AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Alain Demurger (15)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Le peuple templier 1307-1312

Alain Demurger mérite depuis de nombreuses années d'être regardé comme le plus éminent spécialiste de l'histoire de l'Ordre du Temple.

Il a abordé tous les thèmes dans les ouvrages qu'il a consacrés à cette institution à la fois religieuse et militaire, qui n'avait de comptes à rendre qu'au Pape. La Papauté, certes, n'avait pas reconnu directement cet ordre, et avait chargé une haute conscience de la Chrétienté, Bernard de Clairvaux de donner pour l'Église son approbation à la création de cette milice, qui avait eu pour mission de protéger les pèlerins en route pour Jérusalem ainsi que les États francs ou latins issus de la Première Croisade, et elle le fit, avec des fortunes diverses, entre 1118 et 1187 pour ce qui concernait le royaume de Jérusalem et jusqu'en 1291 pour ce qui restait des principautés chrétiennes au Moyen-Orient, c'est-à-dire jusqu'à la perte de Saint-Jean-d'Acre, dernier bastion "franc" sur la côte orientale de la Méditerranée.

Il restait à Alain Demurger à apporter une dernière touche à son "édifice de papier" construit à la mémoire de cet ordre, et il l'a fait à travers cet ouvrage intitulé : Le peuple templier 1307-1312. Il ne s'agissait pas de réécrire une énième histoire du procès qui vit cet ordre être dissous et ses membres être arrêtés, torturés, puis, pour un certain nombre, être suppliciés, sous le pontificat de Clément V et sous la main très lourde et assassine du roi de France Philippe IV le Bel.

Si l'ouvrage n'est pas un dictionnaire, il a les caractéristiques d'une prosopographie et d'un inventaire, certes incomplets dans la mesure où il est conçu à partir des données actuellement connues, mais perfectibles, dans la mesure où l'on pourra recueillir dans l'avenir de nouvelles données et informations qui manquent encore de nos jours. Reste que l'auteur a accompli l'exploit, sur 2336 noms de Templiers mentionnés, de nous renseigner sur 1135 personnes qui ont eu, de près ou de loin, un rapport avec le procès qui devait mettre fin à l'existence de l'ordre. On est loin ici des fantasmes entretenus autour du trésor caché des Templiers, ou des légendes entretenues à leur propos, et l'on prend plutôt conscience des réalités les plus basiques de leur vie commune et de leurs activités respectives, nécessaires au fonctionnement de l'ordre jusqu'à la dissolution prononcée par le Pape avec la promulgation de la bulle Vox in excelso, le 22 mars 1312.

L'ouvrage s'adresse en priorité à un public savant, mais il ne laissera, plus généralement, pas indifférent un public chez qui ce sujet éveille une saine curiosité et l'envie d'en savoir plus.



François Sarindar, auteur de Charles V le Sage, Dauphin, duc et régent (2019)
Commenter  J’apprécie          10317
Les templiers - Une chevalerie chrétienne au ..

Si l'on devait recommander un ouvrage sur Les Templiers, il faudrait tout de suite évoquer celui-là. Tous les autres sembleront de seconde main quand on aura lu ce travail d'Alain Demurger.

Il n'a pas son pareil pour expliquer l'apparition de cet ordre militaire et religieux aux alentours de 1118, sa genèse à la fois hospitalière et institutionnelle et son histoire guerrière dans les événements liés à la survie des États latins en Terre Sainte, ses rapports et ses différences avec les ordres concurrents et néanmoins frères (Hospitaliers, Teutoniques, etc.), son fonctionnement interne et l'utilité de la règle que la Papauté accepta qu'il se donnât, sa manière de gérer les opérations "bancaires" et son rôle dans les opérations de trésorerie auprès de puissants, l'administration de ses nombreuses commanderies, domaines agricoles et biens fonciers, ses difficiles rapports avec la dynastie capétienne aussi bien au Levant que dans le royaume de France où les Templiers étaient propriétaires en de nombreux lieux plus qu'ailleurs en Europe - la Champagne ayant été rappelons-le sa "terre natale". Sur la condamnation de l'ordre par l'Église, manipulée par Philippe IV le Bel, Demurger fait intelligemment le point et ne laisse place à aucune des interprétations qui ont parfois fait se poser beaucoup de questions qui n'ont rien à voir avec la réalité historique. C'est vraiment, au total, le travail le plus utile et la référence la plus sûre si l'on veut s'intéresser de nos jours, avec sérieux, à cet ordre dont l'existence semblait ne plus avoir de raison d'être hors du temps où la Chrétienté occidentale s'était implantée au Moyen-Orient (1099-1291).

