Didier Dufresne

Quentin est inquiet, sa mémé qu’il aime et chez qui il passe les vacances, est à l’hôpital. ^

« La pauvre ! C’est triste de perdre la tête » a dit sa maman. Elle doit lui expliquer l’expression :

« Quand on dit que quelqu’un a perdu la tête, c’est qu’il n’a plus de mémoire. »

Mais comment est-ce possible ? ce demande Quentin, « mémé qui gagnait toujours au jeu des petits chevaux », mémé qui savait tant de choses, comment les a-t-elle oubliées ?

Il ne sait pas trop comment il va trouver sa mémé, va-t-elle le reconnaitre ?

Le petit garçon découvre l’univers de l’hôpital, ainsi que la réalité de la maladie. Sa mémé parfois se souvient, parfois oublie, il faut faire avec.

Ce petit livre joliment illustré de dessins naïfs et colorés aborde avec simplicité et humour le thème de la maladie et de la vieillesse. Même si une mémoire défaillante et le fait de ne plus être reconnu par la personne malade peut inquiéter un enfant, tout cela est dit de manière claire et rassurante.

Une jolie histoire qui permet d’aborder le problème de la vieillesse et de la perte des facultés cognitives. Bien sûr, il faut pouvoir répondre aux questions que l’enfant peut poser sur la perte de mémoire et la maladie, car l’histoire ne répond pas à tout.

Le style est simple et la lecture facilitée à partir de six ans.

Il s'agit ici du volume 6 de la série « Guillaume petit chevalier », que l'éditeur préconise pour les CP/CE1 (mention « Je découvre la lecture »). Les caractères sont assez gros, plusieurs mots « suivis du signe * sont expliqués sur le rabat de couverture », tandis qu'un autre rabat liste les héros du livre. Jusque là tout est parfait. Qu'en est-il de l'histoire richement et sympathiquement illustrée ? La présentation éditeur déjà sur le site et constituée du quatrième de couverture ainsi que d'un « aperçu » supplémentaire dévoile pas mal de l'intrigue. Je vais toutefois tenter un autre résumé, avec l'espoir vif de vous en mettre « l'eau à la bouche ».

Financièrement en difficulté, Guillaume et sa famille décident de vendre à la foire les beignets qu'ils ont préparés eux-mêmes. Hélas, les gens de Tristelande vont presque tout manger, sans rien payer ! Aussi, après ce vol, le comte Aldebert, père de Guillaume, propose une promenade dans la foire. C'est ainsi que Guillaume, très tenace, tente de trouver du travail et rencontre un bateleur qui tient un petit théâtre. Guillaume court chercher sa famille pour qu'ils assistent au spectacle du bateleur qui a engagé Adhémar à sa place. Celui-ci chante faux et se ridiculise sur scène (il « bat en retraite sous une volée de choux, de carottes, de raves et de poireaux ») avant qu'un mystérieux Petit-Chevalier-Noir ne vienne le défier. Poursuivre serait trop dévoiler, alors je préfère vous laisser deviner ou lire tout simplement pour découvrir une fin « savoureuse ».

Une nouvelle histoire de Guillaume le petit chevalier qui oppose à nouveau les deux familles de la Bretelle-Demonsac et de Tristelande.



Ceux qui ont déjà lu les deux précédents tomes savent que Guillaume est une sorte de petit Zorro du Moyen Âge, une sorte de justicier masqué, mais chut ne le dites pas à ceux qui veulent découvrir.



