Aneesa Marufu

La superbe cover et l’univers m’ont de suite attirée, l’objet livre est vraiment joli avec ses reliefs dorés, et j’en remercie la maison d’édition pour l’envoi; mais j’annonce d’office une lecture en demie teinte, mon avis ci-dessous.



Khadija s’enfuit de chez elle en montgolfière afin d’éviter un mariage arrangé, elle va débarquée au sein d’une révolte qui gronde chez les Hareefs, entre magie interdite et invocation de djinn, elle va prendre part au combat mais la ligne entre les vrais combattants de la liberté et les terroristes est floue, Jacob rencontré dès son atterrissage, appartient à la caste opposée, sera-t-il un allié ou un adversaire ?



Aneesa nous présente une fantasy young adult en alternant deux points de vue, celui de Khadija, 16 ans, jeune ghadæanes et de Jacob 15 ans, un hãris, le peuple de l’un oppresse celui de l’autre, ils vont être enrôlés malgré eux dans la rébellion, on va les suivre chacun leur tour dans leurs péripéties, parfois ensemble d’autrefois séparément.



Je dois avouer que cette histoire m’a demandé énormément en concentration et attention, il y a quelques longueurs et assimiler les divers prénoms, nationalités et/ou races des personnages, les voir répéter x fois a rendu ma lecture moins plaisante, moins fluide, une explication et un glossaire auraient sûrement allégé le texte.



Aneesa défend de belles valeurs, j’aime l’idéologie véhiculée, cette lutte contre le racisme, les traditions archaïques, cette envie d’égalité.

L’idée de mettre en avant les montgolfières est originale et la dualité entre les communautés aussi, ces deux axes sont bien amenés, le coté fantasy avec le rôle des djinns était prometteur, mais ce voyage exotique me laisse un goût d’inachevé, peut-être convient-il a un public plus jeune avec moins de points de comparaison et donc moins d’attente.



C’est un avis personnel, chacun perçoit, ressent et vit différemment sa lecture, je vous invite à vous forger le vôtre en découvrant l’histoire par vous-même.
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En voyant les autres commentaires et la note générale du livre sur Babelio, j'avais un peu peur de me lancer dans une lecture laborieuse mais finalement j'ai vraiment apprécié ma lecture de La voleuse de ballon !

Nous sommes ici dans un pays imaginaire d'Orient à une époque inconnue bercée par les légendes et la magie des Djinns. Nous suivons un chapitre sur 2 le point de vue de Khadija, jeune fille qui rêve d'aventures et de liberté, et de Jacob, un adolescent esclave. Cette alternance de point de vue donne du rythme à l'histoire. Les deux personnages vont se rencontrer, se lier d'amitié et devoir prendre position dans un combat sur fond de guerre de "races".

C'est une histoire entraînante qui aborde les thématiques du racisme, de l'esclavage, de l'égalité des Hommes et des droits des femmes. Il y a beaucoup d'aventures, de combats, de magie et un peu de romance. Et franchement, l'auteur a une très belle plume.

J'ai donc vraiment apprécié ma lecture, tous les éléments d'une bonne histoire sont là, je regrette juste que les dernières scènes d'actions sont allées si vite et que la fin n'est pas été plus développée dans un épilogue.

*pfiouuuuu, par où commencer...*

Oui, cette chronique va être laborieuse, mais en même temps, cette lecture était également laborieuse...

Un avis très mitigé sur ce roman, je ne vais pas vous mentir, je suis pas mal déçue :/

Pourtant, le résumé était super prometteur : des conflits politiques, du voyage, et un personnage principal badass !

Alors franchement, tout ces points étaient présents, certes. Mais de façon teeeellement peu profonde que j'ai l'impression d'avoir survolé le roman tout le long :/

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J'en ai deja parlé en story, mais je me répète ici sur le choix de couverture fait par Stardust, qui ne plaît absolument pas au bookstagram (ou du moins à sa majorité...) Oui, la couverture est splendide,mais pourquoi garder tous les éléments, sauf la femme voilée ? chacun son avis sur le sujet, n'empêche que pour moi, ça ne passe pas :(

(aucun jugement si vous n'êtes pas d'accord et que vous appréciez la cover vf!)

Les personnages ne m'ont pas convaincu, a part peut être Khadija et Darian, et encore... Trop peu attachants, pas assez développés, et surtout tellement clichés et tellement mal représentés ?

Non sérieux, presque chaque homme de ce livre est violent, a l'air persuadé que les femmes ne sont la que pour se marier et avoir des enfants, et bref, big big clichés un peu embêtants à la longue :/

Puis bon, l'histoire du peuple blanc opprimé, je ne vais pas m'étaler la dessus, mais *lève les yeux aux ciel*

•••

Franchement, j'ai survolé ma lecture.

