Alice Broadway

Un roman sur le thème du tatouage plutôt original qui me laisse mitigée. L’atmosphère est prenante et nous plonge dans un monde ou le marquage à l’encre est sacralisé par des conte ancestraux. C’est fameux tatouages reflètent votre vie, vos actes, vos rêves, et tout ce qui fait ce que vous êtes, jusqu’à votre mort. Sujet qui m’a mise légèrement mal à l’aise justement est que dans cette histoire lorsque les personnes décèdent la communauté a recours aux écorcheurs qui font de la peau du défunt une livre pour leur famille.

C’est donc baignée dans ce folklore un peu scabreux que nous découvrons que ce monde est divisé en deux catégorie, les personnes tatoués et les sans tatouage baptisés « Immaculés ».Les premiers étant considérés comme les gentils et les second comme des marginaux et des criminelles.

Enfin bien que ce ne soit pas un roman qui coupe le souffle, cela reste une lecture divertissante, à l’univers riche et original. Je pense qu’il ne plaira pas à tout le monde.

Pas hyper emballée par "Marqués", le premier tome de cette série, j'attendais de voir si l'intrigue prenait de l'ampleur dans ce deuxième tome (sur trois).



C'est plutôt désespérant, car il y a de nouveau de bonnes idées comme les histoires découvertes du point de vue des marqués dans le premier tome, ici contées de celui des immaculés ; ou encore la religion des immaculés avec le principe des petits cailloux à accumuler en symbole de ses fautes puis la renaissance pour s'en libérer.

Pourtant je n'ai pas réussi à m'attacher à Leora, qui manque de profondeur comme la totalité des personnages. Ses choix et ses revirements m'ont souvent semblé incompréhensibles.



Ce n'est pas que ces romans soient mauvais. Plutôt que les thématiques, les personnages et les enjeux sont survolés, ce qui est vraiment dommage dans une saga de trois tomes !

J'arrête là, avec regret car il y avait à mon avis le potentiel de romans marquants, mais sans m'inquiéter le moins du monde de ce qu'il adviendra des personnages.

Je sors de cette lecture mitigée.

J'avais été attirée par sa couverture originale et par le fait qu'il avait été sélectionné pour le prix Vif d'or (prix des bibliothèques lyonnaises, généralement gage de qualité).



J'y ai trouvé de jolies idées et un univers intéressant. Mais "Marqués" est le premier tome d'une série de trois, et j'ai eu l'impression que l'auteure en gardait en réserve pour la suite. Trop.

L'exposition de la société, des personnages et des enjeux est longue et de fait l'histoire met beaucoup de temps à démarrer. Paradoxalement, cela ne permet pas à Alice Broadway de creuser ses personnages ni d'attiser réellement la curiosité de ses lecteurs pour cette société. Seuls les deux méchants, pourtant à peine esquissés, ont un fort potentiel.



Je lirai probablement le deuxième tome car je suppose que l'intrigue va décoller, mais je n'ai pas été particulièrement emballée.

Cela vous arrive-t-il d'acheter un livre uniquement parce que la couverture vous envoûte ? Oui, certainement. Il en a été ainsi pour moi avec celui-ci. Impossible de passer à côté !

Intéressant ces corps marqués de tout ces événements qui parsèment la vie. La lecture de ces peaux intriguantes, même si j'y ai trouvé un peu trop de non-dit, de sous-entendus qui servent l'intrigue mais empêchent une analyse plus profonde des sujets.

Avec la couverture de ce roman, et ce résume assez intriguant, j'avoue que je n'ai pas hésité longtemps avant de craquer sur ce livre. Malheureusement, ça ne l'a pas fait avec moi.



L'idée des tatouages était hyper intéressante, l'histoire autour des marqués et non marqués aussi, mais le combo des deux, pas pour moi. J'ai trouvé que tout n'était pas réellement poussé à fond, et qu'il manquait certaines infos pour réellement pouvoir comprendre les comportements et réactions de Leora.



Justement Leora, le personnage principal de ce roman, n'est pas hyper attachante. Je l'ai trouvé plutôt nunuche et pas hyper futée.