Ce livre ne fait aucune place aux mythes et aux légendes.



François Sarindar, auteur de : Jeanne d'Arc, une mission inachevée (2015)
Commenter  J’apprécie          10013
Jacques de Molay  - Le crépuscule des templiers

Alain Demurger est le meilleur connaisseur, à la suite de Laurent Dailliez, de l'histoire des ordres de moines-soldats fondés dans le contexte politique, économique, sociologique, démographique et militaire des Croisades.

Son portrait de Jacques de Molay nous fait nous demander si ce dernier des Grands-Maîtres de l'Ordre du Temple, créé par Hugues de Payens en 1118, était le mieux placé pour accéder au magistère dans sa phalange. Alain Demurger a beau lui prêter des qualités de gestionnaire, on sent quand même quelques manques chez cet homme né en Haute-Saône et admis dans l'Ordre en 1265.

Bon soldat, il eût fait merveille en Terre Sainte si les "Francs" avaient pu s'y maintenir. Mais la perte de la dernière grande place côtière, Saint-Jean-d'Acre, en 1291, et la mort héroïque mais inutile du grand-maître Guillaume de Beaujeu, puis la très brève grande-maîtrise assurée par Thibaud Gaudin, le placèrent au sommet de la hiérarchie au moment où la raison d'être d'institutions comme l'ordre des Templiers, la garde des Lieux Saints perdus depuis longtemps, ne pouvait plus être invoquée, sauf à vouloir reconquérir Jérusalem au plus vite.

Hors, avec l'arrivée sur le trône de France en 1285, d'un homme comme Philippe IV le Bel, peu fait pour cultiver les vieilles lunes et plutôt enclin au réalisme en matière politique et financière, Jacques de Molay allait avoir affaire à un interlocuteur redoutable. Le roi de France osa poser la question : pouvait-on maintenir en vie plusieurs ordres monastiques et militaires alors que les Occidentaux avaient perdu pied au Levant ? Ne devait-on pas les fusionner pour n'en laisser qu'un seul ? On proposa à Molay d'accepter de s'entendre, à cette fin, avec les Hospitaliers, frères rivaux des Templiers, mais le refus obstiné de ces derniers, détermina Philippe le Bel à pousser une Papauté plus ou moins mise au pas et dépendante des volontés du Capétien (Bertrand de Got était devenu pape en 1305 sous le nom de Clément V et ne séjournait pas à Rome mais sur les bords du Rhône, à peu de distance des terres contrôlées par les hommes du roi de France), à faire en sorte que les Templiers entendent raison.

Philippe le Bel était surtout impatient de faire sentir sa force à un Ordre qui, riche de possessions domaniales et agraires, et fort d'un réseau de commanderies reparties non seulement sur tout le territoire français mais aussi dans le reste de l'Europe, était devenu une puissance économique et financière en engrangeant les donations et en exerçant en partie la fonction bancaire mais seulement pour le prêt (sans intérêt) et le transfert de fonds par le moyen des lettres de change, système fonctionnant grâce aux nombreuses implantations de l'Ordre.

