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Critiques de Camille Poulie (20)
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Bunker

Voici mon retour de lecture sur Bunker de Camille Poulie, un roman graphique découvert grâce aux éditions Dupuis, que je remercie.

En un an, Jessica a changé. Garçon manqué aux cheveux hérissés et courts, aux épaules carrées et à l'énorme poitrine aplatie.

Elle zone sur les bords de la côte d'opale avec Antoine et Bozo, ses camarades de vacances qu'elle n'a pas vus depuis l'été précédent.

Ensemble, ils élisent quartier général dans un bunker abandonné.

L'été fini, ils auront changé et repartiront en laissant derrière eux une campagne en pleine mutation.

Bunker est un roman graphique que j'ai moyennement apprécié, à mon grand regret.

Dès le début, j'ai compris que ma lecture serait difficile à cause du style graphique.

C'est en noir et blanc, et je vous avoue que les traits des personnages ne sont pas à mon goût.

Quand les personnages sont assez loin, je n'ai pas toujours réussi à distinguer qui était qui. Cela m'a vraiment dérangé.

Par contre, certains plans de près sont très réussis.

De même que certains plans des paysages ou du Bunker, qui est presque un personnage central ici.

D'ailleurs j'ai aimé l'idée de ce Bunker, si important pour eux pendant ces vacances. Il est là, présent, il les accueille en son sein..

Malheureusement, malgré tout, je n'ai pas tout à fait réussi à rentrer dans ma lecture.

Jessica est une jeune fille qui se cherche, mais je n'ai pas toujours compris ce qu'elle voulait, où elle souhaitait aller. Elle est survolée, son caractère pas assez approfondit, c'est dommage.

En plus, le langage est très familier voir grossier. Là encore, ce fût parfois difficile pour moi de rester concentrer sur ma lecture.

Bunker est donc une lecture très mitigée en ce qui me concerne.

Ce n'est pas un mauvais roman graphique, loin de là, et je serais curieuse de lire la future publication de Camille Poulie, pour me faire une meilleure idée de son travail.

Mais cette fois ci, je n'ai pas accroché.

Ma note : seulement deux étoiles et demie. Je ne peux malheureusement pas mettre plus.

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Bunker

Deuxième album dans la collection Les Ondes Marcinelle des éditions Dupuis, Bunker nous entraîne sur le bord de mer. Sans indications géographiques précises on imagine facilement une plage entre Dunkerque et la Normandie. Nous y rencontrons des ados qui nous rappelleront certainement une partie de notre adolescence au milieu des années 90 avec toutes les questions qui y sont liées.

Très intéressante au niveau nostalgique et scenaristique, cet bande dessinée m’a moins séduite par son côté graphique qui étonnamment s’efface assez facilement derrière l’histoire de cette bande d’adolescents.
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Bunker

Jessica cache sous ses vêtements ses formes naissantes. Pendant les vacances, l’adolescente retrouve Antoine et Bozo.

Je ne sais pas vraiment par quoi commencer. Les dessins peut-être que je n’ai pas du tout aimé, dans un flou général et un noir et blanc qui rend difficile, voire impossible de distinguer les personnages les uns des autres. Pourtant, la couverture était la promesse d’un trait raffiné que l’on ne retrouve pas du tout à l’intérieur de l’album.

Le scénario ensuite, qui n’existe pas vraiment, les personnages se contentant simplement de promener leur mal-être dans la campagne. D’ailleurs, le résumé donne plus d’information que l’histoire développée dans l’album. Bref, les personnages se cherchent, s’insultent, se battent discutent de pas grand-chose, prennent la mouche pour rien. Bref, une bande d’ado tête à claque pas du tout attachante dont on ne sait rien du tout, ni l’âge, ni l’époque (le résumé dit « années Chirac »), ni les aspirations, ni le passé, …

Je n’ai pas pris de plaisir à lire cet album.
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Bunker

Voici un album qui bouscule, qui se moque de faire l’unanimité, et qui ne la fera pas, assurément. La première de couverture est particulièrement attirante : bicyclette abandonnée parmi les herbes folles, obscure masse noire d’un ancien bunker sur le dos duquel trois jeunes regardent la clarté naissante ou mourante de l’horizon sous un ciel sombre. Mais le style graphique de cette BD est tout autre, planches en noir et blanc, alternance de hachurés nerveux et de vignettes plus sobres aux traits à peine esquissés, faces déformées parfois à peine reconnaissables, mais silhouettes vivantes, spasmodiques, qui éructent leur mal-être par le verbe et le geste.



