Bérengère Cournut

Alors je suis souvent en retard, j’aime attendre que le battage médiatique autour d’un bouquin s’amenuise pour me l’approprier lors de la lecture et éviter les déceptions par trop d’attentes. J’avais lu Zizi Cabane que j’avais beaucoup aimé évidemment. On retrouve ici tout ce qui fait Bérengère Cournut, un phrasé simple, une prose tout aussi riche que puissante, une intrigue qui se déroule comme un rêve éveillé. Donnez moi toute sa bibliographie et je la dévorerai, il ne faut pas la laisser passer ! De pierre et d’os, c’est le récit de cette femme Inuit qui va prendre le pouvoir sur son histoire, c’est un court roman qui en peu de pages et de mots sait nous faire voyager là où nous imaginons des nids d'igloos bien alignés sur la banquise. Au fond je pense que les Inuits bien que ce soit documenté, reste un prétexte pour servir un message plus universel, une femme qui prend le pouvoir sur sa vie et qui ne se laisse pas faire. Finalement, j’en retire surtout ces chants, ce qui m’a le plus touché et fasciné. A ce stade de connaissance de sa bibliographie, pas son meilleur selon moi mais presque !

Premier roman que je lis de l’autrice et quelle découverte. Bérengère Cournut aime les beaux mots, la phrase simple, une poétique si merveilleuse et dérangeante. L’intrigue est simple comme pour De pierre et d’os. Ici, Maman a disparu, que fait on ? Mais alors si vous lisez Berengère Cournut pour l’intrigue je crois que vous vous trompez d’auterice. Ce qui est fascinant, ce sont ces mots, ces personnages auxquelles elle donne de la profondeur, une richesse dans leur identité, une émotion que je pense on ne retrouvera pas en littérature de si tôt.

Un véritable voyage initiatique au cœur d’un monde mystérieux et glacial dont on ne peut détourner les yeux.



Avec une plume douce et poétique, l’auteure nous transporte à travers ces paysages froids et hostiles chez les peuples nomades Inuits. L’immersion est immédiate et totale, on tremble de froid comme d’angoisse dès la première page en affrontant de front l’immensité polaire impitoyable, aux côtés de notre jeune protagoniste.



Tout comme elle, notre innocence et notre ignorance de ce monde nous font proies faciles face à la cruauté intransigeante de la nature, mais aussi face à celle des hommes; c’est aussi face aux esprits malicieux et énigmatiques que l’on doit tenir tête pour tenter des garder les pieds sur terre.



Le caractère simple mais cru de l’écriture nous transperce droit dans le cœur lorsqu’il est question des violences physiques et psychologiques que ces hommes et femmes de l’arctique doivent endurer pour survivre, mais l’auteure sait aussi nous réchauffer avec les moments de partage et de convivialité que nos protagonistes vivent ensemble dans ce désert glacé.



C’est comme perdue sur la glace et dans le temps que j’ai traversé cette belle lecture unique et nouvelle.

Voilà un conte sympathique à découvrir, qui se lit très rapidement. Quelques illustrations, une histoire assez chouette, et une écriture qui nous plonge dans son récit. Ce n'est pas le genre de livre que j'ai l'habitude de lire, mais ce fut tout de même une chouette découverte.

L'auteure joue avec les mots et joue avec les émotions.

On passe ainsi du sourire aux petites larmes au coin des yeux, comme ça, en deux courtes phrases!

Ce livre parle de deuil, mais un deuil empli de tendresse, de gaieté, de spiritualité et la poésie, omniprésente.

On découvre cette famille hors du commun, le père inconsolable et perdu, l'aîné des garçons, protecteur et tendrement moqueur avec sa fratrie, le second, doux gamin surdoué, et enfin, la malicieuse fillette qui ne laissera personne indifférent!

Un voyage singulier, émouvant et drôle, une vie contée merveilleusement et "paisiblement" ( petit clin d'œil à la toute fin de ce magnifique roman).