Du coup, le mélange monde pas super développé et personnage principal à qui je ne m'attache pas, forcément, ca coince. Trop de simplicité, pas assez de détails, quelques clichés, tout ce que je n'aime pas.



En bref, je ne suis pas convaincu du tout. J'ai cru voir que ce livre était le 1er tome d'une probable saga, mais du coup la suite sera sans moi.

Alors, que dire sur ce livre? Je n'ai pas aimé ma lecture et je vais détailler le pourquoi du comment en deux parties, une sans spoilers et l'autre en masqué.



Déjà, un bon point pour la couverture qui est magnifique, même si le résumé est complètement incorrect. Je pense que l'éditeur s'est complètement trompé.



Marqués parle d'une jeune fille, Léora, qui vit dans une société où les actes importants de la vie d'une personne sont tatoués sur sa peau. A la mort de son père, la jeune fille va voir son monde s'écrouler. En effet, la peau des morts est transformée en livre pour garder une trace de leur vie et Léora va s'apercevoir que son père n'était peut-être pas celui qu'elle croyait. S'en suit alors une enquête pour trouver la vérité.



Ce livre a plein de défauts pour moi à commencer par l'écriture au présent. Déjà, c'est quelque chose que je n'aime pas en général car on ne s'immerge pas bien dans l'histoire. Ensuite, et c'est vraiment dérangeant à mon sens, c'est les répétitons des châles, vraiment, à chaque fois que Léora quitte ou entre dans un lieu, on a le droit à un "je retire mon châle" "je pris mon châle" et quelques autres quand elle tremble de froid dehors. Je n'ai vraiment pas compris pourquoi l'autrice appuyait autant dessus.

Après, toujours dans la catégorie répétitions, on a Léora qui raconte quand elle s'endort, quand elle se réveille ce qu'elle mange, et je trouve ça d'une part redondant et d'autre part triste car ces détails sont assez classiques (elle dort dans un lit, mange des scones , boit du thé).

Enfin, les noms anglais dans une société un peu fantastique n'aident pas au voyage. Le père s'appelle Joel, la mère de la meilleure amie Julia et il n'y a que Léora qui a un prénom original.



Passons maintenant en détails à l'intrigue.

J'ai trouvé l'intrigue prévisible, dès le début on se doutait que les Immaculés n'étaient pas si méchants et qu'ils n'étaient pas si bannis (éfficace ce gouvernement).

Puis on a aussi le cliché de l'héroine moche (selon elle) et de sa meilleure amie canon.

Les contes qui parsèment le roman ne semblent pas extraits de livres séculaires, je ne sais pas si c'est la traduction mais je n'écrirais pas "pour être polis" "et il toussa" dans des histoires sensées être mystiques.

Les rêves de Léora n'ont pas vraiment d'importance dans l'histoire, même s'il montrent son état d'esprit mais elle ne semble pas s'en souvenir.



Parlons de Léora à présent. Elle n'a pas une personnalité marquée mais à la fin elle se tatoue un immense corbeau en envoyant bala der tout ceux avec qui elle s'est réconsiliée (pourquoi?). On dirait qu'elle s'est libérée de ses chaînes de mensonges mais selon moi, un tatouage plus discret lui aurait permis de garder ses proches. Déjà que changer les traditions séculaires a fait parler les gens, mais là, la fille timide et discrète qui passe son temps à mettre et à enlever son châle change de personnalité, comme si découvrir ses origines l'avait transformée (je ne dis pas que c'est impossible mais l'autrice nous montre qu'en général elle préfère fuir).



Les autres personnages ne sont pas assez développés, à commencer par la mère dont on apprend le véritable prénom qu'au milieu du livre et qui (oh cliché) a aimé l'ennemi de tous (le père de Léora). Verity, Oscar et Karl n'existent pas sans Léora (oh j'ai besoin de quelqu'un qui bosse au gouvernement, d'un inconnu mystérieux mais séduisant et d'un rival tatoueur) et seul Obel a une histoire un peu développée (mais incohérente genre je ne veux pas me tatouer mais tatouer les autres???). Mel agit comme un Deus ex machina et Léora ne va la voir que lorsqu'elle a besoin d'elle. La famille de Verity sert de famille de Verity.