Tout était répétitif, Khadija veut s'enfuir, Jacob est vraiment sans intérêt, c'est un personnage super naif qui change d'avis toutes les 4 secondes et se fait influencer par n'importe quel mec qui veut l'embrigader, non vraiment mec a un moment trouve tes convictions et garde les ???????

Une petite romance se mets en place a la fin mais pareil, pas assez exploitée :/

•••

Je pense que c'est ça le mot d'ordre de ce roman, pas assez exploité.

Tout à du potentiel, mais rien n'est développé, rien n'a vraiment de sens ni de but, et aucune conclusion n'est apportée véritablement au conflit...

Pourtant, la plume est sublime, mais je pense que le côté jeunesse prends le dessus, et que je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi peu exploité :(

•••

Vous l'aurez compris : la voleuse de ballons est un roman onirique qui est pourtant prometteur, mais qui finit par être une petite deception à cause de ce manque de profondeur :(

Lisez le pour vous faire votre propre avis bien entendu, mais malheureusement pour moi c'est un non :(

Lorsque j'ai aperçu ce roman dans les librairies, il me faisait très envie avec son intrigue prometteuse. Si j'ai apprécié ma lecture, elle est cependant loin d'être le coup de cœur auquel je m'attendais.



Nous sommes plongés dans un univers de fantasy orientale. Khadija, une jeune fille de la caste dominante, vit enfermée chez elle, et passe son temps à observer les ballons par sa fenêtre. Son père n'aspire qu'à une chose : la marier à un parti convenable. Après avoir réussi à échapper à son destin à plusieurs reprises, Khadija se retrouve au pied du mur lorsque son père la présente fermement à un prétendant. Refusant la vie d'épouse enfermée qui se profile, elle vole un ballon et prend la fuite.

A des lieux de là, Jacob fait partie des Haris, la caste opprimée, réduite en esclavage. Mais la tempête gronde parmi les Haris et un groupe de terroriste, les Hareefs, entend bien renverser le pouvoir avec l'aide des djinns, des créatures surnaturelles malfaisantes.

Les deux héros vont se rencontrer, s'unir dans un premier temps, puis choisir leur camp.



Sur le papier, ce roman était très alléchant ! Des complots politiques, des rebelles qui aspirent à un monde meilleur, une jeune fille qui désire dépasser sa condition de femme, des djinns démoniaques... En soi, tout est là, comme promis, servi par une plume fluide qui défend des valeurs importantes. MAIS ! J'ai trouvé que les personnages manquaient clairement de profondeur. Je ne me suis pas attachée à eux, j'ai trouvé que Khadija passait son temps à se vexer et Jacob est pour moi une vraie girouette qui ne cesse de changer d'avis et de camp. De même, certains passages manquaient d'émotions : des actions qui auraient pu être très émouvantes étaient résumées en une phrase brute et point à la ligne. Je pense également à la petite romance qui apparaît un peu comme un cheveu sur la soupe et qui ne m'a fait ni chaud ni froid...



Le fait que les personnalités de nos deux héros ne soient pas assez développées et le manque d'émotions ont contribué au fait que ce roman m'a laissé un goût d'inachevé.



Néanmoins, ce premier tome - oui il y aura une suite, comme je l'ai découvert à la dernière ligne - se termine sur un événement qui pourra donner envie à certains de poursuivre cette saga.

Voilà un roman qui me faisait terriblement envie avant même sa date de sortie en France annoncée avec des thèmes intéressants et une couverture vraiment sublime avec ses couleurs. Je partais donc vraiment enthousiaste à l'idée de faire la connaissance de Khadija et Jacob, les deux personnages principaux. Malheureusement, j'ai rapidement senti que cette lecture ne répondrait pas à mes attentes et n'ai pas été séduite par celle-ci.



Pourtant, La voleuse de ballon avait tout pour me plaire sur le papier. Khadija, seize ans, se voit proposé un prétendant par son père, estimant qu'il est temps pour elle de se marier. N'ayant pas envie de vivre dans une "prison dorée" elle s'enfuit en volant un ballon. C'est finalement sur Jacob, un Haris (la caste dominée) qu'elle va découvrir qu'une rébellion est en marche et qu'il va falloir choisir son camp.



Ainsi donc, nous alternons les chapitres entre les points de vue de Khadija et Jacob. Tout deux sont très opposés et je trouve que c'est une bonne idée de la part de l'autrice d'ainsi, présenter les deux castes différentes et avoir un pied dans chaque camp. Il permet de voir que tout n'est pas blanc ou noir, mais nuancé de gris. Les méchants et gentils sont des deux côtés et les concessions sont à faire par tous pou rétablir l'ordre et l'égalité. Derrière ce roman, de beaux messages véhiculés par l'autrice. Toutefois, je trouve que l'on reste trop en surface pour être pleinement investi dans cette histoire et surtout happé comme on pourrait s'y attendre.



