AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Alexandra Henrion Caude (31)


Le vaccin qui contient l'ARNm artificiel nous est injecté, après avoir été mis dans les petites soucoupes. Celles-ci sont faites de nanoparticules lipidiques : les NPL. Les NPL sont comme un suppositoire gras, qui permet à l'ARNm de pénétrer la membrane des cellules tout en augmentant leur temps de circulation dans le corps. Ça signifie qu'elles restent plus longtemps dans le corps, et qu'en toute logique, on va possiblement retrouver l'ARNm dans tout les types de cellules.
Et cela pose un premier problème parce que certains des lipides, chez Moderna comme chez Pfizer sont listés comme étant hautement toxiques dans les listes réglementaires de produits de sûreté chimique MSDS (fiches de données de sécurité). Mais qu'on ne s'inquiète pas : il nous a été dit par courrier personnel de l'EMA que ce n'était pas grave parce qu'ils étaient en faible quantité, et qu'on ne recevrait que deux doses de vaccin. Deux doses qui se sont déjà multipliées...
(p.98)
➡️4️⃣⏭️
((Les différences fondamentales avec une vaccination classique))
Commenter  J’apprécie          00
Nous avons aussi appris qu'avant de disparaître, Spike peut avoir le temps de circuler en se liant à certains organes, dont le cerveau, ce qui est totalement inédit.
[...] On retrouve Spike qui provoque une inflammation typique des maladies cardiovasculaires au niveau des vaisseaux sanguins, et entraîne en plus la formation de caillots.
Toujours chez l'homme, on apprend dans une autre étude que Spike est capable de réactiver des séquences de virus dans nos globules blancs. Or on sait que ce genre de réveil peut déclencher cancers, sclérose en plaques, maladies neurologiques comme la schizophrénie, ou polyarthrite rhumatismale, et diabète de type 1.
Commenter  J’apprécie          00
Dans le cas du vaccin Covid-19, l'ordre est donné de fabriquer une protéine de SARS-CoV-2 : elle s'appelle Spike. Mais cette protéine du virus n'a pas été inactivée. Elle n'est donc pas rendue inoffensive. Quatrième différence donc. C'est encore une fois totalement inédit dans toute l'histoire des vaccins. Contrairement aux vaccins classiques, on n'essaie pas de nous faire produire une Spike qui soit moins toxique, ou incapable de se lier à nos cellules. On s'attend à ce que notre organisme produise des anticorps contre la protéine, en ignorant toutes les autres conséquences que cette protéine de virus, qui est active, peut avoir sur notre organisme.
Cinquième différence et pas des moindre : notre corps se retrouve dans une situation particulièrement inconfortable. En effet qu'est-ce qui empêche nos systèmes de défense immunitaire d'attaquer nos propres cellules qui produisent cette spike étrangère ? Rien. Ce sont donc nos cellules qui produisent la protéine de virus, et c'est notre propre défense immunitaire qui va attaquer les cellules qui la génèrent. En clair, il n'est pas exclu que ce type de vaccination débouche sur une auto-destruction partielle de notre corps, et ouvre la porte à de possibles maladies auto-immunes. Une crainte de réponse auto-immune qui semble déjà justifiée avec l'observation de patients souffrant du cœur après la vaccination. En analysant la paroi musculaire du cœur (le myocarde) d'individus vaccinés, les scientifiques ont retrouvé la protéine Spike ainsi que des cellules immunitaires inflammatoires. La présence de ces cellules au niveau de Spike évoque, hélas, la signature d'une réponse auto-immune.
