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Critiques de Aaron Dembski-Bowden (28)
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Space Marine Battles 02 : Helsreach

Second tome (totalement indépendant) de la série Space Marine Battles de la licence Warhammer 40.000



Dans la ville ruche Helsreach, le chapitre des Black Templar contre les Ork. Un siège à l'échelle d'une planète, d'une ville, d'un temple.



Il y a des Wh40k qui sont un peu plus tournés vers la réflexion (tout est relatif hein ? ), comme certains tomes de l'hérésie d'Horus et d'autres vers l'action. Helsreach fait indéniablement partie de la seconde catégorie. de la baston, de la bravoure magnifiée, encensée, glorifiée. La défense désespérée. le dernier carré.

Du Space Marine dans toute sa splendeur. Un plus qu'humain (eux-même ne se considèrent plus comme appartenant à l'espèce humaine) en lutte contre les xenos. du sang, des tripes au sens propre comme au figuré. le temps mort ne fait pas partie du vocabulaire, ni du héros, ni de l'auteur.

Ce tome m'a fait penser à Necropolis d'Abnett, maître parmi les maîtres de la licence avec ses fantômes de Gaunt (garde impériale).



Sur le fond, soit on aime le genre bien bourrin, le sang qui gicle des épées tronçonneuses, soit on peut allègrement passer sur cette lecture.

Sur la forme un mélange de temps un peu bizarre, mélange de temps de narration au présent et au passé pour la même action qui m'a perturbé. Obligé de passer outre pour avoir ma dose de bravoure et de sang.
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Space Marine Battles 02 : Helsreach

Je cherchais à entrer dans cette série ( interminable et très structurée ) , aux innombrables tomes , par une porte dérobée . Je me suis donc engouffré ni vu ni connu , dans cet univers par un sous-cycle , celui des « space marines battles « et notamment celui des batailles de l’Astartés .



Fin limier de SF , j’ai choisis un texte avec unité de lieu , de temps , avec donc un texte circonscrit dans le temps ( quelques mois ) et dans un lieu , une planète assiégée .

Je me suis dit que j’avais plus de chances d’y comprendre quelque chose . Effectivement c’est accessible sans problème à un lecteur qui ignore tout du cycle .. , mais bon , pourquoi ne pas avant cette incursion , lire une ou deux bafouilles qui présentent l’univers ?



Sinon c’est une franchise , cela veut dire des auteurs différents et nombreux aux grès des volumes et de très importantes contraintes pour ce qui de la trame narrative des textes ( formes , structures et fond ) .



Dans cette série , il y a des formules clefs et des énoncés percutants , contraints , figés et récurrents qui martèlent le sens , c’est assez hypnotique , et réplétifs .

C’est la raison pour laquelle je suis assez ( complètement ) réticent à la lecture de l’intégralité des textes qui arpentent cet univers riche à l’histoire dense et épaisse , mais scandée constamment donc , par des phrasés assez rituels et totalisants .



Bon alors , l’auteur de ce volume écrit bien , des descriptions au poil , un grand talent pour déployer ce qui est scénique , des personnages assez complexes et fonctionnels , un sens de la grandiloquence épique incontestable , en même temps qu’un très bon rendu des contraintes stratégiques et tactiques inhérentes à la nature d’un siège . Des contraintes qui sont inhérentes à une position de siège « en soi « et a des stratégies défensives , qui découlent de vérifiables contraintes tactiques quasiment théoriques avec lesquelles il faut composer avec art et nécessité .



L’espace arpentés par les personnages est facilement maitrisé par le lecteur , de même que les enjeux tactiques et symboliques qui lui sont affairant …

L’immensité du champ de bataille est assez sublime pour ce qui est de sa portée épique et dimensionnelle , et sa réduction progressive par étapes crédibles et intelligentes à une peau de chagrin , est absolument dynamique .

Le chemin qui mène le lecteur à franchir les paliers qui conduisent aux derniers carrés est absolument scandé , rythmé et dramatisé à la perfection .



L’univers est globalement solide et il possède une très forte identité .

Les personnages centraux de cet univers appartiennent à des ordres militaires . Le vocabulaire affiche donc un caractère très en rapport avec la chevalerie ou les ordres combattants et qui peut éventuellement casser les roubignoles de certains lecteurs … à force …

Mais bon , pas trop parce que l’on comprend vite que ce vocabulaire très connoté , renvoie en fait à d’autres réalités que celles de la chevalerie médiévale , malgré des analogies structurelles et fonctionnelles très fortes .

Et finalement cela débouche sur une sémiotique assez agréable au final , avec un usage ponctuel de termes latins de manières intelligentes , s’il vous plait ! : ...



C’est un univers ultra-technologique où la réalité dans ses aspects variés est pratiquement systématiquement augmentée . Cette donne est rendue par la complexité des corps sociaux , des organismes et des stratifications sociales très ramifiées .

