Il y a pour chacun un lieu
d’espérance
dans le silence des oublis et des matins
blancs
– il reste au delà des airs de romance
de longs cheveux traînants –
Nous étions parmi l’ombre et l’été
s,allongeait
sur les flancs paresseux des dernières
allées
Ô pays qui revient à chacun de nos songes
et s’en va
pour ne jamais plus rien dire
quelquefois la lumière remonte le souvenir
et l’âge
qui emporte la dernière naissance
Je voudrais reprendre le fil
des souvenirs
et doucement te dire
Ô cœur de mon amour
que nous irons un jour dans la légende
par l’espace de toutes les heures
abandonnées