Citations de Brian Wood (68)
Rien n’est gratuit ou facile. La route vers une vie paisible est semée d’embûches.
La religion des ces chrétiens inculque la servilité… le silence… l’obéissance totale… la torture comme honneur… la douleur et la mort comme récompense à la fin. Mais mes dieux, non. Je les ai priés pour ma liberté. Pour mon bonheur. Pour partir, le vent dans le dos… Pour vivre comme eux. J’ai prié. Et lorsque le tonnerre gronde… que la mer monte et se déchaîne… que la forêt gémit et que la terre elle-même tremble sous mes pieds… je sais que les dieux de la guerre des terres du Nord m’entendent.
La destinée est impitoyable. Inexorable. Mais parfois bienveillante.
Lorsque le tonnerre gronde… lorsque la mer monte et se déchaîne… que la forêt gémit… lorsque la terre elle-même tremble sous vos pieds… sachez que les Normands sont arrivés.
Thor vous frappera depuis le ciel, comme un gros connard prétentieux, alors que Loki se faufilera derrière vous pendant que vous contez fleurette à une pucelle et vous découpera un rein avec une truelle.
Je me noie dans mon propre bateau. J’ai besoin de l’océan. J’ai besoin d’inconnu. J’ai besoin de savoir que j’ai fait le maximum. Si tu as besoin de profit, si les hommes ont besoin de profit, réfléchis...
Qui dit terres nouvelles, dit nouveaux marchés. Des produits que l’on n’a jamais vus. Des denrées. Du bois. Du minerai de fer pour forger de meilleures épées. Et des villages côtiers avec de la bière et des femmes, Storri. Peut-être même une qui voudra de toi !
La discipline, la constance de la progression, la terreur vivace des salves en canon... Aucun de nous n'avait jamais connu ça.
Mais nous étions des Green Mountain Boys. Nous traquions des cerfs. Nous chassions du petit gibier. Nous avions grandi bercés par les histoires des Indiens et des frontaliers, et nous en faisions des jeux.
C'est cette rusticité qui nous a permis de mater les hommes d'Albany, de les forcer à s'en retourner à New York.
La neige, malgré sa pureté et sa blancheur, ne peut effacer les crimes des hommes.
Dieu a les yeux posés sur nous tous, mais les trois hommes armés qui gardent la porte ne sont là que pour toi.
« Celui qui a un petit couteau a besoin d’un long bras. » – Geitir, saga des Vopnafirthings
- Combien devrais-je en tuer pour ramener les morts ?
- Sven, les morts ne reviennent pas.
- Je le sais bien, merci. Alors, j'en tu autant que possible jusqu'à les rejoindre.
Peu importe son auteur, la parole écrite, mise au service de la liberté, peut défaire même le fer et le plomb.
L'homme s'échine toujours à maintenir le contrôle, à dominer le monde proche qui l'entoure. Dans quel but ? Le monde continuera de tourner. Tu ne peux pas plus contrôler le monde que tu ne peux capturer le vent.
La sécurité est une blague. Mais ce n'est pas vraiment une surprise. Les militaires sont trop loin et complètement préoccupés. Les deux survols hebdomadaires semblent être les seules choses dont je doive m'inquiéter. Les compagnies protègent leurs intérêts ailleurs, là où se trouvent l'argent et le risque. Pourquoi quelqu'un tenterait quoi que ce soit ici ?
Au début du conflit, les états du sud me semblaient aussi lointains que l'Angleterre ou la France. Mais ces deux dernières années, j'ai combattu pour leur liberté. J'ai abreuvé leur sol de mon sang. Et de mes larmes.
- Comment tu te sens ?
- IMPARFAIT.
- Comme nous tous.
- Il n'y personne à des dizaines de kilomètres , notre rendez-vous avec l'hélicoptère est dans des heures. Ils ont pris nos radios. Et si ce sont des pillards professionnels, ils sont sans doute chargés de radiations, à force d'avoir traîné au milieu des retombées. Ils doivent souffrir et être énervés en permanence. Ils n'ont aucune raison de ne PAS nous tuer, si ça leur permet de protéger leur planque.
- Oh mon Dieu. Je n'avais pas signé pour ça. Ce n'est pas juste.
- Cette planète est à l'AGONIE, Ryan. Rien n'est juste. Qu'est-ce qui te rendrait si spéciale ?
Vous êtes un synthétique de la Weyland-Yutani. Vous avez littéralement été programmé jusqu’à la dernière pièce pour être loyal envers eux. Et vous avez réussi à vous libérer de tout ça pour…sauver la race humaine ?
Je veux que les chaînes de fast food perdent des parts de marché. Je veux que les gamins du coin sachent quel goût à la vraie cuisine, qu'ils sachent à quoi ça ressemble. La révolution, tout de suite. Pour les vrais gens, pas pour les enfoirés qui viennent poser leurs culs dans un studio de télé.
Faut-il blâmer la culture guerrière créée par le gouvernement américain ?
Est-ce justifié d'envoyer de jeunes soldats mal entraînés dans une zone civile, sans renseignements, et de s'attendre à des résultats ?
Est-ce intentionnel ?
Ou cette guerre est-elle tellement partie en couille que personne ne contrôle rien ?