Commençons par les personnages. Jacob, avait à première vu du potentiel mais finalement il est bien trop naïf et manquant de courage pour faire de lui un héros digne de ce nom. Je trouve qu'il se laisse trop avoir par les autres et ne réfléchit pas aux conséquences. Au final, il me fait presque l'effet d'un anti-héros face à un autre personnage qui va devenir un véritable allier pour Khadija. J'avais envie de le secouer et d'ouvrir les yeux. Sans doute est-ce lié à son manque de maturité, qui joue aussi pour beaucoup. Quoiqu'il en soit, si avoir son point de vue permettait d'en apprendre plus sur cette caste oppressée, j'avoue ne pas avoir accroché à son personnage.



Face à lui, Khadija. Dans la caste dominante, cette jeune fille a toujours été aux côtés de son père mais se montre beaucoup plus réfléchi et raisonnable jusqu'à sa fuite en ballon volé. Alors qu'elle a toujours vécu enfermée, elle voit un peu plus clairement dans les intentions des autres et se montre bien plus courageuse que Jacob, ce qui est le bienvenu. Toutefois, je trouve que l'on reste à nouveau trop en surface. Rien n'est creusé sur son personnage et on a du mal à s'attacher à elle. Certaines de ses actions sont justes et donnent envie d'y croire, mais cela retombe finalement bien vite. Sa romance arrive vraiment comme un cheveu dans la soupe et j'ai envie de dire, heureusement qu'elle n'est pas trop présente.



L'intrigue de La voleuse de ballon était prometteuse mais elle est ponctuée de nombreuses longueurs. J'ai trouvé qu'on manquait de rythme et notamment dans la première partie du récit. Pourtant, l'autrice ne part pas dans de longues descriptions et donc, on pourrait penser qu'on entre vite dans le vif du sujet, mais non. Mythes, magie et dépaysement sont pourtant de la partie et les éléments que je retiendrais de cette histoire. Je garderais également en tête ces voyages en ballon qui invitent à l'évasion ! Quelle sensation de liberté on doit avoir ! Mais malheureusement, l'histoire en elle-même n'a pas réussi à me séduite. J'en ressors assez déçue avec un sentiment de trop peu.



En conclusion, La voleuse de ballon avait un fort potentiel mais n'a pas réussi à me convaincre. Il m'a manqué de la profondeur au niveau des personnages pour me sentir concernée par leur lutte et cette révolte en marche. C'est dommage car cela changeait un peu mais on reste trop en surface pour moi. Enfin, ce roman se conclut plus ou moins de façon ouverte. J'ai cru comprendre sur Goodreads qu'une suite serait possible !? Reste à voir mais je doute poursuivre l'aventure tout de même.
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Un univers ou deux peuples sont divisés, les Ghadaeans qui est la caste déminante et les opprimés les Haris.

On les différencies par leur couleur de peau, les blancs et les « basanés », ici les blancs n’ont aucun droits, vivent dans la pauvreté.



Khadija notre héroïne et une jeune Ghadaeans de 16 ans, elle refuse de se marier. C’est un esprit libre qui malgré le fait que les femmes n’ont aucun droit d’apprendre à lire, ne vit qu’a travers les histoires qu’elle arrive à déchiffrer avec le peu de connaissance qu’elle possède.

Elle a une attirance particulière pour les contes où les femmes vivent des aventures.

Quand son père l’a met face à son destin, face à son futur mari elle n’aura pas le choix, elle s’enfuit.

Elle vole un ballon, une montgolfière !



Elle partira loin et atterrira dans un village inconnu où elle fera la connaissance de Jacob, un Hari.



Lui est malheureux, sa vie ne le comble pas, il souhaite que le monde change, mais peut être que certain de ses choix ne seront pas les bons et l’amèneront à trahir ses amis.

Mais son amitié n’est peut être pas le plus important. D’autant plus qu’un Haris et une Ghadaeans ne peuvent s’allier et être amis, n’est-ce pas ?



La guerre est proche, les djinns vont tout détruire!

Les rebelles vont gagner du terrain et tout détruire sur leurs passages.



C’est une belle histoire, originale, de la magie, des djinns, une amitié, je ne vais pas dire romance parce que ce n’est pas une histoire juste un lien qui arrive.

Je n’ai malheureusement pas adhéré avec les personnages, qui pour moi manque de maturité et de réflexion face aux choix qu’ils doivent faire. Ils sont terriblement jeune 15-16 ans, ils vont vivre une aventures qui les dépasse totalement.

Jacob est celui qui m’a le plus déçu, des événements qui devraient le faire réfléchir, sans succès. Il a des oeillères!

