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Critiques de Caroline Dawson (28)
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Partir de loin

L'écrivaine Caroline Dawson parle avec humour et justesse de l'immigration dans son premier album jeunesse, «Partir de loin».
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Partir de loin

L’écrivaine, enseignante, sociologue et chroniqueuse fait paraître Partir de loin, un album jeunesse dans lequel la jeune Caroline, venue de loin, arrive dans ce pays enneigé où « il lui faudra tout réapprendre ».
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Là où je me terre

L’autrice raconte son parcours d’immigrante et de réfugiée avec tout son cœur. J’ai ressenti toute la tristesse qui émanait de son expérience, qui, malgré les années, reste ancrée en elle.

Il y a la douleur de quitter son pays bien sûr, mais ensuite, c’est surtout la difficulté d’adaptation qui est marquante dans son témoignage. Au-delà de la solitude, c’est un sentiment d’exclusion que la petite Caroline ressent à son arrivée à Montréal. Ce sentiment est d’ailleurs exacerbé par toute l’incompréhension qu’elle a, à ce moment, de la situation : pourquoi sont-ils partis, pourquoi ne pouvaient-ils pas rester ? Beaucoup de questions restées sans réponse qui ne facilitent pas son intégration dans son nouveau pays.



Concernant le style, j’ai trouvé ce livre assez décousu.

La première partie raconte de façon chronologique les événements qui entourent le départ du Chili et l’arrivée au Québec. La 2e partie par contre, ne présente pas de trame logique, on y découvre différentes anecdotes, des tranches de vie de l’autrice en fonction des souvenirs qui lui reviennent.

Au-delà de la structure du livre, c’est surtout la langue employée par l’autrice qui a gêné ma lecture. Caroline Dawson mêle une langue assez poétique à des tournures de phrases argotiques, familières allant jusqu’à la vulgarité à certains moments. Là aussi, j’ai trouvé un certain manque de logique dans le style employé, et me suis plusieurs fois demandée si ce choix était assumé par l’autrice ou si cela résultait d’un manque de maîtrise de la langue Française…
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Là où je me terre

Premier livre audio ! (Et gratuit en passant pour tous les québécois sur l'application Ohdio!) Je dois dire que j'ai vraiment bien apprécié l'expérience de livre audio, d'autant plus que le casting pour celui-ci me semblait vraiment parfait, et je vais sans aucun doute retenter l'expérience.



Quant au livre et à son contenu, j'ai vraiment apprécié mon écoute. J'ai vraiment apprécié suivre le parcours de cette jeune immigrante à travers son intégration au Québec et tout ce que ça implique, l'évolution de sa relation avec ses parents, etc. Caroline est une personne laquelle on s'attache facilement et j'ai adoré la suivre tout le long de ce périple.



Vraiment un très bon livre et je pense que c'est l'un de ces livres que tout le monde devrait lire afin de comprendre un peu mieux les gens qui l'entourent.
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Ce qui est tu

Je referme « Ce qui est tu » bouleversée et émue. Magnifique livre de Caroline Dawson, petit en format mais immense en humanité. Quelle justesse dans ces lignes poétiques! Il se dégage beaucoup de douceur et une grande beauté dans ce partage du vécu pourtant parfois dur et laid de l’immigration de l’autrice, alors qu’elle était enfant. Cette lecture prend selon moi encore plus de sens si on a au préalable lu « Là où je me terre ». Un livre à relire, pour saisir tous les recoins d’émotion qu’il contient.
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Là où je me terre

Roman québécois qui relate le parcours de l'autrice en tant qu'immigrante. Les difficultés rencontrés par elle et sa famille dans leur parcours, mais aussi leur victoire. Le tout raconter par de petite anecdote qui pourrait semblé banale, mais qui ont marqué sa vie et ses réflexions sur l'identité. Une excellente lecture !
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Là où je me terre

Il s’agit d’un roman autobiographique dans lequel l’auteure nous livre des souvenirs reliés à son enfance et son adolescence suite à son arrivée au Canada à l’âge de 7 ans, à titre de réfugiée en provenance du Chili.



Ce roman nous transmet bien les difficultés auxquelles font face les réfugiés : la langue, le logement, le travail, la différence face aux autres… Ce sentiment d’appartenir aux démunis (d’où le titre du livre) auxquels s’identifie l’auteure, ne la quitte pas, et le lecteur n’en est pas étonné compte tenu qu’elle est marquée par les injustices et traitements associés aux différences sociales.



