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Critiques de Charlotte Mollet (23)
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Comment les Fleurs vinrent aux Genêts

Ne pas confondre le but et le moyen...

Au cœur de cette histoire il y a l'amour. L'amour d'un jeune homme pour une jeune fille et sa réciproque. Et pour cet amour, qu'est-ce que l'on est prêt à faire et à sacrifier ? Mais ce n'est pas tout...



Dans une lande d'un territoire qu'on pourrait vaguement qualifier d'écossais (mais il pourrait tout aussi bien être breton, gallois ou irlandais), Yanig, fringant jeune homme sans le sou est amoureux de la belle et charmante Bleuwen. Or, celle-ci est la fille d'un braconnier malsain et acariâtre qui a bien compris qu'il pourrait gagner un joli pécule en exigeant une dot rien que pour autoriser le mariage de sa fille auprès de laquelle se pressent de nombreux prétendants.



Yanig, avec ses pauvres habits et son seul courage pour richesse a peu de chances d'infléchir le vieux. C'est pourtant lui que Bleuwen chérit en son cœur. Le vieux braconnier n'oppose pas un véto définitif à Yanig mais lui impose une épreuve difficile à surmonter : il aura Bleuwen lorsqu'il aura rapporté ce gros sac rempli de pièces d'or...



Bleuwen fait vœu de l'attendre et pour lui signifier qu'elle pense à lui, à chaque jour qui passe plantera un rameau de genêt sur la lande. Elle remet également à son amoureux une poire et un rossignol pour l'aider dans sa quête.



Yanig va donc patiemment et courageusement se faire un devoir de gagner de l'argent. Pièce après pièce, de l'argent, de l'argent, toujours de l'argent, des années durant, de l'argent, encore de l'argent. Il y réussit d'ailleurs. Tant est si bien qu'avec les années, quelque peu grisé par ses réussites, il prend plaisir à gagner de l'argent, toujours plus d'argent.



Je vous laisse découvrir la parole de sagesse profonde enfermée en ce conte en vous rappelant simplement, à vous aussi, de ne jamais confondre le but et le moyen... Mais ce n'est que mon avis, l'une et l'une seulement des milliers de fleurs d'or qui jalonnent la lande couverte de genêts denses de Babelio, c'est-à-dire, bien peu de chose.
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Navratil

Un bel album original et poétique qui raconte l'histoire d'un petit garçon à bord du Titanic. Un petit garçon qui survit et qui raconte son histoire avec pudeur de nombreuses année après.

Les illustrations sont vraiment hors du commun et colle parfaitement à l'histoire.
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Le chat

Un grand merci à Babelio et aux éditions Rouergue pour m’avoir envoyé cet album, remporté lors d’une masse critique spéciale jeunesse.



Amoureuse de ces petits félins poilus et curieuse par cette couverture aux couleurs froides, je me suis laissé tenter par cet album mystérieux. En ouvrant la première page, j’ai été ravie de découvrir une magnifique gravure de chat, niché sur les genoux d’une jeune femme. Ce qu’accompagnait un très beau poème, ouvert à la rêverie. Hélas, cette première page est une exception dans l’album. Puisque je me suis vite rendue compte que le contenu textuel était assez pauvre (l’album contient 24 pages, avec seulement une phrase écrite toutes les deux pages… je vous laisse faire le compte), tout comme le visuel, qui finalement, semble être dessiné de manière simpliste. La gravure du chat en couverture est quand même repris deux fois dans l’album… c’est pour dire la pauvreté du contenu.



J’en viens à me demander deux choses : d’une part si le prix élevé (ce livre coûte quand même 12,90 euros) est justifié ? D’autre part, cet album étant conseillé aux enfants à partir de 3 ans : s’amuseraient-ils à le feuilleter ? J’en doute. Les couleurs froides les rebuteraient sûrement. Des dessins ou motifs en relief auraient été un plus non négligeable.



