée par les Leuds, les divinités qui créent les Magical Girl, pour neutraliser Mijaba qui est devenue extrêmement puissante. Myu et Mya ont peur de perdre le contrôle de Mijaba et que cette dernière, inconsciemment, ne détruise la terre et peut-être aussi l’univers. La nouvelle élève, venue des Etats-Unis, a été détachée pour empêcher Mijaba d’être surpuissante. Elle doit tenter de s’allier avec Nako Shûsai, celle que Mijaba surnomme l’intello aux gros nichons, pour que cette Magical Girl noire, crée accidentellement par un Strémon, cesse d’être amie avec notre héroïne et devienne assez puissante pour vaincre Mijaba. Annabelle Anderson est un peu trop sûre d’elle. Elle provoque Nako Shûsai pour qu’elle gagne en puissance et puisse enfin vaincre Mijaba. Mais, si le combat emblème tourner à son avantage, elle n’a pas imaginé que notre héroïne déjantée se mêle au combat pour sauver l’intello aux gros nichons. Le résultat est contraire aux objectifs fixés par Myu et Mya et Nako refuse de devenir celle qui pourrait éliminer Mijaba. Elle gagne en puissance et devient à son tour un danger pour l’univers. Annabelle est humiliée, au point d’en perdre son opulente poitrine…



De nouveaux personnages viennent relancer la série avant que celle-ci ne s’embourbe. Mijaba cultive toujours la vulgarité avec virtuosité au point qu’elle fait de la trivialité un véritable délice. Elle est toujours une fine lame côté intelligence, elle est en plus issue d’une haute extraction. Elle contraste merveilleusement bien avec ses comportements limites trash et son milieu favorisé et aussi l’innocence et le côté candide qu’on attend d’une justicière qui doit combattre les auras négatives. Elle est déjà très puissante quand elle n’est qu’humaine, alors, quand elle se mue en Magical Girl, elle n’a plus que les limites qu’elle s’inflige pour épargner les humains, même ceux qu’elle déteste. Nako, quand à elle, est son contraire. Elle est devenue une Magical Girl noire, négative mais reste aussi pleine d’humanisme et éprise de justice. Annabelle, qui se croit justicière, est sans doute, par son ambition, sa prétention, son arrogance, la plus mauvaise de toute. Monsieur Monstre prend un peu de distance par rapport à Nako. Mais il découvre une nouvelle divinité, une de celles qui créent les Strémons tout comme Myu et Mya créent les Magical Girl. Cette suite nous réserve plein de surprises et ressemble de plus en plus à une nouvelle saison. Le manga nous démontre aussi à quoi l’humanité s’expose quand elle joue aux démiurges. Quand elle crée soit-disant pour la paix des armes qui la dépassent et qui, à long terme, risque de la détruire plutôt que de la sauver. Bref, ce manga qui pourrait n’être que superficiel et déjanté, avec con humour trash, ces dialogues coupés à la hache et son graphisme détonnant est assez déroutant et me plait de plus en plus. Jusqu’où va donc nous emmener la plus décalée de toutes les Magical Girl ? Liu en numérique au format KINDLE avec une superbe numérisation.



Personnages :



Mademoiselle Mijaba Kayo : c’est elle qui a été par hasard choisie pour devenir Magical Girl. Elle doit combattre les « Strémons », sorte de démons qui veulent détruire la terre et dévorer des humains. Elle possède, même sans se transformer en Magical Girl, une force redoutable et une technique de combat infaillible. Elle aime la baston, le tabac, l’alcool, le café. Elle a un caractère abominable et manie les gros mots en virtuose. Au lycée, elle a peu d’amis vu son sale caractère. Ses parents sont toujours en voyage et elle vit seule.



Myu : sorte de peluche volante qui ressemble à un hybride entre un Pokémon plutôt Pikachu et de Bisounours. C’est théoriquement le mentor de la Magical Girl. Il agit un peu comme Jiminy Criquet. C’est l’élément tendresse dans ce monde de brutes, alors qu’il est là pour aider la Magical Girl à tuer les Strémon. Il dit s’appeler Myu mais c’est avec ce mot qu’il conclut toutes ses phrases. Sa véritable apparence qu’il prend lors de réunions avec ses collègues est une forme d’humanoïde, plutôt canon avec des oreilles d’elfe. Lui et les siens sont des Ieuds, sorte de divinité titulaire chargé de protéger. Mais leur corps n’est pas apte au combat. C’est pourquoi les Ieuds recrutent des Magical Girl et leur donnent des pouvoirs magiques.



Monsieur Rei Masanido : Lycéen qui un jour a eu le malheur de bousculer Mijaba. Cette dernière le corrige en même temps qu’elle combattait un Strémon. Il a assisté à la première transformation de Mijaba en Magical Girl. Depuis, il en est devenu complétement baba et est soumis à tous les désires de la belle héroïne. Il se fabrique un personnage de dur mais en réalité, c’est un cœur tendre. Il rêve de devenir cuisinier mais à l’école, il est tellement looser qu’à vingt-cinq ans, il est toujours en terminal.



Mya : Comme Myu, elle ressemble à un Pokémon bisounours mais femelle. Elle aussi a une apparence humaine plutôt pulpeuse. Elle semble amoureuse de Myu et décide de le rejoindre pour l’accompagner dans son rôle de mentor de Magical Girl. Elle tombe en admiration de notre héroïne déjantée. Elle conclu aussi toute ses phrases en prononçant son nom « Mya ».



Grand Ieud : en le lisant, ont se rend compte que son nom est l’anagramme de dieu. C’est le chef de Myu et Mya. L’ensemble de ces personnages veille sur l’univers et se répartissent les planètes habitées pour recruter des Magical Girl et lutter contre les Strémons.



Strémon : sorte de démons qui sont attirés par les auras négatives. Ils sont insatiables et ne pensent qu’à dévorer les humains. Il en existe avec des niveaux de dangerosité différent. Seule les magical Girl seraient capable de les combattre. Mais la passion pour les jeux vidéos violents et de bastonnade de Mijaba et sa force exceptionnelle, dopée par un caractère on ne peut plus mauvais, font d’elle un être d’exception capable de battre certains Strémons sans se transformer.



Mademoiselle Nako Shûsai : sorte de Magical Girl négative. Elle est toute habillée de noir et est aussi accompagnée d‘un petit personnage volant qui ressemble à un petit démon. Elle est née de la fusion d’un Strémon qui la dévoré et elle qui n’avait pas d’aura négative. C’est une ennemie de Mijaba qui apparaît dans le tome un et qui devrait encore être présente dans le tome deux.