Jessica est une adolescente picarde qui porte cheveux courts, jogging et casquette, qui pisse, jure et crache comme un garçon. Elle aime la mécanique, les motos, joue au foot avec les mecs, passe du temps en cet été du milieu des années 2000 avec deux garçons plus jeunes qu’elle en vacances chez leur pépé. Les cousins se nomment Antoine et Bozo, ils admirent cette fille pas comme les autres et qui en sait des choses, qui les accepte dans ce bunker où les jeunes du coin viennent parfois baiser en cachette. Antoine connaît ses premiers émois, s’interroge sur la taille de son zob, compense ses faiblesses comme il peut. Bozo s’immerge dans ses « livres-dont-vous-êtes-le-héros », s’imagine des hordes de spectres et de morts-vivants à combattre. Ils sont conditionnés par leur milieu, en mal d’identité, en proie au jugement des autres, dévorés par l’oisiveté ou les désirs inassouvis. Les liens sociaux s’ajustent, frictionnent, les relations de dominance s’expriment, les bassesses blessent et la vie continue.



Chronique sociale d’un été sur la côte d’Opale, « Bunker » détonne par son style anarchique, déconstruit, parfois même repoussant, mais diablement efficace dans l’installation d’une ambiance glauque et étrange. C’est cru, vulgaire, mais criant de naturel. Certaines vignettes soignées dans le détail sont comme d’infimes instants de grâce dans le cloaque étouffant. Alors on se demande ce qui se cache dans la tête de Jessica, quels sont ses rêves, ses envies. Et l’auteur nous laisse imaginer…
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Bunker

Camille Poulie nous propose un dessin cru, en noir et blanc, rude et sans concession, les personnages sont laids, leur monde est étriqué, ce sont des jeunes désoeuvrés, dans un village proche de la côte, des ados qui se cherchent, ils ont passé l'âge des jeux, c'est séduction, chambrages, et même un peu de violence. une pointe de vulgarité, de la provocation qu'ils ne maîtrisent pas, ils cherchent à jouer aux durs, ils sont plutôt pathétiques. le dessin s'accorde parfaitement au récit, des mouvements, des postures, c'est très juste, pour ces raisons et contrairement à beaucoup d'autre lecteur, j'ai aimé ce graphisme sincère, cru et radical, il ne fait pas de concessions à la beauté, il nous en met plein la vue, sans nous caresser dans le sens du poil.



Je ne suis cependant pas du tout convaincu par le sujet, il y a un côté voyeur qui met mal à l'aise dans le fait de montrer cette jeunesse désoeuvrée, des adolescents en quête d'identité, en mal de vivre. Des personnages peu sympathiques, ce n'est pas l'empathie qui va nous soulever, mais un peu de pitié, on se sent pris au piège, alors on préfère dire qu'on a pas aimé le dessin, c'est plus simple, en réalité, on ne choisit pas une fiction pour être dans l'inconfort. Trop réaliste pour prendre de la distance, trop crue pour le plaisir de lecture, trop triviale et banale pour qu'on ai envie de se sentir concerné, c'est une bande dessinée en réalité très réussie, qui nous met face à notre hantise (ou même dégoût) de l'insignifiance, et qui malheureusement nous offre une rencontre avec ce qu'on a pas forcément envie de lire.



Comme une claque, alors oui, c'est une bande dessinée très forte, mais un peu trop répulsive justement. Pour une fois, je vais attribuer les étoiles non pas en fonction de mon plaisir de lecture (ça vaudrait 2 étoiles) mais de la qualité véritable de l'œuvre, et j'en mets 4,5.

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Bunker

Deuxième album dans la collection « Les Ondes Marcinelle », après « Merel » de Clara Lodewick, voici « Bunker » de Camille Poulie. A nouveau donc un jeune auteur qui publie ici sa première BD après plusieurs livres auto-édités.



Comme pour « Merel » il s’agit d’un portrait de territoire et d’époque, un regard acéré sur la société… Ici, nous sommes sur la côte d’Opale et nous allons suivre des ados en plein été. Des ados en quête d’occupation, de quoi remplir leurs journées.



Parmi eux, Jessica, garçon manqué au point de cacher toute marque de féminité qui traîne avec Antoine et Bozo, deux jeunes qui campent dans le jardin de leur grand-père.



L’ennui, les embrouilles, la fumette… et la découverte d’un lieu obscur, mystérieux, le bunker. Lieu des moments coquins pour les plus grands, lieu de l’imagination pour Jessica et ses acolytes. « Le livre dont vous êtes le héros » en main, on peut vivre d’autres vies.



Un dessin noir et blanc brut, à vif, pour un récit qui l’est tout autant. Beaucoup de cases silencieuses, des plans fixes, des instantanés, comme souvenirs de moments, d’une époque….



Un album surprenant, qui bouscule, au style déjà bien marqué d’un jeune auteur à suivre.

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Bunker

Le dessin est très fort, vif, nerveux, plein de fougue et de morgue adolescente.

On traîne autour de ce vieux Bunker, lieu d'expérimentations et de découvertes, de bravades et d'amitiés.

