Aurélie Boussard

J’ai retrouvé avec plaisir la plume d’Aurélie Boussard dont le précédent roman « La Jeune Fille de Chtouka » était un de mes gros coups de coeur de l’an dernier.



Au moment des fêtes de Noël, à Colmar, nous suivons Laura, son petit frère et sa mère, qui est totalement immature et irresponsable. Pour s’occuper d’eux, Laura a mis ses rêves de côté.

Mais Marco, ami d’enfance devenu acteur, revient chez lui…



Une lecture parfaite pour les vacances, agréable, fluide et aux personnages sympathiques. Et même s’il m’a manqué l’originalité et l’engagement de la jeune fille de Chtouka, @aurelieboussardauteure est une auteure à suivre qui mériterait largement sa place dans une maison d’édition comme @lillycharleston (oui, je le dis).


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La plume de l’auteure laisse transparaître les émotions. Tout au long du livre, j’ai ressenti les sentiments des personnages principaux : j’ai été curieuse, impatiente, en colère, triste, j’ai espéré et j’en passe. L’auteure a réussi à me faire entrer complètement dans l’histoire et à me faire oublier que c’était une fiction.



De plus, j’ai tourné les pages rapidement. Les petits chapitres me faisant dévorer l’histoire de Assia, personnage attachant, dont je ne voulais que le bien et espérais la meilleure vie possible. Une seule idée durant ma lecture : sera-t-elle finalement heureuse ?
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Encore un magnifique moment de lecture ! Même si dès les premières pages, j’ai eu l’impression de replonger dans Toutes blessent, la dernière tue de Karine Giebel, la vie d’Aïssa prend une autre tournure que celle de Tama, et heureusement ! Je n’aurais pas supporté un bouleversement similaire.



Orpheline de mère et abandonnée par son père, Aïssa se retrouve élevée par sa tante qui l’exploite sans aucune reconnaissance. Elle peut heureusement compter sur la bienveillance de sa grand-mère paternelle, qui vit sous le même toit. Etant une charge trop lourde pour la famille, elle est ensuite envoyée chez la soeur de sa mère, qui doit lui permettre de trouver un travail de bonne...



Ici, Aurélie Boussard nous raconte le combat d’une jeune marocaine qui se bat pour que, contrairement à ce qu’elle a vécu, chaque femme ait la possibilité de faire ses propres choix. A travers une histoire d’amour magnifique, on voit Aïssa s’épanouir en tant que mère d’abord, puis en tant que femme. Un roman plein d’optimisme que j’ai pourtant lu avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête tant le souvenir du chef-d’oeuvre de Karine Giebel revenait me hanter.
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Nouvelle lecture dans le cadre du jury @librinova .

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Un livre de société, un livre féminin, un livre émouvant et dépaysant, un livre sur l'amour... Un livre qui parle d'espoir et qui donne envie au lecteur d'aller à la poursuite, jusqu'au bout de ses rêves. Mon plus gros coup de ❤ depuis le début de cette jolie aventure.

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Résumé



Il y a ceux qui choisissent, ceux qui croient choisir et ceux qui subissent. Assia, petite marocaine de la campagne élevée par sa tante, ne débute pas bien dans la vie. Confrontée à l’abandon et à la pauvreté, elle est projetée bien trop tôt dans le monde des adultes. Sa famille l’envoie travailler à Casablanca alors qu’elle n’a que quinze ans. À travers son parcours éprouvant, nous vivons avec elle la difficulté d’être une femme au Maroc, ajoutée à celle d’être pauvre dans un pays où les inégalités sociales sont flagrantes. Et que dire de l’amour ? Aimer librement et décider de sa vie y sont des combats souvent perdus d’avance. Assia, elle, porte en elle une arme imparable, l’espoir.

La jeune fille de Chtouka.



C’est l’histoire des responsabilités et de la lucidité avant l’âge.

Assia, 14 ans, vit dans un petit village du Maroc avec sa grand-mère, son oncle, sa tante et leurs cinq enfants. C’est une fillette qui n’a jamais pu aller à l’école, qui s’occupe de la maison et des petits, mais qu’on décide un jour d’envoyer à la ville pour rapporter de l’argent.



C’est une histoire d’amour, celle de toute une vie, belle, pure et forte, qu’on n’oublie jamais et pourtant rendue impossible par le poids de la famille, de la société et de la religion. Car la jeune femme découvre l’amour dans un pays où le cœur n’a aucune voix sur le chapitre.