Par exemple et c’est assez bien exploité , l’accès aux machines est codifié et mise en œuvre par une valse de procédures et de rituels qui ensembles garantissent et conduisent à la fonctionnalité des machines qui dès lors , consentent à fonctionner car correctement sollicité par des prêtres , des techniciens et des servants souvent lobotomisés ou bien redéfinis génétiquement parlant pour un usage spécialisé . C’est assez agréable comme problématique culturelle parce que c’est faussement magique et cela renforce chez le lecteur la perception d’un paysage culturel spécifique .



Dans cet univers les standards éthiques et moraux sont sans dessus dessous . Ils sont souvent révoltants et inadmissibles à l’aune de notre propre système de valeur ( du moins je l’espère , car des fois l’actualité et l’histoire contemporaine , nous font singulièrement douter ) ) . C’est une société totalitaire et complexe en guerre totale face à un ennemi implacable , irréductible , absolument étranger ( non humain ) et impitoyable . Des ennemis qui frappent violement une société autocratique violement inégalitaire , par nature , par volonté et par nécessité .



Bref , j’ai passé un moment agréable dans ce roman de guerre qui est un texte de qualité incontestablement .

Si d’aventure vous vous offusqueriez ( du point de vue de la crédibilité romanesque ) , de voir des éclopés décimés chanter victoire dans un champ de ruines , et bien vous auriez tort , et il faudra urgemment lire beaucoup d’histoire militaire pour combler vos lacunes ( sourire ) .



Un bon roman du début à la fin , malgré les lourdes contraintes qui découlent d’une histoire sise dans un univers franchisés très typé …

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Les Fantômes de Gaunt - Nouvelles : Les Mondes..

Une plongée dans l'univers WH40K à la sauce Abnett.



Avant toute chose, rendons à César ce qui appartient à César. Les Mondes de Sabbat est un recueil de 8 nouvelles écrites par 7 auteurs différents dont Dan Abnett qui préface l'ouvrage et présente rapidement chaque nouvelle et auteur.

Bien que paru avant Seule la mort (En France pour des problèmes de droit), il devrait être lu après.



On notera que Gaunt n'apparaît que dans les nouvelles d'Abnett. Les autres, sans rapport entre elles font intervenir d'autres personnages. Les mondes de sabbat (inventés par Dan Abnett dans l'univers de WH40K pour Gaunt et ses fantômes) se compose donc de :



Le credo de l'apôtre par Graham McNeill où l'on suit une escadrille d'élite tirée de Double eagle. Excellent. Abnett n'avait pas fait mieux dans son livre.

La pierre tombale et les rois de pierre de Matthew Farrer, où l'auteur s'intéresse aux machines de malheur employées par Asphodel l'Héritier dans nombre d'histoires des Fantômes de Gaunt et notamment dans Necropolis. Une nouvelle un peu brouillonne que je n'ai pas aimée.

Régicide de Aaron Dembski-Bowden, un addendum passionnant à l'histoire du maître de guerre Slaydo et aux révélations qui doivent être faites dans « le pacte du sang » (dernier fantôme de Gaunt devant paraître en france en avril 2013).

L'étoile de fer d'Abnett où ce qui arrive après le dernier carré de Seule la mort (d'où l'intérêt de le lire avant). Un bon moment.

Cellule par Nik Vincent où le thème de l'occupation (notamment développé dans le cycle des égarés et son premier tome : Le traître. On n'est pas sur Géréon et j'ai trouvé cette nouvelle sans intérêt.

Sang bleu par Nikc Kyme où l'on retrouve le 50ième Volponiens, fameuse épine dans le pied de Gaunt dans les premiers tomes de la sage. Un très bon moment passé avec ces hommes.

Quelqu'un de bien par Sandy Mitchell où l'altrisme soumis à condition. Une petite et sympathique enquête policière dans les ruines de vervun après l'attaque des Ferrozoïcan (voire Necropolis).



Et enfin : De Leur Vie Dans les Ruines de Leur Cité par Abnett. Une histoire dans la continuité des Fantômes de Gaunt dont L'auteur lui-même n'a rien voulu dire dans sa préface. J'en ferai donc de même sauf pour vous dire qu'elle est de qualité.



6 nouvelles appréciées sur 8. Un bon score pour ce recueil qui mérite toute notre attention.
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L'aigle et le marteau : Icônes de Warhammer

Ce volume présente plusieurs personnages récurrents de l’univers Warhammer 40.000 et de l’univers médiéval fantastique de Warhammer – Age of Sigmar.



Riche idée qui donne à voir quelques personnages iconiques, des “gentils” et des “méchants, dans différentes séries d’histoires, mais sans être exhaustive. Chaque début de chapitre nomme l’auteur, le personnage présenté et son statut. A la fin il y a le titre du livre dont l’extrait est tiré.



