Christian Sundberg

Et à mesure que vous changez, le monde change également.

Chaque fois que l'un d'entre nous fait face à sa peur et l'intègre, nous faisons un réel progrès. Chaque fois que l'un d'entre nous choisit de soutenir un proche de façon altruiste, même quand c'est difficile, nous faisons un réel progrès. Chaque fois que l'un d'entre nous éprouve un sentiment de joie et de liberté, même quand les contraintes de la vie physique sont extrêmes, nous faisons un réel progrès.

Soyez disposé, ouvert, vulnérable; sincère et brave. Comportez-vous ainsi, même quand c'est difficile, en particulier quand c'est difficile.

La fonction de l'âme est la joie d'être. Rien d'autre n'est exigé d'elle. Elle doit simplement exister, et laisser s'épanouir la beauté et la félicité de son existence d'une multitude de façons.

Dieu n'a pas de religion.

Quand la vie physique s'achève, vous devenez conscient de toutes les choses que vous avez faites et qui ont affecté les autres au cours de toute votre vie.

Vous êtes libres de choisir vos croyances. Vous êtes complètement libres de choisir quoi croire. Cela ne peut sembler faux que si vous croyez que c'est faux. Vos croyances agissent comme un filtre à travers lequel vous faites l'expérience de la réalité.

La paix ne sert pas juste à vous soulager profondément, elle vous permet aussi de regagner un pouvoir afin d'aider au mieux cette planète, car lorsque vous êtes connecté à ce qui est vrai (réellement vrai !), vous pouvez et allez aider à guérir le monde, de façon presque automatique. Sinon, quand vous êtes dans la détresse, vous êtes perdu puisque vous êtes une petite part du problème.
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Notre réalité est virtuelle, comme le dit Tom Campbell, c'est-à-dire élaborée à l'intérieur de systèmes supérieurs pour que les joueurs puissent vivre des expériences uniques. Une part de ce jeu consiste, pendant que nous sommes ici, à oublier ce que nous sommes ailleurs.
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Ne pas attribuer à la douleur une signification, ou une histoire, a un effet très puissant. (...) Quand on peut la voir comme une sensation plutôt que comme une histoire et qu'on lui permet pleinement d'être simplement présente, elle va avoir la capacité de partir d'elle-même.

Il y a une différence entre rejeter la réalité et décider d'agir sur la base de l'amour et de la présence, où que vous soyez, afin de remédier à une chose qui , comme vous le constatez, a besoin d'être guérie.
Cette dernière approche est en fait plus difficile à adopter car elle implique de ressentir pleinement, de rencontrer pleinement l'expérience, et d'accepter la responsabilité pour tout le désordre du monde en son entier, au lieu de l'accuser.

Quand nous rejetons ou accusons ce qui est, nous nous situons automatiquement en adéquation avec la séparation. Cela ne veut PAS dire que nous devons accepter ce qui est mauvais, nous devons plutôt rencontrer pleinement chaque moment présent et agir en conséquence.

Nous sommes responsables de notre intention, qui est le mouvement primordial de notre être. Notre intention est soit basée sur l'amour, soit basée sur la peur, et elle donne naissance à toutes sortes de formes, dont les pensées et les actions.

Nous ne sommes pas nos pensées, nous sommes la conscience faisant l'expérience des pensées.

Fondamentalement, nous sommes une conscience connaissante. Fondamentalement, ce que nous faisons, c'est exercer notre intention en faisant des choix. En d'autres termes : la substance fondamentale est conscience, la force fondamentale est intention.

"Il n'y a pas de prise de conscience sans douleur. Les gens feront n'importe quoi, peu importe l'absurdité, afin de faire face à leur propre âme. L'illumination ne consiste pas à percevoir des formes ou des visions lumineuses, mais à rendre l'obscurité visible."
C.G.Jung

Si tout ne va pas bien, c'est parce que vous avez interprété que tout n'allait pas bien.

Fondamentalement, vous êtes une conscience libre et joyeuse. Fondamentalement, rien ne peut vous nuire et vous ne pouvez pas mourir. Fondamentalement, vous êtes plus que toutes les choses qui se trouvent dans votre esprit, votre vie et même votre imagination. Fondamentalement, vous n'avez besoin de rien. Même si vous mourez, ce n'est pas la fin du monde - en vérité, c'est quasiment l'opposé.

Le suicide n'est pas une porte de sortie. Il n'est pas un échappatoire : il faut encore se confronter à la peur ayant conduit à cet acte.

Le but de notre venue est l'expansion de l'amour et de la joie, à travers l'intégration d'une expérience.