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Citations de Alexandra Henrion Caude (31)


Cette publication n'a pas manqué de susciter une controverse folle car évidemment la question sous-jacente est : l'ARN vaccinal peut-il aussi intégrer notre génome, et donc modifier notre descendance? La réponse est oui. […]
Imaginer qu'on a injecté ce vaccin à des millions d'hommes, de femmes, de jeunes, et maintenant d'enfants sans avoir pris la moindre précaution pour protéger la molécule la plus intime qui soit : notre ADN, notre génome, notre patrimoine génétique me plonge dans une perplexité vertigineuse.
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Pour mieux comprendre, prenons, en guise d’ARNm, une phrase complète : « Ce matin je mange du gâteau au chocolat. » Elle comporte un seul message, qui pourtant peut servir à construire d’autres messages de même nature, comme « Je mange », « Ce matin je mange », « Je mange du gâteau », « Je mange du chocolat ». Mais elle peut aussi donner des messages qui ne sont pas de même nature, en s’adressant à quelqu’un d’autre et en lui donnant un ordre comme « Mange », « Mange du gâteau » ou « Mange du chocolat », et elle peut même utiliser l’exclamation : « Du chocolat ! », etc.
Ajoutons à cette complexité que même les silences entre les mots donnent une information : imaginez ce livre sans espace entre les mots ! En clair, la cellule s’autorise toutes les combinaisons possibles à partir de l’ARNm, qui, lui, est passif.
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En Allemagne, le 9 septembre 2022, le principal quotidien berlinois, le Berliner Zeitung, [...] interviewe l'épidémiologiste et professeur émérite à l'université de Münster, Ulrich Keil. "Nous constatons donc une augmentation absolue du risque [d'effets secondaires graves] dû à la vaccination ARNm-Covid-19", explique-t-il.
Le 12 septembre 2022 est publiée une autre étude, qui révèle cette fois que le vaccin peut être plus dangereux que le virus lui même, jusqu'à 98 fois plus dangereux. Elle est menée par les scientifiques de Harvard et de Johns-Hopkins dans la revue Social Science Research Network, et repose sur les données du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis (CDC) et des laboratoires eux-mêmes, chez des jeunes adultes entre 18 et 29 ans.
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"Nous sommes ce que nous mangeons", nous expliquait Ludwig Feuerbach, philosophe du XIXème siècle. Mais nous avait-on précisé que "nos descendants seront aussi ce que nous avons mangé?" Les femmes surveillent généralement, presque intuitivement, ce qui entre dans leur corps quand elles sont enceintes. Mais ont-elles conscience qu'il faudrait faire attention à ce qu'elles mangent y compris en dehors des neufs mois de grossesse?
Et quel homme pense, au moins dans les deux mois et demi avant d'essayer de procréer, que ce qu'il mange va influencer la santé de ses spermatozoïdes et celle de sa descendance? Aucun! Car nous avons cette information depuis peu. Et qu'elle se diffuse à peine, voire pas du tout.
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Chaque personne est le produit d'une fusion totalement unique qui explique, si elle a des frères et sœurs, qu'ils ne sont pas ses doubles. Pourtant, comme elle, ils sont faits de l'ADN du père et de la mère. Et c'est pour moi la source d'un émerveillement constant. À chaque rencontre, je me représente la chance que j'ai de croiser, de parler avec une personne, de la connaître, même si elle est antipathique, car elle est unique : il n'y en a jamais eu d'autres comme elle dans toute l'histoire de l'humanité, et on peut affirmer avec certitude qu'il n'y en aura jamais une autre après elle.
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Cela veut dire que la rencontre avec un parasite modifie l'ARN du sperme, et que cet ARN modifié est capable de changer le comportement des générations suivantes. Quand je vous dis que l'ARN est très puissant !
Chez l'homme, cela prend hélas beaucoup plus de temps pour étudier la transmission sur plusieurs générations (les hommes vivant trop longtemps par rapport aux chercheurs vieillissants), mais chez les vers, qui ont de courtes existences, on s'est rendu compte que cette transmission peut concerner jusqu'à quatorze générations.
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- Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche d'attraper le Covid ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche d'attraper à nouveau le Covid ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche d'infecter les autres ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche de mourir du Covid ? Non.

