Akeji Fujimura

A la fin du tome 2, on quittait les survivants de cette grande tuerie sur une grande place avec un paquet de Manneken Peace au regard froid. Dans ce troisième tome, de nouvelles épreuves attendent les jeunes mais ils devront aussi apprendre à se connaitre. Amaya semble toujours être un violent timbré, Shun, lui, arrive à comprendre certains mécanismes du jeu.

Le déroulement de l’épreuve est aussi violent que les précédentes épreuves. Qu’est-ce qui va attendre les joueurs dans le prochain tome ? Le jeu est-il fini ? Qui se cache derrière ce grand survival game ? Malgré un scénario au suspens variable, le quatrième et avant-dernier tome devrait tenir ses promesses. Je suis curieuse de voir ça !

Un manga qui commence fort, dès la troisième page, le ton est donné : ça va dégommer. Shun Takahata s’ennuyait comme d’habitude en cours quand soudain, la tête de son professeur explose et une tête en forme de balle en sort… Le « jeu » commence.

Si vous êtes sensible (aux scènes de violence), ne lisez pas ce manga. Les morts s’accumulent plus vite qu’on peut l’imaginer. Un peu dans le genre « Battle royale » mais en plus rapide. Cette mini-tête, le « daruma » donne des ordres assez étranges puis une nouvelle épreuve s’enchaine : le jeu du chat et des souris. C’est assez spécial. Je ne sais pas quoi en penser… C’est un peu à la mode en ce moment ce genre de manga, King’s game, Battle Royale, Doubt… Les conclusions ne sont pas toujours heureuses. Cependant, la dernière scène est assez intrigante alors je me laisserai tenter.

Dernier tome de ce seinen. Les adolescents du pays passant des jeux, des épreuves dont la sentence en cas d’échec est la mort. C’est la dernière ligne droite : ils ont rencontré un homme qui se fait appeler Dieu et de nouvelles épreuves ont lieu : la fin de la qourse à pied et l’opposition. Shun veut arrêter ce Dieu meurtrier sans pitié ni remords. Va-t-il y arriver ?

J’attendais impatiemment ce dernier tome. Quel va-t-il se passer à la fin des épreuves ? On suit les jeunes lycéens qui donnent tout pour réussir, il y a beaucoup d’injustice, de coups bas dans ces deux derniers tomes. Ce manga est-il à l’image de notre vie ? Il y avoir de l’injustice, de l’impuissance, de l’incompréhension…

Parce que sinon… je n’ai pas compris où voulait en venir l’auteur, qu’est-ce qu’ont vraiment trouvé les deux hommes dans la maison de Dieu ? J’ai vérifié et revérifié, celui est bien le dernier tome. J’aime quand les histoires (romans ou autre) ont des fins construites, qu’il est possible d’expliquer. J’avoue que là… j’hésite encore entre la colère, la frustration d’une fin de cette envergure ou un questionnement sur ce qu’a voulu exprimer le mangaka. Il y aurait apparemment une saison 2.

Je reste ouverte à des échanges…

Le tome 3 se termine de façon assez inattendu. Pour Shun et les autres participants survivants, c'est enfin la fin. Dans tous les pays, les jeux finissent et les miraculés sont appelés « enfants de Dieu ». Après une période de deuil plus ou moins difficile selon chacun, le petit groupe de survivants se retrouvent à l'initiative de Shun. Ils ont tous beaucoup changé… A ce moment-là, les épreuves se terminant sur tous les cubes, ils sont de nouveau convoqués à une nouvelle épreuve…

Une part d'inconnue est tombée : on a enfin un visage à mettre pour connaitre le responsable de toutes ces horreurs. Cet homme se fait appeler Dieu et semble assez nonchalant. Une nouvelle épreuve est imposée aux joueurs : la qourse à pied (et non la course à pied). Ce « Dieu » paraît avoir un sens de l'humour assez particulier (voir aussi les arbitres…). En même temps, deux hommes essaient de savoir qui est réellement ce Kamimaro, ce « Dieu »…

Encore beaucoup d'hémoglobine dans ce tome même si dans certaines scènes sont seulement suggérés. le succès de Chris est aussi étonnant que grotesque. On dirait que l'auteur s'est amusé à faire un joyeux mélange. Je reste sceptique et attend le dernier tome pour connaitre le dénouement de cette série cruelle.

