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Citations de Déborah J. Marrazzu (45)


- Xander, dès que tu écouteras ceci, rappelle-moi. C'est TRES urgent ! Le détecteur qu'Aidan m'a donné, eh bien il... il a réagi à l'arrivée de [xx]. [...] Il faut absolument que tu m'aides, je ne sais pas quoi faire, je ne sais pas ce qu'elle est. Elle me cherchait à la soirée, pour une raison que j'ignore, mais je suis sûre qu'elle ne me veut pas du bien. Xander, s'il te plait, j'ai besoin de toi, là. [...]
- Bip , pour réécouter votre message, tapez 1.
Mince, satané téléphone !
Il n'y avait jamais assez de place pour dire tout ce que vous souhaitez sur un répondeur.
Chose très agaçante !
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- Xand ! Ça fait plus d'un an que vous la ménagez tous, rétorqua Aidan. Elle a failli être emportée par son ignorance, plus d'une fois d'ailleurs. Tu crois pas qu'on a dépassé le stade du ménagement, là ? Il faut absolument qu'elle apprenne à se servir de ses capacités. Sans toutes les protections qui l'entourent, il y a bien longtemps qu'elle aurait basculé.
J'avais l'horrible sentiment de faire un mauvais rêve. Le matin même, mon unique préoccupation était d'essayer d'esquiver une soirée étudiante, et là, je découvrais que j'étais en danger, et cela depuis belle lurette apparemment. Une peur indescriptible s'empara de moi.
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- Vous êtes quoi, au juste, dans cette histoire ? Les Quatre Mousquetaires ? ou alors des super-héros façon Avengers qui ont pour but de sauver le monde ?
- En quelque sorte, oui, je suppose que tu peux le voir de cette manière. Par contre, pour le costumes, oublie tout de suite. Tu ne me verras jamais porter un collant ridicule, encore moins une armure rouge reliée à une intelligence artificielle appelée Jarvis.
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« Toc-toc. »
Je sursautai et renversai de l’eau tout autour de la baignoire.
— Lanna, je sais que tu es là, je peux sentir l’odeur du bain moussant d’ici !
Maylis, évidemment, qui d’autre ?
— Laisse-moi tranquille, il n’est même pas encore quinze heures ! Et d’abord comment se fait-il que tu sois déjà arrivée ?
— Il est dix-sept heures quinze, Lanna.
— Quoi ? Mais ce n’est pas possible ! lui répondis-je, en sortant précipitamment de mon bain et en allant vérifier sur mon portable, resté dans la poche arrière de mon jean.
Elle avait raison. J’avais dû m’endormir sans m’en rendre compte, mais il me semblait qu’une dizaine de minutes seulement venait de s'écouler. Et soudain, je lâchai mon téléphone, qui tomba dans un grand fracas.
— Lanna, tout va bien là-dedans ? me demanda Maylis inquiète.
— Ta blague ne me fait pas rire du tout, tu sais ? m’énervai-je contre elle.
— Une blague ? Mais de quoi parles-tu ? Je ne comprends rien.
Sur le miroir en face de moi était dessiné, dans la buée qui le recouvrait, un symbole ...
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Bienvenue dans ma nouvelle vie, celle où tu as l'impression d'être le personnage d'une série fantastique tout le temps.
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Dès qu’une couche se soulève, une autre prend sa place. Si c’était une pâtisserie, Juliann serait un mille-feuille. Cela dit, je ne peux pas lui en vouloir, moi non plus je ne suis pas prête à lui confier tous mes secrets.
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Une place, une seule, et elle sera à moi.
Bienvenue dans les Dancer Games.
Puisse le sort m'être favorable.
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Cette fille a ce truc qui fait que lorsqu'elle arrive dans une pièce, mon regard s'illumine.
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C’est débile, mais j’ai hâte de la revoir. J’apprécie nos échanges, les piques qu’elle me lance et ses adorables sourcils qui se froncent quand elle essaye de me déchiffrer. Putain, mais faut que j’arrête. Une relation avec cette fille n’est pas envisageable.
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Je suis plus fort que ça. Je ne vais pas me briser. Car il n’y a plus rien à briser.
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"La rédemption peut mener au sacrifice ultime. L'ombre et la lumière ne sont pas forcément opposées. Alliés, ils forment le plus puissant de tous les pouvoirs. Ce sont tes choix qui dicteront ton destin."
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Dans un geste d'une extrême lenteur, j'appose mes lèvres contre les siennes. Je ne respire plus. Je viens de goûter au paradis et à l'enfer. L'alliance de l'ombre et de la lumière. Lanna me rend mon baiser. Un millier d'éclats lumineux transperce mon esprit. Tout tourne autour de nous. J'ai l'impression de tomber dans un trou noir. La moindre parcelle de mon être semble être aspirée dans le néant. Le désir qui m'anime redouble de vigueur, quand je suis aveuglé par une lumière intense.
Une clochette retentit et je ne vois plus rien.
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Je n'écoute qu'à moitié. Ma vision devient floue sous mes larmes. J'ai la sensation que des milliers d'aiguilles me transpercent. Une souffrance lancinante et insupportable.
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- Je n'ai pas peur de vous, dis-je avec autant d'aplomb que je le peux.
C'est-à-dire pas beaucoup. Mais sur un malentendu, le bluff, ça peut marcher.
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L'improvisation comme stratégie, sur un malentendu, ça peut marcher, non ?
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Quand je pense que nous avons touché le fond, nous nous enfonçons encore.
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D'abord sauver le monde, ensuite visiter les musées.
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Note à moi-même : ne plus jamais venir cambrioler un musée. Rectification : ne plus jamais cambrioler tout court !
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La vie nous distribue des cartes, mais c'est à nous de décider ce que nous souhaitons en faire.
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Je sais que vous ne vous en rendez pas compte, mais j'étouffe. Je n'en peux plus d'essayer d'être le fils parfait, de vivre dans la peur de vous décevoir, comme si je n'étais que l'ombre de ce qu'il aurait pu être... Le seul moment où je me sens moi, c'est quand je suis sur les planches. Je veux arrêter le basket pour me consacrer exclusivement à la danse. Ma mère pose sa main sur sa bouche tandis que ses yeux s'embuent. Elle sait parfaitement que je fais allusion à Noah. Et je m'en veux de la faire souffrir. De voir la douleur dans leurs regards à tous les deux. Seulement, je sais que c'est nécessaire.
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