Citations de Eileen Hofer (18)
Si je ne peux pas danser, je préfère être morte.
Lors de ses derniers interviews pour l’UNICEF, Audrey a lu à plusieurs reprises le poème de Sam Levenson.
― Pour avoir de jolies lèvres ne dis que des gentillesses.
― Pour avoir de beaux yeux, regarde ce que les gens on de bon en eux.
― Pour rester mince, partage tes repas avec ceux qui ont faim.
― Pour avoir de beaux cheveux, laisse un enfant y passer sa main chaque jour.
― Pour avoir un beau maintien, marche en sachant que tu ne seras jamais seule.
― Les gens, biens plus que les choses ont besoin d’être réparés, récupérés et rachetés.
― Dis-toi que si un jour tu as besoin d’une main secourable, tu en trouveras une au bout de ton bras.
― En vieillissant, tu te rendras compte que tu as deux mains : l’une pour t’aider toi-même, l’autre pour aider ceux qui en ont besoin…
― Mmh… voilà qui est intéressant ; Maurice, c’est Gigi ! Qui est-ce ?
― Une jeune comédienne anglaise du nom d’Audrey Hepburn.
― Dites-lui que je veux lui parler.
― Bonjour madame
― Etes-vous à l’aise avec le théâtre mon enfant ?
― Oh non… Je n’ai pas les compétences nécessaires pour interpréter un premier rôle. Je suis une danseuse.
― Bien sûr, vous l’êtes. Et vous aller travailler dur pour ça. Allons jeune fille, retrouvez-moi dans ma suite lors de votre pause et on se mettra tout de suite au travail. Et je n’accepte aucun refus. […].
― Anita Loos va adapter Gigi pour Broadway. Elle est une des meilleures scénaristes de sa génération.
Eté 1954, à Bürgenstock, dans les montagnes suisses.
― Je n’arrive toujours pas à me remettre du décès de Colette. Je lis : La retraite sentimentale pour qu’elle soit encore un peu avec moi, que je profite de ses conseils et de ses mots.
1970, Rome, via Consolato
― Mais pourquoi on ne reste pas à Tolochenaz ?
― C’est de ma faute Sean, mon cabinet se trouve à Rome. Nous y retournerons les week-ends et durant les vacances.
― Il ne peut pas être psychiatre à Genève ?
Lors de ses derniers interviews pour l'UNICEF, Audrey a lu à plusieurs reprises le poème de Sam Levenson.
Pour avoir de jolies lèvres, ne dis que des gentillesses.
Pour avoir de beaux yeux, regarde ce que les gens ont de bon en eux.
Pour rester mince, partage tes repas avec ceux qui ont faim.
Pour avoir de beaux cheveux, laisse un enfant y passer sa main chaque jour.
Pour avoir un beau maintien, marche en sachant que tu ne seras jamais seule.
Les gens, bien plus que les choses, ont besoin d'être réparés, renouvelés, revigorés, récupérés et rachetés.
Dis-toi que, si un jour tu as besoin d'une main secourable, tu en trouveras une au bout de ton bras.
En vieillissant, tu te rendras compte que tu as deux mains : l'une pour t'aider toi-même, l'autre pour aider ceux qui en ont besoin...
Elle a su mêler son talent unique aux intérêts idéologiques de notre pays. Ce qui reste la plus belle chose qu'un être humain puisse faire.
𝑪𝒆𝒍𝒖𝒊 𝒒𝒖𝒊 𝒏𝒆 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒂𝒖𝒙 𝒎𝒊𝒓𝒂𝒄𝒍𝒆𝒔 𝒏’𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒓𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒔𝒕𝒆.
Elle a dansé un demi-siècle. Le monde entier l'a acclamée. Elle faisait preuve d'une technique et d'une précision uniques malgré son handicap.
- C'est le professeur qui nous a dit de la lever haut comme Anna Pavlova.
- Comme Anna Pavlova, tu dis ?
Alors elles sont jalouses parce que tu fais mieux que leurs filles.
Le ballet c'est la base de la fondation de la culture.
Le monde a fait de moi une danseuse. Je ferai de ces barbus des balletomanes.
- Avec l’aide de son mari Fernando elle a appris à rester en équilibre les yeux clos. Elle s’est préparée à danser Giselle dans les ténèbres et puis elle est devenue progressivement aveugle. Elle a dansé un demi-siècle. Le monde entier l’a acclamée. Elle faisait preuve d’une technique et d’une précision uniques malgré son handicap. Que disait le journaliste Haskell au sujet d’Alicia ?
- « elle ne danse pas Giselle, elle est Giselle »
-Que cela vous serve de leçon ! Ce n’est pas tout de vouloir faire partie du ballet national de Cuba. Vous devrez acquérir la volonté de notre prima ballerina assoluta.
(la maîtresse de ballet et les apprenties ballerines p. 37)
Même le soleil, malgré ses zones d'ombre, reste un astre qui illumine notre monde.
- Regarde Adriaantje, nous approchons de l'Angleterre.
- Comment tu le sais ?
- Il se met à pleuvoir pardi !
𝑻𝒓𝒆̀𝒔 𝒕𝒐̂𝒕, 𝒋’𝒂𝒊 𝒅𝒆́𝒄𝒊𝒅𝒆́ 𝒅’𝒂𝒄𝒄𝒆𝒑𝒕𝒆𝒓 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒅𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏. 𝑱𝒆 𝒏’𝒂𝒊 𝒋𝒂𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒑𝒆𝒏𝒔𝒆́ 𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒆𝒍𝒂 𝒎’𝒂𝒑𝒑𝒐𝒓𝒕𝒆𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒒𝒖𝒐𝒊 𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒆 𝒔𝒐𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒔𝒑𝒆́𝒄𝒊𝒂𝒍 𝒆𝒕 𝒋’𝒂𝒊 𝒑𝒐𝒖𝒓𝒕𝒂𝒏𝒕 𝒍’𝒊𝒎𝒑𝒓𝒆𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋’𝒂𝒊 𝒂𝒄𝒄𝒐𝒎𝒑𝒍𝒊 𝒅𝒆́𝒑𝒂𝒔𝒔𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒕𝒆𝒔 𝒎𝒆𝒔 𝒆𝒔𝒑𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆𝒔. 𝑳𝒂 𝒑𝒍𝒖𝒑𝒂𝒓𝒕 𝒅𝒖 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔, 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒉𝒐𝒔𝒆𝒔 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒂𝒓𝒓𝒊𝒗𝒆́𝒆𝒔 𝒔𝒂𝒏𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒗𝒐𝒒𝒖𝒆.
- Donnez-moi vos chaussons. Vous serez célèbre.
– On va créer une école et nationaliser notre compagnie de danse.
– Le monde a fait de moi une danseuse. Je ferai de ces barbus des balletomanes.
– Tu as l’aura du Che, Fidel a besoin de toi. Faisons en sorte qu’il ne puisse rien te refuser.