J’ai pu apprécier les différentes manières des auteurs de s’immerger dans les univers et à travers les âges ! Vu la complexité j’aimerais que ce genre de recueil continue à être édité et qui présenterait les diverses séries avec une chronologie.



Je me suis régalée de l’imagination sans borne des auteurs, mais il est préférable que les âmes sensibles s’abstiennent c’est très sanglant et rempli de monstres plus atroces les uns que les autres dans les 2 univers.



Age of Sigmar m’a suffisamment accrochée pour me donner envie d’en poursuivre la lecture, étant déjà fan de Warhammer 40.000.



#LAigleetleMarteauIcônesdeWarhammer #NetGalleyFrance



Challenges MAUVAIS GENRE 2021

Challenge PAVES 2021
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L'hérésie d'Horus, tome 41 : Le Maître de l'Hum..

Un livre sur l'empereur de l'humanité et les custodes, voilà un roman dangereux pour un auteur spécialiste des méchants de 40k. Des attentes, avec ce nom tu ne peux qu'en avoir en tant que fan de cette franchise. Ce livre est bourré de révélation sur l'empereur, sur ses idées, sur ses projets, sur ses pouvoirs mais aussi ses ambitions et son orgueil très dictatorial et pourtant il garde encore tout son mystère sur ses origines, encore énigmatique sur certaines choses sur le warp. Il explique aussi pourquoi l'empereur n'a pas pu agir pendant l'hérésie. C'est un livre qui donne un sentiment de fin proche pas seulement pour l'hérésie, mais aussi pour l'humanité tout entière.



Les protagonistes se présentent sous la forme des custodes Ra Endymion et Dioclétien Coros, ainsi que d'Arkhan Land, technoarchéologue de Mars et Zephon des Blood Angels. Il y a beaucoup d'autres personnages qui retiennent l'attention tout au long de l'histoire, mais ceux-ci m'ont semblé être les plus importants et les mieux développés. Cependant, les gens qui s'attendent à ce que Constantin Valdor, Rogal Dorn ou Malcador aient un impact ici seront sûrement déçus. Le roman parle aussi du mechanicum exilé et des sœurs du silence ou encore de chevaliers impériaux et de l'Ordo reductor mais eux c'est plus pour la baston.



Le début commence par développer la menace qui planent sur la toile, les custodes et l'empereur avec des flashbacks. Ce roman, c'est l'histoire de l'empereur qui perd son rêve d'un univers sans warp, d'un empereur qui voit en ces fils des outils buveur de gloire, qui sacrifie beaucoup pour arriver à ses but. Mais aussi des custodes, qui doivent mieux comprendre les ennemis de l'empereur pour le protéger, leur étrange unité individualiste. On comprend mieux ces décisions (sans pour autant les respecter) sur Magnus, Lorgar ou Angron. Il ressemble plus à un homme qu'à dieu ici.



Ce livre va finir sur une bataille épique dans la toile dont on connaît déjà le résultat tragique, de toute manière la retraite on en parle depuis le début du livre. L'un des principaux problèmes de ce livre, c'est qu'il a été écrit par quelqu'un qui déteste l'empereur et les loyalistes, alors dans ce livre vous allez voir un empilement de scènes détestables. La scène avec Angron, le premier sacrifice qui fait alimenter le trône d'or mais aussi le fait qu'ils disent qu'il n'y a aucun espoir, que l'empereur n'a aucune solution pour le après.



Pour commencer, cela rend tout assez ennuyeux. Si une seule FACTION a déjà gagné, sans que rien ne vienne l'arrêter, à quoi ça sert de s'y investir? Vraiment, aussi condamné que puisse paraître l'humanité dans Game of Thrones et même dans les Mythes de Lovecraft, il y avait toujours moyen de contourner ces problèmes. Dans le cas du premier, il y a encore assez d'espoir que le vieil ennemi de l'humanité puisse être vaincu, tandis que le second est aidé par le fait qu'il existe quelque chose pour le contrer. Même les gens dans Battlestar Galactica , une série sur la survie quand tout espoir était perdu, évitaient de dire "Les Cylons vont perdre à long terme", car cela détournerait tout investissement du spectateur.



le livre souligne à maintes reprises à quel point l'empereur est imparfait, défaillant et mortel, probablement comme une subversion du mysticisme derrière lui. Cependant, comme il continue de marteler des faiblesses et des faiblesses, parce qu'il continue de se concentrer sur ses traits les plus négatifs tout en évitant les thèmes potentiellement plus prometteurs, il devient aussi exaspérant qu'intéressant. L'interprétation ici est celle d'un extrémiste à l'esprit étroit qui échoue toujours et qui ferait n'importe quoi pour que ses rêves se concrétisent. Selon cela, l'empereur considérait ses fils comme rien de plus que des armes, sacrifierait n'importe qui et n'importe quoi pour son bénéfice personnel. Et pour les custodes, c'est juste des paranoïaques prêt à tout pour sauver leur maître.