Au final ce livre avait de bonnes idées mais elles sont mal exploitées.

Ce roman young adult ne laisse pas indifférent. Fantastique mais pourtant très calqué sur "notre réalité", il dépeint une société ou chaque événement de l'existence de chacun est tatoué sur sa peau. C'est une histoire assez danse et très bien construite. La description de cette société avec ses rituels , notamment autour de la mort est passionnante. L'énigme qui entoure le décès du père de Léora apporte la dose de suspens pour tenir le lecteur en haleine. J'ai trouvé le sujet très original même si ensuite le déroulement des faits et des actions est celui d'une bonne dystopie pour ado. Mention spéciale pour la couv qui est magnifique.

Dans le monde de Leora, chaque élément important de la vie d'une personne lui est tatoué. Ainsi, lorsque son père meurt, un livre fait avec sa peau rejoint le musée en attendant la "cérémonie des peaux". C'est lors de cet évènement que l'on jugera s'il mérite qu'on conserve son livre ou si sa peau sera brûlée, l'enfermant ainsi dans l'oubli.



Leora est certaine que son père était un homme vertueux et qu'il n'a rien à craindre. Pourtant, quand certains souvenirs lui reviennent et que d'étranges éléments se produisent, elle n'a pas d'autre choix que de tout remettre en question. Les "Immaculés" sont-ils réellement les montres dangereux que l'on dépeint ? La société agit-elle vraiment pour le bien de tous ?



L'évolution du récit et de l'héroïne sont très bien menés. On plonge au cœur de la vie de Leora avec une furieuse envie de casser des murs pour avancer plus vite et enfin découvrir le fin mot de l'histoire.



J'ai beaucoup aimé les quelques contes dispersés dans le roman qui sur le moment nous intriguent, continuent par nous perturber jusqu'au moment où l'on se rend compte de leur importance... Un coup de maître !



À celui où celle qui veut tenter de comprendre à s'en emmêler le cerveau : bonne lecture !

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Je commence par l’aspect très superficiel : l’objet live est juste magnifique et c’est ce qui m’a fait craquer pour cet ouvrage et merci aux éditeurs car le contenu en vaut autant le peine !



J’ai adoré le côté mystique de l’histoire avec les croyances des divers personnages. J’ai trouvé ce côté mystique vraiment bien développé et très intriguant. En revanche, la base de l’histoire à savoir se tatouer sa vie sur son corps pour ensuite en faire un livre à leur mort est quelque peu déroutante. En effet, il y a tout la description du processus de tatouage et aussi… d’écorchage ! Je dois avouer que cette partie n’était pas forcément très ragoutante à lire mais passé cette partie, l’histoire est vraiment bien faite.



Du côté de l’intrigue en elle-même, j’ai pas mal était surprise par la profondeur de ce qui se passe. En effet, on découvre des mystères sous les mystères ce qui dénote d’une histoire vraiment très recherchée de la part de l’autrice. De plus, il y a des récits et des contes tout au long de l’histoire pour étayer les dires et les actions actuelles des personnages ce que j’ai particulièrement apprécié car cela crédibilise totalement l’histoire. Du fait que les personnages parlent beaucoup tatouages et dessins, je trouve que la représentation de l’histoire est très facile grâce à la plume de l’autrice qui reflète parfaitement cet univers de façon simple et efficace.



Du côté des personnages, j’ai trouvé que certains n’étaient pas utiles car trop fades (ex : Verity). Néanmoins, les autres personnages sont tous très intriguant notamment le tatoueur en chef. En ce qui concerne la fin, j’ai vraiment apprécié la tournure des évènements et ce que l’autrice nous promet avec cette fin à la limite du Cliffhanger !



En bref, un excellent premier tome qui comporte quelques descriptions glauques mais nécessaires à l’histoire. L’univers mystique créé est tout simplement réussi et sans anicroche, le tout parfaitement écrit par une autrice qui sait nous tenir en haleine ! Vivement la lecture du tome 2 !
Lien : https://anneelodielectures.w..