C’est à travers le vécu de femmes, particulièrement sa mère, que Caroline Dawson nous fait vivre leur parcours de combattantes.



Ce livre, qui aurait avantage à être lu à grande échelle, particulièrement dans les écoles, nous sensibilise au vécu et aux difficultés rencontrées par les réfugiés et immigrants. Sans surprise, j’ai noté plusieurs similitudes avec le livre de Marianna Mazza (Montréal-Nord) qui nous raconte également des souvenirs de jeunesse en tant qu’immigrée d’Amérique du Sud.

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Ce qui est tu

Rien n'est tu ici et tout est dit. Caroline Dawson nous dit joliment Ce qui est tu. Des mots parfois crus mais toujours justes. De belles tournures, oui je sais je suis à lire de la poésie mais les images sécrétées par ses mots sont éloquentes et jamais complaisantes. Telles

"Mon enfance dans le ventre d'Hochelaga

courtepointes trouées des identités inquiètes

de mon passé

absent..." (page 27)

« même abattue

j’ai la mémoire qui rampe

elle perce –oreille

les tempes de mes doigts

endoloris

de fautes d frappe de mon enfance

hier m’arrive toujours » (page 69)

L'autrice nous raconte son enfance à la dure, cette "enfance à rabais" d'immigrés qui doit vite apprendre à survivre à l'exil, à la pauvreté, à la honte, au racisme et c'est triste. Malgré la beauté des mots qu'elle lègue à son fils, malgré tout l'espoir qu'elle met dans ses phrases, le ton est triste.

Et en même temps ces fragments de quotidien sont beaux.

Toute l'élégance, la finesse et la joliesse de la mélancolie sont portés par la poésie de Caroline Dawson.

Moi qui ne suis pas une adepte de ce genre, fut rapidement accrochée car ces mots là sont vrais et viennent du coeur.

Merci à #Babelio et #MasseCritiqueQuebec et aux #ÉditionsTryptique pour cette belle lecture.

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Là où je me terre

L'immigration est un phénomène complexe, à multiples dimensions, d'une actualité indéniable. L'autrice nous fait part ici de sa propre expérience, elle qui est arrivée au Québec à l'âge de sept ans. C'est par bribes, par une série de tranches de vie et de réflexions, qu'elle nous présente son vécu à l'aide d'une écriture nuancée et précise . Sa perspective est une mine d'or pour qui veut comprendre les défis et déchirements de ceux qui doivent s'expatrier pour leur sécurité. Le style d'écriture, le ton qu'elle adopte, la puissance de ses analyses et l'authenticité qui suinte de ses propos en font une une lecture aussi plaisante qu'instructive. Autant j'ai aimé cette écriture fluide et parlante, autant ce livre m'a ouvert les yeux sur certains aspects méconnus de la réalité des nouveaux arrivants. Le regard qu'elle pause sur sa terre d'accueil n'est pas complaisant, ni accusateur non plus. Ce témoignage porte d'ailleurs plutôt sur les aspects psychologiques de l'expérience que, sans les occulter, sur les mécanismes d'accueil et d'intégration. Mais il n'en est pas moins intéressant.

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Là où je me terre

J'ai bien aimé l'écriture de Caroline Dawson, j'ai bien aimé le ton qu'elle a donné à ce récit de sa vie. On sent la franchise et on voit sa réalité.



Un bon texte, pour raconter les moments difficiles de son arrivée familiale. Les décennies qui ont suivi le Noël où ses parents, ses frères et elle sont venus s'installer au Québec dans les années 80.



Le récit est majoritairement écrit du point de vue de l'enfant qu'elle a été. Puis sa version adolescente et jeune adulte viennent donner leur version. J'ai beaucoup apprécié voir cette évolution chez Caroline et les liens entre elle et sa mère qui ont évolué au fil du temps.



Je trouve intéressant d'avoir le récit de ses souvenirs sans qu'il ne soient obligatoirement liés à la thématique de l'immigration, Caroline va plus loin et aborde la pauvreté, les classes sociales, les distinctions des classes et les privilèges qui les accompagnent.



Elle aborde aussi le sacrifice parentale qui lui a permis de se construire la vie qu'elle souhaitait. Un sujet très intime mais qu'elle exprime clairement.



Bref, un excellent roman familial. Une recommandation pour tous ceux qui aiment ce type de récit et qui comprennent le sacrifice de ceux qui nous ont précédé.
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Là où je me terre

C’est l’histoire d’une immigrante chilienne de 7 ans au Québec. Elle raconte son intégration.