Ce n'est ni une lecture douce, ni un truc facile à partager, mais c'est âpre comme.du béton.
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Bunker

Malheureusement je n'ai pas pris de plaisir lors de ma lecture que cela soit sur le scénario comme pour les dessins.

Je comprends cette idée de retranscrire cette adolescence en quête d'identité, mais au risque d'être sévère, je trouve l'ouvrage bien creux finalement. Environ 150 pages qui semblent bien vides par moment et qui tournent en rond à mon goût.

Il n'y a pas de réelle trame, de réel fil rouge dans l'oeuvre, ce qui n'est pas problématique en soit, mais le titre reste finalement superficiel et n'aborde rien dans la profondeur et mis à part quelques personnages vaguement développés le titre semble étiré.
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Bunker

J’avais mis cet ouvrage dans ma sélection lors d’une masse critique car je trouvais la couverture sympa et que le résumé était plutôt intriguant.

Mais finalement j’aurais mieux fait de ne pas le choisir. Si le style graphique de la couverture qui est intéressant avec ces effets hachuré, ne se retrouve que seulement sur très peu de vignettes, le teste est plutôt bâclé où c’est tout juste si on reconnaît les personnages.

J’adore la palette de couleur de la couverture mais malheureusement on ne le retrouve pas dans l’ouvrage car les pages sont en noir et blanc.



Sinon concernant l’histoire il n’y a pas grand chose à dire de plus que le résumé.

On y trouve une fille aux allure de garçon manqué qui a du mal à trouver sa place.

Le bunker est l’endroit où se regroupe les jeunes pour se retrouver mais ça aurait pu être n’importe quel autre lieu isolé.



Le language est familier voir même grossier mais correspond aux personnages de l’histoire qui sont des ados.



Je ne pense pas que je sois le public ciblé et malheureusement cet ouvrage ne m’as pas du tout plus.

Le seul avantage que j’ai trouvé c’est qu’il se lit très vite car il y a très peu de texte.





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Bunker

Tout ce que je déteste lire en BD.

Les illustrations sans couleur, des images grossières et un vocabulaire vulgaire.



Parler de l'adolescence et des premiers émois notamment, ne nécessite pas selon moi de tomber dans un langage et des dessins aussi crus.

La lire jusqu'au bout a été pénible, n'y voyant aucun intérêt pour moi.



La seule chose que j'ai apprécié et qui m'a fait envie de la découvrir est la couverture qui est très réussie.

Le résumé était très prometteur malheureusement c'est une immense déception.















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Bunker

C'est un roman graphique en noir et blanc. Ce qui en soit ne me dérange pas tellement. Mais j'ai eu un peu de mal avec les dessins, des fois je n'étais plus certaine de qui était qui. Par contre, les plans très près étaient vraiment magnifiques.

Après, l'histoire, c'est une bande de copains en été et au début de l'adolescence. Je trouve que l'on peu facilement s'identifier ou alors on se remémore un peu cette période.

J'ai bien aimé les personnages de Bozo et Jessica.

C'est quand même un peu violent.
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Bunker

Beaucoup de difficulté à entrer dans cette lecture. Je n'ai pas accroché plus que ça aux dessins même s'ils collaient bien à l'histoire. Mais j'ai eu dû mal à différencier les personnages, ce qui ne m'a pas aidé dans ma lecture. On suit différents adolescents mais tout est survolé. J'aurais aimé approfondir certains personnages comme Jessica ou même la cousine. Je comparais cet album à un instantanée et je suis restée sur ma faim. Même si je suis habituée à des lectures avec de la violence, de la vulgarité, ici, cela m'a mis mal à l'aise. En résumé 1 étoile pour moi.
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Bunker

Comme la plupart des autres lecteurs Babelio, j'ai choisi ce titre lors de l'opération Masse critique pour son résumé et sa couverture. Je n'ai pas eu du tout la curiosité de regarder les planches au préalable et mal m'en a pris : je n'ai pris aucun plaisir à cette lecture.



Les dessins en noir et blanc ne me posent aucun problème mais ici on a souvent l'impression de regarder des brouillons. Ce qui est d'autant plus regrettable quand on voit à quel point l'auteur dessinateur peut être talentueux lorsqu'il prend le temps de détailler les visages en gros plan. La police d'écriture ressemble à des graffiti, c'est très désagréable à lire. Graphiquement, je n'ai pas du tout adhéré.



Cela aurait pu être racheté par le scénario mais là non plus, je n'ai pris aucun plaisir. Je n'ai pas trouvé d'intérêt à cette histoire. Jessica est une ado garçon manqué, qui serre ses seins sous un bandeau. Elle parle et se comporte mal, comme les garçons qui l'entourent. Le seul autre personnage féminin se fait en permanence tripoter par son copain. Tous les personnages sont caricaturaux.