Je comprends il n’a pas un mauvais fond, il ne souhaite que la liberté, l’égalité… trop de naïveté, ça a été agaçant.



Retenons principalement cet univers, ou le racisme dirige le monde, ou l’égalité et le but de beaucoup.

Encore faut-il trouver comment changer le monde, la violence n’est peut être pas la solution.



Je regrette l’absence d’un épilogue, je déteste quand il n’y en a pas. ! C’est clairement important surtout après ce qu’il se passe dans le dernier chapitre, de pouvoir découvrir ce que va devenir ce monde, découvrir le Après…



Un livre qui peut plaire, il ne manque pas de charme, mais malheureusement trop de points négatifs pour ma part.



Je vous le rappelle, mon avis n’engage que moi …

J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans cette histoire pour plusieurs raisons.



Bien qu’il se lit assez facilement, l’intrigue peine à accrocher l’attention du lecteur dès le début du livre.

Il m’a fallu attendre d’arriver à la seconde moitié du livre pour que les évènements s’accélèrent un peu.



La narration en deux points de vue aurait très bien pu marcher si le personnage de Jacob n’avait pas été aussi naïf, beaucoup trop à mon goût.



L’histoire aurait gagné en intérêt avec plus de structure dans les passages écrits de son point de vue.



Khadija, quand à elle, s’en sort un peu mieux: promise à un garçon médiocre de son village qu’elle ne supporte pas, elle décide de quitter la vie qu’elle a toujours connu et ce choix la mènera vers une destinée pour le moins extraordinaire.



Nous avons donc une narration déséquilibrée entre un personnage féminin qui force le respect de part ses sacrifices et son courage et un personnage masculin passif, voire quasi « absent ».



La condition de la femme est aussi en plein coeur du livre : c’est une fantasy aux inspirations orientales, et la femme se doit d’obéïr à son père, et après son mariage, à son mari.



Cependant, l’auteure a voulu casser cette image de la femme-objet en créant des personnages de femmes imposantes telles que Khadija, notre héroïne, Anam, personnage trans qui se révèle être une grande exorciste et une valeureuse guerrière, ou encore Vera, cette mère transformée en monstre par le deuil.



LA VOLEUSE DE BALLON, c’est aussi une quête initiatique d’une jeune fille qui ne connaissait rien au monde et qui se découvre une force qu’elle croyait n’exister que dans les contes qu’elle avait l’habitude de lire, enfermée chez elle: celle de refuser les limites de sa condition de femme et de faire ses propres choix.



Ce qu’on pourrait néanmoins reprocher à ces personnages serait que l’auteure a essayer de trop les développer,  au dépit de l’intrigue, qui finira par en pâtir.



En plus de la condition de la femme, le livre insiste beaucoup sur la notion de race et bien que l’idée est bonne, la façon dont l’auteure aborde cette problématique est bien trop légère et l’effet escompté s’essouffle très vite.



On comprend la rancoeur de Jacob pour les Ghadeans et la peur de Khadija pour les Haris/Hareefs mais l’idée n’est pas plus aboutie que ça et c’est bien dommage car il y aurait eu matière pour écrire des dialogues qui dénoncerait cette injustice imposé par un système de caste.



J’ai cependant beaucoup apprécié cet univers enchanté basé sur le folklore oriental avec ses créatures magiques tels que les djinns, marids, péris ou encore éfrits: ça nous change de tous ses livres avec des faes…



Une lecture qui, à défaut de m’avoir fait rêver, a su me faire voyager à travers ses paysages sablonneux et ses vols en ballon.

Je pense que l’une des difficultés avec ce roman, c’est la complexité du récit. Il a pour moi été assez difficile de me repérer au niveau des différentes ethnies et j’ai mis facilement 200 pages à me repérer sur qui était qui, et quelles était leurs revendications à chacun.



De plus, on nous décrit des tenues et certains plats, mais aucune note de bas de pages ne nous permettait de nous imaginer tout ça, ce qui a selon moi, rendu l’immersion dans le roman parfois limité.



Concernant cette guerre, j’ai eu du mal à saisir la finalité du roman, car sur la fin j’ai trouvé que le roman traînait pas mal en longueur et qu’on ressort sans véritable réponse à tout ça. Apparemment, un second tome est prévu, ce qui me rend très curieuse pour la suite de l’histoire.



L’alternance des pdv concernant les chapitres était intéressante et permettrait d’offrir des visions différentes. Le personnage de Jacob est frustrant, celui-ci est très indécis. Kadija est un personnage téméraire qui ose certaines choses pour autant, je n’ai pas vraiment su m’attacher à elle.



Le roman était parfois un peu trop fantasy parfois pour moi, j’avais du mal à m’imaginer certaines scènes et certaines créatures surnaturelles. Cependant, cela était très intéressant de voir des sujets tels que la misogynie ou même le racisme être abordé dans ce genre.