Le trésorier de l'Ordre tint même pendant un certain temps le rôle de contrôleur des recettes et dépenses de la couronne. Intolérable pour un roi comme Philippe le Bel (rappelons aussi que Saint Louis, grand-père de Philippe, n'appréciait guère ces moines-soldats). Les réticences des Templiers à se plier aux exigences du roi et du pape, qui, prétextant de les faire se vouer à un plan efficace de reconquête de la Palestine, de la Syrie et du Liban, de concert avec les Hospitaliers, en ne formant plus qu'un seul bloc, pour mieux les contrôler, ne firent que renforcer la volonté de Philippe le Bel de les abattre.

L'arrestation massive de tous les Templiers de France par les sénéchaux et baillis, au matin du 13 octobre 1307, leur emprisonnement et les méthodes employées par leurs geôliers et tourmenteurs pour obtenir d'eux des aveux quant à des accusations de pratiques homosexuelles, de rites blasphématoires sur des crucifix, de multiples reniements du Christ au cours des cérémonies d'admission dans les rangs de l'ordre, etc., tout cela conduisit, malgré le rappel des prévenus qu'ils n'avaient de comptes à rendre qu'au pape à la protection duquel ils en appelèrent, à la condamnation de l'ordre, dissous officiellement le 22 mars 1312 par la bulle Vox in excelso.

Jacques de Molay, par ses aveux obtenus par la force, par ses atermoiements, ses rétractations et son envie finale de défendre l'honneur de l'ordre coûte que coûte, ne fit que révéler des faiblesses humaines, fort compréhensibles, en même temps qu'une absence d'intelligence politique, et même s'il ne fut pas le seul responsable de cette situation, il manqua de réflexe quand la possibilité lui fut offerte de sauver l'ordre en acceptant de le fondre, avec celui de l'Hôpital, dans une seule et même organisation. L'ordre des Templiers, qui aurait pu devenir un véritable État dans l'État si les Capétiens ne l'avait remis à sa place, mourut de l'intransigeance et de la perte de sens du réel de ses têtes dirigeantes. Et Jacques de Molay périt avec courage le 18 mars 1314, sur un bûcher dressé à la pointe de l'île de la Cité, sur l'emplacement de l'actuel terre-plein du Pont Neuf. A ses côtés fut brûlé également Geoffroy de Charnay.

François Sarindar, auteur de : Lawrence d'Arabie. Thomas Edward, cet inconnu (2010)
Commenter  J’apprécie          385
Vie et mort de l'ordre du Temple (1118-1314)

Ce livre, particulièrement didactique, nous sort enfin du fatras pseudo-ésotérique inspiré par les Templiers que de trop nombreux auteurs nous ont servi à toutes les sauces, y compris les plus improbables et les plus indigestes.

On apprend des choses sur l'ordre des Templiers et il n'y a aucun mélange des genres qui cherche à faire passer des élucubrations pour de l'Histoire.

Un livre où les Templiers ne servent pas à combler un manque d'imagination..
Commenter  J’apprécie          220
Moines et guerriers

Très pédagogique, très solide scientifiquement. Enjeu: expliquer comment on a rationnellement "christianisé" la guerre au MA en s'extirpant du jeu irréaliste, absurde et suicidaire des "doubles contraintes" évangéliques pour s'adapter aux réalités, discipliner l'ordre féodal (ou plutôt faidal), etc.
Commenter  J’apprécie          140
La persécution des Templiers

Présenté comme le journal du quotidien des templiers durant leur accusation et leur procès (entre cinq et set ans), ce document issu de recherches nombreuses et identifiées laisse planer le doute sur la culpabilité réelle ou imaginaire des membres de l'Ordre et sur l'Ordre lui même. Il n'éclaire pas vraiment davantage sur les desseins poursuivis par le roi de France ni par le pape Clément V. L'intérêt de l'ouvrage me semble être la lutte d'influence entre la pape et le roi au détriment des Templiers, eux-mêmes partie intégrante du jeu. Il s'agit d'une lutte de pouvoir. Un peu comme celle qui a duré aussi longtemps voire plus entre Pablo Escobar et l'Etat colombien.
Commenter  J’apprécie          130
Les templiers

Belle petite synthèse d'une centaine de pages, utile pour se faire une idée de ce que pouvait représenter les templiers. Ca se lit très vite, ce qui peut, pour les curieux, donner l'occasion d'acquérir un ouvrage plus dense et plus complet.
Commenter  J’apprécie          110
Chevaliers et chevalerie expliqués à mes petit-..