On retrouve ici aussi les mêmes personnages : Guillaume, petit, mais courageux toujours prêt pour l’aventure, sa petite sœur Flora, ses parents Aldebert et Isolde de la Bretelle-Demonsac toujours gais malgré leurs ennuis et bien sûrs Adhémar le fils du duc de Tristelande, l’ennemi juré de Guillaume. Un nouveau personnage cependant, l’homme aux loups : il est étrange, car il a vécu plus longtemps avec les loups qu’avec les hommes. D’ailleurs, le petit secret de Guillaume concerne ici ces hommes aux loups : « les meneurs de loups se rencontraient dans les forêts. Ils étaient à la fois craints et respectés, car on les croyait capables de guérir la rage, mais aussi de parler aux loups et de s’en faire obéir. Si cela était vrai pour certains, il s’agissait souvent de voyageurs et de mendiants égarés ».



Cette belle lecture qui connaît une fin pour le moins adorable nous a permis aussi d’apprendre un nouveau mot, « saloir » : récipient en bois ou en pierre dans lequel on salait les viandes pour les conserver (cf. rabat de la couverture).

De l'importance d'apprendre à lire.

C'est au château d'Azuchi que Fubuki se rend pour perfectionner son art. Les autres se moquent de ce nouveau samouraï en le traitant de gringalet. Mais quand il bat Tatsuya, ce dernier le poursuit, intrigué par sa personnalité. De peur qu'il ne découvre son secret, ne lui reste plus qu'à s'enfuir.

Un album sur le Japon médiéval bien documenté qui en fait un ouvrage complet aux jolies couleurs chaudes. J'ai particulièrement apprécié, dans les pages documentaires, le bushido qui est le code d'honneur samouraï. Album étudié en primaire et collège.

Il est trop mignon ce petit raton laveur ! J'ai complètement craqué ! Le pauvre chou est malade, et on a très envie de lui faire un gros câlin.

Un joli album pour aborder la maladie commune avec les petits. Etre malade c'est un mauvais moment à passer, on vomit, on a mal à la tête, on est fatigué, on n'a pas faim...mais si on se soigne bien, ça ne dure pas très longtemps, et petit à petit on retrouve la pleine forme !

En plus, cela mérite d'être signalé, ce n'est pas la maman qui reste à la maison pour s'occuper du petit malade, mais le papa !

« Le tournoi de Tristelande » débute les aventures du petit Guillaume de la Bretelle-Demonsac qui habite avec ses parents et sa sœur Flora dans le château de Malecombe qui tombe en ruine… Pas de vaisselle en argent dans cette famille mais une sacrée dose de bonne humeur !



Un terrible orage vient de détruire toutes les récoltes.

« Toutes ces bouches à nourrir et rien dans les greniers…. » dit Messire Aldebert, le père de Guillaume.

« Mon fils, tu vas partir chez le Duc de Tristelande. Il cherche un écuyer. Là-bas, au moins, tu mangeras à ta faim. »



Le fils du Duc, Aldebert, n’aura de cesse de lui chercher des noises mais Guillaume est courageux et il ne va pas se laisser faire. Il aimerait bien participer au tournoi organisé par le Duc mais il n’a ni cheval ni lance…

Une intrigue bien ficelée qui permet d’apprendre plein de choses sur le Moyen Age, un rythme trépident tout au long des cinq chapitres où l’humour est au rendez-vous à chaque page. Et en plus, c'est joliment illustré...

Guillaume est un petit héros dont on a déjà envie de connaitre la suite des aventures !



Niveau CP/CE1

Davut, un jeune turc de neuf ans raconte comment de son village il a longtemps rêvé de l'Europe et de la vie qu'elle pourrait lui apporter.



Lorsque enfin son père se décide à quitter son pays c'est d'abord seul. Ce sera la France et les entreprises de pneus et non l'Allemagne comme le rêvait l'enfant avec son désir d'avoir un jour une belle Mercedes rouge.



Puis c'est à nouveau l'attente avant le départ de la famille. Davut nous raconte alors son épopée et la découverte du bus et surtout de l'avion.



L'enfant est émerveillé de vivre tout ce qu'il avait imaginé,et qui lui avait été raconté par les expatriés du village. Mais si le chemin de l'école lui ouvre la voie à l'intégration, c'est plus difficile pour sa mère qui peine à trouver sa place dans ce nouveau monde...