C’est une histoire de liberté dans un monde marqué par les traditions et les inégalités. La jeune fille de Chtouka subit parfois, doit se cacher et renoncer momentanément à ses envies et ses rêves. Elle est partagée entre les injonctions de la société et son cœur, sa flamme intérieure.



C’est l’histoire du roseau qui plie mais ne rompt jamais. Car Assia est une battante qui ne baisse jamais les bras malgré les coups, les injustices, les épreuves et les abandons, dans cet étrange monde où on lui demande seulement de se taire. Une femme dont le courage et la résilience forcent le respect.



C’est une histoire sur les choix, un roman empreint d’espoir et d’émotions, un récit touchant qui nous invite à ouvrir les yeux et à décider de notre chemin. Une très belle découverte.



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La jeune fille de Chtouka c'est un parcours de vie.

Celui d'Assia, petite marocaine, orpheline de mère, dont nous faisons la connaissance alors qu'elle est âgée de 14 ans.

La vie ne sera pas tendre avec elle.

Il faut dire qu'Assia part avec des désavantages considérables : c'est une femme, elle est pauvre et n'a pas reçu d'éducation scolaire.

Même si le Maroc tend à se moderniser, le poids de la religion et des traditions restent encore très encrés dans les mentalités. Trop peut être pour qu'une gamine de la campagne s'autorise à rêver.

Alors Assia sera bonne à tout faire, c'est le seul métier auquel elle peut aspirer.

De son adolescence à Chtouka où sa vie est dévouée à sa famille, jusqu'à son quotidien de bonne pour les familles aisées de Casablanca, nous serons témoins de ses peurs, de ses peines, de ses déconvenues, mais aussi de ces quelques rayons de soleil qui illumineront parfois son destin.

La jeune fille de Chtouka, c'est un parcours de vie.

Celui d'Assia, petite marocaine, orpheline de mère, à qui on a envie de tenir la main très fort. On voudrait l'accompagner et lui dire "ça va aller, tu es forte, tu vas t'en sortir".

Dire que ce personnage est touchant serait encore loin de la vérité. Assia est un cœur pur, une femme privée de choix et de ses droits mais qui avance, guidée par sa lumière intérieure.

Son histoire force l'admiration et l'empathie. En tant que femme, il est impossible de ne pas être sensible à ce récit.

C'est le hasard seul qui nous a fait naître au bon endroit et au bon moment. Toutes n'ont pas cette chance. Ce roman nous le rappelle, tout comme il nous dit que le chemin est encore long pour que les femmes soient libres.

J'avais lu le premier roman d'Aurelie Boussard, et si je l'avais apprécié, il m'avait manqué des petits plus. Avec ce second roman, je suis épatée de voir à quel point sa plume a mûri. L'écriture est dynamique, grâce à des chapitres très courts. Les personnages sont plus travaillés, l'intrigue plus fouillée et l'équilibre entre description et action est parfaitement maîtrisé. Évidemment, la part de romance m'a conquise, elle transpire la bienveillance et apporte beaucoup de délicatesse au récit.

Alors je remercie vivement l'auteure de m'avoir fait découvrir ce second roman et par la même occasion, la belle évolution de ses écrits.
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J’aime découvrir de nouveaux auteurs, en particulier des auteurs auto-édités, ça cache de beaux talents et de belles histoires. C’est le cas ici, j’ai été séduite et emportée dans cette histoire qui prend sens, qui fait réfléchir à sa vie, à ses rêves. J’ai adoré ce roman, que je n’ai pas pu lâcher.

J’ai aimé découvrir l’histoire, la passion, les rêves, les amours, la famille et les amis de Mélia. Au fur et à mesure, je me suis attachée à cette belle personne. Par moments, j’ai souri, j’ai ri, j’ai été triste, j’ai également pleuré à un moment. Il y a beaucoup de passages qui sont émouvants, qui sont transmis avec tant de réalité qu’on se met à la place de Mélia. J’y ai trouvé beaucoup de bienveillance et de sympathie, c’est un plaisir de lire un roman comme celui-ci.

Merci Aurélie de m’avoir permis de découvrir ce récit, si bien écrit, j’ai passé un très bon moment de lecture. J’ai pu me questionner aussi, sur mes rêves, mes désirs, mes sacrifices, mes envies, mes choix, sur moi-même...