Mais nous avons encore un autre problème : avoir choisi Spike n'était pas une bonne idée. Comme vous le savez, les virus mutent tout le temps.
[...] L'autre problème est que Spike a une particularité inquiétante : elle peut déclencher les mêmes réactions que le SARS-CoV-2 ! Spike a donc la capacité de se retourner éventuellement contre nous.
(p.87-88)
⬅️3️⃣➡️
((Les différences fondamentales avec une vaccination classique))
⤵️
Commenter  J’apprécie          00
Dans le cas d'un vaccin à ARNm, on nous injecte une soucoupe dans laquelle on met de l'ARNm. Le tout est synthétique. Cette technologie de soucoupe est d'ailleurs la même que celle utilisée avec les vaccins ARNm contre la grippe aviaire et contre la rage... ceux qui ne marchaient pas. Cette soucoupe échappe donc à la surveillance immunitaire qui est chargée de faire des anticorps. Ainsi, contrairement à ce qui se passe pour toute autre vaccination, notre système immunitaire ne réagit pas en fabriquant des anticorps sur-le-champs, car il ne détecte pas de virus. En tout cas, pas à ce stade. Il s'agit de ces fameux quinze jours où l'on vous indiquait que vous n'étiez pas protégés... "Il faut du temps à votre corps pour se protéger", écrit le CDC (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis). "Les gens sont considérés comme complètement vaccinés deux semaines après leur première injection". Ce délai est donc une seconde différence fondamentale.
La soucoupe fusionne alors avec nos cellules, comprenez que l'ARNm entre en elles. Là, les cellules se transforment d'un coup en usine à produire ce que l'ARNm vaccinal nous force à produire. Avec cette injection, un nouvel ordre arrive. Nos cellules sont ainsi reprogrammées, car l'information de cet ARNm synthétique est conçue pour s'imposer, être exécutée avec une forte productivité. CureVac -laboratoire allemand- parlera d'une "clé USB" qui donne des ordres à vos cellules.
(p.85-86)
⬅️2️⃣➡️
((les différences fondamentales avec une vaccination classique))
⤵️
Commenter  J’apprécie          40
Jusqu'à présent, se faire vacciner, c'était se faire injecter un virus atténué ou un bout de protéine de virus inactivé. C'est-à-dire que le virus ou le bout de virus étaient rendus inoffensifs. Notre système immunitaire reconnaissait ces corps étrangers et fabriquait immédiatement des anticorps contre eux. On s'immunisait contre les maladies. A partir de septembre 2021, le CDC (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis) change la définition du mot "vaccin". on ne parle plus d'immunité, mais de protection, sans en connaître l'étendue. C'est une première différence avec la vaccination classique
(p.85)
1️⃣⏩
((pour comprendre la différence fondamentale avec la vaccination classique))
Commenter  J’apprécie          10
On nous a répété que les vaccins à ARNm étaient connus et utilisés depuis longtemps, or c'est un mensonge.
Commenter  J’apprécie          00
Le nouvel ARNm s'appelle le CV7202 et la méthode est de le mettre dans une petite capsule, disons une petite soucoupe flottante qui va lui permettre de rentrer dans toutes les cellules de manière quasi inaperçue.
La publication prend des allures de catalogue d'effets indésirables graves ou modérés, avec notamment une baisse anormale pendant quelques jours des globules blancs (lymphopénie), ce qui signifie une chute du système immunitaire chez plus de la moitié des participants. Aucune trace de cette chute avec le vaccin classique.