Bref. Cet album est vraiment trop abstrait. A trop vouloir laisser libre court à l’imagination interprétative des lecteurs, l’auteure nous perd dans son univers. C’est dommage ; les gravures avaient un certain charme, mais je n’ai pas su les apprécier à leur juste valeur.
Lien : https://analire.wordpress.co..
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La Barbière

Un « conte pour adulte » qui dévoile une autre facette du talent de Caroline Lamarche. J’en ai apprécié les ingrédients oniriques teintés d’érotisme, mais la forme m’a déçu. Si vous appréciez l’auteure, je vous recommande de découvrir « La Barbière » et de confronter vos impressions aux miennes.



J’ai rencontré ce petit livre par hasard, sur un rayon d’une bibliothèque où j’ai mes habitudes. J’apprécie Caroline Lamarche, le livre m’intriguait, je l’ai emporté. Je dirais d’emblée qu’il ne m’a pas procuré le plaisir de lecture que j’attendais. Mais après avoir échangé mes impression avec la bibliothécaire, qui elle, avait un avis plus enthousiaste, je vais nuancer mon commentaire.



Le récit est qualifié de conte pour adultes et en effet, il est onirique. Le cadre en est une ville qui est épargnée de la guerre qui sévit dans la région grâce au Grand Ob, un observatoire bien particulier: « Il balaie le ciel sans relâche, à la manière d’un projecteur, et transmet, par réverbération, des données sur la guerre. Leur interprétation éloigne de nous le danger. »



Mais pour fonctionner, il demande qu’on lui livre en offrande des yeux. De bonne grâce, les hommes se rendent chez la Barbière, qui les ampute d’un oeil. Cela peut paraître glauque, mais il n’en est rien: le texte décrit l’acte comme s’il s’agissait d’aller se faire couper les cheveux; rien d’effrayant. Mira assiste la Barbière; c’est elle qui va porter les yeux aux Grand Ob. Son frère est mort à la guerre. Un étrange personnage, le Dragon, vient lui en apporter des nouvelles et… je vous laisse découvrir le suite.



À ces aspects oniriques se mêle de l’érotisme, présent tant dans le texte que dans certaines des illustrations de Charlotte Mollet.



Tous les ingrédients étaient présents pour assurer un plaisant moment de lecture. La bibliothécaire avait également trouvé matière à réfléchir dans la symbolique des yeux, qu’elle interprétait comme une sorte de nécessité d’aveuglement pour éviter la guerre. Bref, toute une richesse, qui avait séduit la bibliothécaire et très probablement d’autres lecteurs.



Mais personnellement, j’ai été déçu par la forme, au point de jeter un voile sur les aspects positifs que je viens d’évoquer et qui auraient dû me ravir. Car les mots ne m’ont pas séduit; je n’ai pas retrouvé le plaisir de lecture que Caroline Lamarche m’avait procuré dans d’autres livres. Les mots ne m’ont pas apporté l’évasion ni le rêve que j’attendais. Les passages érotiques m’a paru plats; ni vulgaires ni crûs, mais plats. Peut-être ai-je lu trop vite, peut-être aurais-je dû lire à voix haute (ce que je n’ai jamais essayé, à vrai dire).



J’ai également été déçu par les illustrations. Certaines, mais pas toutes, étaient trop touffues à mon goût et le choix d’absence de perspectives dans certaines autres me les rendaient peu « lisibles ». Je dirais cependant que le fait que le livre soit broché et qu’on ne puisse l’ouvrir « à plat » sans risquer d’en craquer le dos ne rend pas service aux images. Je pense que je les aurais perçues autrement si je les voyais accrochées sur un mur blanc ou bien à plat sur la table de l’illustratrice.



Malgré ces bémols, je garde Caroline Lamarche en bonne place sur ma pile d’auteurs belges, en particulier pour la variété de sa production; je vous recommande particulièrement « Le jour du chien » et « L’ours ». Et elle ne reste pas enfermée dans son petit univers: en avril 2021, elle ainsi édité « Traces », un recueil de témoignages de membres du personnel d’un hôpital bruxellois, en période d'épidémie de coronavirus.