Récit correct, mais sans surprise. Style d’écriture ordinaire, facile à lire. Le personnage principal est une fille assez forte qui veut vraiment s’intégrer dans son nouveau pays. Elle décrit son voyage en avion, la découverte de la culture québécoise, leur installation à Montréal, son entrée à l’école et l’importance qu’à pris le français. C’est amusant à lire.
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Ce qui est tu

Le commentaire de Martine : ♥ Coup de coeur ♥

Un recueil de poésie où Caroline Dawson retourne dans son passé, elle brode entre sa jeunesse et celle de son fils qui a sept ans, le même âge, que l’auteure lors de son immigration. Elle nous dépeint un quartier celui d’Hochelaga, dur, familial, abrupt et intolérant. Comment arriver à s’enraciner dans un endroit quand le ressenti d'un enfant face à l’inconnu s’avère difficile et délicat ?

À chaque page tournée, on doit prendre une respiration, car les poèmes que nous offre Caroline Dawson sont fascinants, touchants et passionnants sous des thèmes importants comme l’immigration, les liens familiaux, la transmission, la fierté et l’identité.

Un recueil qui est un coup de cœur pour moi, puisque le choix des mots, le rythme, l’espoir et la beauté des sentiments partagés sont venus se loger tout droit dans mon cœur.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
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Là où je me terre

Merci à la personne qui m'a dit que ce livre était disponible sur l'application Ohdio de Radio Canada. Cela m'a rappeler que ma maman m'en avait parlé en fin d'année dernière.

J'ai beaucoup aimé cet audio. Il y a beaucoup de personne qui font les différentes voix des dialogues. Il y a aussi des extraits d'émissions télé ou de chansons en fond sonore.

L'autrice, a 7 ans, s'exilera avec toute sa famille au Canada. Elle parlera de son adaptation et celle de sa famille aussi mais de la façon dont elle le ressent.

On suit un peu plus elle et sa maman.

Une très bonne écoute.

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Là où je me terre

bonjour chers lecteurs



je viens tout juste de terminer la lecture de ce livre, quel bon récit d une histoire d intégration d une jeune chilienne avec sa famille de l arriver avec le choc de l hostilité hivernale Montréalaise jusqu'à l âge adulte.

elle parcours l histoire des années 80 à nos jours avec humour et profondeur.

bonne lecture
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Là où je me terre

J'ai beaucoup apprécié ma lecture. J'ai été rapidement conquise par toutes les références culturelles qui me rappellaient mon enfance : Passe-Partout, Québec-Loisirs et Marie Carmen, entre autres.



Un point négatif qui m'a titillé, c'est l'utilisation des sacres (surtout au début du roman) alors que la narratrice parle de sa réalité d'enfant de 7 ans. Je me suis demandée si c'était vraiment nécessaire. Sauf pour la flute à bec, ça, oui, l'ostie de flute à bec.



J'ai apprécié me plonger au coeur d'une réalité qui n'est pas mienne : l'immigration. Comprendre les sacrifices des parents qui prennent la décision de tout quitter pour offrir un monde meilleur à leurs enfants. Ces enfants qui sont déracinés et qui bâtissent leur identité en parallèle de celle de leurs parents. C'était intéressant de le vivre de l'intérieur et mieux comprendre ce qu'ils vivent.



Ce roman m'a aussi fait penser à Kukum de Michel Jean. Dans ce dernier, on voit l'assimilation des autochtones par les Blancs, la transformation de leur mode de vie. Dans Là où je me terre, la petite Caroline cherche à adhérer à la culture québécoise. Elle délaisse ses origines pour devenir une bonne petite québécoise.
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Là où je me terre

Très belle écriture simple, concise! Ce livre relate l'histoire de l'arrivée de l'autrice dans un pays inconnu avec une langue différente, une culture différente! Un déracinement! C'est très émouvant. L'immigration est d'autant plus un sujet d'actualité.
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Là où je me terre

J’ai beaucoup d’admiration pour Caroline Dawson, elle a un parcours de combattante et son histoire racontée dans Là où je me terre ressemble à un kaléidoscope d’émotions aux combinaisons infinies selon le lieu, selon l’entourage, selon la saison. Chaque chapitre, au titre évocateur, sème une graine de résilience et en même temps, une pluie de volonté frondeuse de dépassement de soi.