Dans un monde où les tatouages marquent les instants de vie des individus depuis leur naissance, la transparence est de mise et rien ne doit être tenu secret. Ainsi à la mort des personnes leur peau est prélevée pour devenir le livre de leur vie, seul moyen de conserver leur souvenir... Au moment du décès de son père Leora découvre que des éléments troublants lui ont été cachés concernant son père et la société dans laquelle elle vit... Devant décider à quelle catégorie sociale faisant fonctionner le monde dirigé par Saint, elle va appartenir, elle se pose alors des questions qui mettent en péril tout ce à quoi elle croyait jusqu'alors.

Ce roman de science-fiction évoque le thème de la mémoire, du souvenir des disparus et ce qui fait que leur mémoire reste vivante ou pas... A découvrir !

La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau

Dans un monde où les tatouages marquent les instants de vie des individus depuis leu naissance, la transparence est de mise et rien ne doit être tenu secret. Ainsi à la mort des personnes leur peau est prélevée pour devenir le livre de leur vie, seul moyen de conserver leur souvenir... Au moment du décès de son père Leora découvre que des éléments troublants lui ont été cachés concernant son père et la société dans laquelle elle vit... Devant décider à quelle catégorie sociale faisant fonctionner le monde dirigé par Saint, elle va appartenir, elle se pose alors des questions qui mettent en péril tout ce à quoi elle croyait jusqu’alors.

Ce roman de science-fiction évoque le thème de la mémoire, du souvenir des disparus et ce qui fait que leur mémoire reste vivante ou pas... A découvrir !

La professeuse documentaliste

Ce récit nous plonge dans l'univers d'une société totalitaire où la vie des gens est tatouée sur leur corps (pour ne rien avoir à cacher). Leora, qui vient de perdre son père, doit non seulement vivre son deuil et découvrir le secret caché de celui-ci, mais elle doit aussi entrer dans le monde des adultes et être initiée à son futur métier... Un chouette roman!

Wouah ! J’ai adoré l’univers inventé par l’auteure de ce young adult ! Elle nous emmène dans une société totalitaire où chaque fait important de notre vie est tatoué sur notre peau (et controlé par le gouvernement). Comme c’est écrit à la première personne, on voit l’emprise de la propagande sur l’esprit de notre jeune héroïne Leora, qui vient de perdre son père. Elle va commencer à prendre conscience que cette société « idéale » a des aspects plus sombres et apprendre que son père avait des secrets… Apparemment, c’est une trilogie et je vais me jeter sur la suite !

Je vous le recommande vraiment !

Pour ce qui est de l'histoire, je crois qu'elle a reçu l'éloge qu'elle mérite (selon moi). Il est question ici d'une adolescente, qui va comprendre que la vie n'est pas toujours telle qu'on la voudrait, qui va apprendre à faire des choix, qui va découvrir qu'elle peut faire les choses à sa façon plutôt qu'à la façon de sa société. Dans le monde de Leora, le tatouage est le livre d'une vie, ce qui reste après la mort. Cela m'a fait penser aux tradition Maori avec les tatouages qui représentent des actes accomplies. C'est une véritable religion ici. Toutefois, l'adolescente va comprendre petit à petit qu'elle n'est pas comme les gens de son village. Et que des secrets planent autour d'elle.



Je ne savais pas qu'il y aurait un deuxième tome lorsque je l'ai acheté mais je vous garantie que j'ai hâte de l'avoir en main et de savoir ce que Leora a décidé de faire de sa vie. Quels enseignements elle a tiré de tout ce qu'elle a dû vivre.

Lien : https://ninehank.com/2018/06..

Un livre qui m'a marqué d'abord pour sa couverture très colorée pour un livre de fantasy. Puis en lisant le sujet, j'ai vu que cela parlait du tatouage, thème qui me tient à cœur.



