Citations de Catherine Kalengula (107)
Et puis, les dragons, ça préfère griller des saucisses ou brûler les fesses des petits garçons qui racontent des histoires !
Comment lui expliquer ? Comment lui dire que le sommeil est la seule chose qui m'apaise ? Qu'il m'apporte l'oubli. Que je n'ai plus le courage d'affronter la vie. Que des gestes aussi simples que de me lever, me doucher, m'habiller me paraissant insurmontables.
Que chaque journée me semble une éternité, que je n'ai qu'une hâte: qu'il soit enfin l'heure de retourner me coucher.
Lorsqu’un soufflé tombe, il ne remonte jamais. La vie, c’est tout le contraire. Il y a parfois des hauts, parfois des bas. Cramponne-toi dans les descentes, et si tu dégringoles, fais tout pour te relever ! Il suffit d’y croire.
[•••] Ils me "désaiment" [•••]
— Le prince doit revêtir son costume d’apparat, déclare-t-il en désignant la porte de la chambre avec le menton.
— Je reste. Si tu es le roi des surprises, moi je suis la reine des voyeuses.
Ose faire le premier pas, tu seras souvent étonné du résultat.
"Les non-dits sont comme des ingrédients oubliés. Il est impossible de les ajouter une fois le gâteau mangé."
"Lorsque tu crois que tout est perdu, cherche l'étincelle ! Et en attendant, prépare ce succulent gâteau facile à faire, ça te remontera le moral."
Chloé se moucha un bon coup, et décida de suivre ce conseil.
Étrangement, ce Maxime qu'elle ne connaissait pas semblait la comprendre ...
Je ne sais pas si je vais trouver l'étincelle dont il parle, mais une chose est sûre : je ne vais pas rester les bras croisés à verser toutes les larmes de mon corps !
"Ne sous-estimez jamais le pouvoir d'un gâteau !"
Il porte un pantalon noir avec des reflets dorés qui plisse sur ses boots à lacets, une chemise à petits carreaux noirs et blancs sous une veste en cuir courte et ornée de pointes. Même si j’ai conscience qu’il ne s’est pas habillé aussi élégamment pour moi, quelque part j’ai envie d’y croire.Et je le dévore des yeux, sans gêne, comme une naufragée qui n’a rien avalé depuis des jours.
— Pour qu’on soit sur un pied d’égalité, déclare-t-il, je vais te mater sous tous les angles pendant que tu travailles. Ça compensera toutes les fois où tu as reluqué mon torse en croyant que je ne remarquais rien. D’ailleurs, à l’hôpital, tu ne t’es pas contentée de le regarder, je crois…
- Mais c'est une très belle messe, granny. Je suis sûre que grand-père l'aurait adorée.
Le sourire un temps effacé réapparaît sur son visage, une expression comblée éclaire ses traits. Elle n'a plus quatre-vingts ans, elle n'est plus percluse de rhumatismes, elle n'a plus les os fatigués, le dos voûté. Le temps d'une messe, c'est une jeune fille amoureuse et touchante.
Et moi, je me sens vieille.
-J'ai peur, papa, pleurniché-je.
Je voudrais qu'il me prenne dans ses bras, me caresse les cheveux en me murmurant des mots rassurants, comme le ferait maman. Au contraire, mon père reste fidèle à lui-même, impassible, distant.
Chacun en naissant est programmé pour pour aimer une personne, dont le visage est déjà gravé quelque part en lui.
Hier matin, des habitantes de Killmore ont eu une drôle de surprise en ouvrant leurs fenêtres.
Sur les fils à linge, les sous-vêtements de leurs chers époux avaient disparu !
Qui sait, ce petit farceur demandera peut-être une rançon ?
Messieurs, combien seriez-vous prêts à débourser pour récupérer vos caleçons ?
Le numéro répété ce jour-là racontait la première rencontre entre Roméo et Juliette, sur une chanson de Ne-Yo. Du R'n'B!
C'est pour ça que je ne veux pas me souvenir, parce que ça fait trop mal de me dire que tout est fini. Que ces souvenirs-là seront les seuls, qu'il n'y en aura plus jamais d'autres.
J'ai beau lui dire que de toute façon il ne s'est rien passé entre Anthony et moi, Liz me certifie qu'un premier coup de coeur déçu est comme une première sucette parfumée au maquereau - Liz a le don des images expressives. Après, même si on te promet qu'il y a aussi des sucettes super bonnes à la framboise, tu n'auras plus envie d'y goûter. Pas faux. Je me dis que si tomber amoureuse est plus risqué que d'escalader l'Himalaya pieds nus et en string, ce n'est vraiment pas la peine. Jusqu'à ma rencontre avec Anthony, je faisais comme si les garçons n'existaient pas - un mec, what is it? - et c'était très bien comme ça.
"- Je t'aime aussi.
Je l'ai embrassé plus ardemment encore, avec la conscience que, à ses côtés, l'unique danger, serait que ces mots, cessent un jour d'être vrais. "
"Danser me permettait de ne faire plus qu'une avec la musique, et c'était la plus belle histoire de mon existence - la seule à dire vrai."
Ma conception de la mode ? Trouver ma griffe, ma touche perso, mon style. Mon staiiile. Ma manière de respirer la mode. Je veux que les gens pointent du doigt mes modèles en disant : "ça, c'est du Savannah Martin ! ".