La petite Caroline quitte Valparaiso en décembre 1986. Elle fuit avec sa famille, le Chili de Pinochet et sa dictature. Elle se pose à Montréal, dans un énorme contraste de température, sans papiers et sans repères. Son livre, c’est son histoire et l’histoire des femmes de sa vie. Sa mère, qui besogne comme femme de ménage, celle qui garde le silence pour éviter les problèmes; sa grand-mère, sans liberté et sans voix. Son père et ses deux frères sont présents mais de façon plus discrète.

Son récit est celui d’une immigration mais surtout une intégration grâce a l’école et à la lecture. Elle y a appris la culture et les codes québécois. Ça a tellement bien réussi qu’elle est sociologue et enseignante, elle enseigne le cours Sociologie du Québec au CEGEP. Belle revanche pour celle qui est arrivée au Québec à 7 ans et ne parlait qu’espagnol!

Je ne saurais trop recommander le Journal de bord radiophonique qu’elle tient avec Pénélope à Radio Canada Ohdio. Elle fait quelque chose de beau avec une histoire terrible.

Je lui souhaite le meilleur et son tempérament de guerrière lui permettra de vaincre le méchant Goliath. Il y a tellement d’êtres humains qui l’aiment…
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Là où je me terre

Je viens de fermer Là où je me terre. J'ai le coeur lourd, je me sens triste. Et pourtant dans ce livre, il est question de ce qu'on entend habituellement par une immigration et une intégration réussies. Nous suivons le parcours d'une jeune chilienne de 7 ans, Caroline. En 1986, elle n'a d'autre choix que de suivre sa famille qui désire fuir la dictature de Pinochet et vient s'exiler au Québec. Après un parcours scolaire exemplaire, elle deviendra professeur de sociologie à Montréal, prenant ainsi une part active et apportant sa contribution à sa société d'accueil. Un succes story.

Son père et sa mère, professeur d'anglais et éducatrice préscolaire au Chili, ont commencé leur intégration au bas de l'échelle en faisant des ménages, bien souvent en cumulant plusieurs emplois. Ils n'ont pas ménagé leurs efforts pour assurer l'avenir de leurs trois enfants. Caroline s'élève donc dans la pyramide sociale, réalisant les voeux de ses parents.

Mais à quel prix se fera cette intégration?

Pour Caroline c'est au prix du renoncement d'une partie de son identité, elle mettra tous ses efforts à essayer d'éteindre la petite Latina pleine de vie, en elle.

L'immense besoin d'appartenance d'une petite fille si différente des autres, la peur des moqueries, de l'exclusion et du rejet l'ont amenée à « la honte de ce que j'étais, le rejet de ce qui me constituait et une série de petites trahisons envers moi-même et mes parents. » Et c'est ainsi qu'au fils des pages, nous nous imprégnions de l'immense douleur de cette petite fille déterminée à prendre sa place coûte que coûte.

Caroline Dawson partage avec beaucoup de verve et une sensibilité non dénuée d'humour ces instants du quotidien où différences culturelles se conjuguent avec hiérarchie et habitus de classe pour constituer le parcours du combattant de l'immigrant. Devinez de quel côté Caroline Dawson se terre…

Les émissions de télévision pour enfants, les stations de radio de chansons francophones jouent un rôle de médiateur dans l'acculturation de la famille mais c'est le livre de Réjean Ducharme, l'Avalée des avalés qui va jouer un rôle-clé dans sa francisation. » L'avalée des avalés m'a fondée. Je suis parlée par la langue française et cela depuis Ducharme. » L'art aussi peut être salvateur pour les immigrants.

Je suis sortie du livre bouleversée. Rarement, l'immigration nous a été présentée à travers les yeux d'une enfant. Rarement, je n'ai perçu autant de douleur, de colère, de gratitude et de détermination.

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Là où je me terre

Mes amies m'ont conseillé la lecture de ce livre. Et ce fut un véritable coup de cœur pour ce roman autobiographique émouvant. La description, les paysages, l'époque... J'ai étiré la lecture pour en prolonger la saveur :-) L'écriture est de toute beauté ! Merci à l'auteur pour ce partage de mille et une émotions. Je le conseille vivement à tous !
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Là où je me terre

COUP DE CŒUR ! Caroline Dawson avait 7 ans lorsqu’elle a fui le Chili avec sa famille pour atterrir au Québec ! J’ai adoré ce roman, en partie autobiographique. L’autrice parle d’intégration à une autre culture et d’apprentissage d’une nouvelle langue. Elle nous raconte les sacrifices de ses parents et ses efforts pour trouver sa place dans notre société. Un livre à la fois humain et percutant sur un sujet rarement abordé dans la littérature québécoise. Je le recommande chaudement à tous !
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