(p.14)
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Il y a les engagements auxquels on se serait attendus, mais qui n'ont pourtant jamais été énoncés. Je pense à l'engagement de ne pas nous faire mourir, comme à celui de ne pas occasionner des effets secondaires de nature à bouleverser toute une vie... Le fameux principe de la médecine de ne pas nuire. Un principe qu'on imagine partagé par tous.
On a compris que le ton était tout autre dès que l'on a eu accès à des documents de Pfizer que nous ne devions pas lire avant 75 ans (et 4 mois). Nous y apprenons qu'en trois mois d'essais cliniques, environ 14 morts par jour ont été enregistré par Pfizer, avec exactement 1 223 décès et 158 893 effets indésirables enregistrés entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021.
(p.17)
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Pour lutter, et de préférence gagner contre le SARS-CoV-2, les chercheurs ont commencé par choisir la souche de Wuhan. Or, en juillet 2020, on sait déjà qu'une autre souche a fait son apparition.
Et celle-ci toucherait 74% de la population mondiale, selon une étude italienne parue dans la revue Frontiers in Microbiologie [34].
Bref, nous voici lancés dans une guerre contre un ennemi qui n'est pas le bon.
À l'école, on aurait qualifié ça de hors sujet.
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Attardons-nous un instant chez Pfizer : en naviguant sur leur site, j'ai trouvé d’autres informations intéressantes. Sur chacune de leurs pages apparaît un bandeau où est inscrit : "Les vaccins n'offrent pas une protection totale chez les personnes qui les reçoivent et ne sont pas indiqués pour traiter l'infection ou en réduire les complications".
Je résume ; avec le vaccin, on n'est pas totalement protégé, soit ! Mais il ne traite pas non plus l'infection ? N'en réduit pas les complications ? Une seule question se pose alors : ce vaccin, il sert à quoi ?
(p.25)
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Comme le prouve une étude publiée fin 2021 dans Science : sur 780 000 retraités de la Health Administration suivis aux Etats-Unis entre février et octobre 2021, la protection vaccinale est passée en moyenne de 86,9% à 43,3% sur cette période. Le directeur général de l’OMS a donc raison de déclarer dès le 23 novembre 2021 : « Si vous êtes vaccinés, vous risquez tout de même de contracter la maladie.
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Les multiples formes d'ARN, leurs immenses capacités, leurs modifications, leurs rôles aussi divers que variés, le fait qu'il y en a partout, tous ces éléments nous interdisent de dire qu'on les connait. On sait des choses à leur sujet bien sûr, mais on ne les connait pas parfaitement. On n'avait pas le droit de dire qu'on savait ce qu'un vaccin à ARNm ferait à notre corps à long terme, ni même à moyen ou court terme.
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Les débats scientifiques sur le covid n'ont jamais eu lieu. Personne ne détient la vérité sur le covid.
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Dans le cas d'un vaccin à ARNm, on nous injecte une soucoupe dans laquelle on met de l'ARNm. Le tout est synthétique. Cette technologie de soucoupe est d'ailleurs la même que celle utilisée avec les vaccins ARNm contre la grippe aviaire et contre la rage... ceux qui ne marchaient pas. Cette soucoupe échappe donc à la surveillance immunitaire qui est chargée de faire des anticorps. Ainsi, contrairement à ce qui se passe pour toute autre vaccination, notre système immunitaire ne réagit pas en fabriquant des anticorps sur-le-champs, car il ne détecte pas de virus. En tout cas, pas à ce stade. Il s'agit de ces fameux quinze jours où l'on vous indiquait que vous n'étiez pas protégés... "Il faut du temps à votre corps pour se protéger", écrit le CDC (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis). "Les gens sont considérés comme complètement vaccinés deux semaines après leur première injection". Ce délai est donc une seconde différence fondamentale.
La soucoupe fusionne alors avec nos cellules, comprenez que l'ARNm entre en elles. Là, les cellules se transforment d'un coup en usine à produire ce que l'ARNm vaccinal nous force à produire. Avec cette injection, un nouvel ordre arrive. Nos cellules sont ainsi reprogrammées, car l'information de cet ARNm synthétique est conçue pour s'imposer, être exécutée avec une forte productivité. CureVac -laboratoire allemand- parlera d'une "clé USB" qui donne des ordres à vos cellules.
