Chien Pourri est né et vit dans une poubelle et a été abandonné par ses parents. Pour autant, pas rancunier pour un sou, il dévore à pleines dents la vie et sait être gentil avec son compagnon de (mauvaise) fortune, le chat Chaplapla. L'odeur tenace de sardines, les mouches et les puces qui ne le quittent pas, son pelage-serpillière rebutant et son mauvais sens de l'orientation feraient peur à plus d'un maître. Et c'est bien pour cela qu'il n'en a pas! D'ailleurs, il ne sait même pas ce que c'est. Aussi, lorsque Chaplapla le lui explique, il se met en tête de s'en trouver un. Mais à quoi cela ressemble-t-il vraiment? Naïf comme il est, il risque bien d'y laisser des poils!
Pauvre Chien Pourri, lui qui voulait trouver un bon maître dans ce vaste monde, sera bien déçu. Car, en chemin, outre cette petite fille aux souliers rouges sans lacet, il va tomber sur plus bête que lui: des bandits et des empailleurs! Ce chien puant et sale mais avant tout-tout affectueux et doux est terriblement attachant. Voici un album de très bonne facture qui pourra plaire aux plus jeunes mais aussi aux plus âgés. Le scénario est enlevé, drôle et plein de rebondissements. Les quelques dessins sont tout à fait charmants et s'intègrent parfois directement dans le texte. Comme quoi, ce Chien Pourri n'est peut-être pas aussi pourri!
Chien Pourri... adopté!
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Aujourd'hui c'est mercredi et mercredi, c'est... ?
« Les histoires à Berni ! »
Sandrine, la maîtresse d'école a fait entrer les élèves dans la classe. Pour une fois ils sont entrés paisiblement. Je les regardais ainsi et j'appréciais ce moment de calme qui n'allait peut-être pas durer longtemps. Une fois que j'aurais délivré le titre du livre, je savais que c'était comme si j'allumais une allumette dans un magasin de pétards et feux d'artifice...
Je me suis avancé devant mon jeune public assis et attentif, réuni en cercle devant moi et je leur ai dit : « Je vais vous raconter une histoire dont le titre m'a fait fortement pensé à vous. C'est d'ailleurs pour cela que je l'ai choisi pour l'histoire du mercredi matin.
Je voyais des yeux grands comme ça qui me regardaient. Sandrine, la maîtresse d'école, que pour une fois je n'avais pas mis dans la confidence de mon choix, était un peu intriguée, voire un tantinet inquiète. Heureusement qu'elle me fait confiance ! La confiance, c'est très important dans la vie.
J'ai tendu le livre vers mon cher public chéri et j'ai savouré leurs réactions lorsqu'ils ont découvert le titre écrit en grand sur la première de couverture : Les sales gosses.
Je les ai senti plus que troublés durant deux secondes. Une fois passé l'étonnement pour ne pas dire la sidération, ils se sont regardés. Il n'y avait aucune réaction. Aucune réaction, sauf la petite Fanny qui s'est mise aussitôt à sangloter parce que c'était la première fois qu'on la comparait à une sale gosse, tandis que la petite Domi la prise dans ses bras pour la consoler en disant que c'était une blague de la part de ce bon vieux Berni, ha ! ha ! ha !...
La petite Isa a pris l'initiative, de réunir le groupe autour d'elle, façon conciliabule intersyndical. J'ai senti que l'actualité très tendue du moment leur donnait des idées de révolte voire de rébellion, ce qui n'était pas pour me déplaire...
Pendant ce temps-là, j'essayais du mieux que je pouvais de rassurer Sandrine, la maîtresse d'école.
Une porte-parole est sortie du groupe, c'était la petite Anna. Elle avait pris un petit air empli d'assurance, tandis que derrière elle ses copines la poussaient vers l'avant...