Je termine en signalant que « La Barbière » a été repris comme le premier des trois chapitres de « Mira », publié quelques années plus tard. L’un et l’autre ont été honorés d’un faible nombre de commentaires sur Babelio. Si vous aimez Caroline Lamarche, je vous propose donc de découvrir « La Barbière » (ou « Mira ») et de confronter vos impressions aux miennes, histoire de donner plus de corps à la critique.
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Guillaume et la couronne du cousin Edouard

Ce livre fait partie de la collection "Pont des Arts" édité par le Scéren- CRDP de Marseille et l'élan vert, superbe collection grand format dont chaque tome est écrit et illustré par un auteur et illustrateur différent.. Pour celui-ci, c'est Muzo et Charlotte Mollet qui sont associés.. le but est de présenter

LaTapisserie de Bayeux. L'histoire est traitée de de façon humoristique : en ce temps-là, tout le monde portait un chapeau sauf Guillaume, duc de Normandie. Mais lui voulait une couronne comme son cousin Edouard.

Evidemment, lors de la bataille d'Hastings, Guillaume récupère la couronne.

Les illustrations de Charlotte Mollet reprennent les thèmes de la tapisserie avec bonheur. A la fin de l'ouvrage,deux pages esplicatives présentent la Tapisserie, Comment ? Qui ?Cette histoire est-elle vraie ?

J'adore cette très belle collection.
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Navratil

"Navratil" est le nom du jeune narrateur de cette histoire (vraie). Ce petit garçon a vécu de l'intérieur le naufrage du Titanic et nous raconte son parcours. C'est aussi une incroyable histoire de séparation/retrouvailles avec sa mère !



Les mots d'Olivier Douzou résonnent en nous, on a vraiment l'impression d'être dans la tête de l'enfant qui vit ce drame. Les illustrations de Charlotte Mollet sont très originales et éloignées de ce que l'on retrouve habituellement en littérature jeunesse. Diverses techniques sont utilisées, dont le collage.



Sous son titre énigmatique, ce petit album carré cache une histoire riche en émotions.
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Le chat

Merci à Babelio et aux éditions Rouergue pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une "Masse Critique".



Etant une grande amoureuse de ce félin, j'ai choisi cet album sans hésiter. Comme dit dans le résumé, la couverture est effectivement simple : un titre clair et concis et un dessin de l'animal dans des couleurs brutes sans nuances. Ces couleurs seront d'ailleurs les seules utilisées dans le livre.

A la toute première page, on découvre une strophe construite comme un poème destiné à cet animal domestique qui fait le bonheur de beaucoup d'Hommes. Ces quelques lignes et la gravure qui les accompagne sont très agréables mais malheureusement, le reste du livre ne suit pas. Chaque double page est composée d'une phrase du narrateur cherchant un nom pour ce chat et d'une illustration représentant une vue rapprochée de plusieurs parties du corps du chat. Le résultat est très abstrait et ne me parle pas beaucoup. Je suis d'ailleurs sceptique sur l'âge d'accessibilité donné par l'éditeur. Le texte est construit sur un système de gradation difficilement compréhensible pour de jeunes lecteurs, tout comme les dessins trop "stylisés".



Il faut bien admettre que Charlotte Mollet a "une patte", un style bien à elle qui sort des sentiers battus de l'album jeunesse habituel, mais peut-être est-ce trop décalé...
Lien : http://livheryn-lecture.ekla..
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Navratil

Probablement l'un des plus beaux livres illustrés qu'il m'ait été donné de lire.

Je l'ai découvert par hasard juste avant qu'il ne soit édité, je travaillais dans un Salon du Livre et j'ai eu la maquette entre les mains.

