Alexander Freed

Plusieurs analystes ont refusé d’associer leurs noms à ce document de crainte de lui donner « une crédibilité injustifiée ». Mais ces informations ne relèvent pas d’une théorie conspirationniste et l’ignorance ne nous protégera en rien de ce que l’Empire Galactique construit.

Un guerrier qui n’a rien à perdre n’a besoin que d’un bâton pour gagner.

C’était cela l’espoir ? Passer d’une peur à l’autre, pour soi, pour ses amis, pour la galaxie. Tout cela pour tenter d’accomplir l’impossible ?

Prière du coucher du soleil des Gardiens des Whills :

Dans l'obscurité, le froid.
Dans la lumière, le froid.
Le vieux soleil n'apporte pas de chaleur.
Mais il y a de la chaleur dans la respiration et la vie.
Dans la vie, il y a la Force.
Dans la Force, il y a la vie.
Et la Force est éternelle.

Quand il s'éloigna des deux espions morts, il laissa Devon Lhent avec eux.

- pourquoi lui restes-tu fidèle ?
- il ne me traite pas en esclave ?
- ...mais en animal de compagnie, d’après tes paroles.

Un Jedi n’attend pas d’ordres ! Un Jedi agit !

Ta mère t’a abandonné à mes soins parce qu’un Jedi ne doit avoir aucune attache sentimentale... au risque de nuire à son impartial amour d’autrui.

- qui sont-ils ?
- des cyber-Sith... la profanation du corps des Jedi prisonniers de guerre. Dark Mekhis leur laissa le choix entre la mort et cette demi-vie au service du côté obscur. Les hommes de bien qu’ils furent sont morts.

Mais conquérir un monde est une chose.
Le maintenir sous son joug, au prix d’années de lutte contre des rébellions successives, en est une autre.

Sacrés impériaux...
Ils rangent toujours les armes de leurs prisonniers juste à côté de leurs cellules !

Il n’y a pas d’émotion, il y a la paix.
Il n’y a pas d’ignorance, il y a le savoir.
Il n’y a pas de passion, il y a la sérénité.
Il n’y a pas mort, il y a la force.

- un sabre laser n’est rien face au pouvoir du côté obscur.
- c’est pourquoi j’en porte toujours deux.

- ton ancien maître a dépasser les limites. Il a convoité un pouvoir qu’il ne mérite pas. L’aimes-tu, Teneb Kel ?
- comme mon père.
- tue-le.
- à vos ordres.

Et voici l'histoire qu'elle raconta.

Notre but n'est pas la conquête, mais l'alchimie. Là où la Rébellion entre en contact avec l Empire, un changement doit se produire. La substance de l'oppression devient l'essence de la liberté...
Dès que nos objectifs deviennent exclusivement militaires, nous avons déjà perdu la bataille au sens large.