Monsieur Monstre : c’est le nom que se donne le petit démon, sorte de Mya ou Myu négatif de couleur noire, qui accompagne Mademoiselle Nako Shûsai.



Nagaré : jeune femme journaliste qui découvre au péril de sa vie l’existence des Magical Girl et des Strémons. Elle s’engage auprès de Myu et Mya de ne pas en révéler l’existence au grand public.



Kyôta : nouvelle magical Girl noire, du côté des Strémons et qui se nourrit aussi d’énergie négative. Elle apparaît au début du tome trois et est une ennemie de Mijaba et de Myu. Elle est aussi accompagnée par un petit monstre, sosie de Monsieur Monstre.



Monrest : petit monstre aillé Il ressemble comme deux gouttes d’eau à Monsieur Monstre, le petit personnage qui accompagne Nako Shûsai, la première Magical Girl négative et vêtue de noir. Celui-ci est l’éminence grise de la nouvelle Magical >Girl noire, Kyôta.



Tomoe : c’est l’amie de toujours de Mijaba. Elle est un peu son Jiminy Criquet. Elle lui déconseille de fumer, elle la reprend sans esse sur ses expressions vulgaires. Elle est aussi la présidente du conseil des élèves. Malgré les brimades répétitives de Mijaba, elle reste une fidèle alliée à cette dernière.



Annabelle Anderson : nouvelle élève qui arrive dans le lycée de Mijaba. Elle vient des États-Unis d’Amérique et est une Magical Girl. Il faudra attendre le sixième épisode pour savoir si c’est une amie ou une ennemie de Mijaba.



Gya : jeune femme qui est une divinité noire, comme Mya et Myu qui sont les d’infinité qui crée les Magical Girl pour lutter contre les Strémons car les Leuds, les divinités comme Myu, sont là pour protéger l’humanité alors que Gya, qui est une Teuracré. Les Teuracrés sont les divinités qui créent les Strémons. Elle vient sur terre et se montre à Monsieur Monstre pour l’inciter à ce qu’enfin, les Magical Girl ne soient plus plus puissantes que les Strémons.



Teuracrés : Ce sont des divinités noires, à l’instar des Leuds qui sont des divinités blanches. Les Teuracrés qui créent les Strémons. Leur but est de mettre les humains en danger pour que ces derniers évoluent face au nouveaux dangers qui pourraient menacer leur espèces. Les Teuracrés sont les ennemis naturels des Leuds.



Myo : encore une Leud femelle. Elle est de rang inférieur à Myu et Mya et accompagne la Magical Girl qui vient des Etats-Unis, Annabelle Anderson. Elle semble très juvénile et inexpérimentée par rapport à ses supérieurs. Mais, elle compte sur les talents de la Magical Girl américaine, Annabelle, qui devrait être très puissante et très expérimentée car elle est Magical Girl depuis l’enfance.

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Partners 2.0, tome 5

Tome déjà terminé et déjà envie de connaitre la suite :-)



Il ne se passait pas grand chose lors du précédent tome mais j'adore toujours la relation qu'entretien Tomoka et Murata. Dans cette suite, cela commence à évoluer où l'entourage de Tomoka notamment sa cheffe à des sentiments pour le jeune homme à des doutes sur sa relation au point d'être jalouse.



Il en est de même pour Murata avec un de ses collègues mais une rencontre imprévus risque donc de changer la donne.



Toujours aussi croustillant et savoureux, je ne me lasse pas du côté décomplexé et coquin du manga les autres protagonistes sont plus présent et laisse un moment mémorable de leur apparition et dont j'espère les revoir plus souvent.
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Magical girl holy shit, tome 3

Suite au délirant combat entre Majiba et Nako, devenue une Black Magical Girl crée par un Straimon, le lycée de Nako est complètement détruit et cette dernière pense que Majiba est un démon négatif et qu’elle est responsable de tous ses malheurs. Nako pense toujours qu’elle va sauver le monde, elle ignore que c’est elle qui a été créée par les forces négatives. Mais elle a observé que Majiba a réussi à sauver Ayatsu Sudô, la camarade de classe et amie de Nako. Mais une autre Black Magical Girl est née d’un autre Straimon. Son but est de détruire notre héroïne mais celle-ci est beaucoup trop puissante pour pouvoir l’affronter. Cette nouvelle Magical Girl va tenter de devenir stratège face à la force démesurée de son ennemie. Comme le lycée de Nako et de Ayatsu est détruit, es dernières et les survivantes rejoignent la prestigieuse école de Majiba. Elles ignoraient que notre héroîne, qui leur semble si vulgaire, était élève dans ce lieu et qu’en plus, c’est la plus brillante de toute l’école. La réputation des deux amies les ayant précédée, elles sont de suite intégrées dans leur nouvel établissement scolaire et rejoignent directement le comité d’élève, appuyée par Tomoe Akada, la seule amie de Majiba. L’admiration que porte Tomoe aux eux nouvelles recrues semble rendre jalouse Majiba…



Ce tome trois est plein de surprise. Il me le être un tournant dans l’histoire de la Magical Girl la plus déjantée de tous les temps. L’humour est présent presque à chaque pages. Le graphisme est fidèle aux deux premiers opus. Il nous offre une collection de bimbo, toutes mieux roulées les une que les autres. Nous sommes dans l’érotisme petite culotte mais rassurez-vous, il n’y à rien de vraiment pervert. L’héroïne, qui semble blasée de toit et qui jusqu’à présent n’a jamais fait preuve de grande compétions pour eux qui l’entoure nous montre enfin qu’elle a des sentiments. Elle a toujours l’art de trouver des sobriquets pour ceux de son entourage. Elle appelle son amie, Tomoe la Sainte car celle-ci essaye toujours de la raisonner. Elle surnomme Nako « l’Intello Ax Gros Nichons » (ce qui est vrai) et ne montre jamais aucun respect pour les autres personnages. Mais, il semble qu’elle s’attendrit. Commence-t’elle à ressentir le poids de la lassitude ou simplement, se voyant devoir partager ses amies et amis, essaye de se montrer plus gentille pour ne pas les perdre. Ce tome est beaucoup moins violent que les deux autres mais reste tout de même assez gore. Il est aussi beaucoup plus sensible et psychologique. La nouvelle Black Magical Girl ne pouvant affronter notre héroïne de face tente de la déstabilisée en utilisant sont entourage. La fin de l’album ne nous donne aucune conclusion mais amorce une réelle transformation de Majiba. Je reste accro à cette série très violente, légèrement érotique, complètement folle et c’est de nouveau avec une certaine impatience que j’attends la suite. Majiba sauvera t’elle notre monde ? Girl noire, Kyôta.