Lorsque j'ai commencé ma lecture j'ai de suite accroché mais je me disais au fil des pages " Ça manque de dialogue quand même", j'ai continué à lire sans plus décrocher et je suis devenue accro à ma lecture. Il y a même des passages où j'ai eu la gorge nouée et les larmes aux yeux pour Mélia, cette danceuse douce et attachante qui ne vit que pour son rêve de danser encore et toujours vivre au présent l'instant présent sans penser à demain.... Au risque de perdre l'amour de sa vie ?.... Tout les personnages sont attachants, l'histoire est très bien menée. Je l'ai aimé pour ce côté si touchant, pour ce côté un peu philosophique qui nous fait nous aussi poser des questions sur notre vie, sur le sens que notre vie a pris, prend ou prendra.... Cette plume de l'auteure que je découvre avec beaucoup d'émotion est un gros coup de cœur pour moi, cela faisait longtemps qu'un livre ne m'avait pas autant émue à en avoir les larme aux yeux. Bravo .

Un livre touchant, dévoré en une journée. j'ai apprécié le personnage de Mélia qui pourtant au début de roman m'a un peu agacé, je l'ai trouvé égoiste et centrée sur elle même. Mais au fur et à mesure des pages, on y découvre une vraie personnalité touchante, attachante. Ses questions sur la vie et sur ses choix nous entraine dans le questionnement, mettant en avant de manière philosophique les grandes questions de la vie. Une très belle morale, une jolie histoire, qui m'a fait sourire et m'a émue. En bref je vous conseille fortement de lire ce roman qui est bourré de questions très compliquées mais qui est pour autant très accessible.

Un titre qui m'a charmé.

Nous avions tous des rêves enfants. Qu'en advient-il quand nous atteignons l'âge adulte? Continuons envers et contre tout à les poursuivre? Met-on les de côté en se disant on verra plus tard ? Trouve-t-on des excuses pour s'affranchir de leur non réalisation ? Comment réagir quand tout ne se passe pas comme prévu ? Comment faire face aux accidents de la vie qui nous déroute de notre chemin.

Bref, Aurélie Broussard nous pose une question qui invite à la réflexion. J'ai découvert avec plaisir la plume de l'auteure qui signe son premier roman.



Mélia rêve de devenir danseuse professionnelle et sa meilleure amie Elsa veut parcourir le monde. Nous suivons le destin croisé de ses deux femmes sur fond de parcours familiaux et de rencontres amoureuses. Je n'ai pas accroché tout de suite mais passés les premiers chapitres, je me suis attachée à Mélia qui montrait enfin ses fêlures et la seconde moitié du roman se dévore.



En tournant la dernière page, je me suis demandée: Que reste-t-il de mes rêves?



Je lirai avec plaisir le prochain livre d'Aurélie Broussard.

J’ai vraiment ressenti les émotions de Mélia, j’ai eu le cœur brisé comme elle, même si pour le coup, j’ai trouvé qu’elle l’avait quand même un peu cherché. Mais j’ai beaucoup été touché par la seconde partit du livre, parfois au bord des larmes. La vie peut parfois s’acharner sur nous, nous faire subir beaucoup d’épreuves. Mais ces épreuves peuvent aussi parfois nous ouvrir les yeux. C’est exactement ce qui s’est passé avec Mélia…

J’ai également eu un gros coup de cœur pour un personnage secondaire, Morgan. C’est vraiment l’homme idéal…
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Une histoire magnifique qui nous fait réfléchir. Mélia est une jeune femme attachante, passionnée avec elle on vibre, on aime, on pleure, on se remet en question ; c'est une histoire pleines d'émotions. La plume de l'auteure est fluide,captivante et addictive! Un roman court mais tellement bien construit et détaillé.

N'hésitez donc pas à aller découvrir l'univers de Mélia.

Dans Nos vies improvisées, Colmar devient la scène d’une pièce de Théâtre dont les acteurs ne vous laisseront pas indifférents.



Dans les rôles principaux, vous découvrirez une mère qui se perd à tant vouloir être aimée, qui danse autant qu’elle pleure, qui étouffe autant qu’elle néglige, qui dépense autant qu’elle fuit ; une fille qui tente de maintenir le navire à flot, qui fait taire sa petite voix intérieure, oublie ses rêves et rêve sa vie en cherchant dans son imagination un maigre réconfort à sa triste réalité ; un fils adolescent qui se cherche, qui cherche d’où il vient, qui se perd dans les questions et son besoin de réponses ; mais également un patron sage et bienveillant, un cuisinier charmeur, une amie audacieuse, un ancien camarade qui refait surface…



Lorsque le rideau s’ouvrira, vous vous retrouverez en Alsace au moment de Noël, entre solitudes et magie des fêtes, entre froid hivernal et ambiance chaleureuse. Dans ce joli décor, Aurélie fera entrer en scène des personnages cabossés, aussi justes qu’imparfaits, et placera sous le feu des projecteurs de nombreux sujets de la quête de soi aux liens familiaux.