Le vaccin à ARNm donne des effets indésirables ou surprenants, là où un vaccin classique n'en donne pas.
(p.78)
Commenter  J’apprécie          10
Si je vous donne toutes ces informations sur les ARN, c'est pour que, la prochaine fois que vous entendrez dire dans un média que l'on sait parfaitement ce qu'est l'ARN messager (celui qui sert au vaccin), vous sachiez qu'on vous ment .
Les multiples formes d'ARN, leurs immenses capacités, leurs modifications, leurs rôles aussi divers que variés, le fait qu'il y en a partout, tous ces éléments nous interdisent de dire qu'on les connaît. On sait des choses à leur sujet bien sûr, mais on ne les connaît pas parfaitement. On n'avait pas le droit de dire qu'on savait ce qu'un vaccin ARNm ferait à notre corps à long terme, ni même à moyen ou court terme.
Commenter  J’apprécie          20
Attardons-nous un instant chez Pfizer : en naviguant sur leur site, j'ai trouvé d’autres informations intéressantes. Sur chacune de leurs pages apparaît un bandeau où est inscrit : "Les vaccins n'offrent pas une protection totale chez les personnes qui les reçoivent et ne sont pas indiqués pour traiter l'infection ou en réduire les complications".
Je résume ; avec le vaccin, on n'est pas totalement protégé, soit ! Mais il ne traite pas non plus l'infection ? N'en réduit pas les complications ? Une seule question se pose alors : ce vaccin, il sert à quoi ?
(p.25)
Commenter  J’apprécie          50
Je suis allée visiter le site d'un des fournisseurs de vaccins ARNm pour voir s'il donnait accès à une liste d'effets secondaires. Sur le site de Pfizer, je me suis rendue sur la page censée les lister. En cliquant, on arrive sur un autre site, sur lequel il faut s'inscrire, ce que j'ai fait, en attente d'un lien, que j'attends toujours. Je me suis dit que mon ordinateur devait avoir un problème, j'ai donc demandé à plusieurs autres personnes de tenter cette même requête sur le site de Pfizer. Même résultat. La liste n'est pas accessible.
(p.25)
Commenter  J’apprécie          20
Regardons sur-le-champ l'étendue de ces effets indésirables, grâce à la "liste prioritaire des évènements indésirables d'intérêt particulier". Cette liste provient de la très officielle Brighton Collaboration, qui est partenaire de l'OMS.
- Désordres hémotologiques, notamment des saignements internes ou externes, thrombocytopénies, troubles de la coagulation, thrombose, thromboembolisme, AVC ;
- Désordres immunologiques tels que des anaphylaxies dont les formes sont aggravées par le vaccin, les syndromes inflammatoires multisystémiques chez les enfants ;
- Désordres pulmonaires tels que le syndrome de détresse respiratoire aigu ;
- Désordre cardiovasculaire aigus dont myocardite, péricardite, arythmie, insuffisance cardiaque, infarctus ;
- Atteintes rénales et hépatites aiguës ;
- Désordre neurologiques dont les encéphalomyélites aiguës disséminées, les syndromes de Guillain-Barré et Miller Fisher, la méningite aseptique, la méningo-encéphalite, les convulsions généralisées, la paralysie du nerf facial, l'anosmie, l'agueusie ;
- Désordres dermatologiques dont les érythèmes multiformes, l'alopécie, les lésions de type engelures, la vascularite cutanée.
Cette liste est susceptible d'être mise à jour à mesure que de nouvelles preuves apparaissent.
Je pourrai aborder en détail chacune de ces maladies, mais par économie de temps et de frayeurs je ne vais insister que sur quelques-unes.
En premier lieu, les troubles menstruels sont désormais un chapitre important de la vie des femmes vaccinées.

