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Citations de Amélia Roy (32)


« Oui, certaines anciennes connaissances sont revenues vers moi à l’annonce de mon mariage dans l’espoir d’y gagner quelque chose. Et ça n’a en effet pas toujours été des personnes qui me voulaient du bien. »
   
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Une femme avide de pouvoir et d’argent incapable de satisfaire le jeune homme qu’elle a épousé au point de le voir dans les bras d’une autre quelques semaines après le mariage.
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Ce sourire, Enzo l’avait vu des centaines de fois durant les conférences, le sourire que chacun pouvait interpréter comme ça l’arrangeait. Loin de le calmer, ce sourire le fit bouillir. C’étaient bien des traces de morsures qu’il avait vues sur sa nuque ? Maintenant qu’il regardait mieux, il constatait qu’elle portait également du fond de teint dans le cou, mais qu’il ne cachait pas entièrement des endroits où la peau était plus foncée. Des suçons ? Enzo serra les dents.
   
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C’était une sensation très étrange. Plus Dan accélérait, plus la douleur d’Amélie s’intensifiait en même temps que son plaisir. Elle n’aurait su dire lequel était le plus forts à ce moment-là et finit par pousser un cri lorsque l’orgasme arriva. Epuisée la jeune femme se laissa tomber entre les draps et se retourna sur le dos pour reprendre sa respiration.
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Dan avait toujours aimé le fait de la posséder tout entier, il aimait marquer son territoire sur le corps qu’elle lui avait offert volontiers à maintes reprises.
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Lorsque le membre de Dan entra dans son vagin, Amélie serra les dents en réalisant qu’elle était aussi sèche que la Vallée de la Mort. Ce pénis qu’elle avait chéri et qui lui avait donné tant de plaisir par le passé ressemblait maintenant à une bûche de bois à l’écorce rugueuse que l’on frottait contre son intimité, lui limant les parois vaginales. Dan ne sembla pas s’en rendre compte, ou plutôt ne s’en préoccupa pas, et continua sa besogne. Amélie ne lui demanda pas d’arrêter, se contentant de fermer les yeux et de serrer les dents pour empêcher un gémissement de douleur de s’échapper d’entre ses lèvres.
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Elle avait soif de violence mais ses maudits sentiments l’empêchaient de porter atteinte à Enzo. Elle préférait encore se faire du mal à elle-même.
    C’est pour cela que lorsque Dan entreprit de la déshabiller, elle ne fit rien pour l’arrêter. Elle se laissa faire, telle une poupée chiffon et obéit lorsqu’il lui ordonna de déboucler sa ceinture. Il s’assit sur le lit et Amélie s’agenouilla docilement entre ses jambes. Ça se passait toujours de la même façon avec lui.
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Elle n’avait pas vraiment envie de coucher avec Dan et pourtant elle le serrait de toutes ses forces dans ses bras en l’embrassant langoureusement. Elle voulait ressentir quelque chose. Quelque chose qui lui fasse oublier Enzo, ses mots et cette maudite photo. Elle avait voulu lui faire mal, si elle s’était écoutée, elle l’aurait frappé encore et encore jusqu’à ce qu’il ne soit plus en mesure de parler.
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On se la joue femme fidèle ? Bon, en tout cas lorsque tu en auras assez de voir ton mari te tromper avec la moitié de ses collaboratrices, n’hésite pas à m’appeler, ça me fera toujours plaisir.
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Sa vie personnelle en revanche, c’était une autre histoire. Elle devait faire attention à son image même en dehors du travail, ne sachant jamais quand un paparazzi déciderait de venir la photographier à son insu, elle ne pouvait plus sortir avec des amis sans se faire reconnaître et interviewer. Ça c’était le côté ennuyeux. Concernant les aspects positifs, il y avait Enzo.
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Quel instant merveilleux ! Sa peau contre celle de l’homme qu’elle aimait, comblée, elle se sentait presque aimée. Elle leva les yeux vers lui en souriant de toutes ses dents. Habituée aux caméras, elle savait toujours contrôler son sourire et l’adapter à la situation. Mais là, repue et dolente, toute à sa sauvagerie, elle ne pouvait qu’exprimer ranchement sa joie.
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La sensation qu’elle éprouvait alors s’en retrouva décuplée et elle dut se mordre la lèvre pour ne pas gémir. Un des seuls garçons qui savait faire plusieurs choses en même temps. Bien. Très bien.
    C’est alors qu’un coup de rein du jeune homme plus fort que les autres la fit basculer en avant.
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L’envie d’Amélie atteignit alors son apogée. Elle était prête. Plus question maintenant de se brider ! Elle commença à bouger lentement, d’avant en arrière sans relever le bassin, cela lui procurait des sensations de papillons dans le bas du ventre. Elle s’était toujours demandé ce que ressentaient ses partenaires lorsqu’elle faisait cela, mais aucun n’avait été capable de lui expliquer.    
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Amélie se releva pour regarder son mari dans les yeux. Ses yeux brûlaient d’envie. Il la désirait ! Elle écarta alors les pans de son peignoir pour le laisser voir l’objet de sa convoitise. L’effet fut immédiat et son désir se fit nettement sentir. Le voir au supplice, bouillant d’impatience plaisait énormément à Amélie qui serpenta doucement contre lui et l’embrassa violement. La langue qu’elle immisça dans sa bouche le força à l’ouvrir complètement pour se laisser remplir tout entier de cette femme qui renouait avec son instinct primaire. Naturellement, elle descendit une main jusqu’à son entrejambe pour voir où il en était. Satisfaisant. Elle le caressa délicatement. Juste assez pour exacerber son désir et trop peu pour le satisfaire. Alors, elle se redressa, se débarrassa entièrement de son peignoir, offrant tout son corps à la vue d’Enzo. Elle se sentait forte en voyant le regard admiratif du jeune homme. Son propre désir lui donnait bien du mal à garder son calme face à cet homme qu’elle convoitait depuis des années à sa merci. Mais il fallait d’abord y aller lentement. L’exciter jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. En prenant tout son temps, elle abaissa son bassin vers le pénis dressé de l’homme.
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Il avait l’air particulièrement sensible à ces endroits car il attrapa de nouveau ses lèvres, cette fois avec plus d’ardeur, comme pour se donner une contenance. Ce corps magnifiquement sculpté et cette bouche qui s’unissait à la sienne avec une confiance experte plaisaient beaucoup à Amélie. Et que dire de ces mains qui lui caressaient les hanches, le ventre et les fesses avec douceur et volupté. C’était splendide.
   
