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Critiques de Andrew Klavan (21)
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Pas un mot... (Il y aura toujours quelqu'un..

Je suis « encore » tombé sur ce livre par hasard. Je l’ai acheté parmi d’autres ouvrages du même style. Ce qui m’a plu c’est la couverture et le titre.

Ce genre d’ancien roman m’attire comme un aimant. J’aime bien les vieux polars. Les romans d’une autre époque. Et puis, il fait partie d’une collection terreur. Je ne pouvais donc que l’acquérir.



J’ai apprécié les dénouements, l’intrigue et les personnages.

J’ai même versé ma petite larme… Tout y était pour passer un bon moment de lecture.



Je ne connaissais pas cet auteur. Et bien, maintenant que c’est une chose de faite et je n’ai plus qu’à trouver ses autres œuvres.



Bonne lecture !
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La dernière confession

Calvin Bradley est psychiatre. Il mène une vie sans histoire et vit un amour passionné et réciproque avec Marie et leurs enfants.



Dans sa clinique, il va faire la connaissance de Peter Blue, un jeune de 19 ans qu’il va tenter de soigner et empêcher ainsi qu’il soit incarcéré.



Mais cette rencontre va bouleverser sa vie car le passé de Peter va s’imbriquer dans celui de Marie, un passé qu’elle a toujours volontairement occulté.



Calvin va être confronté à un cruel dilemme. Doit-il révéler l’inavouable, quitte à détruire son propre bonheur, ou ne rien dire et laisser un innocent être accusé de meurtre ?



« N’empêche que si vous voulez savoir ce qui s’est passé, vous allez m’avoir sur le dos jusqu’au bout car c’est moi le narrateur. C’est mon pêché, c’est donc ma confession, mon histoire que vous allez entendre. »



Car à qui d’autre pourrait-il se confier, si ce n’est à ses lecteurs ? Très bon scénario psychologique !!

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Jugé coupable

Sous les traits de Steve Everett, journaliste au St. Louis News (Clint Eastwood à l'écran) , l'auteur nous plonge dans cette Amérique sombre, cette Amérique qui conserve encore son goût prononcé pour la peine de mort. Comme si le théâtre lugubre du couloir de la mort ne suffisait pas à Franck Beacham, accusé ,selon lui, à tort, du meurtre d'une jeune femme, il se voit confronté à ce journaliste pour le moins original et plutôt du genre immature pour la réalisation de son ultime interview. Derrière ce qui ne semble être pour Everett qu'une corvée, se trouve la dernière opportunité pour Beacham de clamer une énième et dernière fois son innocence même si plus personne ne semble croire à celle-ci. Pourtant, le récit de Beacham va convaincre notre journaliste fantaisiste et quelque peu discrédité à user lui aussi une énième fois et au grand damne de sa direction , de son instinct. Alors que ce profil au bout de ce couloir de la déraison humaine le droit de tuer une personne parce qu'elle a elle-même tuer une autre personne, alors que ce que l'on nomme "la justice" s'octroie, à l'aide d'une seringue porteuse d'une injection mortelle, le droit de désigner un bourreau pour tuer, se profile l'incroyable, l'inimaginable. Everett croit Beacham et veut utiliser les 18 heures qui lui restent pour refaire sa propre enquête. C'est magistral d'ingéniosité puisque notre journaliste n'a plus de crédibilité aux yeux de personne et Beacham est noir donc dans cette Amérique raciste, le coupable idéal. le zèle imbécile d'Everett ne sera pas vain et nous incite à rester bien attentif à tout ce qui se dit, tout ce qui a été dit jusqu'au moment où...... l'on s'aperçoit qu'une condamnation peut-être uniquement le fruit d'une mauvaise enquête, de la perte ou de l'insignifiance d'un petit rien qui empêche la vérité d'aller plus loin que le paraitre, d'éclater aux yeux de la justice. Voilà un livre fort intelligent qui m'obligea, après sa lecture, après la vision de son adaptation cinéma et après avoir vu de mes yeux vu, un shérif de Las Vegas tirer sur un suspect non armé et dans le dos, à regarder cette Amérique intransigeante et violente avec ses afro-américains, à réfléchir sur le petit rien qui peut ôter une vie par une exécution décidée par des hommes. Ce journaliste et sa légèreté apparente servent bien le propos de l'auteur et invite une nouvelle fois à en finir avec ce droit de tuer qui renvoie l'homme à ce qu'il a de plus sombre. Excellent livre, suspens garanti !
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L'ivresse du démon

Chez Pocket Terreur on trouve de tout, mais aussi beaucoup de livres médiocres. Pourtant, on ne peut que regretter cette maison d’édition qui proposait, à défaut d’homogénéité qualitative, un large choix de romans fantastiques. Ils permettaient de découvrir de nouveaux auteurs auxquels on n’aurait pas forcément eu l’audace de lire. C’est ainsi que j’ai eu vent d’un écrivain du nom de Andrew Klavan.

