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Critiques de Alex W. Inker (212)
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Apache

L’histoire se déroule dans les années 20, à Paris. Alors que le tenancier d’un bar, ancien légionnaire un peu cabossé par la vie après être passé par les geôles de Cayenne, astique les verres derrière son comptoir, un vieux bourgeois et une jeune métisse entre dans l’établissement. Leur voiture vient de tomber en panne alors qu’ils se rendaient à l’hippodrome. L’homme souhaite écouter à la radio les courses qui s’y déroulent pendant que leur chauffeur, Raoul, essaie de réparer les dégâts. Tandis que la jeune femme discute et bois des verres avec le patron, l’homme qui l’accompagne est victime d’un malaise. Longtemps inconscient, les deux autres pensent qu’il est mort. Lorsque le chauffeur entre dans le bar à son tour pour annoncer que la voiture est réparée, il ne peut que constater l’état de son patron… Les évènements vont ensuite très vite s’enchainer et l’atmosphère va se tendre…

Avec cette bande dessinée, j’ai vraiment passé un agréable moment de lecture. J’ai apprécié les graphismes tout en noir et rouge des planches, j’ai trouvé le format à l’italienne parfaitement adapté, le vocabulaire impeccablement choisi et les personnages très réussis, bref, tout m’a plu. Je n’ai eu aucun mal à me plonger dans cette histoire, dans cet univers de voyous, à la belle époque, retranscrite par Alex Inker.
Lien : https://desflaneriesetdesmot..
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Apache

La Bastoche, années 20

Un barman tatoué astique ses verres et son comptoir lorsque un julot et sa pouliche, tombés en panne de bagnole,  entrent en trombe dans le rade.

Pas de temps pour la politesse, le jules pressé colle une de ses esgourdes sur la TSF.  Il a parié un tas de pognon sur un canasson qu'est en train de galoper à Longchamp.

Sa fiancée, une belle métisse coiffée à la garçonne s'accoude au bar en buvant langoureusement des Picon bière tout en écoutant à moitié paf le barman édenté, un bavard qui lui commente ses tatouages de Cayenne.

Subitement le julot s'écroule....Raide mort à la nouvelle : le bon gaye (cheval en argo) a franchit la ligne en premier.

Arrive le chauffeur Raoul qui a fini de réparer la tire et apprend la triste nouvelle... l'air réjoui.

Pour récupérer le gros lot à l'hippodrome, le barman Apache a une combine du tonnerre qui épate la fine équipe...



Apache, la première BD d'Alex W. Inker est un bel objet qui a du panache.

Un élégant format à l'italienne qui renferme d'épatants dessins bicolores noir et rouge.

L'histoire en jette. Un huit -clos dans le Paris canaille des années 20 avec des voyous qui manient l'argot, l'embrouille, le surin et une jolie pépé qui dévoile ses charmes.

les personnages...rien que des gueules d'atmosphère : l'apache bien pimenté au Cayenne, le julot dégoulinant, le chauffeur à la mine patibulaire et la jolie métisse, un air des années folles...



Apache, c'est franchement bath !
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Apache

J'ai découvert cette bande dessinée par l'intermédiaire d'un mail provenant de la SNCF e-LIVRE sur lequel le palmarès du prix SNCF du polar était indiqué et un lien permettait d'aller lire les lauréats.



Apaches a donc obtenu ce prix catégorie BD et même si je ne suis pas une grande spécialiste de la bande dessinée je pense que c'est surement mérité car quand on plonge dans cette histoire on s’immerge complètement dans les dessins et dans le récit.



On est emmené à travers des dessins en rouge et noir dans l'univers des « apaches », au début des années 1920.

Eddy et sa compagne attendent dans un bar la réparation de leur voiture.

Tandis que Raoul le chauffeur répare le véhicule, Eddy écoute la TSF et sa compagne qu’on devine être sa « pouliche », reste au bar en écoutant le barman raconter les aventures de sa vie et son séjour à

Cayenne.

Tout pourrai s'arrêter la mais c'est sans compter avec la fatalité qui va emmener nos personnages dans une dimension ahurissante et les conduire à des actes et extrémités très inattendus.

C'est à la fois drôle et tragique et le langage très "apache' nourrit encore davantage l'histoire.



En résumé tout est bon dans cette BD, tant le graphisme que l'intérêt des dialogues et de l'intrigue.



A découvrir absolument


Lien : http://delcyfaro.blogspot.fr..
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Apache

Par le bonnet F de Julio Iglesias et le petit Sarkozy aux Jeunesses Communistes les gars ! L'époque que je fantasme un peu en BD et en déclinaison de rouges et de moins rouges qui tâchent pif paf !



T'aimes la bagarre ? les mecs tatoués ? les parties de jambes en l'air à trois après avoir buté un tocard féru de canassons ? Bouge pas ma gueule on a ce qu'il te faut.