Ne nous cachons-nous pas parfois derrière un masque ou un rôle ? Ne nous laissons-nous pas souvent enfermer dans l’illusion du confort et de la maîtrise au lieu de prendre des risques ? Ne devenons-nous pas de temps à autre spectateurs de nos propres existences en oubliant notre responsabilité de metteur en scène ? Et si nos vies méritaient d’être plus improvisées ?



J’avais été touchée par l’histoire d’Assia, mais je dois dire qu’avec ce troisième roman, Aurélie passe à la vitesse supérieure avec une plume plus affinée et affirmée. Il y a de la poésie, de la délicatesse et de jolies réflexions qui émaillent les différents actes avec pour résultat une pièce tendre et bienveillante.


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Accompagné par un dessin et un découpage tout en sobriété et en maturité, ce premier volume a alors quelque chose de fort grâce à son portrait de femmes et de captivant grâce à sa structure narrative sortant des sentiers battus. Yumi Sudô maîtrisant très bien son récit, on en découvrira la suite et fin dans le tome 2 avec beaucoup d'intérêt.
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Quel est le lien entre le rêve et la réalité ?



Direction le centre de ville de Colmar en Alsace.

Laura, 24 ans, travaille dans une brasserie située à côté d'une salle de spectacle en vogue. Elle est un peu le pilier de sa famille, c'est elle qui paye le loyer. Elle gère sa mère, éternelle adolescente, ainsi son petit frère de 14 ans. Coincée dans une vie qui ne lui ressemble pas, elle se consacre énormément à sa famille, et s'oublie. Romantique dans l'âme, va-t-elle enfin s'autoriser à faire ce qui l'anime ?



La plume d'Aurélie Boussard est douce et poétique. Coup de cœur pour cette écriture de qualité remplie de jolies figures de style. Plusieurs références au théâtre sont présentes ici à commencer par les intitulés des parties du roman (acte 1, acte 2...). On trouve de multiples jeux de mots liés au théâtre. Et on n'est pas à l'abri d'un coup de théâtre !

C'est un roman choral. En effet, les chapitres s’enchaînent avec des points de vue différents.

Parlons un peu des personnages de l'histoire.

Laura est une grande rêveuse. Comment faire la différence entre rêve et réalité ? Le rêve peut-il devenir réalité ? La réalité peut-elle être plus belle que le rêve ?

Noah, son petit frère, a un mal être profond. On va en apprendre plus sur lui.

Martha est la meilleure amie de Laura. Elle croque la vie à pleine dent.

Antoine est le gérant de la brasserie, il a un passé douloureux. Ce personnage est très positif.

Quant à Adrien, c'est le don Juan et il risque de se faire avoir à son propre jeu.

Enfin, on rencontre Marco qui est un ami d'enfance de Laura. Il est devenu comédien et revient jouer dans sa région natale.

Plusieurs personnages, certes, mais on ne s'emmêle pas entre eux. Ils ont tous une personnalité qui leur est propre.

Chaque personnage a un parcours de vie compliqué. Ils vont devoir affronter le passé.

L'auteure parle des passions qui apaisent nos maux, comme le dessin ou encore la danse. J'aime les personnages passionnés. Les passions nous rendent heureux.



On retrouve quelques ingrédients phares des romances de Noël. L'histoire se passe à la période Noël. Les petites gourmandises comme le pain d'épice et le chocolat chaud sont au rendez-vous. Cette histoire s'apparente donc à une romance de Noël. Cependant, l'auteure met en avant les épreuves que la vie nous fait traverser. Ainsi, bien qu'il y ait de l'amour et de l'amitié dans ce roman, il est davantage axé sur les blessures passées, la quête du bonheur et la résilience.



Vous connaissez sans doute cette célèbre citation :

« C’est une folie de haïr toutes les roses parce qu’une épine vous a piqué,

D’abandonner tous les rêves parce que l’un d’entre eux ne s’est pas réalisé,

De renoncer à toutes les tentatives parce qu’on a échoué.

C’est une folie de condamner toutes les amitiés parce qu’une vous a trahi,

De ne croire plus en l’amour juste parce qu’un d’entre eux a été infidèle,

De jeter toutes les chances d’être heureux juste parce que quelque chose n’est pas allé dans la bonne direction.

Il y aura toujours une autre occasion, un autre ami, un autre amour, une force nouvelle.