En consultant les archives que l’on peut trouver sur Internet – un petit tour chez NooSFere – je découvre que cet auteur a soit écrit peu de livres fantastiques, soit ont été peu éditer chez nous.



J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ce récit malgré un beau prélude. Imprégnés de mystère nous intégrons une vielle bâtisse à la recherche de Annie la noire. Déroutant puisqu’il est difficile de cerner l’époque ni les protagonistes. Cette introduction est narrée à la première personne. C’est là que l’on voit que ce style est limité. Les scènes sont risibles lorsque le narrateur nous conte chaque détail de ses faits et gestes. De plus, ce genre est inadapté pour séquences d’action.



La suite s’effectue essentiellement durant la période contemporaine. J’avoue qu’au niveau histoire, je n’ai pas tout compris. Il est question d’un cinéaste, d’une femme dépressive, d’un ancien nazi et d’un tableau. Le chapitre 3 de la seconde partie (en somme acte 2, scène 3) est une ébauche prometteuse d’une esquisse qui ne sera jamais achevée. Je me sens frustré. C’est durant ces quelques pages que l'on aura droit à des éléments fantastiques et un brin horrifique. Le reste du récit n’est que suite absconse et confuse comme le démontre ce personnage qui s'extasie devant du sel en parlant des films « rencontre avec le troisième type » et « piège de cristal ».

C’est en poursuivant ma lecture que j'ai compris plus ou moins l’histoire. Il semblerait qu’un moine ait découvert comment vivre éternellement. Il lui faudrait pour cela récolter du sang et utiliser un fragment d’une pierre bleue. Aucune scène violente (à part celle du bébé qui dure 3 lignes) ne fait mention de cette quête sanguinaire. N’est pas Graham Masterton qui le veut. Je dis cela parce que dans « Le portait du mal », le sujet pourrait être similaire. Nous sommes aux antipodes de l’écriture et l’art de manier le scalpel.

Iago – qui est le fameux méchant – brille par son absence. L’auteur ayant fait le pari d’en faire un emblème nominatif, il ne sera présent que dans la dernière partie du long roman. Il restera un homme mystérieux dont on ne saura pas grand-chose – à moins que j’aie raté quelque chose.



J’ai plutôt bien aimé – même si c’est un bien grand mot – les parties annexes qui s’intercalent dans ce roman (Annie la noire ; La confession du moine). Ce n’est qu’une infime parcelle d’un roman lent, long et ennuyeux.

Sur les 470 pages qui composent ce récit, je dirais que – en étant généreux – 60 pages sont corrects, ce qui représente 12 % du livre. Cette histoire n’a que terreur la couverture d’où tire le nom de la collection Pocket. Ce qui m’a le plus emballé au final, c’est cette très belle illustration qui est une peinture de Beksinski.
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Jugé coupable

Très bon thriller qui aborde le sujet de la peine de mort aux USA.

La question qu'on peut se poser à la lecture de ce roman est : Combien d'innocents ont été exécutés?

Le rythme est rapide, et on est tenu en haleine grâce au suspense.



Ce roman m'a fait penser à "La ligne verte" de Stephen King.



Je recommande ce roman qui se lit vite, et dans lequel on espère que le condamné sera sauvé par le journaliste.
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Jugé coupable

Vous entrez de plein pied dans la dernière journée d'un condamné à mort.Depuis 6 ans Franck clame son innocence pour le meurtre d'une jeune femme enceinte.Mais il a ete jugé coupable et condamné à mort.Un journaliste doit faire une dernière interview et en se documentant sur le dossier il a le sentiment profond d'une erreur judiciaire...Il n'a que quelques heures pour le prouver! Dès lors s'engage une couse poursuite contre le temps qui passe ....C'est haletant car vous oscillez sans cesse entre la dernière journée de cet homme que l'on voit en famille ,uni par un sentiment profond à sa femme et à sa petite fille et luttant pour rester digne jusqu'au bout(il y a des passages poignants) ,la vie privée, ô combien houleuse, du journaliste, ses recherches désespérées pour que la vérité éclate avant Minuit,la vie des employés de la prison avec la préparation minutieuse de la sentance,les états d'âme du directeur(très important,ça!!!) et les rigidités de la Justice.