Après les épreuves du Daruma et du chat et de la souris, les élèves survivants des épreuves reprennent des forces dans un hôpital. Mais l'horreur reprend assez vite, des kokeshis, grandes quilles-poupées hilares (visibles en couverture), débarquent dans les chambres...

Je ne connais pas la culture des jeux japonais mais ces nouvelles épreuves semblent très enfantines, devinettes tournantes (connais pas l'équivalent d'un jeu français...?), corde à sauter... des jeux d'enfants... mortels. Sadisme et jeux d'élimination, on ne s'attache à personne s'il vous plait (sauf au héros ?). L'entraide sera bienvenue. Mais attention à Amaya qui paraît très violent...

La question qui se pose, leur survie mise à part est de savoir pourquoi ce jeu ? A suivre dans le tome 3 mais attention aux âmes sensibles...

Jeux d’enfants est encore un manga qui joue sur l’élimination d’une classe de lycéen de manière totalement horrifique par rapport à un jeu mortel. C’est le genre de série qui s’inspire allégrement des autres (à savoir notamment King's Game) pour n’apporter aucune part d’originalité que d’aller dans une surenchère gore.



Oui, c’est particulièrement efficace et le lecteur peut être pris au piège de ce jeu. Cela va vite et on n’a pas le temps de réfléchir. Idéal pour ceux qui n’ont pas beaucoup de neurones. Bref, on ne s’ennuie pas.



Mais au-delà de cela, on notera qu’il n’y a aucune part de génie et c’est le moins que je puisse dire. Même le graphisme est un peu en-dessous. On pourra vite oublier ce survival game d'autant que la fin n'apportera aucune réponse et que de la frustration en attendant une saison 2 ou un RE.

Un fort sentiment de gâchis mêlé de frustration. Le dénouement lui-même est à la limite de la mascarade. S’il pourra contenter les amateurs de twist prétendument audacieux, il ne manquera pas de décevoir ceux qui attendent qu’on leur raconte une histoire [...].
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On retourne dans ce cycle infernal de jeux où perdre équivaut à mourir. Avec son lot d’originalité, de stress, de coups bas entre concurrents, d’horribles stratégies... Survivre à tout prix... On retrouve donc ce qui a fait le succès des premiers tomes [...].
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Akû, le chasseur maudit est un nouveau seinen proposé par les éditions Pika qui sera en 5 tomes. FUJIMURA Akeji au dessin (Jeux d’enfant) et KANESHIRO Muneyuki au scénario (Jeux d’enfant, Billion Dogs et Jagaan) se sont associés pour nous livrer une histoire de l’ère préhistorique, plus précisément Paléolithique, où les hommes vivaient dans leur village et devaient chasser pour vivre. Un bon chasseur étant quelqu’un de bien vu. Un récit percutant, haletant, intéressant, prenant, avec un superbe graphisme, nos yeux s’y attardent. Mais attention, il reste réserver à un public averti, car certaines scènes peuvent être difficiles, sanglantes, surtout certains affrontements avec des bêtes. Ce premier tome est déjà très complet pour notre plus grand plaisir.