Plein de love, C


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La Voleuse de Ballon - Aneesa Marufu - Stardust - 2022 - 449 pages - 19,50€

3/5 ⭐️⭐️⭐️⭐️

Hey !

Je sais que bcp d’entre vous ont été déçu par le changement de couverture de ce livre, et d’un côté je l’ai été mais je dois avouer que les couleurs et le doré sont magnifiques et je me suis clairement laissée tenter même si le plot me tentait pas de ouf … et au final, je dois avouer que je suis un peu déçue 🥲😅

L’idée est géniale, des thèmes engagés très importants dans notre société actuelle : le racisme, la mysoginie mêlés à une écriture très poétique, douce et addictive comportant de jolies petites desciptions de l’univers et surtout une ode à la liberté et à la tolérance. 💗🌸✨ Et tout cela sur un fond de légendes musulmanes. 🥳

MAIS je l’ai pris pour découvrir une culture, un univers et clairement celui-ci n’était pas construit … 🫠Je me suis sentie larguée dans l’univers où les mots en itallique n’étaient même pas expliqués 🧐et je pense que ce livre correspond plutôt pour de très jeunes adolescents entre 10 et 15 ans, 🤓

Il en va de même pour les personnages et leurs réflexions, je trouve que c’est comme « inachevé » qu’il manque THE truc et que par conséquent cela fait enfantin mais ils restent assez touchants et uniques. 🥺Chacun a son caractère, ses rêves, ses souffrances que l’on découvre au fur et à mesure donc ils sont bien construits !🤩

Ensuite, je dirais qu’il y a plus d’amitié que de romance même s’il y en a une petite à la fin ( au second plan ) que je ne trouve pas forcément très bien réalisée car assez soudaine, rapide.

Au final, je me suis un tout petit peu ennuyée durant cette lecture, bien que le livre soit addictif. Il n’y avait pas tant de plots twists que ça / ou alors je m’y attendais et certaines actions je me serais crue dans un conte disney pour enfant 😅😬

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"La voleuse de ballon" est un roman qui m'a vraiment surprise positivement ! Sortir de ma zone de confort me faisait un peu peur et finalement j'ai beaucoup aimé cette aventure fantasy pleine de rebondissements.



On rencontre Khadija, une jeune ghadéenne de 16 ans qui fuit un mariage arrangé. Son seul échappatoire ? Une montgolfière laissée sans surveillance. Après un voyage dans le ciel, elle fait la connaissance de Jacob, un harí apprenti verrier. Leurs deux peuples ne s'entendent pas. Une révolution meurtrière menace le monde. Entre l'utilisation de la magie interdite, l'apparition de djinns malfaisants et la soif de vengeance, leur amitié va-t-elle survivre ?



J'ai adoré me retrouver dans cette ambiance de conte et m'imaginer ces paysages décrits par l'autrice. Aneesa Marufu explore le racisme et la misogynie dans un univers fantasy bien développé et surtout très original. C'est un livre qui fait beaucoup réfléchir à propos des divisions politiques, culturelles et religieuses. Malgré ces sujets difficiles, c'est un message fort d'égalité et d'espoir que je retiens.



Khadija et Jacob ont beaucoup de mal à trouver leur place dans un monde si divisé. J'ai aimé les voir évoluer positivement au fur et à mesure du récit. Ils sont tout d'abord plein de préjugés l'un envers l'autre et finissent par répandre l'amour et la gentillesse au milieu de tous ces gens qui ne veulent que la haine et la vengeance.



Nous avons double point de vue avec des chapitres alternés. Jacob est un personnage qui m'a très souvent agacé à cause de ces prises de décision irréfléchies. J'ai largement préféré suivre Khadija que j'ai trouvé plus mature. Elle est le genre de personnage qui marque les esprits. Son désir de prendre ses propres décisions m'a beaucoup touché, elle est prêt à tout pour assouvir son besoin de liberté.



Dans l'ensemble, c'était tout de même un poil trop fantasy pour moi. J'avais un peu du mal à suivre parmi toutes ces créatures surnaturelles.



En bref, c'était une bonne lecture, un roman fort qui me marquera longtemps.