Un autre problème c'est aussi la toile, Warhammer est un décor avec d'innombrables lieux étranges, merveilleux et carrément dérangeants, où l'esthétique napoléonienne peut se fondre dans les terreurs néolithiques et les créations d'un futur lointain. Qu'il s'agisse d'un monde stable et civilisé ou du tombeau endurant d'une planète saluant les puissances ruineuses, il peut toujours se démarquer. La toile ici, cependant? C'est pratiquement rien de remarquable. Alors que quelques commentaires sont proposés sur l'architecture de ses anciens maîtres et quelques perspectives impériales intéressantes sur la chute de l'empire Eldar, la toile semble presque banal.



Cela n'a rien de vraiment étranger, rien qui puisse sembler dérangeant, irréel ou même d'un autre monde, et bon nombre de ceux-là réagissent simplement avec une attitude de "Oh, nous nous battons ici maintenant". Même ceux qui arrivent tardivement à la guerre ou qui manquent de la discipline extrême des Custodes ne montrent aucun intérêt, mis à part un intérêt modéré, et c'est une déception majeure pour un champ de bataille aussi unique.



Mais franchement, entre les dialogues de sagesse de l'empereur et les batailles de chevaliers et de titans, de démon, de custodes et de sœur du silence, les magnifiques révélations et l'aspect tragique de la situation, tout ceci fait que je met 5 étoiles, j' aurai surement du en mettre que 4,5.
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L'hérésie d'Horus, tome 24 : Félon, du sang pou..

Un roman magistral qui surmonte le défi de rendre "humains" les sanguinaires et sauvages World Eaters, et de développer une trame crédible, bien construite et passionnante.



Ce vingt-quatrième roman de la série Horus Heresy s'inscrit dans le cadre de la Croisade des Ombres et les événements autour de l'assaut contre Ultramar par les Word Bearers. Et autant le dire d'emblée, Aaron Dembski-Bowden a largement réussi son pari plus qu'ambitieux de faire des World Eaters autre chose que des brutes sanguinaires. On retrouve ici Argel Tal, personnage principal du roman "Le Premier Hérétique", du même auteur (HH14), aux côtés d'un Kârn pas encore surnommé "Le Félon". A leurs côtés, rien moins que les primarques Lorgar et Angron, mais aussi la légion titanique Audax, Erebus ou Lotara.

Les descriptions de combats sont réalistes et donnent l'impression d'y être à la troisième personne. Aaron Dembski-Bowden sait vraiment capter l'atmosphère du champ de bataille et en recréer une pour ses lecteurs! Il a également très bien rendu l'esprit de la légion des Worlds Eaters.

Ce roman est tout simplement excellent, et se dévore sans compter les pages. Un must-have pour tout afficionado de l'Hérésie d'Horus!
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L'Hérésie d'Horus - Le siège de Terra, tome 7 :..

Allez, vite la fin.

Ici, seules quelques scènes méritent notre attention et nous tiennent en haleine et sont sublimes.

Deux grands duels fratricides, un joli focus sur les bloods angels et leurs jumeaux maudits les worlds eaters.. des discours poignants... la fin du siege est proche.

Dans le style, encore une fois, c'est poussif. Un style lourd sans nécessité. C'est dommage.

Allez dan abnett pour les deux derniers tomes maintenant.
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L'hérésie d'Horus, tome 41 : Le Maître de l'Hum..

Pas le pire lu, mais pas le plus mauvais.

On suit ici ce qu'il se passe sur un champ de bataille ou les custodes, les soeurs du silence et le Mechanicum directement relié par le portail de la Toile à la salle du Trône d'Or contrôlé par l'empereur lui-même !!! Une bataille décisive sur l'avenir de l'Imperium.

L'histoire est importante mais il nous manque pas mal d'éléments. Les auteurs de l'univers Warhammer 40K parfois se mettent à écrire dans un style pompeux ou les traductions et les termes scientifiques parfois inventés rendent les descriptions et le suivi de l'histoire confus alors qu'on s'en passerait bien.

On aime cet univers, c'est pour ça qu'on lit dessus. On veut des récits, des actions, des sentiments.

Dans cet opus, si les descriptions des montres du Warp, c-a-d du chaos étaient simplifiées, tout comme les "pensées" d'un robot, on gagnerait en temps de lecture et en suivi de l'histoire. En gros un style qui ne facilite pas toujours, qui s'attarde sur ce dont on se passerait bien et qui va trop vite là ou on souhaiterait plus d'informations contextuelles.

Et on n'arrive pas à s'attacher aux personnages. C'est dommage car il y avait un vrai potentiel !!

Car enfin ici, on touche au coeur du coeur de l'empire et des projets de l'empereur. Et pourtant, il semble qu'il nous manque encore des infos.

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L'hérésie d'Horus, tome 31 : L'Héritage de la t..