L’année dernière, j’avais adoré Zizi cabane de la même autrice et mes copains libraires n’ont eu de cesse de me conseiller ce titre. Le hasard fait que je tombe dessus dans un easy cash pour moins de 2 euros. Depuis, ce livre prenait un peu la poussière dans ma PAL jusqu’à l’annonce d’une séance de dédicaces prévue avec l’autrice le mois prochain. Ni une ni deux, je fonce tête baissée dans l’univers glaciale de De pierre et d’os. J’ai adoré la poésie de ce livre, ses personnages attachants et toutes ces traditions qui m’étaient inconnues. Encore un sacré bon travail, merci Bérengère Cournut.

⭐️Cadeau surprise offert par "pounet" que je remercie 🌝

Ce roman m'a fait sortir de ma zone de confort car ce n'est pas du tout le style de lecture dont j'ai l'habitude.

Je salue la prouesse d'écriture de Bérengère Cournut qui mêle avec brio la poésie à la prose.

Je salue également la magnifique couverture d'Astrid Jourdain (une jolie fresque à déployer)



⭐️Odile a disparu, laissant derrière elle son mari Ferment et leurs 3 enfants : Béguin, Chiffon et la jeune Zizi Cabane (Chiffon croyait qu'elle avait le zizi cassé quand elle est née d'où son surnom 🌝)

Car dans cette famille chacun a un surnom qui lui correspond sauf Odile "car Odile c'est trop doux ..."

Mais où est-elle partie ?

Elle s'est évaporée à l'image de l'eau, fil conducteur de l'histoire, qui s'infiltre peu à peu partout dans cette maison et chacun se construit et grandit avec ce manque, sous la protection de tante Jeanne et Marcel Tremble.



⭐️un roman choral entre fable et rêve éveillé, une métaphore sur le deuil et l'absence.

Un récit plein d'humour à hauteur d'enfant auquel je n'ai pas accroché mais pour les adeptes du genre ce roman plaira 📚

Zizi Cabane, C'est ma plus jeune sœur qui m'a offert ce livre pour mon anniversaire. Je n'avais rien lu de cet auteure auparavant.

Belle couverture qui se déplie pour devenir une fresque avec de belles couleurs. Le récit est pareil, tendre, agréable et bien écrit. Un très bon moment avec Chiffon, Béguin, Zizi et les adultes qui veillent sur eux en les laissant vivre le plus heureux possible malgré la disparition de leur mère. Puis petit à petit chacun va vivre sa vie, à sa façon.

Quel beau roman ! A travers le destin d'Uqsuralik, jeune Inuit séparée de sa famille suite à une faille dans la banquise, on découvre la culture et le mode de vie du peuple du froid. Familles nomades, vivant au rythme des saisons, de la chasse et de la cueillette, profondément habitées de croyances et d'histoires transmises de générations en générations, solidaires face aux conditions de vie d'une rudesse extrême. Il s'agit souvent moins de vivre que de survivre, dans ce pays de glaces et de famines, où le moindre bout d'os ou d'arête est précieusement récupéré et utilisé. Dans la solitude et le silence de cet univers hostile et rude, entre délires mystiques et poésie, Bérengère Cournut nous invite à un magnifique voyage, à la fois immobile et lointain, inspiré par une sculpture polaire d'os et de pierre et une résidence de dix mois au Muséum d'histoire naturelle, à Paris. Au fil de cet ouvrage sont souvent venues s'immiscer en moi les images de la très belle collection d'art inuit rassemblée par notre poète national Carl Norac depuis les années 90. Jai aussi beaucoup pensé au roman "Peau de phoque" de Valentina Vequet qui décrit la vie d'une mère de famille dans la presqu'île de Tchoukota, à l'extrême est de la Russie. A noter aussi que cet ouvrage est un très bel objet : le grain du papier, son grammage, la typo, la mise en page, le graphisme, les photographies... tout est fait pour le plaisir des yeux et de la lecture. C'est assez rare pour le souligner.