J’ai été tentée par ce roman, bien avant d’en lire son résumé parce que j’ai tout de suite été charmée par son titre poétique et par sa magnifique couverture, la 4eme de couverture a quant elle fini de me convaincre. En commençant cette lecture, je la trouvais très chouette mais mon enthousiasme s’est étiolé au fil des pages…



Nous sommes clairement dans de la fantasy Young Adult mais un petit peu trop jeunesse pour moi. Les protagonistes sont jeunes, trop jeunes. Jacob a 15 ans, c’est encore un enfant, naïf et inconstant. Khadija, plus mature est bien plus raisonnée et raisonnable. Mais j’ai eu énormément de mal à m’identifier à eux, et à ressentir quelque chose. Il m’a été très difficile de croire qu’ils pourraient changer les mentalités et changer le monde. S’ils sont courageux ils n’ont pas de compétence particulière pouvant justifier un tel pouvoir… Mais surtout, ils ne sont pas assez développés pour qu’on les comprenne pleinement. L’autrice est restée en surface et nous livre des héros à la psychologie peu aboutie. J’ai par contre aimé l’alternance de point de vue qui rythme le récit et met en opposition leurs convictions. Jacob a la peau blanche et est un paria, Khadija a la peau noire et fait donc partie de l’élite. L’autrice dresse une vraie critique de la société où le racisme est bien présent mais le fait sans nuance, ce roman étant truffé de stéréotypes. Cela renforce mon idée que l’autrice est restée en superficie et même si on est dans de la littérature Young Adult, je trouve cela dommage de ne pas avoir creusé le contexte, la psychologie des personnages et donc l’intrigue en elle-même.



L’univers avait pourtant du potentiel, il s’inspire de la culture et des mythes arabiques et est à lui seul une invitation au voyage. J’ai adoré imaginer ces montgolfières pleines de couleurs voler dans le ciel. C’est sans doute la partie du roman que j’ai préféré, il se dégage une vraie poésie de ces descriptions, une vraie métaphore de la liberté. Mais cela n’aura pas suffit pour m’embarquer complètement. Tout va trop vite, tant dans la façon d’exposer le contexte, que dans les actions, ou dans les relations qui se crée. Plus j’avançais dans ce roman, plus je me demandais comment il pourrait s’achever en si peu de pages… A moins que ce ne soit pas un one shot ? C’en est bien un et le dénouement ne m’a absolument pas convaincue. La toute dernière phrase clos le cycle à la perfection, n’est pas dénuée de charme et de lyrisme mais j’ai le sentiment que rien n’a été résolu. Je n’ai pas l’impression que la société ait fondamentalement évoluée et mutée. On nous suggère que la vie de Khadija s’est améliorée. Elle s’est affirmée et émancipée. Parfait ! Mais qu’en est il de ces deux peuples qui s’affrontaient ? Pour moi leur sort reste inchangé. Je me pose du coup la question de la finalité de ce roman. J’ai une impression d’inachevé qui me dérange fortement parce que j’ai le désagréable sentiment d’avoir perdu mon temps…



Une histoire prometteuse qui mériterait d’être approfondie.
Lien : https://monjardinlitteraire...

Oubliez tout ce que vous connaissez,

tout ce que vous croyez aimer en terme d’Imaginaire et

découvrez La voleuse de ballon. Un énorme coup de

coeur pour moi et je vais essayer de vous expliquer

pourquoi.

Le genre Imaginaire est mon préféré, plus ou moins

jeunesse, avec plus ou moins de magie. Mais un

univers inventé. Je suis donc une habituée et il

m’arrive souvent de trouver les histoires redondantes.

Mais ici, tout est original !

L’univers déja : l’aventure se passe en Orient où de

nombreuses références culturelles sont citées,

qu’elles soient vestimentaires, culinaires ou

concernent le dialecte. Je n’ai jamais lu de livre

prenant place dans ces pays et je me suis sentie

emmenée, dépaysée, transportée.

La place centrale de la montgolfière, du ballon

comme on dit, comme moyen de locomotion aux

couleurs chatoyantes. Ça change des bateaux pirates

(que j’adore attention) et autres appareils volants

(idem).

C’est tout un univers que @aneesa.marufu nous

fait découvrir au delà de la légende des djinns. Un

combat ordinaire pour la fin de la répression des

pauvres, des soumis, des moins que rien à la couleur

de peau différente. Un monde haut en couleurs, en

odeurs, en croyances.

Le tout avec une plume non complexe, qui

s’adresse à tous, qui décrit pour nous permettre de

nous immerger complètement, qui nous plonge dans

l’action constante.

Vous l’aurez compris j’ai adoré, La voleuse de

ballon se place directement dans le top 3 de mes

romans Imaginaires préférés, c’est dire ! Et en plus

c’est un one shot, que demander de plus ?

{Instagram : @aur131}



Je remercie Hugo Stardust pour l’envoi de ce roman.



Bon… Malheureusement cette chronique sera, à l’image de ma lecture, un peu laborieuse. Pour tout vous dire, je me faisais vraiment une joie de découvrir ce roman. Les thématiques avaient l’air très intéressantes, l’univers  semblait poétique et captivant, et la couverture avec ses couleurs avait de quoi attirer l’attention. Sur le papier, La Voleuse de Ballon avait donc tout pour me plaire. Seulement, plus j’avançais dans ma lecture et plus je me rendais compte que ce roman ne comblerait sans doute pas mes attentes.



