AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Anna Stuart (32)


Elle craignait qu’Auschwitz fût un enfer, mais jamais elle n’aurait pu imaginer que l’enfer puisse être aussi ignoble et dépourvu d’humanité.
Commenter  J’apprécie          10
Sa cheville lui faisait mal, mais ce n’était rien en comparaison de son cœur, qui hurlait de douleur pour les pauvres gens enfermés là, à la merci de cette bande de monstres.
Commenter  J’apprécie          10
Anna Stuart
En dépit de l'amour qu'elle avait pour lui, Ana regrettait parfois que Dieu ne fût pas une femme - auquel cas, la grossesse et les accouchements auraient peut-être été mieux organisés.
Commenter  J’apprécie          10
Le monde semblait danser une ronde de joie autour d'eux en même temps qu'un son puissant retentissait à ses oreilles, comme si Dieu faisait soudain chanter tous les anges du ciel. Mais si tel était le cas, il avait choisi un bien étrange chœur, car le son prit bientôt des accents de hurlement sinistre, et ce n'est qu'en s'écartant de Filip qu'elle comprit qu'il s'agissait de la sirène signalant une alerte aérienne par les haut-parleurs disposés dans la rue.
Commenter  J’apprécie          10
Nous devons être sûrs de notre engagement, déclara Ana , en entrant dans la Résistance, nous risquons tous de perdre la vie .
Ou de perdre notre âme si nous n’y entrons pas, répondit Bartek.
Commenter  J’apprécie          10
« Ecrire sur l’Holocauste est un honneur qui implique un grand sentiment de responsabilité envers la vérité des faits. Ce roman a beau être une fiction, j’ai fait en sorte que les détails qu’il contient soient aussi proches que possible de la réalité, afin de représenter fidèlement les terribles souffrances endurées par ceux qui, comme les personnages, ont été internés dans les ghettos et dans les camps du régime nazi. »
Anna Stuart
Commenter  J’apprécie          00
Elles avaient raconté qu’elles dormaient sur des planches de bois, parfois à quinze dans une seule couchette. Elles avaient décrit la faim, le froid pénétrant, l’humiliation des appels incessants, la brutalité des gardes et, bien sûr, l’horreur des immenses chambres à gaz qui recrachaient sur elles de la fumée d’humains, jour et nuit, telle une malédiction sans fin. Et les gens avaient écouté et s’étaient émus de tout cela, avec sincérité, mais ils ne pouvaient pas réellement comprendre. Ce qui était peut-être mieux. Mais cela faisait tout de même mal.
Commenter  J’apprécie          00
La pauvre Pologne avait plié sous le joug de l’oppresseur mais ne s’était pas brisée.
Commenter  J’apprécie          00
La mort planait au-dessus du camp sous forme de nuages bien réels, souillant l’air même qu’ils respiraient d’une odeur infâme qui n’avait de cesse d’écœurer Ester.
Commenter  J’apprécie          00
Trop éprouvée, elle ne savait plus très bien si Dieu veillait encore sur eux à Birkenau ; elle avait cependant la conviction que, si tel était le cas, il devait être en larmes, lui aussi.
Commenter  J’apprécie          00
[…] et les gens craignaient davantage les puces que la colère de Dieu. Comment leur en vouloir, quand ils se sentaient déjà presque en enfer ?
Commenter  J’apprécie          00
Mais l'amour ne peut pas être anéanti par les fusils, les chars et les idéologies abjectes. L'amour ne peut pas mourir à cause de la distance ou de l'absence, de la faim ou du froid, des coups ou des humilia- tions. Et, quoi qu'en aient pensé les nazis, l'amour a le pouvoir de transcender le sang et de créer des liens mille fois plus forts qu'une idéologie malsaine.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Anna Stuart (1138)Voir plus


{* *}