T'attends patiemment le 2 mars et dès que tu te lèves du farche t'enfiles tes croquenots et tu cours chez ton bouquiniste (celui où que y'a un bon rayon bandéssinées tu vois ?) et tu lui demande la BD de Alex W. Inker.



Tu vas t'en prendre plein les mirettes, un peu comme si le Sauveur venait faire du patin à roulette dans tes pupilles.



Ca fait du bien putain ! une BD première fraîcheur qui sent le bitume, les pavés de Montmartre, en plein Panam avec magouilles à l'ancienne au compteur.



Le pitch histoire de.



Dans un rade un peu ghetto tenu par un ancien du bagne, une poule et son julot viennent se désaltérer en écoutant la course hippique qui se déroule en direct, et sur lequel le gros a misé un bon paquet d'oseille. Pendant ce temps là, la pouliche compte fleurette au joli tatoué au grand cœur qui lui raconte son passé un peu cabossé.

Maitre Connard perché sur sa chaise tient dans son bec des propos bien nerveux sur sa femme faisant du gringue, et finalement entend qu'il est le vainqueur d'un bon paquet de pépettes. Et hop. Crise cardiaque.



Voilà je t'en dis pas plus, les dessins sont géniaux, y'a de la graisse dans les cheveux, du rififi derrière les portes closes bref que du béton pour une histoire béton.



Merci Frederic, t'as déniché mon prochain coup de cœur BD de mars !



Câlins musclés et bière éventée, à la prochaine !
Lien : https://www.instagram.com/lo..
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Apache

Après avoir dévoré Panama Al Brown, j'ai emprunté Apache, et je crois que je viens enfin de découvrir un auteur de BD que j'ai vraiment envie de suivre.

Apache, c'est comme un coup dans les ratiches. C'est une histoire à la fois très simple et totalement ubuesque, qui se déroule sur une nuit et un jour, entre quatre personnages, un tenancier de café, un chauffeur, son patron et la jeune femme qui l'accompagne, tous liés, tous méfiants, et ils ont plutôt raison.

De l'argot, de la boxe, des tatouages, des courses de chevaux, des tranchées... un mélange détonnant !

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Apache

Un format à l’italienne pour une histoire bien parisienne. Ici aussi, l’auteur utilise une langue stéréotypée (référence à la dernière critique sur L’Ecluse) mais elle a l’effet inverse que dans le livre précédent : elle nous fait voyager dans le temps et l’espace, nous ramenant dans le Paris des années 30 et ses habitants pleins de gouaille.

Une histoire de gros sous et de petites frappes servie par un dessin qui colle à l’époque; on est dans le style Walt Disney des débuts et ça colle parfaitement à l’ambiance.
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Apache

Même si c’est joliment fait, il y a quand même de quoi être dubitatif. En fait, on n'est pas loin de se demander pourquoi quelqu'un a jugé bon de raconter cette histoire.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Apache

Paris, années 20. Dans un troquet désert, le patron tatoué et édenté attend le client. Un rupin adipeux entre en râlant parce que sa traction est tombée en rade alors qu’il se rendait aux courses. La jeune métisse qui l’accompagne ne pense qu’à se rincer le gosier et faire du gringue au tatoué. Quand le rupin fait un malaise et que son chauffeur débarque pour annoncer que la bagnole est réparée, l’atmosphère s’alourdit et la situation prend une drôle de tournure.



Pour faire simple, tout m’a plu dans cet album. J’ai adoré ce Paris des années 20, l’univers des voyous de la Belle Époque, ces durs à cuir revenus de Cayenne et des Bat d’Af (bataillons disciplinaires d’Afrique du nord), la poulette qui n’a pas froid aux yeux et les dialogues fleuris plein d’argot. Sans parler de la tension sexuelle montant crescendo, des entourloupes et de l’appât du gain comme cause commune, d’une sombre histoire de vengeance, d’un flashback dans les tranchées, de trajectoires pas très nettes où se mêlent amour et trahison, etc.



Dis comme ça, ça peut paraître un peu fouillis mais au final la narration est limpide : quatre personnages pour un huis clos poisseux où chacun semble jouer carte sur table mais ne pense en fait qu’à sa pomme.



Alex W. Inker signe un premier album plein d’audace et de maîtrise. Son univers graphique rend hommage au dessin de l’entre deux-guerres (les Pieds Nickelés apparaissent d’ailleurs au détour d’une case) grâce à l’utilisation d’une bichromie noire et rouge en trame du plus bel effet. L’objet-livre en lui-même est superbe, un pavé à l’italienne au cartonnage épais fleurant bon l’encre comme les ouvrages d’antan.