Pourtant, comme je le disais, l’histoire avait vraiment tout pour me plaire. Dans La Voleuse de Ballon, nous suivons Khadija, jeune fille de seize ans, dont le père estime qu’il est désormais temps pour elle de se marier. Peu désireuse de se marier et choyant sa liberté, Khadija décide alors sur un coup de tête de s’enfuir en volant un ballon. N’ayant aucune expérience pour diriger un ballon et n’ayant aucune idée de l’endroit où se rendre, Khadija va finalement tomber sur Jacob, qui appartient à la caste des Haris. Durant leur périple, Khadija et Jacob vont apprendre qu’une rébellion se profile. Entre le peuple de Khadija et celui de Jacob, rien ne va plus. Les Haris, trop longtemps exploités par les Ghadaeans, brûlent de se venger. Les deux compagnons vont devoir alors se serrer les coudes et décider quel camp choisir…



Donc, comme vous avez pu le constater, nous avons droit dans ce roman aux points de vue de Khadija et Jacob. Personnellement, je préfère largement ce type de narration car c’est toujours plus sympathique et intéressant d’avoir plusieurs points de vue. De plus, on découvre ainsi les différences entre les deux castes. D’un côté, il y a les Ghadaeans dont Khadija fait partie, ce sont ceux qui ont le plus d’avantages. Et de l’autre côté, il y a les Haris, comme Jacob, qui sont dominés et réduits à l’esclavage par le peuple de Khadija. Ainsi, en découvrant le point de vue de deux personnes venant de castes différentes, ça nous permet en tant que lecteur d’être totalement impartial. Aneesa Marufu nous montre par le biais de son histoire, et de ses personnages, qu’il n’y a ni méchant ni gentil.



Le racisme, la différence, les croyances religieuses… La Voleuse de Ballon est réellement un appel à la tolérance. C’est un point que j’ai grandement apprécié lors de ma lecture, néanmoins je trouve que ces thématiques venaient parfois un peu trop prendre le dessus sur le reste de l’univers créé par l’autrice. Certes, le racisme, l’esclavage et la rébellion font partie de ce roman et ils sont parfaitement exploités par Aneesa Marufu, mais pour ce qui est de l’univers, je trouve que cela manquait quelquefois de profondeur. Du coup, bien que les thématiques me parlaient énormément, j’avais malgré tout des difficultés à me plonger pleinement dans l’histoire. J’avais la sensation que je n’étais pas assez investie par ce qui se déroulait sous mes yeux.



Sinon, la plume de l’autrice était agréable à lire, mais il y avait tout de même parfois un peu trop de longueurs et de répétitions à mon goût. Par exemple, j’ai eu l’impression que l’héroïne, Khadija, répétait en début du livre toujours la même chose. Par conséquent, ça tournait terriblement en rond, il n'y avait pas assez d'action. L’intrigue est pourtant pas mal, cette histoire de rébellion et de différence entre les deux castes était très intéressante, cependant je ne peux pas dire que ce roman brille par son dynamisme. Pour tout vous dire, il m’a fallu attendre la fin du livre pour que ça commence réellement à bouger. Je ne dis pas que je me suis totalement ennuyée, mais La Voleuse de Ballon ne possédait pas ce petit « truc » en plus qui me pousse généralement à tourner les pages. De plus, une romance pointe le bout de son nez d’une manière assez impromptue; j’avoue que je ne l’avais pas vu venir celle-là. Disons qu’elle arrive comme un cheveu sur la soupe et est bien trop rapide pour qu’on y accorde de l’importance.



Pour ce qui est des personnages, eux non plus ne m’ont pas vraiment aidée à apprécier pleinement cette lecture. Pour moi, en ce qui les concerne, on reste beaucoup trop en surface. Prenons le personnage de Jacob, ce dernier avait pas mal de potentiel. Au final, on se retrouve avec un personnage chétif, naïf et très mou. Étant donné que c’est l’un des personnages principaux, je m’attendais franchement à mieux. Et puis, il est toujours indécis et on dirait qu’il est incapable de prendre une décision tout seul. Pour Jacob, le dernier qui a parlé a raison. Ce n’est pas comme ça que je m’imagine un héros. Limite, Jacob est un peu l’anti-héros de cette histoire et j’avoue ne pas avoir accroché à cette image. Certes, son personnage nous permettait de mettre un pied dans la caste des Haris, mais hormis cela, Jacob ne m’a malheureusement fait ni chaud ni froid.