Vous l'aurez compris! J'ai adoré ce livre!!!!



Le film avec C. Eastwood est magnifique!! Mais je ne suis pas très objective car f'adore ce réalisateur /acteur.
Lien : http://lemelimelodepyrostha...
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À la trappe !

La quatrième de couverture de ce livre m'avait séduit avec la dichotomie classique entre le héros journaliste de la vieille école versus un environnement professionnel porté par les méthodes d'investigation. Oui mais voilà, pas de véritable souffle pour nous porter dans ce roman, pas de déplaisir non plus.
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Tombe la pluie (Scoop toujours !)

John Wells, un journaliste new-yorkais spécialiste des scandales politiques, se retrouve par inadvertance plongé dans une trouble histoire de photos compromettantes et de meurtres inexpliqués. Cigarettes et passages à tabac en veux-tu en voilà, sous la canicule estivale qui échauffe les esprits et rend la gâchette plus facile. Un polar intense, avec un certain parfum de "Dahlia noir"....
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Quand ces dames tuent !

Otto Penzler est à la fois éditeur et libraire, c’est aussi l'un des spécialistes américains du suspens. Il réunie ici de grands noms de la littérature noire anglo-saxonne afin qu’il nous prouve que le meurtre n’est pas qu’une affaire d’homme.

Il y a là des incontournable du polar tels que Michael Connelly, Thomas H Cook, Jeffery Deaver, John Connolly, Anne Perry, Elmore Léonard, Ed McBain, Joyce Carol Oates, Ian Rankin, Laura Lippman, Walter Mosley, … et d’autres auteurs peut-être moins connus du public français comme Lorenzo Carcaterra, Nelson DeMille, J.A. Jance, Andrew Klavan, Jay McInerny. S.J. Rozan

Pour ce recueil de dix-sept nouvelles nos auteurs américains et anglais de romans noirs mettent en scène des héroïnes dangereuses et machiavéliques.

Et c’est vraiment jubilatoire de lire ces auteurs surtout qu’outre-Atlantique, l’art de la nouvelle est un art à part entière. Et tous les plus grands auteurs américains sont passés par cet exercice pas toujours simple. Car il est vrai que la nouvelle est une vraie gageur, un pur défi car il faut en peu de pages construire une histoire, nous attirer dedans et très vite nous surprendre avec une chute et un final renversante.

Et ici on peut dire que le challenge est parfaitement tenu ! Autant de preuves que ce tableau noir n'est pas monochrome.


Lien : https://collectifpolar.com/
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Pas un mot... (Il y aura toujours quelqu'un..

un pure roman de suspens, remplie de retournements de situations, une tension qui va en crescendo, une trés bonne surprise, le film est largement en dessous
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Damnation street

Dernier opus qui clôt la trilogie" Weiss Investigations", après Dynamite road en 2006 et Shotgun alley en 2008. Du grand Klavan digne de Connelly ou James Lee Burke.
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Shotgun Alley

Le détective privé Jim Bishop, employé de la Weiss Investigations, est chargé de ramener Beverly Graham, alias Honey, à son sénateur de père en pleine campagne électorale. Le problème c'est Cobra son petit ami. Cobra est le chef d'un gang de motards tellement horribles que tous les Hell's Angels en ont peur.

Suite des aventures de la Weiss Investigations narrées par Andrew Klavan dans « Dynamite Road »(ce sont deux histoires à part mais les personnages sont les mêmes). L'auteur a travaillé à une époque dans cette agence et nous raconte les aventures de personnages réels.

Andrew Klavan ne lâche pas la pression pendant 300 pages. C’est musclé, la folie et la passion sont omniprésentes, l’atmosphère y est électrique comme au Shotgun Alley (le QG de la bande), et ça déménage sec, un excellent roman !

Andrew Klavan est l'auteur de Présumé coupable (Lattés, 1998), adapté au cinéma par Clint Eastwood. Pour Pas un mot..., porté à l'écran avec Michael Douglas, il s'est vu décerner l'Edgar Award, prix récompensant aux États-Unis le meilleur suspense de l'année.
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Quand ces dames tuent !