Un beau livre simple qui présente aussi bien le besoin des entreprises européennes en main d'oeuvre nombreuse que l'aspiration des immigrés à une vie meilleure, principalement pour leurs enfants.



Un récit réaliste avec les yeux d'un enfant pour qui tout est encore possible et qui est prêt à un changement d'existence. L'approche de l'émancipation des femmes par le permis de conduire est intéressante et l'importance de l'école est aussi soulignée.



Une histoire qui se déroule dans les années quatre-vingt mais qui reste d'actualité...



A lire !


Lien : http://www.nouveautes-jeunes..

Gertrude, la sorcière, et Abel le diablotin font la paire à l'école de sorcellerie. Ils préparent un philtre de laideur. 3 mesures d'urine de lézard et une de poudre de limace... Mais le plus dur est la formule magique... Gertrude se trompe, elle inverse le sortilège et Abel disparaît.



Quelque temps plus tard, son diplôme (quand même) en poche, Gertrude reçoit une lettre d'amour joliment tournée et sentant la violette. Pouah, beurk... se dit Gertrude, mais intriguée elle se rend au rendez-vous... le reste appartient à l'histoire...



Enormément de second degré dans cette histoire pour les enfants aimant l'humour, les sorcières et les diablotins. Chez les sorcières, on aime ce qui est moche et crado. Ce qui est baveux et déplacé... Mais l'amour triomphe toujours aussi.

Voici un réçit où un jeune homme très pauvre trouve un jour un pinceau magique. Lui qui aime dessiner voit d'un coup toutes ces oeuvres prendre vie. Un roi cupide lui ordonne alors de peindre pour lui...



On pourrait presque penser à une réinterprétation du roi midas. Le roi cupide, veut que toutes les richesses lui appartienne. Ne tenant pas compte des conseils du pauvre, il court à sa perte. Le peintre lui est récompensé de l'utilisation qu'il fait de son don.



Une belle histoire, moralisatrice, avec de bonnes illustrations

Mi-album, mi-documentaire, ce livre de la collection "Pont des Arts" est plutôt réussi. Il prend comme base le tableau "Les roulottes, campement de bohémiens aux environs d'Arles" de Vincent Van Gogh. Et les auteurs en ont imaginé une histoire et des illustrations.

Les illustrations me plaisent et me semblent respecter certains aspects de l'oeuvre de Van Gogh : un vague côté flou, imprécis, des echos à d'autres oeuvres (Iris, Nuit étoilée). Il y a beaucoup de vie et de mouvements dans les dessins.

Côté histoire, celle-ci est facile à lire, le texte est fluide. L'auteur part du tableau et imagine l'histoire des gitans lors de leur installation, pendant le campement et après leur départ. Une histoire qui n'est pas située dans le temps, et tant mieux car les thèmes abordés sont intemporels : préjugés, peur de l'autre, immigration, intégration.

Un petit bémol pour la partie documentaire : le contenu est pertinant, mais le vocabulaire employé est plutôt elevé, et crée un décalage. Le public visé par l'histoire et le doc semble différent.

L'histoire commence dans le vieux château de Malecombe où tout est si calme quand arrivent deux moines. Les moines sont ici pour collecter l'impôt pour la fin des travaux de la basilique Val-Perthuis. N'ayant pas assez d'écus, Aldebert (le père de Guillaume) est en très mauvaise posture car il doit alors aller s'expliquer devant l'évêque de Pontalbert qui n'est pas très commode. Mais, pour payer la dette du comte, Guillaume, Rainulf et Tranchelard se proposent pour aller travailler sur le chantier de la basilique. Une aventure pleine d'humour et de suspens commence alors...

Ce livre est très bien pour les enfants qui viennent d'apprendre à lire car il les fera rire et les mots ne sont pas trop compliqués.