Tomoe Ataka : c’est une humaine camarade de classe de Mijaba. Elle aime beaucoup notre héroine et essaye de la raisonner pour que Mijaba devienne polie et arrête de fumer. Mijaba la surnomme la Sainte.



Moemi : lycéenne qui,est amoureuse de l’amie de Mijaba, Tomoe. Elle désteste Mijaba mais notre héroïne lui a sauvé la vie.



Ayatsu Sudô : lycéenne qui était dans le même lycée que Nako Shûsai. Elle est l’amie de cette dernière et c’était fait dévorée par un Straimon. A son réveil , elle ressemblait à un zombie mais elle semble guérie. Elle rejoint le lycée de Mijaba avec Nako suite à la destruction du leur.

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Partners 2.0, tome 2

Quel plaisir de retrouver notre petit couple de sex friends.



Bien que soit passé la découverte du premier tome, Murata et Tomoko poursuivent leur relation décomplexée ensemble, les deux jeunes retournent à leur de travail et se retrouvent le soir pour un moment charnel toujours aussi mignon, le tout en s'échangeant des selfies coquins la journée. Murata rend visite entre temps au café où travail Tomoko et les deux amis se complète parfaitement.



Bien que Murata et Tomoko ne souhaitant pas chacun avoir une relation amoureuse mais s'appréciant beaucoup, ils ne laisseront pas indifférent respectivement leur collègue de travail qui leur feront savoir en ressentent des sentiments amoureux à leur égard.



Toujours aussi rafraichissant, la fin de ce 2eme tome nous laisse t'il présager un changement sur la situation entre Murata et Tomoko ? J'espère juste que leur relation continuera à durer.
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Magical girl holy shit, tome 5

Les Leuds et les Strémons ont peur de la puissance phénoménale que possède Mijaba. Ils tente de se joindre pour pouvoir la maîtriser si elle devient incontrôlable. Ils réveillent des camarades de classe de Masanido. Ces dernier sont possédé per un Strémon et représente une force négative très puissante. Ils s'attaquent à Masanido car Myu et Monsieur Monstre pense que Mijaba va se transformer en Magical Girl toute puissante pour défendre le jeune homme qui lui est complétement soumis. Mais leur stratégie fait long feu et Mijaba se contente d'être la spectatrice de la bastonnade car elle estime que si Masanido s'en sort seul, il sortira grandi de cet affrontement. Pendant ce temps, Kyôta prouve qu'elle est amoureuse de Nako et elle a peur que celle-ci ne tombe amoureuse d'un garçon. Elle part à sa recherche quand elle est de nouveau attaquée par un Strémon et est sauvée de justesse par Annabelle Anderson, une fille américaine qui est aussi une Magical Girl …



Ce tome met moins en valeur Mijaba et privilégie les personnages secondaires. Mijaba confirme sa puissance hors du commun et fait toujours peur aux Leuds ainsi qu'aux Strémons qui pense qu'à elle seule, elle pourrait détruire la terre et tous les humains. Les stratagèmes mis au point pour la calmer et la maîtriser font long feu et la belle rebelle continue à tracer sa route comme si de rien n'était. Elle gagne même de nouveaux pouvoir dont celui d'entendre les pensées de Myu. Une nouvelle fait son apparition mais actuellement, nous ne savons pas si elle est une amie ou une ennemie de Mijaba. le graphisme est constant. Parfois, Mijaba est tellement jolie qu'on pourrait en tomber amoureux mais dès qu'elle prend la parole, elle est toujours aussi directe et vulgaire. Ce tome est peut-être moins intense que les précédents et semble installer de nouvelles directions. Pourtant, je pense que cette série touche à sa fin mais on dirait qu'elle se relance. Certains personnages n'ont fait que passer. Les filles se montre parfois amoureuses d'autre filles et pourtant, ne restent as insensibles au charme des garçons, entre autre Masanido qui semble avoir la cote auprès de la gente féminine. Mais le brave n'a d'yeux que pour son héroïne, Mijaba. En dehors des chassés croisés amoureux, Mijaba, qui est intraitable, reste pourtant probe et éprise de justice. Son apparente vulgarité, ses comportements de petite fille gâtée, sa façon triviale de s'adresser à son entourage et même la violence dont elle est capable quand elle est simplement contrariée n'empêche pas qu'au fond d'elle, c'est vraiment une belle personne, fidèle en amitié et dévouée aux justes causes. Bref, c'est décalé, vraiment drôle et je reste accro à cette série déjantée. Lu en numérique avec une très belle numérisation.



Personnages :



Mademoiselle Mijaba Kayo : c'est elle qui a été par hasard choisie pour devenir Magical Girl. Elle doit combattre les « Strémons », sorte de démons qui veulent détruire la terre et dévorer des humains. Elle possède, même sans se transformer en Magical Girl, une force redoutable et une technique de combat infaillible. Elle aime la baston, le tabac, l'alcool, le café. Elle a un caractère abominable et manie les gros mots en virtuose. Au lycée, elle a peu d'amis vu son sale caractère. Ses parents sont toujours en voyage et elle vit seule.



Myu : sorte de peluche volante qui ressemble à un hybride entre un Pokémon plutôt Pikachu et de Bisounours. C'est théoriquement le mentor de la Magical Girl. Il agit un peu comme Jiminy Criquet. C'est l'élément tendresse dans ce monde de brutes, alors qu'il est là pour aider la Magical Girl à tuer les Strémon. Il dit s'appeler Myu mais c'est avec ce mot qu'il conclut toutes ses phrases. Sa véritable apparence qu'il prend lors de réunions avec ses collègues est une forme d'humanoïde, plutôt canon avec des oreilles d'elfe. Lui et les siens sont des Ieuds, sorte de divinité titulaire chargé de protéger. Mais leur corps n'est pas apte au combat. C'est pourquoi les Ieuds recrutent des Magical Girl et leur donnent des pouvoirs magiques.



Monsieur Rei Masanido : Lycéen qui un jour a eu le malheur de bousculer Mijaba. Cette dernière le corrige en même temps qu'elle combattait un Strémon. Il a assisté à la première transformation de Mijaba en Magical Girl. Depuis, il en est devenu complétement baba et est soumis à tous les désires de la belle héroïne. Il se fabrique un personnage de dur mais en réalité, c'est un coeur tendre. Il rêve de devenir cuisinier mais à l'école, il est tellement looser qu'à vingt-cinq ans, il est toujours en terminal.