Femme fatale, mère courage, veuve éplorée, dans le polar la femme a plus souvent le rôle de victime directe ou collatérale que celui du monstre. Et quand bien même elles seraient monstrueuses l’excuse de la folie n’est jamais loin. Pourtant beaucoup des femmes qui ont fait l’Histoire et qui ont inspiré les écrivains sont des femmes dangereuses. Dangereuses par les passions qu’elles ont déchainées, des hommes ont tués pour elles, ont trahi pour elles, se sont suicidés pour elles, des rois ont perdu leurs royaumes et entrainé leurs armée dans des guerres sanguinaires pour elles.



Dans le polar, de nombreux protagoniste se sont méfié des femmes. Sherlock Holmes déclare dans Le signe des quatre « il ne faut jamais faire entièrement confiance aux femmes », Rex Stout fait dire à son personnage de détective privé Nero Wolfe « On peut compter sur une femme pour tout, excepté la constance ». La femme fatale est tout à la fois dangereuse et fascinante.



C’est à ces femmes que se sont frottés de grand nom du polar (M. Connelly, J. C. Oates, T. H. Cook,…) en nous concoctant 17 nouvelles. 17 visions de femmes manipulatrices, imprévisibles, dangereuses, époustouflantes, malignes. 17 styles d’écritures qui vous donnerons surement envie de découvrir l’œuvre de ces écrivains.



La préface et la conclusion de ce recueil vous permettront d’en savoir plus sur les auteurs et leurs publications.



Régalez-vous de ces nouvelles en gardant bien à l’esprit que ce ne sont que des histoires…
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La dernière confession

L'histoire nous est contée par le personnage principal, psychiatre dans une belle clinique à la campagne. C'est donc une intrigue largement teintée de psychologie, mais aussi d'action, de suspense et surtout de mystère. Et en plus c'est très bien écrit.
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Un tout autre homme

John Shannon, petit malfrat, est accusé à tort d'un meutre. Alors qu'il est en cavale, un mystérieux inconnu lui donne rendez-vous et lui propose une deuxième chance en lui offrant un nouveau visage. John se rend vite compte que sa nouvelle identité cache un lourd secret.

Andrew Klavan nous propose ici roman solide, bien écrit, plein de rebondissements.

Son héros semble tout droit sorti d'un roman noir américain des années 50. Un livre qui nous parle de rédemption et ce qu’il en coûte pour y parvenir quand on commence sa vie en étant un petit voyou.

Klavan tisse une toile de plus en plus serrée jusqu'à ce que le lecteur soit scotché par l'intrigue. Un suspense magistral

Il faut dire que Klavan a remporté par deux fois les Edgars. Oui il a été deux fois lauréat du prestigieux Edgar Award, distinction accordée au meilleur suspense de l'année, pour Présumé coupable (Lattès, 1998), adapté au cinéma par Clint Eastwood, et pour Pas un mot... (Archipoche, 2006), porté à l'écran avec Michael Douglas. Un bon auteur à relire et à redécouvrir c’est certain.




Lien : https://collectifpolar.com/
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L'heure des fauves

J' avais lu une excellente critique de ce roman mais malheureusement il ne m'a pas plu. L'histoire commence bien mais elle devient rapidement dénuée de sens. Même avec la fin on ne comprend pas vraiment plus. Les personnages et leurs agissements sont bizarres . Décevant.
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Pas un mot... (Il y aura toujours quelqu'un..

Se lit rapidement, bien rythmé assez plaisant.
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Dynamite Road

La première partie avec la présentation des personnages (qui se veulent atypiques) et de l'intrigue met bien l'eau à la bouche. Ensuite lorsque nous passons à la baston, cela devient assez banal. Mais l'auteur sait parfaitement nous accrocher à son roman jusqu'à la fin en utilisant les grosses ficelles du genre action et suspense en y ajoutant quelques gouttes de "pulp fiction".
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Pas un mot... (Il y aura toujours quelqu'un..

Un très bon policier, très original. Si on connait le coupable dès le début, on vit les angoisses des parents après l'enlèvement de leur petite fille.



Très original dans le sens que ce qu'on va découvrir c'est la raison pour laquelle cette enfant à été kidnappée.



J'ai pris beaucoup de plaisir à le lire et sur la fin l'action est captivante et difficile de lâcher le livre. Pourtant, je ne mets que trois étoiles parce que justement l'action et souvent coupée par des longues descriptions. Je dois avoué que je les passais, pas envie de savoir ce que voit le policier quand il se rend d'une adresse à l'autre.
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Quand ces dames tuent !

Des histoires recherchées, tout à fait différentes l'une à l'autre. A chaque fois je suis restée scotchée.
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