Je le reconnais, au vu du sujet et de son traitement, ce ne sera pas l'album de tout le monde. Mais si vous cherchez de la nouveauté en BD, de la nouveauté de qualité fignolée avec amour, application et talent, je vous le recommande chaudement.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Apache

un scénario enlevé, prenant, mais un traitement graphique et un format de livre qui rendent l'objet peu attrayant.
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Apache

Sa forte personnalité graphique, son scénario sombre et grinçant, ainsi que son ancrage dans l'histoire en font un polar séduisant et décalé.
Lien : http://www.actuabd.com/Apach..
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Apache

Un premier album graphiquement séduisant, qui joue d’un style burlesque, rétro, un peu caricatural.
Lien : http://www.bodoi.info/apache/
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Apache

Apache est vraiment intéressant, car il fait partie des peu de livres mettant en avant l'argot des années trente.



Ici, on est Paris. Peu de description, on est dans huis-clos avec une sombre histoire de meurtre. Un avant et un après. Les personnages sont terribles. D'ailleurs, la couverture est un peu troublante, on se croirait dans un livre humoristique où un plan à trois est proposé. Ça m'avait troublé, mais, j'ai fait complètement confiance à Alex W. Inker lors de mon achat, et, j'ai bien fait.



Le tout est bien ficelé du début à la fin, on tourne les pages rapidement pour savoir la suite. On a juste envie que le moment se prolonge un peu plus. Tant pis, ce sera dans un autre livre.
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Apache

« Apache » c’est la première bande dessinée réalisée par Alex W. Inker en mars 2016, déjà chez Sarbacane , déjà dans une gamme restreinte de couleurs, déjà original par sa facture à l’italienne. Des prémisses donc de ce style si particulier que l’on retrouvera dans les œuvres suivantes.



Il n’est nullement question de western ici mais du Paris de la Belle époque et de l’après grande guerre ; « un Apache » c’est un voyou dans l’argot de l’époque ! Dans ce Paname des années vingt, un soir, un couple mal assorti, un vieux riche adipeux et une jolie poulette noire à la perruque blonde, déboule dans le bistrot d’Eddy ex-bagnard. Leur voiture est tombée en panne alors qu’ils se rendaient aux courses et Monsieur veut écouter les résultats car l’un de ses chevaux est en lice. Pendant qu’il est pendu à la TSF, Eddy et la jeune femme s’observent, bavardent et trinquent ; survient le chauffeur qui annonce que leur véhicule est réparé…



Tout commence dans un huis-clos poisseux, mais nous nous échappons à plusieurs reprises du troquet par des flash-backs joliment amenés qui nous ramènent à la période de l’avant-guerre ou du Front et lient de façon surprenante les protagonistes entre eux.



C’est un très bon polar bourré de références au film noir mais l’humour est aussi souvent présent dans ces pages ; d’ailleurs même les "Pieds-nickelés" s’invitent dans cette Bd au détour d’une case ! In fine, les truands sont plus stupides qu’effrayants et leur quatuor improbable est assez jubilatoire. Et puis il y a bien sûr la présence cet argot gouleyant (pour ceux qui s’y perdraient perdus un lexique est fourni en fin de volume), ce nuancier de couleur orange , cet association d’aplats et de trames, qui rappellent les albums de « Zig et Puce » ou de « Felix The Cat » !



Un très beau coup d’essai !

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Apache

Foin de western et d’indiens ici malgré le titre de ce fort sympathique album à l’italienne puisque l’Apache en question est le nom par lequel on désignait les voyous parisiens du début du siècle dernier.



Eddy, ancien légionnaire et pensionnaire à Cayenne s’est rangé et tient un petit bar dans Paname. Un soir de 1934 un couple mal assorti se pointe dans son rade. Un richard bedonnant à binocles, de mauvais poil et peu amène et une jolie poupée dont notre dur à cuire ferait bien son quatre heures. Le gras du bide a parié aux courses, en entendant que son bourrin vient de finir premier, le vl’a t’y pas qu’il nous fait une attaque ! Se pointe alors le chauffeur du couple, un grand malabar qui flaire le bon coup en se disant qu’ils vont toucher le pactole avec le ticket gagnant du macchabé. Mais avec un trio aussi mal assorti, et autant de fric à la clé, y a fort à parier que tout ne va pas se passer comme sur des roulettes !



Pour un premier album, Alex Inker, qui enseigne la BD et le cinéma, prouve qu’il maîtrise l’un comme l’autre avec ce récit de genre jubilatoire, à la trame certes classique, mais fort bien ficelé et surtout dessiné dans un style old school des plus détonnant, qui n’est pas sans faire penser à celui d’un Lucas Varella ou de certains artistes des débuts du médium, le tout avec quelques clins d’œil bienvenus.



Cerise sur le gâteau, le bouquin est très beau (on a évoqué le format), et le choix de la bichromie rajoute autant à l’ambiance qu’à l’originalité de l’album.