Mya : Comme Myu, elle ressemble à un Pokémon bisounours mais femelle. Elle aussi a une apparence humaine plutôt pulpeuse. Elle semble amoureuse de Myu et décide de le rejoindre pour l'accompagner dans son rôle de mentor de Magical Girl. Elle tombe en admiration de notre héroïne déjantée. Elle conclu aussi toute ses phrases en prononçant son nom « Mya ».



Grand Ieud : en le lisant, ont se rend compte que son nom est l'anagramme de dieu. C'est le chef de Myu et Mya. L'ensemble de ces personnages veille sur l'univers et se répartissent les planètes habitées pour recruter des Magical Girl et lutter contre les Strémons.



Strémon : sorte de démons qui sont attirés par les auras négatives. Ils sont insatiables et ne pensent qu'à dévorer les humains. Il en existe avec des niveaux de dangerosité différent. Seule les magical Girl seraient capable de les combattre. Mais la passion pour les jeux vidéos violents et de bastonnade de Mijaba et sa force exceptionnelle, dopée par un caractère on ne peut plus mauvais, font d'elle un être d'exception capable de battre certains Strémons sans se transformer.



Mademoiselle Nako Shûsai : sorte de Magical Girl négative. Elle est toute habillée de noir et est aussi accompagnée d‘un petit personnage volant qui ressemble à un petit démon. Elle est née de la fusion d'un Strémon qui la dévoré et elle qui n'avait pas d'aura négative. C'est une ennemie de Mijaba qui apparaît dans le tome un et qui devrait encore être présente dans le tome deux.



Monsieur Monstre : c'est le nom que se donne le petit démon, sorte de Mya ou Myu négatif de couleur noire, qui accompagne Mademoiselle Nako Shûsai.



Nagaré : jeune femme journaliste qui découvre au péril de sa vie l'existence des Magical Girl et des Strémons. Elle s'engage auprès de Myu et Mya de ne pas en révéler l'existence au grand public.



Kyôta : nouvelle magical Girl noire, du côté des Strémons et qui se nourrit aussi d'énergie négative. Elle apparaît au début du tome trois et est une ennemie de Mijaba et de Myu. Elle est aussi accompagnée par un petit monstre, sosie de Monsieur Monstre.



Monrest : petit monstre aillé Il ressemble comme deux gouttes d'eau à Monsieur Monstre, le petit personnage qui accompagne Nako Shûsai, la première Magical Girl négative et vêtue de noir. Celui-ci est l'éminence grise de la nouvelle Magical >Girl noire, Kyôta.



Tomoe : c'est l'amie de toujours de Mijaba. Elle est un peu son Jiminy Criquet. Elle lui déconseille de fumer, elle la reprend sans esse sur ses expressions vulgaires. Elle est aussi la présidente du conseil des élèves. Malgré les brimades répétitives de Mijaba, elle reste une fidèle alliée à cette dernière.



Annabelle Anderson : nouvelle élève qui arrive dans le lycée de Mijaba. Elle vient des États-Unis d'Amérique et est une Magical Girl. Il faudra attendre le sixième épisode pour savoir si c'est une amie ou une ennemie de Mijaba.

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Magical girl holy shit, tome 4

Devant toute la puissance de la dernière transformation de Mijaba, Myu et Mya craignent que leur Magical Girl ne perde le contrôle et bascule du côté obscur. Ils réunissent tous les Leuds en conseil pour trouver une solution pour gérer cette crise. Tous leurs collègues s’en moquent, ils profitent que c’est le chaos sur la terre pour prendre du bon temps. Les Leuds comme Myu n’ont pas le pouvoir d’enlever les capacités des Magical Girl qu’ils ont transformées. Le calme revenu, les filles sont de nouveau obligées de changer d’établissement scolaire et se retrouvent toutes dans le lycée Déconart, école pour garçon…



J’attendais n début plus passionnant pour ce quatrième épisode. Le troisième opus nous avait laissé dans un sacré suspens. Finalement, la conclusion de l’affrontement a vraiment été trop rapide et sans grande surprise. C‘est dommage mais ça permet aussi au mangaka de prendre une nouvelle direction. Plus politique et plus fine en stratégie. Les Leuds, comme Myu, qui créent les Magical Girl positives, sont quiet de la puissance que leur a montré Mijaba et craignent de perdre le contrôle de cette dernière. Ils pense s’allier avec l’ennemi si, en cas de besoin, ils devront l’éliminer car ils ont peur qu’elle ne finisse par détruire la terre. Pourtant, malgré sa grande colère, elle a su se maîtriser même si elle a fait beaucoup de dégâts matériels. Elle a épargné les vies humaines de ses camarades, amies ou ennemies. Le nouveau trouvant que prend le récit est intéressant même si j’ai été quelque peu déçu au démarrage de ce tome. Les scènes de combats sont hallucinantes. Les dessins sont excellents, parfois kitchs mais le kitch fait partie de l’univers des Magical Girl. Le scénario surprend. Il est plus profond qu’il n’y paraît. Il joue sur la capacité que les humains ont de se détester, de se haïr mais aussi de trouver des terrains d’entente et de conciliation. C’est toujours une question d’équilibre, de fragile équilibre. Mijaba est toujours aussi délicieusement triviale. Elle cultive le gros-mot et le non sa pour-vivre avec délice bien qu’elle soit issue de famille aisée. Sans doute une des faces rebelles de l’adolescence qui chez elle est exacerbée. L’humour, gavroche, certes, est toujours aussi présent. C’est vraiment la Magical Girl la plus déjantée de toute et c’est sans doute l’une des raison pour laquelle je l’apprécie tant. Lu en format Kindle avec une très belle numérisation.



Personnages :



Mademoiselle Mijaba Kayo : c’est elle qui a été par hasard choisie pour devenir Magical Girl. Elle doit combattre les « Strémons », sorte de démons qui veulent détruire la terre et dévorer des humains. Elle possède, même sans se transformer en Magical Girl, une force redoutable et une technique de combat infaillible. Elle aime la baston, le tabac, l’alcool, le café. Elle a un caractère abominable et manie les gros mots en virtuose. Au lycée, elle a peu d’amis vu son sale caractère. Ses parents sont toujours en voyage et elle vit seule.



Myu : sorte de peluche volante qui ressemble à un hybride entre un Pokémon plutôt Pikachu et de Bisounours. C’est théoriquement le mentor de la Magical Girl. Il agit un peu comme Jiminy Criquet. C’est l’élément tendresse dans ce monde de brutes, alors qu’il est là pour aider la Magical Girl à tuer les Strémon. Il dit s’appeler Myu mais c’est avec ce mot qu’il conclut toutes ses phrases. Sa véritable apparence qu’il prend lors de réunions avec ses collègues est une forme d’humanoïde, plutôt canon avec des oreilles d’elfe. Lui et les siens sont des Ieuds, sorte de divinité titulaire chargé de protéger. Mais leur corps n’est pas apte au combat. C’est pourquoi les Ieuds recrutent des Magical Girl et leur donnent des pouvoirs magiques.