L’homme de la couverture est le père d’Akû. Il est intéressant et assez atroce de voir combien il était estimé dans son village, avant de s’y opposer, plus exactement de s’opposer à l’ancêtre qui dit que si son fils né lors de la lune rouge, il apportera le destruction, il devra donc mourir. Mais Dada, son père ne l’entend pas de cette oreille. Il est prêt à tout, et se voit donc proposer une alternative. Nous suivrons également la rencontre mouvementée de Dada et Lulu, un amour qui a apparemment eu quelques années pour s’étoffer. Malheureusement tout le village fera payer un prix très élevé à la famille d’Akû, le petit garçon né lors de la lune rouge. C’est triste de le voir se faire rabrouer, et rejeter. Mais les villageois ont peur à cause de ce que l’ancêtre a dit, et personne n’ose s’y opposer. Quel prix a payé Dada ? Y a-t-il eu des répercussions sur Lulu ? Comment Aku a-t-il évolué ? Comment gère-t-il le comportement des autres ? Rejeté par les autres enfants, mais il est en vie grâce à son père. Toute sa famille est courageuse, et fait au mieux, mais a payé un lourd tribut. Il leur faut quelque part autant affronté les leurs, les membres du village, que les bêtes féroces. Le lecteur peut aussi se demander qui est le plus monstrueux ? Il faudra une sacré volonté à Akû pour survivre. Surtout que dès qu’un problème arrive, il est le coupable parfait. A-t-il au moins des alliés ? Un graphisme et une histoire très prometteurs, et percutants, dans une époque très peu traitée en manga. Si vous n’avez pas le coeur trop sensible, c’est clairement à tenter.
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Une sorte de "Battle Royale" bien sanglant, pas crédible en version accélérée. On comprend confusément au milieu de la mêlée que le héros est un lycéen, Shun, qui s'ennuyait et s'ennuie moins maintenant que presque tous ses camarades et ses enseignants sont morts à cause d'un daruma et d'un chat. Quant à la morale de tout ça, je ne pense pas qu'il y en ait, mais le premier tome, même s'il se lit vite et si on n'a pas le temps de s'ennuyer vu que ça court et que ça tranche de tous les côtés, ne m'a pas donné envie de poursuivre la lecture de cette série. Ça tourne à vide comme un slasher médiocre, sans grande inventivité, mais de manière exagérée. Pas la meilleure œuvre de Muneyuki Kaneshiro : je me suis plus amusée avec "Billion Dogs" et "Jagaaan", où le scénariste fait en plus équipe avec des illustrateurs plus talentueux.
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Une fin attendue mais avec de nombreuses surprises !

Franchement, ce qu'il me restera sûrement de ce manga c'est son originalité, ses superbes dessins (que ce soit pour les combats ou le sexe) et la volonté de l'auteur de briser tous les codes.

Au final, décalé et divertissant, un ovni à mettre dans des mains averties et des lecteurs qui ne se prennent pas au sérieux !

Aku le chasseur maudit, premier tome d'une rare série manga axé dans la préhistoire...

Comptant 5 tomes en version originale, Aku est l'une des nouvelles sorties seinen de chez Pika pour ce premier semestre 2019, et nul doute que Pika propose ici un titre solide dans sa narration, son graphisme ainsi que dans son ambiance paléolithique, à défaut d'être toutefois très original.

Ce premier tome pose les fondations d'un titre palpitant marqué par un graphisme qui ne lésine pas sur des encrages ensanglantés et sur des expressions ultra-primitives ! Les gros plans abondent sur le sourire carnassier des protagonistes. Les auteurs ont tenu à souligner cette violence guerrière presque inhérente au cadre préhistorique, du coup, ils proposent un manga qui a littéralement de la gueule.

Par ailleurs, je tiens à souligner que ce manga a été écrit par Muneyuki Kaneshiro dont le travail est tout aussi remarquable, voir davantage, avec l'une des très bonnes surprises de ce début d'année : Jagaaan !!!!

Ici, son scénario est peut-être un peu plus classique, moins déjanté et plus formel avec cet enfant maudit qui va lutter contre la fatalité, sans doute à travers le prisme de la vengeance... Mais ne chipotons pas trop car au final c'est une intrigue qui reste tout à fait solide sans compter que les mangas abordant la préhistoire ne sont pas vraiment nombreux.

