Nationalité : Brésil
Né(e) à : Sacramento, Minas Gerais , le 14 mars 1914
Mort(e) à : Parelheiros, São Paulo
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Né(e) à : Sacramento, Minas Gerais , le 14 mars 1914
Mort(e) à : Parelheiros, São Paulo
Biographie :
Carolina Maria de Jesus est une écrivaine brésilienne.
Elle quittera sa ville natale dans les années 1940 pour São Paulo.
Dans cette grande ville, elle exercera plusieurs activités et se retrouvera finalement comme chiffonnière, habitant avec ses trois enfants dans la favela do Canindé, sur les berges du fleuve Tietê.
Avec seulement deux ans de scolarité, cette femme commencera à écrire en autodidacte sur des cahiers d’écolier, qu’elle ramassait dans les poubelles.
En 1958, elle est découverte par hasard par un jeune journaliste, Audálio Dantas, grâce auquel elle sera enfin publiée.
Elle est surtout connue pour son récit autobiographique 'Le dépotoir' - "Quarto de Despejo" - édité en 1960. Il a été traduit en 13 langues et publié en plus de 40 pays.
La publication de son livre lui vaut un certain succès pendant environ deux ans, mais elle meurt en 1977 en situation de grande pauvreté, d'une crise d'asthme et oubliée de tous.
+ Voir plusCarolina Maria de Jesus est une écrivaine brésilienne.
Elle quittera sa ville natale dans les années 1940 pour São Paulo.
Dans cette grande ville, elle exercera plusieurs activités et se retrouvera finalement comme chiffonnière, habitant avec ses trois enfants dans la favela do Canindé, sur les berges du fleuve Tietê.
Avec seulement deux ans de scolarité, cette femme commencera à écrire en autodidacte sur des cahiers d’écolier, qu’elle ramassait dans les poubelles.
En 1958, elle est découverte par hasard par un jeune journaliste, Audálio Dantas, grâce auquel elle sera enfin publiée.
Elle est surtout connue pour son récit autobiographique 'Le dépotoir' - "Quarto de Despejo" - édité en 1960. Il a été traduit en 13 langues et publié en plus de 40 pays.
La publication de son livre lui vaut un certain succès pendant environ deux ans, mais elle meurt en 1977 en situation de grande pauvreté, d'une crise d'asthme et oubliée de tous.
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Citations et extraits (4)
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J'ai réchauffé le riz et le poisson que j'ai donné aux enfants. Ensuite, je suis allée ramasser du bois. On dirait que je suis venue au monde prédestinée à ramasser: la seule chose que je ne ramasse pas, c'est le bonheur.
8 juillet
J'ai reçu quelques planches de bois et je vais me construire une petite pièce pour écrire et ranger mes bouquins.
J'ai reçu quelques planches de bois et je vais me construire une petite pièce pour écrire et ranger mes bouquins.
Dans la mort, tous deviennent pauvres.
J'aimerais découper un bout de ciel pour me faire une robe.
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