Monsieur Rei Masanido : Lycéen qui un jour a eu le malheur de bousculer Mijaba. Cette dernière le corrige en même temps qu’elle combattait un Strémon. Il a assisté à la première transformation de Mijaba en Magical Girl. Depuis, il en est devenu complétement baba et est soumis à tous les désires de la belle héroïne. Il se fabrique un personnage de dur mais en réalité, c’est un cœur tendre. Il rêve de devenir cuisinier mais à l’école, il est tellement looser qu’à vingt-cinq ans, il est toujours en terminal.



Mya : Comme Myu, elle ressemble à un Pokémon bisounours mais femelle. Elle aussi a une apparence humaine plutôt pulpeuse. Elle semble amoureuse de Myu et décide de le rejoindre pour l’accompagner dans son rôle de mentor de Magical Girl. Elle tombe en admiration de notre héroïne déjantée. Elle conclu aussi toute ses phrases en prononçant son nom « Mya ».



Grand Ieud : en le lisant, ont se rend compte que son nom est l’anagramme de dieu. C’est le chef de Myu et Mya. L’ensemble de ces personnages veille sur l’univers et se répartissent les planètes habitées pour recruter des Magical Girl et lutter contre les Strémons.



Strémon : sorte de démons qui sont attirés par les auras négatives. Ils sont insatiables et ne pensent qu’à dévorer les humains. Il en existe avec des niveaux de dangerosité différent. Seule les magical Girl seraient capable de les combattre. Mais la passion pour les jeux vidéos violents et de bastonnade de Mijaba et sa force exceptionnelle, dopée par un caractère on ne peut plus mauvais, font d’elle un être d’exception capable de battre certains Strémons sans se transformer.



Mademoiselle Nako Shûsai : sorte de Magical Girl négative. Elle est toute habillée de noir et est aussi accompagnée d‘un petit personnage volant qui ressemble à un petit démon. Elle est née de la fusion d’un Strémon qui la dévoré et elle qui n’avait pas d’aura négative. C’est une ennemie de Mijaba qui apparaît dans le tome un et qui devrait encore être présente dans le tome deux.



Monsieur Monstre : c’est le nom que se donne le petit démon, sorte de Mya ou Myu négatif de couleur noire, qui accompagne Mademoiselle Nako Shûsai.



Nagaré : jeune femme journaliste qui découvre au péril de sa vie l’existence des Magical Girl et des Strémons. Elle s’engage auprès de Myu et Mya de ne pas en révéler l’existence au grand public.



Kyôta : nouvelle magical Girl noire, du côté des Strémons et qui se nourrit aussi d’énergie négative. Le apparaît au début du tome trois et est une ennemie de Mijaba et de Myu. Elle est aussi accompagnée par un petit monstre, sosie de Monsieur Monstre.



Monrest : petit monstre aillé Il ressemble comme deux gouttes d’eau à Monsieur Monstre, le petit personnage qui accompagne Nako Shûsai, la première Magical Girl négative et vêtue de noir. Celui-ci est l’éminence grise de la nouvelle Magical >Girl noire, Kyôta.



Tomoe

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Partners 2.0, tome 4

Je suis toujours ravi dès que le prochain tome de partners 2.0 est disponible. Retrouver Tomoka et Murata dans leur relation décomplexée est un réel plaisirs.



Entre partie de jeux vidéo, collations gastronomiques, moments intimes, notre petit couple s'amuse. Pourtant Tomoka et Murata s'attachent l'un de l'autre, mais aucun sentiments amoureux se dessinent à l'horizon et pourtant ils n'ont pas l'intention de se quitter.



Bien que les situations s'avèrent drôles et croustillantes et que ce tome se concentre donc plus sur leur relation, le récit évolue que très peu dans ce tome alors que le précédent tome laissait paraitre un changement.



Malgré que ce 4eme volume reste agréable à lire, j' espère du changement dans les prochains tomes, ce qui permettra de faire évoluer l'histoire.

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Partners 2.0, tome 3

J'avais hâte de retrouver les petites aventures décomplexées de Tomoka et Murata. Le couple est toujours aussi craquant en assumant pleinement leur relation type sex friend.



Menant leur activité professionnelle, le jeune couple se retrouve pour partager des moments intimes mais aussi en faisant du shopping tout en pimentant cette sortie. Ne décidant pas de s'engager dans une relation amoureuse, Tomoka et Murata seront malgré tout sollicités par des collègues éprouvant respectivement des sentiments envers eux mais y seront en retours totalement indifférents.



Même si l'histoire ne progresse pas beaucoup bien que la fin annonce un élément majeur, le manga fait la part belle aux moments drôles et coquins et Tomoka et Murata se révèlent être un couple toujours aussi attachants.



Un troisième tome pour ce manga respirant continuellement autant la fraicheur, avec son côté feel good qui fait du bien.

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Magical girl holy shit, tome 2

Dans la cour de l’école des filles ravagée par un Strémon particulièrement vorace se battent toujours Mijaba transformée en Magical Girl et Nako, également transformée en Magical Girl mais plutôt négative car c’est le Strémon en la dévorant, qui ne. La pas digéré car elle n’a aucune aura négative. Mais elle est plutôt du côté des monstres mais sa naïveté ne lui en donne pas conscience. Le combat entre les filles est d’une rare intensité. Elles semblent de force égale. Mijaba manipule toujours les gros mots avec virtuosité ce qui choque son adversaire qui elle, ignore qu’elle est du côté du mal. Mais voilà un groupe de journaliste qui débarque et filme les filles combattantes. Ca gène Mya et Myu qui n’ont pas intérêt que les Magical Girl et les Strémons soient découverts par le grand public. Les deux filles consomment tellement d’énergie qu’elles finissent par abandonner le combat car elles sont mortes de faim. Masanido décide d’emmener Mijaba dans le restaurant où il travaille pour qu’elle retrouve des forces mais en adversaire honorable, Mijaba lui ordonne de prendre aussi Nako. A peine restaurées, les deux gonzesses repartent au combat mais pour récupérer entièrement, elles doivent dormir. Elles tombent évanouies et leurs alliés respectifs les ramènent chez elles. Après une bonne nuit de repos, Nako pense qu’elle est justicière et qu’elle doit sauver le monde et croit dur comme fer que Mijaba est du côté obscure et de celui des Strémons…