Insistons donc sur ce cadre renforcé et magnifié par le remarquable travail d'Akeji Fujimura. Le dessinateur n'hésite pas à forger l'intrigue dans un graphisme agressif, aux expressions ravageuses avec une menace bestiale prédominante. Les scènes d'actions sont bien découpées avec une véritable mise en valeur de la prouesse physique des personnages !



Akû - le chasseur maudit est un titre féroce et solide dont ce premier tome pose les fondations d'une quête prometteuse, une vengeance gravée dans la roche à coups de silex écarlate !!!

Takahata Shun est un lycéen ordinaire à la vie tranquille. Un peu trop tranquille d’ailleurs. Shun s’ennuie ferme et à part fantasmer sur une jolie camarade de classe, il ne vit rien de palpitant. Sauf que ce jour-là, en plein cours de maths, la tête de leur professeur explose et laisse place sur le bureau à un daruma. Cette figurine traditionnelle entraîne la classe dans un jeu sanglant dont un seul réchappera.



Après Doubt, Judge, et King’s game, Jeux d’enfants nous entraîne à nouveau dans un de ces jeux de massacre qui ont le vent en poupe. Cette nouvelle série, à réserver bien évidemment aux grands, est une réelle bonne surprise.

Le lecteur est, dès les premières pages, happé par le choc inattendu et rapide de l’explosion du professeur et sidéré à l’image des élèves. Pas de doute, on rentre de plein pied au cœur de l’action qui ne laissera que peu de temps mort. Shun est le personnage central de cette histoire et nous le suivons à travers ces fameux jeux d’enfants qui n’en ont que le nom.

Le daruma qui ouvre l’intrigue va être l’organisateur mécanique d’un jeu qu’on pourrait comparer à notre 1, 2, 3, soleil. La classe de Shun se retrouve face à cette figure folklorique japonaise qui les oblige à jouer pour sauver leur vie. Fuir ou bouger pendant que le daruma les regarde est synonyme d’explosion et le compte à rebours qui défile ne dit rien qui vaille… Si Shun réussit à sortir vivant de cette épreuve, il n’est pas au bout de ses surprises et c’est un autre jeu grandeur nature qui l’attend : celui du chat et de la souris.



Comme son titre l’indique, cette série d’horreur sanglante tourne autour des jeux d’enfants qui, ici, tournent au massacre. On suit les malheureux protagonistes face à ces situations irréelles et on tremble, sans aucun doute pour eux, devant leurs difficultés, les premières étant bien souvent de comprendre le principe du jeu et surtout le moyen de sauver leur peau. Cette manière de retourner les jeux enfantins vers quelque chose de complètement inverse est particulièrement intéressante. Il ne faut pas le cacher, les morts sont souvent violentes, parfois même grotesques mais le lecteur n’a pas le temps de s’en apitoyer, l’action est déjà repartie plus loin, le rythme ne se relâche pas et c’est tant mieux. On retrouve ici aussi de manière de tout à fait curieuse la présence du folklore nippon : le daruma et sa face expressive, le manekineko et sa patte porte-bonheur qui distribue ici la mort. Ici encore, le mélange des extrêmes se fait détonnant et pourtant fonctionne parfaitement. On ignore encore à la fin de ce premier volume le pourquoi du comment : fantastique ? manipulation ? Tout reste encore à découvrir.Si tout est dans l’originalité, on pourra tout de même regretter le manque de consistance des personnages. Si shun trouve dans ces situations extrêmes, la force de faire marcher son intelligence et de s’illustrer dans des actes de bravoure, son profil reste encore très classique (il sauvera forcément sa belle des griffes des méchants) et les autres personnages secondaires restent tout à fait annexes. Un petit défaut qui se laisse pour le moment facilement oublié, tant nous sommes pris par le dynamisme d’une action surprenante et intrigante.

Les dessins d’Akeji Fujimura fonctionnent tout aussi bien et notre homme sait fichtrement bien mettre en valeur les scènes d’action qu’il se plaît à dramatiser par des cadrages forts et puissants. Je pense particulièrement au manekineko dont le gigantisme est particulièrement appuyé, renforçant ainsi l’ambiance de tension et de frayeur que ce dernier provoque.