« Dis donc Berni-Chou, a-t-elle clamé d'une voix très ferme, tu ne voudrais tout de même pas sous-entendre que nous serions des « sales gosses » ?
Elle a marqué un silence, a regardé l'assistance, jaugeant son public, s'est sentie portée par un élan. La petite Nico est sortie du rang et s'est exclamée : « Ouais, parce que, hein ! »
Et la petite Doriane, les joues badigeonnées de chocolat, jetant des oeillades à la cantonade a aussitôt renchéri en toquant du coude sa camarade d'un geste de solidarité, lançant cette phrase si éloquente qui restera à jamais gravée en moi comme un slogan politique indévissable : « Ouais ! Même que ! »
J'ai alors vu des regards noirs sévères braqués devant moi comme des projecteurs. Même les yeux du caméléon perché sur l'épaule du petit Paul étaient sombres. C'est dire...
Chaque élève en face de moi avait les bras fermés, croisés sur leur poitrine.
Alors, j'ai tenté une médiation... Un truc qu'aucun ministre, même capé, n'aurait osé tenter.
« Et si derrière ce titre un peu provocateur, ce livre incitait à y voir plein d'idées géniales pour faire des bêtises mais aussi une manière originale de raconter des histoires d'enfants, quelque chose qui sortirait de l'ordinaire. »
Je pense qu'ils ont surtout retenu la première idée. La petite Chrystèle est sortie du rang, après avoir parlementé avec le collectif.
« C'est une porte de sortie honorable, Berni-Chou. On est d'accord pour continuer d'écouter ton histoire.
- Lol », a fait la petite Sonia en signe d'apaisement.
Ouf !
Alors il s'est produit quelque chose d'inhabituel. Chacun a pris un cahier et un crayon pour prendre des notes.
Le petit Pat venait d'installer un trépied avec un camescope pour me filmer. D'autres avaient programmé leur smartphone en mode dictaphone pour m'enregistrer.
Sandrine s'est approchée de moi pour me confier : « c'est la première fois que je les vois aussi assidus. »
Je me suis avancé vers les élèves redevenus calmes avec le livre entre les mains.
Le petit Pat a crié « moteur ! » et j'ai commencé à lire les premières phrases qui évoquent l'histoire de Delphine et son jeune frère Félicien.
« C'était un soir parfait comme il en existe chez nous, les Jambou. Avec Delphine, on avait même réussi à oublier que notre nom ressemble à une tranche de jambon. le menu décontracté, chips croque-monsieur, concocté par papa, ajoutait à ce repas une saveur particulière. On se serait crus en vacances, un déjeuner sur l'herbe plutôt qu'un dîner expédié parce que : « Demain, il y a école. » Entre deux bouchées, on jouait à : « Et si... » Notre jeu préféré, avec Delphine. Une seule règle, commencer par « Et si, puis laisser libre cours à notre imagination. Mais ce jour-là, personne ne pouvait se douter qu'on irait aussi loin. »
Et plus tard dans l'histoire, leur Papa a dit : « Les enfants, quoi que vous fassiez, on vous aimera toujours. »
Il n'en fallait pas plus pour tenter le diable.
Delphine et Félicien cogitent trente secondes, pas plus... Et si on devenait vraiment insupportables, pour voir jusqu'où ils nous aiment, nos parents ?
Comme ils sont un peu novices sur le sujet, ils décident de prendre des conseils auprès de Jimmy P, la fameuse légende du sale gosse depuis la maternelle...
« On a très vite fait des progrès. Mais personne ne pouvait se douter que les choses iraient aussi loin. »
Alors j'ai continué...
Les premiers chapitres sont plutôt softs. D'ailleurs, au début, il n'y avait que la petite Fanny qui prenait des notes.
Au fur et à mesure que l'intensité dramatique montait, chacun selon son humeur et son histoire se saisissait de son crayon.
Je faisais des pauses à chaque chapitre et j'observais que la petite Gaby regardait le ciel à travers la grande fenêtre de la classe sans avoir encore saisi son crayon...