Ce deuxième tome reprend pendant le combat des deux Magical girl ennemie L’une est blanche et l’autre noire, comme le yin et le yang , le bien le mal, Caïn et Abel. Les deux filles montrent force égale C’est l’épuisement qui aura raison de chacune. Mais là, Mijaba, pourtant sans pitié et d’ordinaire plutôt genre psychopathe sans compassion, sauve son ennemie au même titre qu’elle. Le personnage manie délicieusement la trivialité mais on découvre dans cet épisode qu’elle est issue d’un milieu vraiment aisé. Toujours accrochée à ses cigarettes, chez elle, la grossièreté tient du raffinement. Elle est t’aiment surprenante, drôle, attachante. Elle nous montre dans cet album de nouvelles facettes de sa personnalité. Elle peut même être gentille malgré son caractère impitoyable. Son adversaire est tout le contraire On savait Mijaba surdouée et qui ne fait pas d’effort pour avoir des résultats scolaires qui dépassent l’entendement. Nako, son opposée, elle, est une première de classe grâce à un travail acharné. Si Mijaba semble livrée à elle-même et vivre dans une cave robotisée, elle vit aussi dans une somptueuse villa entourée par une livré&et de domestiques plus dévoués les uns que les autres. Mais visiblement, elle préfère la solitude et les jeux vidéo aux humains qui lui veulent du bien. Nako, quant à elle, vit dans ne modeste maison, entourée par l’amour de son père et de sa mère qui la couve de tendresse. Malgré son intelligence, elle a plutôt l’air innocente et croit qu’elle va sauver le monde alors qu’elle a été transformée par un Strémon qui ne pense qu’à dévorer des humains et détruire la terre. Mijaba va jusqu’à la défendre, lui apprendre à maîtriser ses phobies et à vaincre son premier Strémon, déjà, il est vrai, entamé par Mijaba. Bref, si le scénario est trash, c’est volontaire, c’est aussi assez gore, violent, osé. Mais c’est aussi plein d’humour déjanté. Le contraste entre les monstres et les petits personnages comme Myu et Mya est assez saisissant. Le graphisme est très bon, les scènes d’actions sont dynamiques. Le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer. Bref, j’aime et j’en redemande. Lu en version numérique sur iPad avec le format KINDLE d’Amazon et une très bonne numérisation.



Personnages :



Mademoiselle Mijaba Kayo : c’est elle qui a été par hasard choisie pour devenir Magical Girl. Elle doit combattre les « Strémons », sorte de démons qui veulent détruire la terre et dévorer des humains. Elle possède, même sans se transformer en Magical Girl, une force redoutable et une technique de combat infaillible. Elle aime la baston, le tabac, l’alcool, le café. Elle a un caractère abominable et manie les gros mots en virtuose. Au lycée, elle a peu d’amis vu son sale caractère. Ses parents sont toujours en voyage et elle vit seule.



Myu : sorte de peluche volante qui ressemble à un hybride entre un Pokémon plutôt Pikachu et de Bisounours. C’est théoriquement le mentor de la Magical Girl. Il agit un peu comme Jiminy Criquet. C’est l’élément tendresse dans ce monde de brutes, alors qu’il ;est là pour aider la Magical Girl à tuer les Strémon. Il dit s’appeler Myu mais c’est avec ce mot qu’il conclut toutes ses phrases. Sa véritable apparence qu’il prend lors de réunions avec ses collègues est une forme d’humanoïde, plutôt canon avec des oreilles d’elfe. Lui et les siens sont des Ieuds, sorte de divinité titulaire chargé de protéger. Mais leur corps n’est pas apte au combat. C’est pourquoi les Ieuds recrutent des Magical Girl et leur donnent des pouvoirs magiques.



Monsieur Rei Masanido : Lycéen qui un jour a eu le malheur de bousculer Mijaba. Cette dernière le corrige en même temps qu’elle combattait un Strémon. Il a assisté à la première transformation de Mijaba en Magical Girl. Depuis, il en est devenu complétement baba et est soumis à tous les désires de la belle héroïne. Il se fabrique un personnage de dur mais en réalité, c’est un cœur tendre. Il rêve de devenir cuisinier mais à l’école, il est tellement looser qu’à vingt-cinq ans, il est toujours en terminal.



Mya : Comme Myu, elle ressemble à un Pokémon bisounours mais femelle. Elle aussi a une apparence humaine plutôt pulpeuse. Elle semble amoureuse de Myu et décide de le rejoindre pour l’accompagner dans son rôle de mentor de Magical Girl. Elle tombe en admiration de notre héroïne déjantée. Elle conclu aussi toute ses phrases en prononçant son nom « Mya ».



Grand Ieud : en le lisant, ont se rend compte que son nom est l’anagramme de dieu. C’est le chef de Myu et Mya. L’ensemble de ces personnages veille sur l’univers et se répartissent les planètes habitées pour recruter des Magical Girl et lutter contre les Strémons.



Strémon : sorte de démons qui sont attirés par les auras négatives. Ils sont insatiables et ne pensent qu’à dévorer les humains. Il en existe avec des niveaux de dangerosité différent. Seule les magical Girl seraient capable de les combattre. Mais la passion pour les jeux vidéos violents et de bastonnade de Mijaba et sa force exceptionnelle, dopée par un caractère on ne peut plus mauvais, font d’elle un être d’exception capable de battre certains Strémons sans se transformer.



Mademoiselle Nako Shûsai : sorte de Magical Girl négative. Elle est toute habillée de noir et est aussi accompagnée d‘un petit personnage volant qui ressemble à un petit démon. Elle est née de la fusion d’un Strémon qui la dévoré et elle qui n’avait pas d’aura négative. C’est une ennemie de Mijaba qui apparaît dans le tome un et qui devrait encore être présente dans le tome deux.



Monsieur Monstre : c’est le nom que se donne le petit démon, sorte de Mya ou Myu négatif de couleur noire, qui accompagne Mademoiselle Nako Shûsai.



Nagaré : jeune femme journaliste qui découvre au péril de sa vie l’existence des Magical Girl et des Strémons. Elle s’engage auprès de Myu et Mya de ne pas en révéler l’existence au grand public.

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Partners 2.0, tome 1

Voila un manga très sympathique sur la rencontre entre deux jeunes adultes qui vivent une relation totalement libre dénouée de sentiments amoureux mais sensuelle.



Murata et Tomoko vivent en couple chacun de leur côté mais ne sont pas heureux dans leur relation, ainsi ils décident de se séparer respectivement de leur partenaire. C'est lors d'une soirée gaming en ligne que Murata et Tomoko feront connaissance.



