Biographie :
Enfant, Christine Thepot Gayon a eu une longue maladie qualifiée d’incurable par les médecins. « Miraculeusement » survivante, cette épreuve lui a permis d’appréhender la vie différemment. Après un parcours scolaire autant chaotique qu’atypique, elle s’est inscrite dans une école de théâtre. Elle a ensuite travaillé plusieurs années à Canal+, au département marketing. Elle est fan inconditionnelle de voyage, pour la découverte du monde et des autres cultures (elle a voyagé dans toute l’Europe, en Asie, en Norvège, en Russie, aux Etats unis, dans les caraïbes, les îles Maurice et de La Réunion… Elle a toujours inventé des histoires, notamment pendant ses longues nuits d’insomnies. Un jour, une occasion, le moment venu, elle a décidé de les écrire… Elle se consacre maintenant entièrement à ses écrits.
+ Voir plusEnfant, Christine Thepot Gayon a eu une longue maladie qualifiée d’incurable par les médecins. « Miraculeusement » survivante, cette épreuve lui a permis d’appréhender la vie différemment. Après un parcours scolaire autant chaotique qu’atypique, elle s’est inscrite dans une école de théâtre. Elle a ensuite travaillé plusieurs années à Canal+, au département marketing. Elle est fan inconditionnelle de voyage, pour la découverte du monde et des autres cultures (elle a voyagé dans toute l’Europe, en Asie, en Norvège, en Russie, aux Etats unis, dans les caraïbes, les îles Maurice et de La Réunion… Elle a toujours inventé des histoires, notamment pendant ses longues nuits d’insomnies. Un jour, une occasion, le moment venu, elle a décidé de les écrire… Elle se consacre maintenant entièrement à ses écrits.
Ajouter des informations
étiquettes
Videos et interviews (3)
Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Christine Thepot Gayon
Citations et extraits (64)
Voir plus
Ajouter une citation
"Les non-dits sont parfois bien plus forts que les mots ; au moins, contre les mots, on peut se défendre, comprendre, peut-être même changer le cours des choses."
"Puis ce fut un tourbillon, une tempête. Non, un cyclone plutôt. Tout devint différent tout d'un coup; l'espace d'un instant d'amour. Louise se sentit plus forte, plus belle et plus importante. Sa vie comptait, elle existait."
"Elle racontait les choses froidement, comme si cette distance était une protection : simuler un grand détachement au point d'y croire elle-même. Ou peut-être qu'elle avait épuisé ses larmes sur le sujet car bien souvent, même si les drames le restent malgré le temps qui passe et laissent des marques indélébiles telles des cicatrices, la réalité nous rattrape et les larmes que l'on a versées par refus des choses, par peur d'un avenir inconnu, par déni, par panique, par l'impression que l'on ne pourra jamais surmonter une perte, finissent par sécher car on réalise qu'elles deviennent inutiles."
"Ils venaient de connaître quelque chose de presque déstabilisant : la paix. La paix est en effet un état fragile. Les gens qui connaissent le bonheur ont peur de la perdre alors que justement, la peur est une entrave au bonheur, quand ceux qui ne sont pas heureux ont peur de ne pas connaître le bonheur. Et puis il y a la catégorie de ceux qui ont peur de connaître le bonheur parce qu'il peut s'enfuir un jour. La paix est la première marche vers la béatitude donc, elle peut aussi être le début d'une crainte, et celle-ci était nouvelle pour eux deux."
"C'était peut-être tout simplement dit sincèrement parce que parfis, il faut dire les choses, il faut s'en débarrasser, il faut qu'elles sortent pour vivre à l'extérieur de soi afin d'aller mieux et de se libérer. Partager un poids le rend un peu plus léger."
"L'amour pouvait être une maladie mortelle."
"Avant l'aube, elle partit voir Louis, il faudrait probablement le protéger. En chemin, elle fut assaillie de doutes, ils fracassaient son crâne comme l'auraient fait des marteaux cassant un mur. Elle pédalait de toutes ses forces pour tenter d'évacuer son angoisse. La fatigue annihile les sentiments ou les exacerbe, mais il fallait tenter."
À force de maltraitance, ils avaient classé dans les banalités des choses qui n'auraient pas dû l'être. Ils avaient perdu le sens de ce qui était acceptable dans une relation, ils ne savaient plus où se situait le respect. Mais ils savaient tous les deux qu'il fallait se taire.
Puis elle avait dit, en murmurant pour qu'il ne l'entende pas : "l'amour, ce n'est pas un arc-en-ciel plein de couleurs, non. Il n'y a pas de nuances. Il y a ceux qui aiment et ceux qui font semblant".
Tu sais, parfois quand on a trop de peine, on pense d'abord à soi [...]. On n'a pas de place dans le cœur pour les autres, l'empathie devient secondaire. Tu comprends ? C'est une question de survie.
Acheter les livres de cet auteur sur
Les Dernières Actualités
Voir plus
Auteurs proches de Christine Thépot-Gayon
Lecteurs de Christine Thépot-Gayon (139)Voir plus
Quiz
Voir plus
Auteur New Romance
Qui a écrit "Jamais plus" ?
Scarlett st.clair
C.S Quill
Colleen Hoover
Ali Hazelwood
6 questions
46 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur46 lecteurs ont répondu