« Gaby, ça va ? » j'ai demandé.
Elle a répondu : « Ugh ! Tout ça c'est du pipi de bigorneau. » On devinait une riche expérience dans son propos... J'entrevoyais aussi son impatience...
N'empêche, les autres chapitres l'ont raccrochée aux wagons comme on dit.
Plus loin que l'histoire que j'ai beaucoup aimée, j'ai adoré l'esprit enlevé de ce livre, son écriture très vive, allant visiter des sentiers inhabituels...
L'intrépidité va crescendo dans le récit et c'est tant mieux...
L'intrépidité des personnages de l'histoire, mais pas seulement... Je voyais le plaisir des enfants que j'avais devant moi rayonner sur leurs visages.
La petite Gaëlle s'est approchée de moi, l'audace du texte avait allumé des rivages océaniques dans ses yeux, elle m'a alors avoué : « Elle est bien ton histoire, camarade, quoi que tu racontes on t'aimera toujours. »
Plus tard, après le récit, Sandrine la maîtresse d'école a invité les élèves à dire ce que chacun percevait de cette histoire...
Derrière les bêtises suggérées, il y avait tant d'autres chemins, des rideaux aussi à pousser, des fenêtres à ouvrir...
Des thèmes à aborder et ce que l'on peut en faire, la famille, la différence, la désobéissance, la transgression... Et pourquoi pas la famille encore et toujours mais un thème qui pourrait être enfin regardé d'une autre manière à travers la relation des parents à leurs enfants...
Pour moi la phrase essentielle du livre restera : « Mais personne ne pouvait se douter que les choses iraient aussi loin. »
Et si cette phrase devenait magique dans les classes d'école, enfin ?
Que rajouter de plus à propos de ce livre, sinon que l'auteur s'appelle Colas Gutman, que cet écrivain est totalement inspirant pour une classe de CE2...
Et même plus, si affinité...
En quittant la classe ce matin-là, je n'ai pas osé dire aux élèves : « Les enfants, quoi que vous fassiez, on vous aimera toujours. »
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Quand arrive l'été, Chien Pourri, cette sorte de chien-serpillère qui ne sort jamais sans son fan-club de mouches et de puces, crève de chaud dans sa poubelle. Aussi, quand son ami le chat, Chaplapla, aussi flagada que lui, lui propose de partir sur la côte d'Azur (bien mieux qu'une côte de porc lui apprend-il!) avec la Colonie des oubliés. Ils se rendent là-bas et font la queue parmi les chats écrasés et les chiens abandonnés. Bien que le moniteur leur annonce qu'il n'y a plus de place, il se prend soudainement d'affection pour Chien Pourri qui lui fait penser à son tapis de bain et lui propose une place sur la côte d'Azur. Même Chaplapla pourra être du voyage. C'est le grand départ pour ces deux amis, en route vers de nouvelles aventures...
On ne risque pas de s'ennuyer une seule seconde en vacances avec Chien Pourri et Chaplapla. Au programme: le Club Biquet, rencontre avec un CRS autrement dit Croquettes Rares et Salées, glaces au sable et de nouveaux amis. Colas Gutman, l'air de rien dans ce petit album destiné aux plus jeunes (mais pas que), soulève de nombreux problèmes tels que la pollution, les animaux abandonnés, le respect d'autrui... Des situations cocasses vont malgré tout rythmer les vacances de ces bêtes à poils. Le tout est enjoué, amusant et loin d'être pourri...
Chien Pourri à la plage... des vacances bien méritées...
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Chien Pourri, je t'aime bien : ta bonne tête, ta langue pendante qui promet des léchouilles baveuses, tes yeux, ta silhouette efflanquée...