Attirée par les couleurs, le graphisme audacieux et ce titre... énigmatique, j'ai commencé à lire cette histoire qui débute par une histoire de clef tombées d'une fenêtre et atterrissant sur un balcon. L'auteur nous projette alors dans le passé par la voix d'un jeune enfant ensommeillé qui va croiser la légende du Titanic. Navratil, c'est lui. Ou plutôt Navrotil de son vrai nom.

Histoire vécue et pourtant parfaitement improbable.

Un souffle dramatique balaie ce récit d'une grâce et d'une tendresse déchirantes.

J'ai toujours cette maquette à la couverture non reliée et souple, je la garde précieusement et relis de temps à autre cette histoire hallucinante de ces deux petits perdus dans le nouveau monde et séparés de leur mère par un océan glacé.

Un joyau à mes yeux, édité par les orfèvre du Rouergue.

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Navratil

j'ai bien aimée ce livre, qui nous raconte la vision d'un garçon lors du célébre naufrage du 14 avril 1912 du titanic
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Jean petit qui danse

Sur l'air de la comptine , nous découvrons les magnifiques illustrations de Charlotte Mollet.
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Loup y es-tu ?...

La comptine "Promenons-nous dans les bois" illustrée joliment par Charlotte Mollet. Une chanson que les enfants apprécient car plus on avance, plus le loup s'habille et plus il est prêt à nous manger... Mais heureusement, il ne s'agit que d'une histoire...

La collection Pirouette de Didier Jeunesse met en images les comptines de notre enfance, une très bonne collection avec de nombreux titres qui sont plus intéressants les uns que les autres. Je trouve que ces éditions sont de très bonne qualité concernant la littérature de jeunesse.
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Avant d'être un bébé

Emprunté à la bibliothèque (et oui encore !!!), le petit bout n’a cessé de feuilleter ce livre. Il est loin d’être capable de lire seul mais il a tout de suite été fasciné par la poésie des images. Les illustrations de Charlotte Mollet jouent sur toute la palette des couleurs, associant des bleus turquoises pour les paysages aquatiques au orange solaire pour les désertiques. On retrouve par ailleurs une certaine ressemblance avec les images tribales (qui pour ma part me fascinent), ce qui ajoute au côté mystérieux du livre.
Lien : http://boumabib.fr/2010/03/1..
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Miss Carabis Carabosse Soldat

Les illustrations ne sont pas adaptées aux enfants à se demander comment elles ont pu être validées par l éditeur : des personnages étranges recevant des coups de couteaux dans le ventre avec du sang qui dégouline. Pourquoi autant de violences pour un livre censé être un recueil de comptines ! Les textes d un niveau médiocre " Adidas 1.2 3 tu te casses !" Franchement Didier Jeunesse c'est une belle faute professionnelle de votre part que d avoir validé ce livre soit disant qui s adresse à nos enfants. 0 étoile !
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La légende de saint Nicolas

Je ne connaissais pas cette histoire avant de la découvrir à travers cet album emprunté à la médiathèque par mon enfant.



Les graphismes, en forme de papier découpé et qui rappellent les ombres chinoises, amplifient le conte et desservent très bien son propos. A chaque double page, seulement deux couleurs principales sont employées.



J'ai eu du mal à lire cette histoire à mon enfant, de part la violence décrite. J'aurais dû la lire avant pour éviter ce genre de surprise.
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Le chat

J'ai été surpris par le contenu lors de la réception de ce livre. Il faut dire que je ne m'attendais pas du tout à ce que j'y ai trouvé. Commençons par le texte: comme indiqué sur le résumé, il s'agit de donner un nom à un chat. Chaque double page contient une phrase qui vient en quelque sorte répondre à celle de la page précédente. Le tout pourrait former un poème qui interroge sur le "toujours plus" et qui peut amener une réflexion intéressante.

Intéressons-nous à la forme: sur chaque double page, on retrouve aussi une illustration en rapport avec la phrase mentionnée. Les illustrations sont assez poétiques et je dirai même qu'elles ont un grain qui leur donne du charme.