Lecture « réservée » donc...Le titre aurait pu être un obstacle. Mais Impertinents sachons gaiment guerroyer contre les titres qui ne reconnaissent qu'un royaume! L'ouvrage est simple. Un peu rapide peut être. Honneur et loyauté !!!... Toute une mise en « cène » n'explique pas toute la complexité d'une féodalité.

Mais les légendes, les mythes, les preux et les vaillants sont là. Les grands destriers, les châteaux, les lances, les écus, les fiefs, les joutes, les tournois, Les Hospitaliers, les Templiers, les Teutoniques. Les boucliers, les roses et les croix. La panoplie complète des chevaliers. Lancelot, Guillaume le Maréchal, Bayard, Arthur, la dame du lac...

Les chemins de ronde, les tours carrées et la table ronde. De quoi bien s'amuser !

Mais à y réfléchir... les chevaliers.... ressemblent quand même un peu beaucoup à GI Jo...non ? Honneur et loyauté,.... «Semper Fi»... Ces chevaliers, ces hommes en armes, ces guerriers qui ont ils vraiment fait rêver ? Des gentes dames? Des gueux ? Des peuples en larmes? Que l'on mette une épée ou un fusil dans les mains des enfants, qu'ils soient en plastique, en bois, ou numériques ,on les fait jouer à la guerre, et puis un jour c'est « pour de vrai de vrai ». Et puis ça va remplir les livres d'Histoire et ça puis ça efface les contes de fées.



Astrid Shriqui Garain

Commenter  J’apprécie          62
Jacques de Molay  - Le crépuscule des templiers

Cette biographie s’attaque à une face caché de l’histoire des templiers. Jacques de Molay est bien entendu cité dans tous les livres sur l’ordre guerriers, mais qu’en est-il de son histoire. Généralement il en reste sa date d’accession au poste de Grand Maître de l’ordre et sa date de mort. Il fut brûlé, ne voulant pas, au dernier moment renier l’ordre. Une grande enquête. Pas beaucoup de sources. L’auteur s’en sort magistralement.
Commenter  J’apprécie          60
Les templiers - Une chevalerie chrétienne au ..

200 ans d'Histoire, de chevaliers, d'honneurs, de foi, de voyages autour de la Méditerranée, de batailles, de diplomatie, de duperies, de cupidité, sous un manteau frappé d'une croix rouge. Il y a 700 ans ! Formidable récit érudit.
Commenter  J’apprécie          40
Les Hospitaliers - De Jérusalem à Rhodes - 1050..

Une somme très complète des connaissances sur les hospitaliers. Ce livre est le bienvenu car souvent on connait mieux leurs homologues les templiers, peut-être par la fin terrible qui les a frappés.

Ce livre est donc une belle façon de découvrir les autres chevaliers, par un expert du sujet!
Commenter  J’apprécie          20
Vie et mort de l'ordre du Temple (1118-1314)

Une présentation historique complète et précise sur cet ordre religieux mythique : les Templiers

Petite annecdote : les Templiers sont surement les inventeurs de la "Gestion" au sens économique du terme

En effet, parti en Palestine, ils déléguaient la gestion des domaines fonciers - nombreux - reçu en donation par de riches chrétiens

Cette culture du "reporting" a ensuite assuré à l'Occident un ascendant certain sur le reste du monde ...

Bref un des trésor des Templiers des plus occultés !!!!
Commenter  J’apprécie          20
Les templiers - Une chevalerie chrétienne au ..

Alain Demurger, dans cette très vaste synthèse, s'attache à expliquer tout ce qui a trait à cet ordre religieux-militaire, de sa fondation (et de sa reconnaissance comme ordre religieux de l'Eglise romaine à partir du concile de Troyes en 1129), jusqu'à sa fin et son fameux procès orchestré par le roi de France Philippe le Bel et la Papauté.