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Elle sentit les lèvres de son mari s’étirer en un sourire et en profita pour laisser passer sa langue. Sa bouche était chaude et elle pouvait encore sentir le goût du champagne. Les larges mains du jeune homme se mirent alors en mouvement, caressant délicatement son corps à travers la soie si fine qu’elle se sentait déjà complètement nue. L’une descendit jusqu’au creux de son dos, suivant la courbe naturelle de ses formes jusqu’à ses fesses qu’il effleura avec douceur.
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Maudite maturité tueuse de relations ! Il avait fallu qu’elle se mette à l’aimer autrement que comme un ami, un enfant mignon avec qui elle ne faisait que rire gentiment.
    En repensant à cela, Amélie se leva d’un bond, gênée et passa le téléphone à Enzo toujours assis par terre qui répondit au gros client qu’il avait ferré quelques jours plus tôt.
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Son expression avait gardé un air taquin de gamin qui ne cesse de faire des bêtises plus folles les unes que les autres. Mais ses traits avaient changé, le rendant plus mûr, plus homme. Depuis quand l’avait-il dépassée en taille ? Amélie n’aurait su le dire, ça s’était fait graduellement, tout comme sa musculature qui s’était considérablement développée au fil du temps.
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- Si tu t’étais comportée comme une vraie femme, je n’aurais pas eu besoin d’aller voir ailleurs !
    - Et c’est quoi une vraie femme, Dan ? Une qui gagne moins que toi ? Qui t’attend à la maison tous les soirs pour te faire la fête comme un petit chien ? Qui te vénère au point de te faire passer devant tout le reste ? s’écria Amélie. Je t’avais prévenu dès le départ ! J’aime mon boulot et je le ferai toujours passer en premier parce que j’ai eu énormément de chance de l’avoir.
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Elle l’avait connu alors qu’il était encore à l’école primaire. A l’époque, il la voyait comme une adulte accomplie, comme tous les enfants mettaient dans la case « vieux » les personnes qui travaillaient. Amélie était pratiquement sûre qu’Enzo la verrait toujours de cette façon. Ils étaient devenus des quasi-étrangers et en étaient même arrivés à se vouvoyer ces dernières années. Et c’était précisément quand ils avaient commencé à s’éloigner qu’Amélie s’était rendu compte de l’attraction qu’il exerçait sur elle, et qu’il n’avait jamais cessé d’exercer depuis.
   
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