L'autrice nous emmène à la rencontre du mode de vie inuit, dans une époque indéterminée, guidé par les croyances et les chamanes.

La jeune Uqsuralik est brutalement séparée de sa famille et doit se débrouiller seule pour survivre sur la banquise, blanche et monotone. Malheureusement, j'ai trouvé le style de ce récit tout aussi plat, froid et monotone. A part la découverte de toutes les manières d'accommoder la viande de phoque, je me suis plutôt ennuyée avec cette lecture. La dernière partie, davantage centrée sur l'initiation chamanique est un peu plus vivante, mais j'ai trouvé l'ensemble bien fade. Ce qui m'étonne encore plus, c'est que j'ai lu une édition scolaire conseillée pour les classes de 5e, 4e et 3e et je ne donnerais pas à lire aux plus jeunes un récit avec des scènes de sexe (pourquoi pas), mais surtout de viol et d'échangisme aussi explicites.

Magnifique ! Magnifique par l’écriture, les poèmes. Magnifique car les personnages qui prennent la parole tour à tour sont une boule d’émotion.

Odile et Ferment sont un couple amoureux, ils auront trois enfants Béguin le plus grand, Chiffon et Zizi cabane, la seule fille qui a un zizi caché, un zizi cabane. Mais Zizi connaitra à peine Odile qui disparait un jour et ne reviendra pas et c’est avec ce deuil non fait que la famille va tenter de se construire bon an, mal an, avec un chagrin qui prendra des formes différentes selon chacun mais qui les soudera irrémédiablement.

Odile hante ce roman délicieusement sous la forme de cette eau qui coule, cette eau qui menace d’écroulement la maison, sous la forme de ce lac en Alaska.

Alors nous suivons la vie de ses enfants et j’ai un faible certain pour Chiffon qui suit des lignes dans ses chiffons doudous pour en faire des cartes géographiques extraordinaires. Mais bien sûr aussi Zizi, la toute petite et ses rêves, Béguin en colère, lui, le grand. Ferment le père qui veut continuer à vivre et construire sur cette maison qui prend l’eau mystérieusement.

Et puis la présence douce de la mère à travers ces bouts de ruisseaux qui peu à peu les amènent à faire d’autres choix que de s’enfermer dans leur chagrin, à laisser les souvenirs, à grandir, à vivre.

C’est onirique, magnifiquement tendre, juste et beau. Une bulle d’amour.

Peu habituée à lire du vers libre, je me suis lancée dans ce texte que j’ai dévoré en une soirée !



Bérangère Cornut nous entraîne dans une histoire à demi-fantastique narrée par Élise une des sœurs du géographe anarchiste Elisée Reclus.



Inspiré de sa vie, l’autrice nous entraîne dans cette famille assez loufoque qui vit en marge de la société, dans la forêt.



Elisée et Onésime - son frère - quitte le domicile familial pour partir étudier. Leur jeune sœur Élise partira à leur recherche après avoir croisé le chemin d’une vouivre - créature avec des cheveux de feu, mi-femme, mi-serpent - qui l’informera que ses frères courent un grave danger...



C’est une histoire tout en décalage avec la réalité que nous offre Bérangère Cornut. Élise a en effet - après recherche - bien existé, mais elle est née en 1829 entre Elie Cornut (1827) et Elisée Cornut (1830), malheureusement elle est décédée dans cette même année.

Elie, Élise, Elisée, c’est merveilleux ce lien entre frères et sœurs jusque dans leurs prénoms... Ainsi, le temps d’un livre, l’autrice lui redonne vie.



C’est une œuvre originale, peu connue et insensée du début jusqu’à la fin ! Bérangère Cornut réinvente cette famille pour en faire un chouette livre poétique à la limite du conte !

Suivez la trace laissée sur la banquise par Uqsuralik et ses chiens, et plongez avec elle dans la froidure polaire et ses nuits interminables.



Ici on sent les phoques annelés au lointain, on vibre au son des vagues sous la glace, on vit au rythme des saisons qui durent une éternité.