» 17 nouvelles dans l’univers Warhammer 40K . Elles se situent à des moments divers de la saga « L’hérésie d’Horus » et concerne divers épisodes survenus après la trahison . Certains en sont très proches (Veritas Ferrum/Frapper et disparaître/) et directement liés à Isstvan , d’autres beaucoup plus lointains et périphériques , voire anecdotiques. Les chapitres concerné sont variés White Scars (La confrérie de l’orage),Iron Hands (Veritas Ferrum/Tiraillé/) Salamander (Veritas Ferrum/Frapper et disparaître/)Ultramarine (Honneur aux morts/La marque d’infamie ) World Eaters.(Les clous du Boucher/ Le chemin à huit branches) Word Bearers.(Les clous du Boucher/La marque d’infamie)Space Wolwes(La Griffe du Loup/Loup solitaire) Thousand Sons(Les voleurs de révélation) Emperor's Children(Lucius la lame éternelle) .A remarquer un nouvelle avec Horus comme seul personnage (Maître de guerre) .Pas désagréable mais inégal.
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L'hérésie d'Horus, tome 22 : Les ombres de la..

Un vingt-deuxième tome qui vaut surtout pour les deux nouvelles mettant en scène les Imperial Fists au cours de la bataille de Phall, et les Night Lords dans la campagne de Thramas.



J'ai surtout retenu cette dernière ("Prince of Crows", je ne sais pas quel est le titre retenu en français, l'ayant lu en VO), mettant en scène un Sevatar noble dans sa fourberie et chevaleresque au milieu des pourritures qui forment sa légion, au premier rang desquels son Primarque, Konrad Kurze.



Le divertissement est bien présent, et le format novella est décidément beaucoup plus agréable que le format roman, preuve qu'il n'y a pas besoin d'amener un événement pendant 450 pages pour le résoudre en 20...
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Night Lords - La Trilogie

Une trilogie consacrée aux seigneurs de la Nuit et de la Terreur!



Trois romans, deux novellas, cet omnibus est bien fourni pour quiconque est fan des Night Lords. Et j'ai adoré suivre les actions de cette bande si disparate mais aussi, bizarrement, plus "humaine" que d'habitude. Le grand talent d'Aaron Dembski-Bowden est de développer la personnalité de ses personnages jusqu'à leur donner une épaisseur qui les rend réalistes, et nous fait apprécier les plus grands salopards de la galaxie, qu'il s'agisse de Night Lords comme ici, ou de Word Bearers comme dans Le Premier Hérétique ou dans Félon, dans la série Horus Heresy.



Les Night Lords sont des pirates et des pillards, et c'est très bien rendu dans cette trilogie, avec des assauts de vaisseaux très bien décrits et menés. On visite la galaxie en compagnie des night lords avec plaisir, des restes de Nostramo errants dans l'espace intersidéral jusqu'aux confins de l'espace connu, sur Tsagualsa, en passant dans le Maëlstrom devant Huron Blackheart lui-même.

On suit Talos, un astartes hanté par le sentiment d'échec face à l'Imperium et par l'amertume de ce qu'est devenue sa légion, qui n'est plus que l'ombre d'elle-même après dix mille ans de Longue Guerre où jamais les légions traitresses n'ont semblé progresser contre l'Empereur. Pire, les machinations d'Abaddon n'ont fait que diviser encore plus des légions déjà divisées, comme le montre très bien le premier roman.

Talos évolue au fil des romans et devient son propre maître, avec des ambitions retrouvées et mises en œuvre dans le dernier volet de la trilogie. Tsagualsa devient l'épicentre de son plan pour redorer le blason sanglant des Night Lords et peut être ressouder la Légion autour de ses grands projets.



Sans en dévoiler trop sur l'intrigue, cette trilogie est une véritable réussite. La mélancolie de Talos tranche avec le réalisme de ses comparses, et crée un contraste vraiment intéressant tout au long de la lecture. Le final est parfaitement réussi, et l'épilogue nous montre un avenir potentiel pour lequel on se prend à attendre des développements (qui ne viendront jamais, malheureusement, parce que la Black Library suit les changements opérés par Games Workshop...). Non seulement les personnages progressent, mais avec eux, progresse également la situation générale dans laquelle ils évoluent: on ne lit pas un ensemble de texte "one-shot" sans aucun lendemain.



Un excellent moment de lecture!
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L'hérésie d'Horus, tome 14 : Le Premier Hérétiq..

Continuant la saga de l'hérésie, mon choix s'est cette fois-ci porté sur "le premier héhétique" qui se penche sur un chapitre ô combien important dans la saga: les Words Bearers.

Présent depuis le premier tome avec la présence du chapelain Hérébus, cela faisait longtemps que l'on attendait de voir comment ce chapitre et son primarque, Lorgar.

