Citations de Edward Bulwer-Lytton (56)
« Et ne pourrais-tu quitter tes montagnes ? dit-il tout bas en s'approchant d'elle.
— Tu me le demandes ? dit-elle en reculant et le regardant fixement. Sais-tu bien ce que nous sommes, nous autres filles des montagnes ? Vous, habitants brillants et légers des cités, vous ne parlez pas souvent sérieusement. Avec vous, l'amour est un passe-temps; avec nous, c'est la vie.
Quitter ces montagnes ? Pourrais-je quitter ma nature ?
— Garde toujours ta nature ; je l'aime.
All his movements were peculiar, sudden, and abrupt, as the impulse seized him; and in gliding through the streets, or along the beach, he was heard laughing and talking to himself.
Un amour honorable et généreux peut, même à cette heure, assurer votre bonheur et votre salut ; une passion folle et égoïste vous conduira infailliblement à votre perte.
Un amour honorable et généreux peut, même à cette heure, assurer votre bonheur et votre salut ; une passion folle et égoïste vous conduira infailliblement à votre perte.
Le ravisseur n’a pas de cœur pour se repentir, mais il a une main pour tuer.
L’amour, mieux compris, est la sagesse.
Tout homme est parfaitement maître de son violon, quand c’est dans sa propre musique que l’instrument vagabond se livre à ses caprices.
Monsieur ! la maison brûle ! s’écria tout effarée la servante au savant français.
— Allez le dire à ma femme, sotte que vous êtes ; est-ce que je me mêle jamais du ménage ?
The pen is mightier than the sword.
Love thou, and if thy love be deep as mine,
Thou wilt not laugh at poets.
Ce sont les inégalités de sa surface qui rendent la lune lumineuse pour l’homme.
C’est au nom de la liberté et de la fraternité que les prisons regorgeront de captifs, et que le bourreau sera assouvi jusqu’à satiété.
Dans le paisible bonheur de cette époque, ce n’est pas l’élixir que le philosophe aura le soin de porter sur lui, mais le poison.
La sagesse, en contemplant l’humanité, arrive à l’un ou à l’autre-de ces deux résultats, la compassion ou le dédain. Quand on croit à l’existence d’autres mondes, on s’habitue aisément à considérer celui-ci comme le naturaliste étudie les révolutions d’une fourmilière ou d’une feuille isolée.
Il ne demande pas l’aumône, ni ne la donne s'il ne fait aucun mal et ne semble faire aucun bien. C’est un homme qui paraît n’avoir de monde que lui-même ; mais les apparences sont trompeuses, et, dans l’univers, la science, aussi bien que la bonté peut se trouver partout.
Ce que Shakespeare est aux poètes, l’instrument de Crémone l’est à tous les autres instruments.