Quant à Khadija, j’avoue avoir également eu du mal à apprécier son personnage. J’ai bien aimé sa témérité, c’est une jeune femme réfléchie avec la tête sur les épaules, mais il y avait parfois quelque chose qui me dérangeait dans ses façons de faire. Elle possède un petit côté hautain, un petit côté « princesse » que je n’ai pas vraiment apprécié. Alors oui, Khadija se rend très vite compte que ce que son peuple fait subir aux Haris n’est pas normal et veut absolument rejoindre leur cause, cependant je n’ai pas pu m’empêcher de trouver cela hypocrite de sa part quand on pense qu’au début du livre elle nous dit cracher comme son père sur les Haris et détester ces derniers. Certes, on apprend de nos erreurs et Khadija a honte de ce qu’elle a fait, mais j’avoue que j’ai eu du mal avec ça. Au final, tout comme Jacob, le personnage de Khadija n’est pas si exploité que ça. Vu sa fascination pour les ballons, je trouve finalement que cette partie de l’histoire n’est pas tellement développée et vu le titre du roman, j’ai trouvé cela fort dommage que ça ne soit pas  plus approfondi.



En conclusion, comme vous pouvez le deviner, je ressors de cette lecture assez mitigée, voire déçue. La Voleuse de Ballon n’est pas ce que j’imaginais, bien que certaines parties de l’histoire soient intéressantes. C’est un roman qui avait énormément de potentiel, mais qui manque cruellement de profondeur, surtout au niveau des personnages et de l’univers. Les thématiques et les messages véhiculés par ce roman sont pourtant sympathiques et beaux, toutefois cela n’a pas suffi pour me faire passer un bon moment. J’ai comme une sensation de trop peu et je ne peux pas dire que la fin ouverte m’ait aidée. Reste à savoir si une suite est prévue… Dans tous les cas, n’oubliez pas que cet avis est strictement personnel et je vous invite comme toujours à vous faire propre avis !
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« La voleuse de ballon » est un livre qui me fait de l’oeil depuis sa sortie. La couverture est superbe et l’intrigue est intéressante.



J’ai tardé l’achat et finalement, j’ai reçu ce livre en service presse. Immédiatement après réception, j’ai commencé la lecture !



Les avis sur Babelio étaient peu encourageant mais je ne me suis pas laissé démotivée. Avant les 200 premières pages.



Impossible d’avancer le livre. Les personnages sont fades, il y a beaucoup trop de descriptions et aucune notes de bas de pages pour expliquer de nombreuses notions qui pourraient être intéressantes à comprendre et connaître dans cette découverte d’une nouvelle culture. Difficile de suivre qui est quel personnage et encore plus son rang, il n’y a aucun schéma et parfois aucune explication.



Les points de vues qui sont alternés et la troisième personne ne facilite en rien la fluidité de la lecture.



C’est donc une grande déception alors que le potentiel était énorme…

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Tout d’abord, on tient à dire que cet avis ne nous engage que nous et que vous êtes évidemment invités à vous faire votre propre avis !



Vous l’aurez compris, ça a malheureusement été une déception pour nous. Pourtant, l’idée de base est plutôt bonne, très originale et aurait pu apporter une morale primordiale pour notre société, mais on a beaucoup moins adhéré au développement de cette idée et de ces personnages.



Pour commencer, les personnages ne sont pas suffisamment développés pour nous. Jacob et Khadija ont seulement 15-16 ans, ils manquent de maturité, de crédibilité et d’aboutissement pour porter sur leur épaule autant de fardeaux, de résolutions et de changement. L’idée de mettre entre les mains de jeunes le destin de leur monde est plutôt symbolique, mais avec des enfants encore en pleine compréhension du monde, cela n’a pas eu l’effet escompté. Nous avons plutôt eu l’impression que Jacob était balloté de croyance en croyance, trop naïf pour comprendre les différents enjeux.



L’univers a sans aucun doute, été réfléchi et il est vraiment très original. Malheureusement, on n’a pas réussi à le savourer à sa juste valeur parce que dès le début, on est plongés dans le monde sans aucune préparation. Il nous aura fallu quelques pages pour comprendre les camps et les différents fonctionnements de la société. De plus, nous avons eu l’impression d’être poussées en plein milieu d’une guerre sans comprendre tout de suite les enjeux. Cela a provoqué un sentiment neutre pour nous : ni colère contre ce qu’il se passait, ni peur, ni choix de camp puisqu’on était un peu dans le flou au début. Mais aussi contradictoire que ça puisse paraitre, on a trouvé qu’à certain moment, les actions étaient trop lentes voire redondantes. On aurait peut-être apprécié des personnages plus dynamiques et une évolution un poil plus rapide ou pertinente.



Pour finir, on doit tout de même saluer le message que l’auteure veut faire passer : celle contre le racisme et pour l’égalité. C’est une très belle cause majeure dans le roman, mais on aurait peut-être apprécié une fin montrant un vrai changement dans le monde.



Merci beaucoup à la maison d'édition pour l'envoi et leur confiance !