Pour chaque fin il y a toujours un nouveau départ. »

C'est pour moi la morale de cette histoire. J'ai aimé la bienveillance qui en ressort.



Je recommande cette lecture qui montre que malgré les orages de la vie, on peut accéder au bonheur.

un roman qui se passe dans un joli cadre (Colmar et Alsace) au moment des fêtes et qui tourne autour de Laura le personnage principal. Autour d'elle gravite de nombreux personnages. Laura est rêveuse, artiste, serveuse dans une brasserie et bien trop responsable pour son âge, les rôles ont été inversés avec sa mère. Mais à l'approche de ces fêtes, des choses vont changer, des prises de conscience, des révoltes. Le livre est court et se lit rapidement.

Une romance feel-good chaleureuse et réconfortante comme.un bon chocolat chaud

2ème livre que je lis de cette auteure et un coup de ❤️

Mes sentiments :

+ le personnage de Laura

+ c'est plein de poésie et de sensibilité

+ Antoine le patron de Laura ce vieux sage

+ l'amitié entre Laura et Martha

- quelques coquilles

Après La jeune fille de Chtouka que j’ai découvert lors de la dernière sélection pour le prix des étoiles de Librinova, je me suis laissée tenter par Nos vies improvisées d’Aurélie Boussard.

Cette fois-ci, l’autrice nous entraîne dans une comédie romantique à la veille de Noël à travers les rues de Colmar. Bien que divertissante, originale et riche en rebondissements, j’ai regretté que la plume manque un peu de piquant et d’humour qui aurait transformé cette lecture en véritable coup de coeur.


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On suit Laura, qui depuis le plus jeune âge doit s'occuper de son petit frère, de son éducation, des ressources du foyers, et s'occuper de sa mère adolescente. Elle s'en oublie elle-même et n'est pas heureuse dans la vie.



On va avoir plein de points de vues divers sur cette histoire, avec Noah (le frère de Laura) qui cherche ses origines, Carole (qui essaie de devenir la femme et mère qu'elle aurait aimer être pour ses enfants), Antoine (le patron de la brasserie) qui veut se reconstruire et aider les autres, Adrien (le cuisinier) qui veut se poser, Martha (la meilleure amie de Laura) qui veut s'amuser, Marco (célèbre comédien) qui revient dans sa ville natale.



Les personnages ont tous leurs défauts et leurs qualités, ce qui les rends réels. On est dans un roman choral avec plusieurs points de vue alterner avec tous ces personnages qui nous dévoile leurs failles et leurs forces.

Le roman est découper en acte en référence au théâtre.

J'ai des fois été perdue dans les phases poétiques du roman, car je n'ai pas l'habitude de ce genre littéraire, cependant cela donne une originalité au récit. Il y a quelques longueurs mais ce roman vaut le détour, si vous souhaitez un roman de Noël qui sort des sentiers battus, qui est original. Il se déroule à Colmar , en Alsace, le pays de Noël, c'est l'idéal.

Une bonne lecture

Laura vit dans son monde, elle s'imagine des vies plus colorées pour faire face à une réalité moins épanouissante, faite de responsabilités et de rêves mis au placard.

Entre une mère qui papillonne d'un homme à l'autre et un petit frère qui se cherche, c'est à elle d'assumer le rôle de parent.

Jusqu'au jour où l'un de ses amis d'enfance refait surface et avec lui, la tentation de vivre avec plus d'insouciance.

Nos Vies improvisées est un roman choral qui met en scène une variété de personnages gravitant autour de Laura. Ils ont des fêlures, ils sont imparfaits mais font du mieux qu'ils peuvent.

Si j'ai été regretté les nombreuses introspections qui cassaient parfois le rythme, j'ai aimé la douceur qui se dégageait globalement du roman. Bien sûr, mon petit cœur d'artichaut aurait voulu un peu plus de romance, un peu plus de scènes entre Laura et Marco, l'ami d'enfance, mais ce n'est qu'un caprice de ma part.

Et j'ai vraiment apprécié les descriptions de Colmar sous son manteau de Noël, ça m'a donné envie de découvrir cette ville.

Mais en attendant d'y aller un jour peut-être, je vous conseille cette lecture toute douce, avec un plaid, un thé, une bougie parfumée, vous verrez, vous serez sans l'ambiance.

Un vrai coup de coeur !!!

Une magnifique histoire d'amour dite impossible...

L'auteure nous fait voyager dans un autre pays, nous met face aux différences entre cultures et traditions. Je fus subjuguée par cette plume sublime, d'une douceur...

Un ouvrage addictif !!!