Mais j'aime pas du tout tes aventures. Non seulement elles ne m'amusent pas, mais les mauvais traitements que t'inflige ton auteur me font grincer des dents. J'ai l'impression de voir un SDF se faire insulter et tabasser par des beaufs.
J'ai eu ce sentiment désagréable à la lecture de 'Chien Pourri' tout court, je pensais que 'Chien Pourri à la plage' serait plus fun (sea, sand, tendresse & sun), d'autant que le brave toutou semblait avoir trouvé une famille à la fin du premier opus.
Eh non, c'est reparti : il pue (sic), il ressemble à une serpillère (sic), il est bête (sic), débile (sic), il sert de souffre-douleur aux enfants comme aux adultes...
Un humour auquel je n'adhère pas du tout, bien que je ne sois pas une farouche défenseuse des animaux...
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Comme elle est touchante cette petite histoire ! Comme les enfants peuvent avoir du bonheur à partager quand ils croisent des petites Rose si différentes et si combatives ! Une histoire petite et grande à la fois. Une histoire pour comprendre les différences et les accepter.
Rose est une petite fille qui parle comme une nouille. Un accident de vie a chamboulé son cerveau et son langage. Et à cause de ce vilain défaut, ses parents Ventouse et Patate dégoménagent souvent, essayant ainsi et maladroitement de la protéger. Alors, il lui faut à chaque fois s’habituer à une nouvelle école et de nouveaux copains. Et à chaque fois aussi accepter d’être regardée étrangement par les autres...
Une histoire toute simple pour nos jeunes lecteurs qui riront bien des tournures de phrases si particulières de Rose mais qui adoreront s’en faire très vite un copine, comme Momo-la capuche, Hélène bonjour-chez-vous ou Steve Ricoul.
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Petite annonce animalière
A DONNER contre bons soins : Chien pourri, né dans une poubelle et déjà sevré. Recouvert d'une vieille moquette râpée, peut servir de paillasson. Puant la sardine, il peut également être très utile comme repoussoir à représentants indésirables, mais se révèlera inefficace contre les voleurs ( c'est bien connu, les voleurs portent un foulard sur le nez). Chien, doté d'une bêtise hors du commun, il ne cessera de vous surprendre et apportera bien de la fantaisie à votre vie. ( Tout dépend si vous aimez les bonnes ou les mauvaises surprises !) Plein d'amour à revendre (et de puces aussi), Chien pourri n'attend plus que vous !
Occasion à saisir d'urgence pour les jeunes lecteurs qui aiment déjà lire tout seuls !
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Ce sont peut-être les émotions des parents de Léonard, dont c'est aujourd'hui le septième anniversaire, qui font qu'ils s'empêtrent dans l'histoire de leur rencontre, sensée expliquer l'origine de sa vie à leur fils.
Léonard qui attend de déballer ses cadeaux, essaie de suivre le récit de ses parents, mais ne comprenant pas forcément le lien entre des souvenirs qui ne lui appartiennent pas, laisse partir sa fertile imagination au galop...
"Mais maman a dit : "tu ne le sais pas, mais Brigitte est quelqu'un qui a beaucoup compté pour toi"
Brigitte est une calculatrice, j'ai pensé."
(Et je ne vous dis pas à quoi Brigitte va ressembler par la suite ^^)
C'est un petit livre "première lecture" mais je ne suis pas persuadée qu'un enfant de sept ans est capable de comprendre les jeux de mots et les quiproquos cocasses qui résultent des explications emberlificotées des parents. Ce sont probablement les adultes qui en seront le plus amusés... et ce fut bien mon cas.
(3,7/5)
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Alors que je me fais chaque année une joie de retrouver Chien Pourri et Chaplapla, je dois bien dire que je referme ce dernier opus un peu déçu.
Une histoire franchement en deçà des tomes précédents, sans véritable enjeu, avec quelques jeux de mots comme toujours mais beaucoup moins et surtout moins drôle à mon sens.