Ils traînent ensemble, jouent aux foots, vont à la plage, mesurent la taille de leur sexe, s'invectivent, trifouillent leur moto... Rien de bien passionnant.



Énorme fiasco pour moi, je n'ai absolument rien aimé.
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Bunker

Je n'ai pas apprécié cette bande dessinée pour de nombreuses raisons.

Tout d'abord, le dessin. Je ne comprends pas le style choisi, un mélange naïf, hachuré. Quelques cases sont très belles mais, pour le reste, je suis très déçue. Le manque de couleurs n'arrange rien, selon moi.

Ensuite, l'histoire par laquelle je n'ai pas été transportée. J'ai le sentiment que le résumé parle mieux de l'histoire que l'histoire elle-même.

Pour terminer, la vulgarité inutile. Je comprends qu'il s'agit d'une image sociale et cela appuie le propos. Mais à part ça, je n'ai rien retenu d'autre.
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Bunker

"Bunker", c'est une chronique de vie d'adolescents, le temps d'un été sur la côte d'Opale. Le personnage autour duquel gravitent tous les autres est Jessica, jeune femme aux cheveux courts, au comportement qu'elle masculinise exagérément et qui se bande les seins pour les cacher. On n'en saura pas beaucoup plus d'elle, ni des autres non plus d'ailleurs. C'est sur ce point, pour moi, que le bât blesse. On reste en surface des protagonistes et c'est dommage car on sent poindre la personnalité de chacun et le potentiel d'une histoire qui aurait pu être plus poussée.

Coté graphique, c'est beaucoup plus intéressant. L'auteur, diplômé des beaux arts de Paris, propose un style très personnel, très novateur dans la mise en forme de ses vignettes et la construction narrative. Les dessins très travaillés de certaines cases sont magnifiques mais semblent malheureusement bâclés dans d'autres plans. Ce manque de constance graphique dans la forme et de récit sur le fond m'ont fait passer à côté de cette bande dessinée. Dommage.
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Bunker

Je n'ai pas accroché du tout, les graphismes m'ont totalement perdue et je n'ai pas compris où voulait en venir l'auteur.



Jessica est un personnage intéressant qui manque de vrai profondeur et le reste de l'histoire très vulgaire ne m'a pas du tout plu.



Je crois que je ne suis pas du tout le public cible.
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Bunker

Après le très réussi Merel de Clara Lodewick, cette nouvelle collection des Ondes Marcinelle ouvre une porte vers une bande dessinée sociale et humaine à l’inspiration plus indépendante que l’on n’avait pas l’habitude de voir chez Dupuis, ou alors au sein de l’académisme restreint qu’offre la toujours ambitieuse collection Aire libre. Et rien que pour ça, on attend les autres propositions à venir en 2023.




Lien : http://www.bodoi.info/bunker/
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Bunker

Jessica est une fille qui se cherche. Cheveux courts, jogging, allure masculine, elle règne sur un petit groupe de jeunes. Mais dans les villages, les personnalités se heurtent vite. Autour de conflits, mais également de moments d'acceptation, Camille Poulie nous décrit une société qui oscille entre positivité et négativité.

Ces conflits sociaux sont incarnés par le personnage de Jessica qui va centraliser toutes ces émotions. Ce personnage m'a d'ailleurs bouleversé. Au départ, Jessica apparaît comme brutale et vulgaire, mais au fil des pages, on découvre une fille qui souffre, une fille sensible et qui veut tout simplement être elle même. Ce personnage est le centre de tout ce scénario. Camille Poulie l'a donc élaboré avec soin et complexité.

Esthétiquement, j'avoue avoir été désarçonnée. L'ensemble est en noir et blanc avec des traits nerveux. Les vignettes semblent en perpétuel mouvement. Tout semble bouger au rythme de la société qui entoure Jessica. Les traits sont bruts, sans fioriture et j'ai eu du mal à me faire à l'esprit graphique.

Pour conclure, j'ai apprécié le scénario sociétal de cette BD mais je reste perplexe quant au graphisme.


Lien : https://www.instagram.com/au..
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Bunker

Avec un style affirmé qui évoque parfois Edmond Baudoin, l’auteur dissèque en quelques scènes cette période avec un sens aigu de la vérité, même si le sujet, austère et pouvant paraître rébarbatif, pourra refroidir le lecteur potentiel. Il n’empêche que ce Bunker possède quelques qualités qui laissent présager de belles choses pour la suite.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Bunker

Car si le scénario peut apparaître brouillon, c'est surtout parce qu'il refuse les normes, cette envie de "raconter quelque chose", avec un début et une fin, si ce n'est de dresser un portrait sec, en retrait qui nous émeut par ce qu'il tait et suggère. Jessica apparaissant comme une personnalité complexe qui découvre progressivement qu'il peut être bon de laisser entrer les autres.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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