(p.22)
Commenter  J’apprécie          20
Il y a les engagements auxquels on se serait attendus, mais qui n'ont pourtant jamais été énoncés. Je pense à l'engagement de ne pas nous faire mourir, comme à celui de ne pas occasionner des effets secondaires de nature à bouleverser toute une vie... Le fameux principe de la médecine de ne pas nuire. Un principe qu'on imagine partagé par tous.
On a compris que le ton était tout autre dès que l'on a eu accès à des documents de Pfizer que nous ne devions pas lire avant 75 ans (et 4 mois). Nous y apprenons qu'en trois mois d'essais cliniques, environ 14 morts par jour ont été enregistré par Pfizer, avec exactement 1 223 décès et 158 893 effets indésirables enregistrés entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021.
(p.17)
Commenter  J’apprécie          61
- Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche d'attraper le Covid ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche d'attraper à nouveau le Covid ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche d'infecter les autres ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche de mourir du Covid ? Non.

(p.14)
Commenter  J’apprécie          80
Parce que je n'ai pas cru à la fable qui faisait du pangolin ou de la chauve-souris les responsables du Covid. Parce que j'ai osé quitter ma blouse et mes fioles pour clamer il y a trois ans ce qui aujourd'hui est de notoriété publique : les hommes sont responsables le l'apparition de ce virus. Parce que j'ai aussi osé dire que les tests PCR ne sont pas sans risque, et que c'est une folie de traiter une population saine comme si elle était malade... Voilà les raisons pour lesquelles on m'a aussi accusé d'être "complotiste". Je le suis si cela signifie regarder les faits, les chiffres. Je le suis si cela signifie dénoncer des mensonges. Il ne s'agit pas ici de traiter de météo ou de mode, mais de la santé de milliards d'êtres humains. Voilà pourquoi dans ce livre vous apprendrez ce qu'est l'ARN, et précisément l'ARNm, celui des vaccins anti-Covid.

(Extrait de l'Introduction)
Commenter  J’apprécie          11
Pfizer, BioNTech et Moderna ont reçu un financement public de plus de 8 milliards de dollars dans le cadre de la lutte contre la Covid 19. Pour autant, les sociétés préfèrent privilégier leurs intérêts économiques au bien commun. Malgré les aides perçues, les laboratoires continuent de se faire une marge colossale lors de la vente des vaccins facturés au moins cinq fois leur coût de production.
Commenter  J’apprécie          20
Cette publication n’a pas manqué de susciter une controverse folle car évidemment la question sous-jacente est : l’ARN vaccinal peut-il aussi intégrer notre génome, et donc modifier notre descendance ? La réponse est oui !
Commenter  J’apprécie          10
On a compris que le ton était tout autre dès que l’on a eu accès à ces documents de Pfizer que nous ne devions pas lire avant 75 ans (et 4 mois). Nous y apprenons qu’en trois mois d’essais cliniques, environ 14 morts par jour ont été enregistrés par Pfizer, avec exactement 1223 décès et 158 893 effets indésirables enregistrés entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021.
Commenter  J’apprécie          10
Comme le prouve une étude publiée fin 2021 dans Science : sur 780 000 retraités de la Health Administration suivis aux Etats-Unis entre février et octobre 2021, la protection vaccinale est passée en moyenne de 86,9% à 43,3% sur cette période. Le directeur général de l’OMS a donc raison de déclarer dès le 23 novembre 2021 : « Si vous êtes vaccinés, vous risquez tout de même de contracter la maladie.
Commenter  J’apprécie          50
Chaque personne est le produit d'une fusion totalement unique qui explique, si elle a des frères et sœurs, qu'ils ne sont pas ses doubles. Pourtant, comme elle, ils sont faits de l'ADN du père et de la mère. Et c'est pour moi la source d'un émerveillement constant. À chaque rencontre, je me représente la chance que j'ai de croiser, de parler avec une personne, de la connaître, même si elle est antipathique, car elle est unique : il n'y en a jamais eu d'autres comme elle dans toute l'histoire de l'humanité, et on peut affirmer avec certitude qu'il n'y en aura jamais une autre après elle.
Commenter  J’apprécie          100
Mais arrêtons-nous un instant chez Pfizer : en naviguant sur leur site, j'ai trouvé d'autres informations intéressantes. Sur chacune de leurs pages apparaît un bandeau où est inscrit : "les vaccins n'offrent pas une protection totale chez les personnes qui les reçoivent et ne sont indiqués pour traiter l'infection ou en réduire les complications"
Commenter  J’apprécie          30



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Alexandra Henrion Caude (134)Voir plus

Quiz Voir plus

Arnaques, pastiches et fantaisies littéraires

Qu'est-ce que la stéganographie ?

L'art de dissimuler un message
L'art d'écrire sans les mains
L'art de ne pas écrire

6 questions
37 lecteurs ont répondu
Thèmes : culture générale , littératureCréer un quiz sur cet auteur

{* *}