Oh, comme parfois on aimerait laisser le faux sublime, les ténèbres épaisses du bavardage humain, pour se réfugier dans l'apparent silence de la nature , dans le bagne muet d'un long travail obstiné, dans l'ineffable du sommeil profond, de la vraie musique et du calme langage des cœurs, qui fait taire l'âme comblée.