L'auteur arrive très bien à écrire l'histoire de cet ordre sans une vision téléologique (chercher à voir dans n'importe quelle acte de l'ordre ce qui a pu motiver le procès et donc la fin), ni en se n'insistant que sur le côté militaire (en effet Alain Demurger explique bien les relations des frères avec leur "personnel", comment ils gèrent leurs domaines, leurs relations diplomatiques tant en Terre Sainte qu'en Occident par exemple).

C'est évidemment un ouvrage à recommander pour quiconque souhaitant en savoir plus sur les templiers.
Commenter  J’apprécie          10
Vie et mort de l'ordre du Temple (1118-1314)

Pour tout savoir sur la création, le fonctionnement, le personnel et la fin de l'ordre du Temple. L'ouvrage nous emmène à la découverte d'une réalisation sans précédent du moyen âge: Un univers où se concilie à la fois la vie religieuse et monastique avec l'engouement guerrier et les tergiversations politiques et diplomatiques.

Une analyse sobre mais intéressante et accessible sur un pan de l'historie médiévale renommé mais souvent inconnu du grand public.
Commenter  J’apprécie          10
Le temps des chevaliers

Un billet un peu particulier. Il se fait que je n'ai jamais trouvé la quatrième de couverture de ce livre qui semble être un numéro spécial du Magazine Historia. Le numéro 55 pour être précis. Il s'agit en fait d'un recueil d'articles précédemment publiés dans le magazine en lui-même. Un rassemblement de textes traitant de la chevalerie pour un total de 17 articles partagés en 5 parties. La première présente la chevalerie en tant que tel, de sa naissance à ce qu'il est devenu ainsi que de l'influence de la religion sur son idéal. La deuxième partie parle des tournois de chevalerie, de ce qu'ils ont été au départ, des combats de masse, pour finir au beaux tournois tels qu'on se les imaginent tous. La troisième partie aborde les rites et enjeux de la guerre où l'on y parle du faux fait que le Moyen-Âge était un moment fortement guerrier. Sans oublier la grande bataille d'Azincourt où la France, avec sa belle chevalerie pleine de baux cavaliers lourds et orgueilleux c'est faites dézinguée par les manants d'archers de la couronne anglaise. La quatrième partie parle de ce qui se passe en marge de la guerre : le jeux des rançons, l'utilité des hérauts, mais également la lutte des classes qui se passe en marge de cette chevalerie et le rôle de Christine de Pisan, femme professeur de guerre. La cinquième et dernière partie s'attaque au mythes chevaleresques. Ce qui nous fait rêver encore, nous grands enfants que nous sommes et qui, comme moi, lisent encore de la fantasy pour y retrouver ces belles images. On y parlera forcément de chansons de geste, de prouesse et de courtoisie. Mais on y parle également de la naissance de l'héraldique ainsi que de l'histoire de Boucicaut, grand guerrier et stratège français, qui après une bien belle carrière la terminera mal à Azincourt.



Au final, un chouette petit bouquin rapidement lu. Quelques articles qui se lisent bien évidemment comme un magazine, le graphisme en moins. Le tout en à peine 230 pages. Malheureusement, vu qu'il m'a été difficile de trouvé des infos sur ce livre, même sur le site de l'éditeur Taillandier, je suppose qu'il est malheureusement indisponible. A moins d'avoir comme moi une sympathique bibliothèque sous le bras! A lire donc si vous mettez la main dessus.

Commenter  J’apprécie          10


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Alain Demurger (210)Voir plus

Quiz Voir plus

Qui est l'auteur de cette citation? (avec indices).

La nuit descend On y pressent Un long un long destin de sang. Indice: poèmes à Lou.

Gérard de Nerval
Charles Baudelaire
Guillaume Apollinaire
Paul Verlaine

10 questions
33 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}