Le monde est plein d’escrocs et de gens sans pitié qui profitent des veuves et des orphelins !
La passion du mystère était en elle et jamais ne l’abandonnerait.
Il arrive hélas ! qu’un abîme sépare vouloir de pouvoir.
- je suis désolé pour l,oncle
bob, dit ned j'ai l,impression qu'il a été un peu grossier envers toi.
Alice haussa les épaules.
- apparemment, c'est pas une famille heureuse.m.
Franklin est un homme sévère, laura est anxieuse,
et sa soeur Lisa semble en
vouloir a la terre entière.
quand a Christopher toomey , je me demande encore quelle place il occupe dans le tableau.
Lorsqu’elle était aux prises avec une situation grave, Alice Roy savait garder son sang-froid. Et elle se mit à réfléchir posément. Elle lutterait jusqu’au bout de ses forces avant de s’avouer vaincue.
- allons chercher un taxi!
s, ecria Alice.
- on ne pourrait pas prendre un bus, par hasard? demanda bess.
- ce sera trop lent! ne me dit pas que tu as peur, juste a cause de ce qui s'est passé l, autre jour.
- en plein dans le mille.
- tu sais ce qu'on dit , quand on tombe de cheval , il faut remonter en selle.
- bonne idée, riposta bess.
je vais louer un cheval...et je vous retrouve.
Alice sorti a moitié du taxi
et tira fortement le bras de
bess. une fois son amie dans la voiture, elle claqua
la portière.
- si la charité vient à manquer, a quoi sert tout le reste.
" J'ai l'impression qu'il entre dans ton idée une bonne dose de malice, répondit-il. Mais je ne vois pas pourquoi l'affaire ne se dénouerait pas ainsi que tu le suggères... Tu auras cette satisfaction, mon petit, et bien mieux : je te promets que si les Topham doivent recevoir le coup de grâce, cela se passera en ta présence ! "
J'ai une torche sur moi, dit Alice. Je vais faire le signal S.O.S. Trois courts, trois longs, trois courts. C'est bien cela ?
- Oui.
Tout en progressant, Alice répéta plusieurs fois le signal. Leurs pas se faisaient plus lourds, plus lents, l'espoir d'être secourus commençait à les abandonner
Mme Bran se joignit au petit groupe. Ses yeux se mouillèrent de larmes lorsqu'elle raconta à M. Roy les exploits de sa fille et des amies de celle-ci.
- Elles ont été admirables, conclut-elle. Lorsqu'elles sont arrivées ici, tout allait mal, et voyez maintenant mon domaine : jamais il n'a été aussi beau, ni mes finances florissantes.
- Je suis fier de toi, Alice, dit M. Roy. Non seulement tu as aidé Mme Barn et Milly à sortir d'une passe difficile mais tu as permis d'arrêter des faux-monnayeurs.