(p.85-86)
⬅️2️⃣➡️
((les différences fondamentales avec une vaccination classique))
⤵️
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Quelle est la durée de vie de l'ARN messager dans notre corps? Réponse : on ne sait pas.[…]
L'on a appris en mars 2022 que la durée de vie de l'ARNm dépasse largement les quatre jours.
Détail glaçant, ce dernier fait n'a été découvert que par hasard! Les chercheurs en question, qui travaillaient sur l'immunité post-Covid et post-vaccinale, s'aperçoivent tout à coup que l'ARNm est encore présent dans le corps deux mois après l'injection du vaccin anti-Covid… Rassurant non?
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En résumé, avec l'ARN messager, tout, absolument tout peut arriver. Comme un feu d'artifice non maîtrisé pas toujours prévisible.
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Mais arrêtons-nous un instant chez Pfizer : en naviguant sur leur site, j'ai trouvé d'autres informations intéressantes. Sur chacune de leurs pages apparaît un bandeau où est inscrit : "les vaccins n'offrent pas une protection totale chez les personnes qui les reçoivent et ne sont indiqués pour traiter l'infection ou en réduire les complications"
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Si je vous donne toutes ces informations sur les ARN, c'est pour que, la prochaine fois que vous entendrez dire dans un média que l'on sait parfaitement ce qu'est l'ARN messager (celui qui sert au vaccin), vous sachiez qu'on vous ment .
Les multiples formes d'ARN, leurs immenses capacités, leurs modifications, leurs rôles aussi divers que variés, le fait qu'il y en a partout, tous ces éléments nous interdisent de dire qu'on les connaît. On sait des choses à leur sujet bien sûr, mais on ne les connaît pas parfaitement. On n'avait pas le droit de dire qu'on savait ce qu'un vaccin ARNm ferait à notre corps à long terme, ni même à moyen ou court terme.
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Je suis allée visiter le site d'un des fournisseurs de vaccins ARNm pour voir s'il donnait accès à une liste d'effets secondaires. Sur le site de Pfizer, je me suis rendue sur la page censée les lister. En cliquant, on arrive sur un autre site, sur lequel il faut s'inscrire, ce que j'ai fait, en attente d'un lien, que j'attends toujours. Je me suis dit que mon ordinateur devait avoir un problème, j'ai donc demandé à plusieurs autres personnes de tenter cette même requête sur le site de Pfizer. Même résultat. La liste n'est pas accessible.
(p.25)
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Regardons sur-le-champ l'étendue de ces effets indésirables, grâce à la "liste prioritaire des évènements indésirables d'intérêt particulier". Cette liste provient de la très officielle Brighton Collaboration, qui est partenaire de l'OMS.
- Désordres hémotologiques, notamment des saignements internes ou externes, thrombocytopénies, troubles de la coagulation, thrombose, thromboembolisme, AVC ;
- Désordres immunologiques tels que des anaphylaxies dont les formes sont aggravées par le vaccin, les syndromes inflammatoires multisystémiques chez les enfants ;
- Désordres pulmonaires tels que le syndrome de détresse respiratoire aigu ;
- Désordre cardiovasculaire aigus dont myocardite, péricardite, arythmie, insuffisance cardiaque, infarctus ;
- Atteintes rénales et hépatites aiguës ;
- Désordre neurologiques dont les encéphalomyélites aiguës disséminées, les syndromes de Guillain-Barré et Miller Fisher, la méningite aseptique, la méningo-encéphalite, les convulsions généralisées, la paralysie du nerf facial, l'anosmie, l'agueusie ;
- Désordres dermatologiques dont les érythèmes multiformes, l'alopécie, les lésions de type engelures, la vascularite cutanée.
Cette liste est susceptible d'être mise à jour à mesure que de nouvelles preuves apparaissent.
Je pourrai aborder en détail chacune de ces maladies, mais par économie de temps et de frayeurs je ne vais insister que sur quelques-unes.
En premier lieu, les troubles menstruels sont désormais un chapitre important de la vie des femmes vaccinées.

(p.22)
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