Ce que j'ai aimé dans ce manga, c'est tout d'abord le couple que forme Murata et Tomoko.

Sans se prendre la tête, chacun décide de vivre une relation genre sexfriend et l'alchimie entre les deux passe crème, ils discutent de tout et n'ont aucun tabou entre eux vivant pleinement leur relation . j'ai même trouvé le couple assez mignon avec une touche d'humour, de douceur et de détente et on ressent une certaine sympathie envers les protagonistes.



Un récit rafraichissant bienveillant et possédant une certaine modernité.
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Partners 2.0, tome 1

Pour ceux qui ont apprécié Switch Me On et qui auraient aimé une touche plus coquine dans Otaku Otaku, ce manga est fait pour vous !



Il s'agit d'une aventure rafraîchissante abordant des thèmes actuels tels que les jeux vidéos, le travail, la sacralisation du couple, les comportements toxiques ou bienveillants, la sexualité (consentie ! comme dans Switch Me On). Que vous soyez en couple ou non, cela se lit bien et peut résonner en vous. Les dialogues des deux personnages principaux mettent en avant l'égalité entre filles et garçons tout en déconstruisant des stéréotypes sexistes. J'espère que l'auteur continuera dans cette direction.



Seulement deux éléments viennent entacher l'appréciation : l'introduction du personnage féminin qui ne peut avoir qu'une poitrine imposante (on peut avoir d'autres représentations ??) et le fait que cette caractéristique physique soit prédominante dans les moments intimes.
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Magical girl holy shit, tome 1

Je lis peu de mangas mettant en avant des Magical Girl. Mes seules références sont Tokyo Mew Mew et Card Captor Sakura. Et quand j'ai vu ce manga à la médiathèque, la couverture m'a évidemment attiré (je sais, c'est complétement superficiel mais j'assume!) et je me suis dis que ça pourrait être sympa de lire un autre manga avec des Magical Girl.



Les Magical Girl sont des filles qui œuvrent à la sauvegarde du monde, à la protection de l'Humanité, toujours là pour aider les autres. Elles sont parfaites, ce sont des filles biens, au grand cœur. Sauf qu'un jour, alors que la Terre est à nouveau menacée par une entité extraterrestre, une jeune fille est choisie pour en être une mais elle est... disons... loin d'être l'archétype d'une Magical Girl. Kayo a peut-être un physique avantageux, un visage d'ange, une coiffure de poupée mais elle est ultra violente, insolente, vulgaire, dure, effrayante... badass! C'est une badgirl littéralement! Elle n'a rien demandé, elle se fiche de sauver les humains mais elle aime sa nouvelle force, ses pouvoirs et adore la castagne contre les démons. On ne rigole pas avec Kayo! D'ailleurs, elle fait tout voir à son guide, celui qui l'a choisi, un petit être volant et trop mignon, qui déguste continuellement (le pauvre!) ainsi qu'à un gars qui va devenir son esclave personnel mais qui en est très heureux! Kayo va ensuite découvrir qu'elle n'est pas la seule Magical Girl sur Terre...



C'est très spécial, complètement WTF! J'aime bien le fait d'avoir une anti-héroïne, ça change totalement! Les mangas ont tendance à montrer des Magical Girl de façon ultra positive. Elles sont toujours de belles jeunes filles, bien sous tout rapport, gentille avec le cœur sous la main, passionnée mais avec ce manga, c'est tout le contraire! En revanche, je trouve le scénario assez pauvre, le schéma se répète tout au long du tome et je pense que ce sera pareil pour la suite. L'originalité vient seulement du fait qu'on ait affaire à une anti-héroine.



Alors, le langage est très cru, vulgaire. Il y a des gros mots partout, à chaque page, dans chaque bulle ainsi que des gestes et scènes explicites dont de la nudité. Ce n'est clairement pas pour tout le monde!



J'aime vraiment beaucoup les dessins! Ils sont classes, très beaux, travaillés et au niveau des combats, je peux vous dire que ça claque visuellement! C'est le point fort du manga!



Je ne m'attendais pas du tout à ça et pour le coup, ce n'est pas du tout mon style de manga! Je ne sais trop quoi en penser, si j'ai vraiment aimé ou non. Disons qu'il y a du bon et du moins bon. Je pense quand même continuer, pour mieux affirmer mon avis. A voir.
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Partners 2.0, tome 1

PARTNERS 2.0



Il était dans ma PAL depuis deux jours, et je viens de le dévorer d’une traite !

QUE C’EST BON ! De lire une œuvre si rafraîchissante, si amusante sur les relations entre les femmes et les hommes !



Ça fait du bien ! De voir évoluer deux personnages coincés dans leur couple respectif et qui du jour au lendemain décident de reprendre leur liberté et d’assumer ce qu’ils aiment : BAISER !



SOURYU, l’auteur de ce premier volume, pose le cadre du début de la relation entre Murata (lui) et Tomoka (elle).

Réduire ce premier tome à une histoire de sexe serait trop réducteur ! L’auteur nous montre ses deux personnages complètements intégrés dans la société nippone. Chacun a son travail et ils sont fans de jeux vidéos.

Publié en 2020 au Japon, pendant le confinement, nous le découvrons trois ans plus tard post confinement.

Faire coïncider des comportements aux personnages avec ce que le confinement a modifié dans nos propres comportements est à mon avis une des forces de ce manga.

Le personnage de Murata exerce son métier principalement en télétravail. Ce qui maintenant est une pratique professionnelle courante et même recommandée en période de grève des transports.



Tomaka est serveuse dans une cafétéria, dès a levée du confinement nous avons squatté terrasses et restaurants pour respirer !



Ce premier tome est une bouffée d’oxygène à la fois dans le dessin mais surtout dans le scénario !

Il n’est pas un manga porno ! Il n’y a pas de scènes violentes ! Il n’y a pas de viol !



Ce premier volume est tout le contraire, car sans le dire une seule fois dans l’histoire, ce manga est une ode au consentement !



Toutes les situations décrites sont consenties par nos deux personnages principaux.



SOURYU, l’air de rien c’est du moins l’effet que cela m’a donné, nous montre que les hommes et les femmes peuvent vivre purement et simplement leur sexualité. Dans leurs actes et dans leurs mots.

L’auteur ne bride pas ses personnages, autant elle que lui disent Bite, chatte, baise... Les personnages se baladent dans des sex-shops.



Témoins de la société actuelle, après le plaisir le réconfort et quoi de mieux qu’un bon repas pour recharger ses batteries. L’auteur porte une réelle importance aux différents lieux de restauration. A sa façon il y’a un joli clin d’œil au film « Quand Harry rencontre Sally » dans l’un d’eux !