Finalement, je peux dire que je me suis retrouvé devant une œuvre assez unique qui m'a étonné puis interpellé, mais dans le bon sens du terme. Même si le nombre de pages est très restreint et que ce n'est pas vraiment un livre à lire dans le sens propre du terme, cette œuvre est plaisante et on se prend à contempler les illustrations pendant de longues minutes après lecture du texte.
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Bleu d'amour

Une histoire d'amour sur des gens de conditions différentes. L'amour pur et sincère peut il triompher de tout ?

Un joli conte avec de très belles illustrations qui nous invitent un temps ailleurs.

On est dans un pays lointain, avec d'autres noms, d'autres moeurs, le prince est bleu et a des pouvoirs, différent, sa bien aimée le prend comme il est, mais elle est écuyère.

Son amour lui donne des ailes.

C'est finalement toujours un peu la même histoire.

Peut il mettre fin à la guerre sans trop de sang ? Pourra-t-il faire accepter son amour à ses parents ? L'attendra-t-elle le temps qu'il revienne ? Quel(s) pouvoirs(s) a-t-il ? Tout ça est à découvrir dans ce beau livre joliment illustré.
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Guillaume et la couronne du cousin Edouard

Le livre était très bien, assez illustré. L'histoire se passe au XI e siecle et les images sont grandes et bien dessinées.
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Miss Carabis Carabosse Soldat

Et c’est parti pour un tour de récré, tout en poésie, humour vachard, comptines entêtantes…

Miss Carabis est un album petit format, grand par le talent. Les textes ont été collectés par Evelyne Resmond-Wenz (qui signe une préface fort instructive) et Charlotte Mollet. Ses images donnant la bougeotte sont emplies d’une joie de vivre frisant l’insolence avec tout un monde onirique, véritable barnum de personnages et de situations étranges ou réelles. Impossible à raconter, juste vous dire qu’on aime beaucoup Miss Carabis.



Jean-Luc Pour librairiesandales.hautetfort.com. Extrait.







Là, on voit qu'on a affaire à une vraie artiste. Charlotte Mollet y propose des images venant compléter celles que chaque lecteur à déjà en lui sans s'y substituer. Des images qui enrichissent le texte, sans jamais le réduire, sans jamais imposer un point de vue. Elles donnent une unité sans nuire à la formidable diversité des formes proposées par les textes.



Partager cet album avec des enfants, c'est reconnaître leur culture. Ils sont surpris, heureux de voir leurs rondes, leurs chants, imprimés. Ainsi un adulte a pris la peine de les écouter, de les noter, de les aimer et de les consigner dans un livre? Merveilleuse découverte pour les bambins, lesquels, loin de se sentir dépossédés, se réjouissent de voir des grandes personnes soulever le rideau pour observer un instant l'univers de la cour de récré.

Partager cet album avec des adultes, c'est leur offrir une occasion de renouer avec leurs souvenirs d'enfance, de replonger dans le brouhaha d'une cour vivante et d'y trouver, caché au fond de leur mémoire les bribes d'un jeu, la prosodie d'une formulette, le mouvement de la main qui l'accompagne.



Par chlop le mercredi, le 5 Mars 2014, Extrait.

http://chlopitille.free.fr/dotclear/index.php?post/Miss-Carabis-carabosse-soldat



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Le jour du lapin

Je l'ai lu avec un petit garçon de six ans et j'ai découvert l'histoire en même temps que lui. Personnellement, je n'ai pas aimé. Mais quand j'ai demandé au petit de faire un résumé en complétant les trous (à l'oral) ça a marché : il semblait avoir compris l'histoire et l'avoir apprécié. Mais "Monsieur, Madame" comme noms de personnages c'est vraiment bizarre !!!



A mon avis, il y a mieux dans le genre...
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Un éléphant qui

Un album qui reprend la comptine classique " un éléphant qui se balançait" avec de merveilleuses illustrations .
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