Un conseil d'écoute musicale pour aller avec: http://bobd.over-blog.com/2016/03/entre-apaches-apache-vs-in-between.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
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Colorado train (BD)

Une belle surprise glanée grâce à ma bibliothèque municipale (et que vive les bibliothèques publiques!). Une histoire sombre menée par un petit groupe de jeunes gens déjà bien abimés par la vie dans un décor d'Amérique usée et fatiguée. On connaissait Inker pour ses belles BD western; on le voit ici dans un autre registre pour une histoire bien tragique.
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Colorado train (BD)

Au fin fond du Colorado, dans les années 90, une bande de gamins malmenés par la vie enquête sur une disparition étrange. Serait-ce le wendigo de la légende ? Ou pire encore ?



Cette histoire qui commence comme les Goonies prend très rapidement une dimension horrifique. L’ambiance devient glauque, sombre et glaçante. Les dessins en noir et blanc sont puissants en émotions.



J’ai joué le jeu de la playlist (un titre de métal/punk/rock proposé par chapitre) et j’ai aimé ça ! La musique rajoute une intéressante dimension à l’histoire.



Je n’ai pas lu le roman de Thibault Vernot à l’origine de cette BD mais je la découvrirai volontiers…



Une très belle bande dessinée de quelques 230 pages que j’ai vraiment appréciée.



Un grand merci aux éditions Sarbacane et à Babelio pour cette jolie découverte dans le cadre de la masse critique graphique.

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Colorado train (BD)

Merci à Masse Critique et aux éditions Sarbacane pour cette superbe lecture!

Nous sommes dans les années 90 aux Etats-Unis et la pauvreté règne : les adultes sont violents, absents ou trop dépendants pour s'occuper de leurs enfants. Ce petit groupe d'amis erre donc dans les rues et leur lieu de rendez-vous préféré, c'est le long de la voie ferrée. Dans cette ville minière, il n'y a pas grand chose à faire à part du skate et se retrouver près des trains ou sur le pont.

Atmosphère très sombre donc qui le devient encore plus quand Moe, la brute du coin, disparait ... Le petit groupe décide alors d'enquêter!

Excellente lecture accompagnée d'une playlist emblématique de mon adolescence :)
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Colorado train (BD)

Ca commence un peu comme Stranger things, mais l'histoire tombe très vite dans la violence, la dure réalité de cette petite ville très pauvre.

L'histoire est sombre, très sombre, on est limite dans de l'horreur avec un tueur en série maléfique et sans pitié. Les ados sont au coeur de cette aventure, et ils ne peuvent malheureusement compter que sur eux, les adultes sont particulièrement inefficaces, absents ou violents.

Donc attention on entre dans un univers lourd et violent, mais le scénario est bien construit et le dessin puissant, le noir et blanc renforce l'atmosphère pesante.
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Colorado train (BD)

Je ne me souvenais pas du thriller de Thibault Vermot, lu il y a plusieurs années, et ce n'est pas plus mal car j'ai abordé ce roman graphique avec un œil neuf. Au départ j'ai été déstabilisée par le graphisme très noir (au sens propre comme au figuré) cependant il convient bien à ce type d'histoire. Le scénario est découpé en scènes courtes, introduites par un titre de chanson (avis aux amateurs), et le récit s'enchaîne bien. Le groupe de jeunes est sympathique et les passages avec le hobo inquiétants à souhait. Je ne me souvenais plus du lien avec la guerre du Vietnam mais il apporte une vulnérabilité au personnage qui pourrait presque attendrir... s'il n'était si horrible. Pour moi c'est une adaptation réussie, j'ai passé un très bon moment de lecture.
Lien : https://www.takalirsa.fr/col..
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Colorado train (BD)

Colorado Train est un roman graphique adapté d'une histoire à destination du jeune public signé par Thibault Vermot.



On apprécie déjà l'objet, d'un noir luxueux, bien en phase avec ses dialogues. Ne vous fiez pas à cette bande d'amis, ils ont pas mal de problèmes, qu'ils ne régleront peut-être jamais, d'ailleurs. Ça sent bon les années quatre-vingt-dix où le skate faisait encore fureur. J'ai apprécié aussi cette fille pas comme les autres qui cherche tant à se cacher malgré un corps imposant.



L'histoire se lit facilement, on en ressort un peu glacé, mais, on a lu une belle aventure assez mystérieuse auprès de ceux qui ont enfin osé régler leurs problèmes.



Le graphisme d'Alex W. Inker y est forcément pour quelque chose. Par contre, on admire rarement les paysages américains. L'encrage est épais, le noir et blanc est parfait pour ces gueules cassés. Le bonhomme est loin d'en être à son premier coup d'essai.



Une belle découverte pour ma part.
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