Un nouveau livre de Guillaume le petit chevalier qui réunit 3 histoires déjà éditées avec en complément quelques pages documentaires sur le Moyen-Age au milieu.

Pas mal de jeux de mots sur les prénoms des personnages ;-)

Les enfants adorent cette série.

C'est chouette, car comme les histoires sont courtes, on a le plaisir d'en lire un peu plus dans un seul ouvrage.

À la lecture de ce conte d'Asie, d'autres contes en mémoire nous reviennent en mémoire, tels que celui du " Pinceau magique".

Pourquoi?

Et bien, nous nous rendrons bien compte qu'il y a un très grand point accordé dans la culture de ses contes à la famille, aux valeurs d'humilité, c'est très moral et ses histoires non dénuées de magie sont souvent plus tournées sur le quotidien.

La misère y sera aussi un grand ennemi.



C'est l'histoire d'un jeune garçon qui se brisera le dos au travail, comme sa mère l'aura fait pour lui, qui lui accordera du temps libre pour continuer de se réjouir et qui y laissera même des dents.

Vous comprendrez, jeunes curieux.



C'est aussi l'histoire d'une tapisserie magnifique, celle réalisée par la maman. À ce point magnifique qu'elle sera chipée par les fées.



La vieille femme y aura passé ses journées et ses nuits, afin que sa tapisserie ressemble à un tableau qu'elle a acheté, qu'elle a voulu montrer à ses enfants, qui représente la vie dont elle rêverait pour sa famille.

Le bel Art va nourrir son imaginaire et le transporter un peu.



Son rêve s'envolera, avec sa santé et son dernier fils représentera le héros inespéré, celui qui parcourera les mondes de feu et de glace, sur un cheval de pierre, qui se battera encore pour elle, afin de lui conserver son rêve ( ou ses illusions? Si ce n'est pas de l'amour ça.).



Les épreuves seront dures, il y aura des personnages qui viendront le tenter, éprouver son amour pour sa parente.

Deux autres frères se seront perdus à cette épreuve.



La fin est extraordinaire, magique, bien au delà de ce à quoi nous pouvions nous attendre pour la vieille femme et son entourage.

Cette femme sera aussi l'héroïne de l'histoire finalement et on comprendra qu'entre le jeune dernier des fils et elle, clairement, le fruit ne sera pas tombé très loin de l'arbre.



" La tapisserie de soie" est un conte merveilleux proposé par Didier Dufresne et illustré par Marie Diaz, que nous connaissons déja en tant qu'auteure-conteuse. Un belle corde à son arc que nous n'avions pas encore testé. Par son caractère dur, poignant, émouvant, ce conte d'Asie nous rappellera des Contes d'Andersen, à la différence qu'ici, cela se terminera bien.

Un livre pour les enfants dès 7 ans.

On suit la petite aventure de Mary et John qui ont surtout une imagination débordante.

Je pensais y trouver un peu plus de vocabulaire anglais, écrit ici en italique, mais il n'y a même pas la traduction.

Le livre se lit très vite.

Petite déception pour moi donc, mais mon enfant a pris du plaisir en le lisant.

Nous voici plongés en plein Moyen-Age pour suivre les aventures de Guillaume le petit chevalier. Dans cet opus, notre héros est envoyé à l'Abbaye de la Pierre-qui-Tourne pour apprendre à lire. Il se retrouve malheureusement avec Adhémar son pire ennemi. Accusé de vol, Guillaume va devoir prouver son innocence et affronter la forêt et ses mystères.



Lorsque j'ai vu "Guillaume" et "abbaye", j'ai tout de suite pensé au" Nom de la rose" d'Umberto Eco. Mais ici, point de meurtre évidemment : nous sommes plongés dans les mystères qui entourent l'abbaye et la forêt avoisinante, le tout saupoudré d'humour, de rebondissements et d'aventures.

Les personnages sont bien sympathiques. Les illustrations pleines de détails donnent vie aux aventures de Guillaume.