Aucune trouvaille véritablement amusante et la vraie déception pour moi reste le personnage de Dombi l’éléphant, dont le clin d’œil évident à Dumbo tombe à plat sans jamais trouver le moindre écho !
Bref, une lecture sans saveur, comme les pâtes du cirque Patalo ? Les auteurs peineraient-ils à se renouveler ? La réponse au prochain numéro…
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A l’occasion d’un défi lecture dans ma classe de mon garçon, les élèves découvrent quelques titres de la collection Mouche de L’école des loisirs. C’est aussi, du coup, l’occasion pour toute la famille de découvrir de belles histoires. Les aventures de Pinpin l’extraterrestre ouvre le bal.
Pinpin l’extraterrestre, habitant de la planète Pinpin est en mission sur Terre pour se faire un copain (terrien). Mais qu’est-ce qu’un copain ? Ca n’est pas évident de se faire un copain quand les hommes sont pour lui des étrangers…
Une histoire très drôle ! Pinpin découvre les hommes et leurs façons d’être, il ne sait pas ce qu’est un secret et galère pour se faire un ami ! Les enfants ont beaucoup ri aux péripéties de Pinpin, surtout quand il mange n’importe quoi. Une lecture à plusieurs niveaux : l’extraterrestre peut aussi être un enfant qui a du mal à trouver les codes pour savoir comment interagir avec les autres, se faire des copains… Colas Gutman raconte une histoire d’extraterrestre plein d’humour, les parents et les enfants sont séduits !
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Chaplapla déprime. Il n’en peut plus de sa morne existence aux côté de Chien Pourri dans leur poubelle.
Quand Hector le pigeon lui annonce qu’il est désormais « heureux, grâce au gourou Toutou, notre grand maître à tous », il se laisse convaincre de le suivre. On est naïf ou on ne l’est pas…
Le caniche à frange et le basset à petit manteau sont évidemment de la partie, toujours prêts à jouer les lèches bottes sans avoir à se forcer. Les voilà vite arrivés puis prisonniers du gourou dans un domaine au nom étonnant : « N’a qu’un œil mais il voit tout ».
La réalité sur place est un moins drôle que prévue, rituels étranges, enfants retenus contre leur gré et demandes d’argent aux familles…
Notre duo malodorant et bancal arrivera-t-il à se sortir des griffes du redoutable gourou Toutou ?...
S’attaquer aux dérives sectaires est osé et mérite d’être salué. Il permettra d’aborder le sujet avec les enfants. Mais si le résultat donne un album sympathique dans la veine des précédents, je l’ai trouvé un peu moins amusants et un moins riches en jeux de mots de toutes sortes, ce qui fait généralement le sel des histoires de Chien Pourri.
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Léonard est un enfant des villes. Il déteste la campagne. Un jour, lors d’une balade avec ses parents, il se perd … dans la campagne profonde…ou, dans des réflexions hautement philosophiques !
À quoi ça sert un enfant ? Est-ce plus important qu’un mouton, qu’un sentier, qu’un caillou ?
Et d’abord, est-ce qu’un enfant a besoin d’être utile à quelque chose ?
À la campagne, on se balade pour le plaisir des yeux et des oreilles, pas pour acheter des trucs.
On se balade pour rêver, pour penser, pour écouter le silence. Ne rien avoir à faire, c’est pas si mal.
Léonard a beaucoup appris dans cette campagne profonde, profonde mais pas ignorante.
On peut être juste un enfant, juste un mouton…et cela suffit.
Une histoire très drôle avec un petit léonard vraiment sympathique.
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Acheté pour un lecteur qui aime les chiens, la plage, les histoires où le héros fait des bêtises et beaucoup moins la lecture.
Espérons que les mésaventures de Chien Pourri, notre héros au grand coeur et de son ami Chaplapla vont le stimuler.
C'est aussi une façon de montrer aux enfants que certains animaux ont des vies très difficiles.
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