Et c'est encore une fois par le biais d'un spectre particulier que cette légion va se tourner vers le chaos. La recherche de foi et de nécessité d'une présence supérieure et l'émotion humaine. Les words Bearers incarnent la légion presque la plus humaine. Ils ont toujours colonisé des mondes en laissant derrière eux une présence de culte voué à l'Empereur-Dieu. En prenant le temps de rester pour convertir . Ce sont eux, bien avant l'hérésie qui ont déclaré l'empereur comme être supérieur de par la vision de Lorgar.

Et pourtant, on a vu déjà dans plusieurs autres tomes de la saga la création de ce culte de par le "lectio Divinatus", un héritage laissé déjà par des words bearers...

S'ils n'ont plus le droit d'avoir foi en l'empereur, la trame de ce livre et donc la quête de Lorgar et de sa légion est simple: à qui voué leur foi ?

Bien sur nous connaissons la réponse. Mais c'est la manière qui nous intéresse. Et l'auteur nous présente donc cette histoire par le personnage d'Argel-Tal qui incarne à lui seul le processus de descente aux enfers.

Lorgar est un primarque qui m'a surpris. Je ne pensais pas le découvrir si humain. Et c'est ça qui l'a conduit vers le chaos. Son humanité et ses sentiments.

J'aurais aimé en apprendre plus sur hérébus et ses manigances auprès d'horus. Revoir toute cette période de manipulation par ses yeux. La mise en place du plan de Lorgar et de l'envoi de ses chapelains disséminer leurs idées auprès des loges de plusieurs autres légions et ainsi faire d'Horus leurs champions.... à continuer... On s'étonne aussi de la facilité avec laquelle tous suivent Lorgar dans ce chemin sans jamais, ou très peu remettre en question ce qui leur arrivent...

Un tome nécéssaire et qui se lit agréablement, quelques informations en plus et il aurait été parfait.
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L'hérésie d'Horus, tome 22 : Les ombres de la..

7 nouvelles dans l’univers de Warhammer 40K et dans le cycle de l’hérésie d’Horus. Des évènements directement liés au moment de la trahison ( Le poing écarlate /Le vol du corbeau) d’autres pendant le siège de Terra (La Tour foudroyée) . Plusieurs ont pour centre Konrad Curze et sa légion (Le roi sombre/Le Prince des corbeaux) Bonne qualité d’ensemble.
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L'hérésie d'Horus, tome 14 : Le Premier Hérétiq..

Ce gros volume est important :il met en premier plan Lorgar et ses Fils Word Bearers .Punis par l’Empereur pour avoir transgressé l’athéisme militant de la Grande Croisade , leur sentiment d’humiliation ouvre la voie à la sournoise infestation des forces du Chaos. Bien avant la dissidence d’Horus nous en découvrons les prémices dans un roman assez passionnant.Je trouve le personnage d’Argel Tal le possédé que l’on retrouvera plusieurs fois ,particulièrement intéressant.
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Night Lords, tome 1 : Le chasseur d'âme

Critique valable pour les tome 1/2&3



Le chasseur d'âme est le premier tome de la trilogie de SF militaire dans l'univers grimdark de Warhammer 40000. Trilogie qui est consacrée à la légion space marine hérétique des nights lords (une de mes légions préférées avec la death guard et les emperors childrens).

Nous y suivrons principalement le prophète Talos et son unité ainsi que ses deux esclaves humains. L'histoire débute bien après l'hérésie d'horus et la mort du primarque de la légion Conrad Curze en M41.



Nous suivrons donc cette « fine équipe » a bord de leur vaisseau le « covenant of the blood » ainsi que dans leurs missions.

J'ai lu pas mal de romans dans l'univers de warhammer 40000 et je dois dire que celui-ci est dans le top 5.

Même si on y suis des hérétiques, ont s'aperçoit vite qu'ils ne sont pas tous des fou furieux sanguinaire rongé par les puissances du chaos. Talos est conscient de ce qu'il est, conscient de la ruine de sa légion et de la plupart des autres. Conscient que les hérétiques n'arriveront jamais a réaliser le rêve qu'avait Horus de faire tomber l'empereur mais malgré ça il continu a ce battre. Car il ne lui reste plus que ça.



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The Horus Heresy Primarchs : Les fils de l'..

Les Fils de L'Empereur



Les Fils de l'Empereur est une anthologie de huit nouvelles (heureuse coïncidence : )), chacune se focalisant sur un Primarque (dans l'ordre : Sanguinius, Konrad, Vulkan, XXX, Perturabo, Angron, XXX et Horus).



Comme souvent avec les recueils de nouvelles, toutes ne sont pas de la même qualité, mais toutes ont le mérite d'apporter un nouvel éclairage sur les forces en présence, mais aussi d'humaniser certains personnages, ou, au contraire, de renforcer le côté salopard d'autres.



Voici un bref synopsis de chaque nouvelle :



Un Ange Passe

Avant l’Hérésie. Nous accompagnons Sanguinius avant un assaut planétaire particulièrement difficile. A tel point que les Destroyers et leurs terribles armes au Phosphex doivent être déployés. Cette débauche de destruction en arrive à faire douter le Primarque quant au bien-fondé de la Grande Croisade et des moyens mis en place pour pacifier les mondes.