En bref : un roman "première lecture" à lire ou à faire lire avec plaisir!

Les habitants de Camaïeu ont décidé de vivre dans un village coloré, tellement colorée que c'est devenu une attraction touristique. Mais petits à petits des choses bizarres se passent... La couleur rouge va disparaître, puis le vert. Le commissaire Lateinte rassure les habitants et leur indique qu'il va résoudre cette affaire mais malheureusement d'autres couleurs vont disparaître. Violette et Théo, deux jeunes enfants ont une idée...

Qui est derrière ce mystère ? Pourquoi les couleurs disparaissent ?

Un très bon moment en compagnie de cette histoire où mystères et aventures sont présents. C'est un court roman policier qui va divertir petits et grands.

Il était une fois un jeune apprenti, frêle comme une brindille mais déterminé à devenir un des meilleurs samouraïs.



L'humeur d'un samouraï devrait être d'humeur égale, repoussant ses états d'âme en second plan après un service exemplaire auprès d'un maitre.

Fubuki nous montrera qu'elle n'est ni un soldat robot, ni une esclave et que derrière la discipline il y aura des convictions propres.

C'est une affaire d'égo qui occupera le fil de l'aventure car d'autres plus forts et plus robustes ne comprendront pas et ne digéreront pas qu'on les batte sur leurs terrains de la virilité sans être un prototype de cette qualité.



Fubiki damnera sérieusement le pion et taquinera la curiosité de son camarade bien froissé et amer Tatsuya, grimpera les échelons dignement mais Tatsuya lui trouvera quelque chose d'étrange, sans pouvoir mettre le doigt dessus.

À la jalousie suivra la camaraderie, la fidélité amicale, bien avant que Tatsuya ne découvre le secret de Fubiki l'honorable...



Un récit qui ne sera pas sans nous rappeler l'aventure de "Mulan" et l'animé récent "Blue Eye Samouraï" pour un public plus grand.

Nous toucherons au travestissement, de la femme japonaise à la place de l'homme.

Ces récits nous étonneront toujours puisqu'il faudra égaler l'homme guerrier japonais, exigeant et doué à l'art du sabre, au tir à l'arc, pour être un soldat d'exception au service de son seigneur ou empereur.

Ce monde et cette époque japonaise médiévale était très codifiée, chacun, homme er femme, occupera sa place.

Ainsi, les femmes de ses récits pourront et singeront parfaitement le rapport viril au code d'honneur du Bushido (code des samouraï).

Les grands lecteurs pourront s'en amuser et juger que ceci n'est que justice après tout puisque dans l'Art du théâtre Kabuki par exemple, c'était les hommes qui imitaient les femmes puisque les femmes n'étaient pas autorisées à interpréter sur scène leur propre rôle.



"Fubuki samouraï" insistera sur le fameux bushido que certains de ses compagnons auront parfois un peu mis de côté quand il n'y aura pas de guerre.

Un samouraï sans seigneur est un Ronin, il n'aura pas besoin d'être aussi fidèle à ses principes quand il aura faim, il pourra piller et voler les plus faibles.

Fubuki rappelera la raison pour laquelle elle souhaiter devenir samouraï : aider, secourir le plus faible : "droiture, courage, bienveillance, respect, sincérité, honneur, loyauté".

La fin du récit accordera une double-page intéréssante et synthétique autour de l'apprentissage et des armes favorites des samouraïs.

On aime bien.

Comment parler du Moyen-Age avec des enfants? Grâce à ce livre qui leur apporte des infos sur leurs habits, la monnaie, le vocabulaire, les expressions....ici on peut aborder les foires et les différents marchands et métiers.

Un livre sympathique qui a travers une histoire qui parle aux enfants (une épidémie de gratouille, trop drôle!) leur permet d'en savoir un peu plus sur le Moyen-Age grâce aux illustrations, au vocabulaire et aux expressions employées.