Il y’a, par contre, une différence notable entre le Japon et la France c’est la pratique du Love Hôtel !

La société japonaise permet à deux personnes de vivre leurs envies, leurs plaisirs tout en préservant l’intimité de leur domicile respectif.



La lecture de ce premier tome m’a donné le sentiment que nous ne sommes pas encore perdus ! Après Metoo, deux confinements, dans un climat de guerre en Europe, de crise économique et sociale. Ce premier volume fait du bien, l’auteur nous propose un monde où deux personnes peuvent vivre leur épanouissement et leur jouissance librement.

Comme le dit si bien l’adage : faites l’amour, pas la guerre !



Au niveau du dessin, SOURYU utilise un procédé graphique qui va appuyer son texte et donner encore plus de force au récit.

Principalement lorsque les personnages évoluent en société, l’auteur a recours à un effet de floue pour l’arrière plan. Comme lorsque l’on fait une photo en mode portrait avec son téléphone portable. Cet effet, le bokeh en photographie, permet à l’auteur de nous forcer à nous focaliser que sur ses personnages. Dans leurs postures et dans leurs mots.

Des qu’ils se retrouvent dans l’intimité le premier et l’arrière plan sont dessinés de façon classique.

Cette distorsion visuelle peut-être dérangeante au début mais très vite on comprend qu’elle vient porter les dialogues entre les personnages principaux.



« PARTNERS 2.0 » est une belle découverte, il faut lire ce premier volume, cela fait du bien au moral mais pas que...



Les éditions KUROKAWA l’ont tellement bien compris que pour le lancement du premier volume et si votre libraire participe à l’opération, vous repartirez non seulement avec le manga mais aussi avec un préservatif en guise de marque page ! (Ou bien est-ce pour l’utiliser autrement ?).



Vu la tête de mon libraire préféré parisien, il ne s’attendait pas à donner ce genre de goodie en plus du manga. D’ailleurs le petit nombre de préservatifs n’était même pas en caisse. Collector assuré.

N’oubliez pas de le demander, tant qu’il y en a encore !



Très bonne lecture...



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Magical Girl Holy Shit, tome 9

Un tome 9 assez cool. On en apprends un plus sur les personnages et leur passé.

Le père de Kayo est vachement tordu tout de même.

Pas de combats pour cette fois-ci en aussi grosse dose que le tome précédent mais tout de meme intéressant à lire

On sent le traitement arriver pour le prochain arc
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Partners 2.0, tome 2

Un deuxième tome qui confirme tout le bien que je pense de ce manga. C'est frais et d'actualité. On parle de relations saines et consentantes. Nos "amilis" continuent leur histoire. Le mangaka Souryu parvient à mêler habilement la romance en nous faisant comprendre que ces partenaires 2.0 sont vraiment sur la même longueur d'onde, sans pour autant se voir comme un couple tel qu'on le connaît.



Est-ce parce qu'il est un homme qu'il a du mal à mettre en avant le corps de Murata ? On n'est pas encore au niveau de Switch me on ici. Même si le tome commence, pour notre plus grand plaisir, sur une scène coquine, ces dernières sont bien réparties tout au long du manga.



D'un côté et de l'autre, une personne pourrait prendre la place "officielle" de compagnon ou compagne. L'auteur aborde le tout de manière assez conventionnelle avec les collègues de travail. À voir le traitement réalisé dans le troisième tome. J'en attends beaucoup car j'espère ne pas voir quelque chose de trop classique.
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Partners 2.0, tome 1

Pour public averti !

Si vous n’avez pas encore fêté vos 16 ans, ce titre n’est pas pour vous bande de coquins !



Pour moi c’est bon ça fait bien longtemps que j’ai dépassé l’âge j’ai donc pu suivre la relation sulfureuse de Murata et Tomoka.

Après avoir chacun de leur côté vécu une histoire d’amour qui ne les épanouissait pas, ils ont décidé de rompre avec leur moitié !

Murata n’en pouvait plus d’avoir une copine possessive qui remettait en question ses moindres faits et gestes. Tomoka elle, était avec un homme qui essayait de la modeler à son image. Il aimait qu’elle soit jolie mais ça s’arrêtait là car il ne supportait pas son franc parlé, son côté un peu vulgaire et son penchant affirmé pour la bagatelle !

1 an après leur rupture, nos 2 héros vont se croiser à une soirée avec leur guilde de jeu vidéo. Ils vont tout de suite accrocher et très rapidement se retrouver de fait une contre soirée ou à force de parler de sexe, ils vont finir dans un love hôtel. Ils sont tellement sur la même longueur d’onde qu’à partir de là, ils vont entretenir une relation mi amicale mi sexuelle : ils sont "amili" comme ils le disent.

C’est une relation sans engagement sans prise de tête et bien évidemment très sensuelle que l’on va suivre !

Je ne suis habituellement pas cliente des titres olé olé mais le côté relation du genre sexfriend (même s’ils se définissent pas exactement comme ça dans le manga), j’ai pensé que ça pouvait être intéressant ! Et après lecture force est de constater que j’ai bien aimé, je ne me retrouve pas vraiment dans l’histoire mais je trouve quand même intéressant de nous proposer une jeune femme bien dans ses baskets et sa sexualité et qui n’a pas peur d’en parler et de dire ce qu’elle aime ce qu’elle veut ! Elle n’est pas spectatrice mais carrément actrice un rôle encore trop peu donné au fan dans ses moments-là dans les mangas (et plus largement dans la fiction).

Je trouve que les 2 personnages sont trop marrants à voir ensemble et quand comme moi ,on a une vision assez traditionnelle du couple, on se demande pourquoi ils ne se mettraient pas ensemble tellement ils s’entendent bien mais en fait qui suis-je pour juger et c’est là que ça devient intéressant puisque ça me permet de m’interroger un peu sur ma représentation du couple et des relations !

Je suis curieuse de voir comment ça va évoluer et si vous aimez les lectures un peu coquines ça devrait vous intéresser !


Lien : https://www.instagram.com/my..
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Magical Girl Holy Shit, tome 10

Comme j'ai pu le dire lors de ma petite critique du tome 9, celui-ci (comme le précédent) nous en raconte un peu plus sur la vie de Kayo et de son père.

Le fait que les monstres vont bientôt officiellement passer à l'action donne vraiment envie de suivre l'histoire.

Le tome se termine avec la révélation de la mère de Kayo que je ne spoilerais pas ici mais très peu attendu de ma part.
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