Le Gouffre Abyssal

Avant l'Hérésie. Un ancien pilote réaffecté aux archives de la VIIIe Légion se rend compte qu'un rapport de mission les impliquant avec les Thousands Sons est manquant dans ses archives, mais pas dans les leurs. Après la lecture accablante du rapport de la XVe Légion, il décide de mener sa propre enquête pour comprendre ce qu'il s'est passé.

Après avoir rejoint le Nightfall, le vaisseau amiral des Night Lords, ce sera Sevatarion, le 1er Capitaine, qui viendra lui apporter les réponses qu'il demande. Mais comme toujours, la vérité demande un sacrifice.



La Compassion du Dragon

Avant l'Hérésie. L'Empereur arrive sur Nocturne, et tente de convaincre Vulkan de rejoindre la Grande Croisade. Ce dernier hésite, car il se considère comme un artisan et non comme un chef de guerre. L'Empereur va lui expliquer en quoi il est différent des autres Primarques.



L'Ombre du Passé

Pendant l’Hérésie. L’histoire se déroule sur Sicarus, une planète conquise par les Word Bearers sur laquelle un groupe de Légionnaires est chargé de gérer la construction d’édifices. Rapidement, les Word Bearers vont mourir un par un, tués par une « ombre ». Pensant que les esclaves ont invoqué un démon, les survivants vont demander de l’aide à Lorgar pour gérer cette menace surnaturelle.



L'Architecte de l'Empereur

Avant l’Hérésie. Dans cette nouvelle, nous suivons un couple de biographes chargés d’écrire les biographies des Primarques. La nouvelle les amène sur Olympia, le monde de Perturabo. Au fil de leur recueil d’information et de témoignages concernant le Primarque, le duo va commencer à se diviser : l’un voulant relater et consigner la vérité, aussi laide soit-elle, là où l’autre ne souhaite garder et embellir que la « Vérité Impériale ».



Prince de Sang

Pendant l'Hérésie. Après avoir été trahis et abandonnés par les Word Bearers, les World Eaters ainsi que l'équipage se trouve en proie au Conqueror, mutant sous l'influence d'Angron. Cette nouvelle met une nouvelle fois en scène Khârn et Angron dans la soute du Conqueror. La relation (ou son absence) qui lie Angron à sa Légion est développée plus en profondeur. Nous y apprenons également pourquoi la Légion va se vouer à Khorne.



L'Ancien Attend

Après l'Hérésie. Un mystérieux signal est capté par Magnus le Rouge. Celui-ci va dépêcher un groupe de Thousand Sons pour en localiser la source et en apprendre le plus possible. Leur périple les amènera sur une planète désolée où ils rencontreront un vieux frère qui attend sa vengeance.



Aberrant

Avant l'Hérésie. Les Sons of Horus sont chargés de pacifier un système, et tout se passe sans encombre. Lorsqu'une poche de résistance humaine est décelée, Sejanus est envoyé pour résoudre le conflit. Alors que l'affrontement s'éternise, le Maitre de Guerre vient en personne lui prêter main forte contre un ennemi qui n'est pas ce qu'il prétend être.



J'ai pour ma part beaucoup aimé le Gouffre Abyssal (pour la dualité des idées Konrad/Magnus), L'Architecte de l'Empereur (pour la vision de la propagande Impériale), le Prince de Sang (pour l'écho à « Après Desh'ea » et l'amour d'un fils à son père) et L'Ancien Attend. Même si cette dernière est dispensable et inutile, j'ai passé un bon moment à la lire. Le reste n'a, au final, que peu d'intérêt.

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Les Fantômes de Gaunt - Nouvelles : Les Mondes..

8 nouvelles dans le monde de Warhammer 40k .Elle s'insèrent (plus ou moins) dans une de mes sagas préférées "Les Fantômes de Gaunt" et sont écrites par plusieurs auteurs. Je n'ai pas trop aimé "Le crédo de l'apôtre" ,j'ai eu l'impression de relire "Le Grand Cirque" de Pierre Closterman à la sauce SF. Deux nouvelles sortent du lot , bien entendu celles du Boss Dan Abnett car elles viennent combler des trous dans la saga et montrer de nouveaux points de vue sur ce cher Ibram. Bilan moyen donc mais lisible.
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L'hérésie d'Horus, tome 31 : L'Héritage de la t..

Anthologie avec du très bon et du très inutile:

La confrérie de l'orage 4/5 Je ne suis pas un grand fan de White Scars; cette histoire et le tomes 28 ont changés cela. J'ai apprécié les points de vue différents (intérieur et extérieur à la légion) et la façon dont chacune a permis de comprendre un peu la V Légion . Avec bien sûr, les liens forgés dans la bataille entre les différents frères de la Légion, avant que ces liens ne soient rompus par la trahison et la méfiance. Il compte plus de 120 pages, avec de très bonnes actions mais sans grand rebondissement .