Les esprits sont partout: dans le souffle du vent glacé, dans l’expiration chaude du nouveau-né, dans le vol des corbeaux et dans la lune qui se reflète sur la banquise.



Bercée par les chants chamaniques, l’histoire de cette jeune inuit prend des airs de conte initiatique où tous nos sens sont en éveil pour un voyage entre ésotérisme et traditions ancestrales.



Une petite merveille.

Bravo, bravo, bravo, c'est ma plus belle découverte de l'été. Un texte magnifique, transportant. Les mots me manquent. Je suis allé embrasser ma libraire (à Die dans la Drôme) de m'avoir vendu ce livre. J'ai hâte maintenant de découvrir les autres qui semblent nombreux. Merci à l'autrice.

Un roman d'une singularité absolument charmante. Cette façon bien à elle qu'a Bérengère Cournut de nous conter l'histoire de cette Inuit m'a embarquée dès les premières pages. Une ôde à la féminité, une invitation au voyage que je conseille vivement. Grand coup de coeur pour cette autrice que je ne connaissais pas, et que j'ai découvert - soit dit en passant - grâce à ma génie-libraire de Toulouse. J'ai dévoré depuis ses autres romans, toujours courts, et toujours très différents les uns des autres.

Cette nuit, Uqsuralik devient femme. Sa douleur est telle qu’elle doit quitter l’igloo où elle dort avec ses parents, sa sœur et son frère. C’est alors que la banquise se fracture, séparant la jeune femme de sa famille. Elle est seule à présent et va devoir frayer son chemin dans une existence hostile où le froid et les dangers constants le disputent à la chaleur des foyers éphémères.



« De pierre et d’os » est un roman écrit par Bérangère Cournut. La mise en page du livre est très belle, une couverture dans des tons pastel qui évoque l’arctique, une jolie police et des étoiles qui entourent les numéros de chapitres et puis un cahier de photographies en noir et blanc en toute fin, sources d’inspiration du roman pour l’auteure.



Sous la plume de l’auteure, l’environnement est bien rendu, sa beauté et son hostilité sont dépeintes : froid, immensité, de l’eau à perte de vue sous toutes ses formes. Les mœurs des inuits sont décrites, les relations hommes-femmes, les enfants, les tabous ; la survie, le quotidien rythmé par la chasse ; le chamanisme et les liens étroits que les inuits entretiennent avec les esprits. Au fil de son voyage sur la banquise, Uqsuralik fait des rencontres, souffre, s’attache, enfante. La vie passe, rythmée par les saisons — binaires en ces contrées — et les familles qui s’agrandissent, les anciens qui partent.



A l’image des photographies en noir et blanc, le propos m’a semblé froid ; une beauté d’ensemble se dégage sans nul doute, avec des chants ponctuant le récit, des descriptions de lieux, de scènes de chasse ; toutefois, il m’a manqué de ressentir les émotions des personnages ; j’ai trouvé le propos par trop lisse et déroutant, dans la mesure où le monde du réel et celui des rêves sont poreux et la trame du sens semble s’effriter dans cette fusion des mondes.



En bref, « De pierre et d’os » est un beau livre dont l’intrigue a la couleur et le ton des photographies : une grande beauté d’un monde lointain dans des tons en noir et blanc, une beauté lisse, froide, d’un autre temps.

Qu’ai je pensé d’Elise sur les chemins ?

Sans aucun doute le plus grand bien.



Par ce récit un brin fantastique et onirique

J’ai été vraiment transportée

Pour ne pas dire envoûtée,

Captivée par ces paysages et ces personnages chimériques.



Un très beau moment de lecture

Qui émeut

Alors je vous le dis sans fioriture

Lisez le !

e pierre et d'os se classe dans ces romans difficiles à décrire parce que plus qu'une lecture, c'est une expérience à vivre. On apprécie ou non mais on ne peut pas remettre en question le fait qu'il est atypique.



Peut-on d'ailleurs parler d'un roman ?