En résumant assez brièvement l'histoire, toute la société se base sur le tatouage. Chaque individu marque les événements importants de sa vie sur sa peau. Tout le monde est donc tatoués, le plus souvent entièrement.

Intervient alors les immaculés. Ceux dont la peau n'est marqué par aucun tatouages. Ces personnes, des réprouvés sont mises à l'écart et à leurs morts tombent dans l'oubli. Toutes personnes aidant les immaculées sont tatouées d'un corbeau. Quand Leona apprend à la mort de son père que celui ci en était un, beaucoup de questions sont alors posées. Elle va peu à peu découvrir une autre vérité et réalité que celle imposée par son peuple.



Premier bémol, le fil de l'histoire est assez rapidement identifiable. Nous avons affaire à un roman dystopique, guère original.

Second point négatif, l’héroïne sans réel relief.

Malgré tout, le livre se lit très rapidement, l'intrigue tient la route et l'univers est fourmillant d'idées nouvelles.

Le tome deux à donc été le suivant sur ma liste de lecture

The book in itself was a complete surprise. I don’t really know what I was expecting, but I’m certain that it wasn’t this. Needless to say, I really want to read the second book just to know more about the characters and their stories.

​

“I was older than all of my friends when I got my first tattoo.



​Right from the start, Leora’s story is uncanny and intriguing. I really loved the idea that death isn’t something that people fear because even after it, their story will still be remembered by everyone, so they’re never really “gone”. It reminded me of the Egyptian society that really thought that as long as people remember you, you can’t really die. It’s basically the same thing, except that the family can keep a copy of their dead relatives’ marks (which is kind of gross, but we all have our ways to cope with people’s death, who am I to judge right?).



It was really interesting to see the different jobs that people can have in this society, like READERs (like Leora) who can see beyond people’s marks, she can see more than just the mark, but also memories. Then there are the INKERs, whose job is to actually mark people, and the FLAYERs. I’m not sure I got everything right, it has been a while since I read in English and this book more particularly and my memory isn’t perfect. But I really felt like this society could exist and be interesting to study, as opposed to a lot of Fantasy worlds where you clearly wouldn’t believe or want to live in.



“A crow. A crow. The mark is a crow.”

​

In conclusion, I would say that the book is a bit of a mix between “Divergent” and “Cinderella” (the story of the two sisters, with the beautiful one loved by her father and the other one who isn’t really pretty and ends up turning “evil” because of it). The ending was a bit confusing too, but I really like the story as a whole. It’s touching and teaches that we need to accept who we really are because there’s not expecting it.




Lien : https://thereadobot.weebly.c..

L’auteure plonge le lecteur dans un monde très détaillé, original et intéressant. En effet, Leora vit dans une société où les personnes sont recouvertes de tatouages, ces derniers racontant toute leur vie : prénom, famille, métier, réussite… À leur mort, ces tatouages sont reliés pour former un livre afin de conserver l’histoire du défunt et que celui-ci ne soit pas oublié.

Cet univers est fascinant et perturbant à la fois.

Ce sujet change de ceux récurrents dans la littérature jeunesse, pour le plus grand plaisir du lecteur.

De plus, l’écriture de l’auteure est entraînante.

Ces deux éléments donnent un roman difficile à lâcher dont les pages défilent à vive allure.

Une belle découverte qui rend impatient de lire le second tome !

Second tome de cette fabuleuse série d'Alice Broadway.

J'avais tellement hâte de lire ce livre, j'avais totalement adoré marqué, et celui-ci est tout aussi bien.

j'était super contente de retrouver Leora, ainsi qu'Obel, Verity, Oscar... Et moins d'en retrouver d'autre, mais bon, c'est ça qui donne le sens à l'histoire.

Leora est une héroïne que j'adore, depuis le premier tome et encore maintenant. Elle est super mature, intelligente, courageuse, elle très "humaine", réelle... On peut bien s'y identifier, même si elle reste beaucoup "mieux" que tout le monde.

L'intrigue reste toujours super intéressante, on ne s'ennuie jamais, je n'ai qu'une seule envie, c'est de lire le tome trois, mais il n'est pas sortie en français, donc je vais attendre.