Serpent 2/5 Ce micro-serpent de John French, qui est un très bref aperçu d'un rituel du Chaos exécuté par un prêtre de l'un des cultes davinites. Trop court. J'ai seulement commencé à ressentir l'atmosphère chaotique à la fin de l'histoire.

La lune du chasseur 4/5 Celui-ci raconte à la première personne ce qui se passe lorsqu'un légionnaire de Space Wolves s'écrase sur un monde sans importance et est sauvé de la mort par des mortels. Le pêcheur Tidon est un merveilleux narrateur qui raconte au public le sort final de l’équipe Space Wolves envoyée à la Légion Alpha pour la surveiller. J ai plutôt bien aimé pour ma part.

Veritas Ferum 4/5 Un merveilleux prélude à la damnation de Pythos, intense et plein d'action. Aussi bref que cela puisse être, cette histoire vous jette à bord du navire Veritas Ferrum et il n'y a nulle part où aller.

Tiraillé 5/5 Je trouve cette histoire très inhabituelle et inquiétante, ce qui est exactement ce que je recherche dans les HH/40k. De retour sur Terra, le premier capitaine Sigismund des Imperial Fists demande l'aide d'un guerrier Iron Hands pour rechercher les survivants du massacre. Il est astucieusement réalisé et met en évidence le froid et le désespoir des Iron Hands après les trahisons d’Isstvan et la mort de Manus avec un super concept.

Frapper et disparaitre 3.5/5 Les Salamandres se vengent ... et rien d autre.

Honneurs au mort 6/5 Je lui donnerais bien plus d'étoiles si je le pouvais. Titans, Calth, Ultramarines et civils. Il était étonnant d’avoir quatre perspectives différentes, en particulier celles des citoyens ordinaires de Calth. Bien joué.

Les clous du boucher Nous obtenons une description très claire de la manière dont ces clous affectent réellement l'Ange Rouge et sa légion, il y a beaucoup de préfigurations, un changement dans le personnage de Lorgar par rapport au premier hérétique. ET la féroce Lotara Sarrin, l'un des meilleurs personnages humains de HH! C'est fascinant de voir la relation entre Angron et Lorgar, sachant ce qui se passera ensuite. La dynamique entre Kharn et Argel Tal, qui traverse déjà une triste transformation. Magnifique ajout à Félon.

Maître de guerre 3/5 Trop court

Kryptos 4/5 Raven Guard et Iron Hand rencontre Mission Impossible

La griffe du loup 2.5/5 Space Wolf vs Alpha Legion et ... que ça et en plus l action est pas super

Les voleurs de révélations 5/5 Ahriman et Magnus qui discute, une scéne excellente, immersive et obsédante, me donne hâte de lire le roi écarlate.

La parole divine 4/5 la Garde Impériale de Therion est en action, agréable bataille.

Lucius, la lame éternelle 5/5 Lucius mais quel BADASSITUDE.

Le chemin à huit branche 4/5 Après les événements de la croisade des ombres, nous voyons Kharn dans les fosses de combat. Juste un peu moin court et c était mieux.

Gardien de l'ordre 2/5 Retour sur Caliban et bien trop court

Le Coeur du Conqueror 5/5 Regard intéressant sur les astropathes chez les traîtres. J ai adoré

La marque de l infamie 4/5 Ce n’est pas comme si nous avions besoin d’autres histoires de Calth, mais celle-ci m’a plutôt plu. Thiel est de retour et fait ce qu'il fait de mieux. Être insubordonné.

Loup solitaire 4/5 Court mais assez bon

A part le prix en version papier, c est un recueil assez bon.
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Night Lords, tome 2 : Le pilleur de sang

Ce roman situé dans l’univers de Warhammer 40 000 met en scène des super super méchants , en l’occurrence les Night Lords (référence parlante pour les fans) . Ce n’est pas si facile de construire une intrigue avec des méchants . L’auteur y arrive en les confrontant à des « hyper »méchants et aussi à leur propre passé car ,contrairement aux nains qui ont commencé petits, les méchants furent bons en un temps Bref, ce roman mérite la lecture (et j’attends sa suite avec intérêt).
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L'hérésie d'Horus, tome 24 : Félon, du sang pou..

Un nouveau volume de « l’hérésie d’Horus » dans l’univers de Warhammer 40 000. Celui est vraiment un spécial « Gros Bourrins » ,consacré aux plus massacreurs des Astartes et qui ,ô paradoxe succulent , en montre l’humanité (résiduelle) sinon « Du sang pour le dieu du sang ! » comme le dit si bien leur chef (pas Poutine ,Angron !) .A lire si votre supérieur hiérarchique ,ou vos parents,ou vos enfants, ou nos gouvernants vous énervent…
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