On suit y Uqsuralik : contrainte à survivre seule après avoir été séparée de sa famille par une fracture dans la banquise, la jeune fille va être projeter dans un univers adulte l'obligeant à devoir très vite murir pour affronter les obstacles qui l'attendent.



Bien que la culture inuit ne m'était pas connue, j'ai été très vite plongée dans l'histoire et très curieuse de découvrir celle-ci. Simple et dénuée de l'inutile des sociétés modernes consuméristes, j'ai été emportée par ces gens si respectueux qui mettent en avant l'humain et les liens entre eux et donnent une place importante au vivant et à la nature. Ce n'est pas uniquement une ôde à la vie des inuits : la rudesse est aussi omniprésente dans le roman à travers le décor, le fait de tout le temps lutter pour survivre mais aussi dans certains rapports de force (entre humains et avec des divinités/esprits). Si les êtres particulièrement attachants comme Uqsuralik nous rassure et nous donne envie d'en savoir plus, on trouve aussi des personnes profondément mauvaises comme le Vieux.



Je disais plus haut que je ne savais pas si on pouvait le qualifier de roman, une interrogation que je me suis posée après avoir lu les nombreux chants du livre. Parfois, l'histoire est racontée en prose, et d'autres fois, c'est à travers la musique et les vers. Un choix judicieux qui renforce la partie mystique qui est omniprésente dans le roman.



J'ai été plusieurs fois secouée par les évènements qui se déroulaient, la puissance des mots de l'autrice et des croyances inuits. Il y a très peu de dialogues dans le livre ce qui donne une densité encore plus intéressante à ses propos et nous emporte complètement.



C'est un livre que je vous recommande fortement !
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Un roman écrit en rimes avec des paragraphes courts et enjoués qui séduit par sa musicalité et sa singularité. Bérengère Cournut rêve sur l'enfance de la famille d'Elisée Reclus tressant un conte moderne où les forces magiques sont finalement contrôlées par la raison. Une grande partie de la saveur de ce texte provient d'une langue sensuelle et imaginative qui ne recule devant aucune trouvaille. Le trajet d'Elise serpente subtilement dans les méandres syncrétiques d'une pensée en construction. Un roman étrangement enchanteur que l'on peut vocaliser seul sur son lit ...

Encore un très beau livre de Bérangère Cournut, un ouvrage plein de délicatesse, une écriture vraiment très poétique et onirique, et avec ce qu'il faut de compassion, c'est toujours une belle découverte un roman de cette autrice.



'' Zizi Cabane '' est le prénom de la fille, la benjamine d'Odile et Ferment, qui vivent à 5 dans une campagne, une campagne de vallons et de sources, avec beaucoup d'amour et une maison bricolée pour eux deux et les trois enfants.



Leur histoire sent bon: l'amour sincère, les maternités, le bois et les peaux, et le temps, le temps de vivre, elle sent aussi les inquiétudes de l'homme et les fatigues de la mère parfois.

Les choix des prénoms, et pourquoi et comment, sont déjà à eux seuls un délice, je ne vous laisse découvrir pourquoi Béguin, pourquoi Chiffon et pourquoi Zizi Cabane.



L'histoire contée ici va prendre un long détour car Odile va disparaitre, partir.



Elle se fondra dans les eaux et l'eau envahira la maison.



Bien sûr, elle va manquer.

Énormément.

Et c'est donc l'histoire d'une grande et profonde absence et de la façon dont chacune et chacun et ensemble, les membres de cette famille avec des ajouts, vont s'en débrouiller plus ou moins difficilement.

Ce sont des histoires belles et profondes, surprenantes ou pas, mais toujours emplies de beauté, de singularité de chaque personnage, de beaucoup de respect, de vie, d'une poésie pleine des éléments liés aux événements rencontrés par des humains en lien.



C'est encore, un très beau et inratable roman de Bérangère Cournut, une écrivaine française très singulière, une belle voix dans ce monde, un roman émouvant et sensible.

À lire absolument.