Cette petite série qui sera en 5 tomes s’avère donc un excellent seinen en devenir. Les amateurs du genre trouveront sans aucun doute satisfaction dans ce mélange des genres détonnant qui promet encore de belles surprises. A ne pas rater donc !

Sortie du tome 2 en mars 2014.



A noter :

Je ne doute pas de convaincre quelques amateurs de plus en vous signalant qu’une adaptation en film live est en projet avec le réalisateur japonais Takeshi Miike aux manettes. Autant dire que le scénario de la série complète doit être à la hauteur de ce premier volume, tant l’homme est connu pour ces films barrés et sanglants !
Lien : http://grenieralivres.fr/201..

Dessin magnifique qui rend bien la vitesse et les déplacements. Histoire rapidement installée. Personnages intéressants. Sur une période peu desservie par les mangas. Une malédiction, la dure vie d'Homo Sapiens et un héros en devenir.

A découvrir absolument !

Voici le dernier volume de cette série. La quête touche à sa fin. Le tome se lit très vite. Les illustrations sont très réussies et certaines pages sont très impressionnantes. Le trait de crayon est vraiment très expressif.

Après comme dans certains chapitres précédents la caricature est un peu trop exagérée. La violence pas toujours bien dosée. La sexualité trop omniprésente sans que cela soit vraiment nécessaire. Après certains passages prennent vraiment sens dans ce dernier tome permettant ainsi certains regroupement.

Ce manga m’a bien attiré. J’ai apprécié l’histoire. La narration part comme une légende et c’est donc plutôt bien amené. Néanmoins certains flashs black manque de transition et de liens avec les parties qu’ils encadrent. Les illustrations sont superbes avec des détails très précis même si parfois cela manque un peu de finesse notamment dans les expressions du visage.

Le langage est parfois pas très adapté à l’époque. Trop contemporain par moment.

Mais dans l’ensemble un bon manga donnant vraiment envie de lire la suite...

Les amateurs de délires, de héros badass et de bimbos prises sur des fourrures près d’un feu de camp devraient y trouver leur compte.
Lien : https://www.actuabd.com/Les-..

30000 ans avant JC une tribu d'hommes se bat pour sa survie au sein d'une nature dangereuse. Pour que son fils Aku ait le droit de vivre Dada va tout tenter. Mais le destin est moins prévisible qu'on peut le croire et Aku va devoir se battre à son tour pour faire mentir la prophétie le concernant. Plutôt pas mal, l'époque dans laquelle se déroule l'histoire est plutôt originale et elle se déroule toute seule. Les dialogues sonnent un peu faux mais il doit être très difficile de retranscrire en paroles une époque deux fois plus ancienne que l'écriture.

Quoi qu’il en soit, la fin de la série est si proche (dans deux tomes) qu’on a forcément envie d’aller jusqu’au bout. Et qu’on aurait presque envie de se tromper sur l’hypothèse émise, envie de se faire bluffer complètement sur l’idée qu’ont développée les auteurs et sur sa conclusion.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Shun est un élève de première qui est guetté par l’ennui et qui voit la vie comme une routine. Cela va changer le jour où la tête de son prof explose et laisse place à un daruma, une figurine au faciès plus qu’inquiétant. Celle-ci va donner des ordres aux élèves, les sommant de participer à 1.2.3 soleil ou encore le jeu du chat et de la souris.

Ce premier tome démarre avec force et vacarme. Le nombre de morts est impressionnant et on se demande qui a bien pu commanditer ces attaques. C’est efficace, rapide et sans répit. La fin du tome laisse présager le pire et pose une batterie de questions. Cinq tomes constitueront cette série, dans la lignée de « Judge » ou « Doubt », pour le côté machiavélique de l’histoire et le compte à rebours qui se met en place à la fois dans l’intrigue et dans nos cerveaux de lecteurs… L’ensemble reste peu réaliste mais a le mérite de nous tenir en haleine tout au long de la lecture.