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Citations de Elizabeth Little (121)


"Certaines filles sont nées avec des paillettes dans les veines" .
Paris Hilton
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Ah les jeunes ! Ils s'imaginaient encore savoir des choses que le reste du monde ignorait, comme chaque génération s'imagine avoir inventé le sexe, comme chaque génération s'imagine que c'est elle que l'histoire retiendra. Ils avaient encore ces rêves de "je vaux mieux que ça", de "un jour on laissera tout ça derrière nous". Ce qu'ils ne comprenaient pas, c'est que d'où nous venons ou qui nous sommes n'a aucune importance. Personne ne laisse jamais rien derrière lui. Le mieux qu'on puisse espérer, c'est de naître dans l'endroit le moins pire possible. Le reste, on est bien obligés de faire avec.
(p. 201)
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" Qu'est-ce qu'elle a eu ? murmura-t-il.
_ Oh, rien, un banal accident. Trois balles de Winchester dans la poitrine.
_ Doux Jesus.
_ Ah non, je ne pense pas que c'était lui.
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Je fis tourner mon whisky dans mon verre , songeuse. Puis je me carrai dans le fauteuil et m'allumai une deuxième cigarette. Au craquement de mon allumette , Ainsley pivota d'un coup...
-"Jane ! Je ne pensais pas que tu viendrais."
Je pris le temps de souffler trois cercles de fumée.
" Y'avait que des merdes à la télé."
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Je lève une main, me tourne pour éteindre la radio, puis je m'octroie un moment afin de rassembler mes pensées. Comme je n'en ai pas beaucoup, ça ne me prend pas longtemps.
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Hollywood ne connaît que deux vitesses : " On vous rappellera" et "Il nous faut ça pour hier".
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Quand je visionne des rushes pour travailler à un prémontage, j'entends ces mots mille fois par jour, plus, peut-être. "Action, coupez, action, coupez, action, coupez, action, coupez". Ce ne sont pas des ordres, pas pour moi. Plutôt une ponctuation routinière. Une majuscule. Un point. L'indication que je dois être attentive à ce qui se passe entre les deux. Mais les acteurs et les techniciens de plateau, eux, ont une réaction plus viscérale, pavlovienne. Je suis presque sûre que si vous entrez dans n'importe quel café de Santa Monica et que vous criez : " En place!", la moitié des clients se figent instantanément.
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Je parviens à trouver ma chambre sans me perdre, trébucher ni me couvrir de honte d'une façon ou d'une autre, et ce n'est pas sans un certain soulagement que je referme la porte derrière moi. Après quoi, je pose le front dessus et compte jusqu'à cent. C'est une technique qui m'aide. Je ne peux pas juste m'allumer et m'éteindre comme une ampoule. J'ai besoin de temps pour refroidir.
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Mais je n'avais pas plus le contrôle de mes actes qu'une mèche allumée n'a la contrôle de sa direction, et je lui crachai donc à la figure les cinq petits mots qui germent dans le cerveau d'une fille aussitôt qu'elle commence à avoir des seins :
"Je voudrais que tu meures."
Elle se retourna, son sourire une lame aiguisée.
"N'oublie jamais, Jane : les voeux, c'est pour les lâches."
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[...] ma mère donnait une réception au bénéfice de je ne sais quelle oeuvre caritative dont elle prétendait se soucier : les dauphins en difficulté scolaire, les enfants moches, je ne sais plus [...]
(p. 49)
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- On dirait Amy.
- Qui est Amy ? (...)
- Une très bonne copine (...)
" Je suis sûr que tout vous paraîtra plus clair après une bonne nuit de sommeil, dit-il.
- Maintenant on dirait ma mère.
- Attention, lâche-t-il en haussant un sourcil. Je vais finir par croire que je vous plais.
- Ne vous emballez pas, en gros ce sont les deux seules personnes que je connaisse."
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Je déteste quand ça sort de nulle part, comme ça. Par exemple, quand vous êtes juste en train d'essayer de changer votre abonnement Internet et que tout à coup, "bim", vous vous mettez à raconter à Myrtle, de la compagnie de téléphone, à quel point c'est dur de trouver des supers-tampons avec applicateur, tout en étant terriblement consciente, à chaque seconde qui passe, que Myrtle n'est pas contente, que ça ne fait pas partie de sa fiche de poste, mais vous ne pouvez pas vous en empêcher, ça vient tout seul, c'est comme la marée, la gravité ou les dernières minutes en salle de travail, parce que ça fait une semaine que vous n'avez parlé à personne à part votre mère.
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Comme elle disait toujours, "Les gens sont prêts à tout pardonner du moment que tu t'habilles chez les grands couturiers , que tu organises de grandes fêtes et que tu donnes de l'argent aux enfants cancéreux."
Elle aurait fait un super pape.
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" Qu'est-ce que vous me voulez ? demandai-je.
_ J'ai des affaires qui ont disparu, hier soir.
_ Si vous voulez parler de votre cerveau, j'ai bien peur de ne rien pouvoir faire pour vous."
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- Ça ne peut pas être un serial killer, le mode opératoire ne colle pas. Je veux dire : Jack l'ÉVENTREUR. L'ÉTRANGLEUR de Boston. Hannibal le CANNIBALE.
- "Frank le Traumatiseur crânien", c'est vrai que ça ne sonne pas aussi bien.
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- Je ne suis pas la Nora Charles de Dashiell Hammett", dis-je en ricanant.
- Il me dévisage en plissant les yeux et penche la tête sur le côté.
" Non... Je pensais plutôt à la Marge Gunderson de Fargo."
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Ah, les jeunes ! Ils s'imaginaient encore savoir des choses que le reste du monde ignorait, comme chaque génération s'imagine avoir inventé le sexe, comme chaque génération imagine que c'est elle que l'histoire retiendra. Ils avaient encore des rêves de " je vaux mieux que ça ", de " un jour on laissera tout ça derrière nous ". Ce qu'ils ne comprenaient pas, c'est que d'où nous venons ou qui nous sommes n'a aucune importance. Personne ne laisse jamais rien derrière lui. Le mieux qu'on puisse espérer, c'est de naître dans l'endroit le moins pire possible. Le reste, on est bien obligés de faire avec.
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Le craquement d'une allumette ; une odeur de fumée ; une voix : "Vous lisez quoi ?"
Je n'eus pas besoin de relever la tête pour savoir qui c'était.
"Mon horoscope. Ça dit : "Vous allez rencontrer un bel et sombre connard." "
Leo tira une taffe.
"Les médiums ne sont plus ce qu'ils étaient. Je ne suis pas si beau que ça."

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"Le pouvoir, c'est une sacrée drogue", (...).
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Elle [ l'actrice ] est de plus en plus tendue, ça se voit, son corps lutte pour rester en place. Son immobilité est laborieuse. Et elle a oublié de contrôler ses globes oculaires, qu bougent sous ses paupières. Sans doute ne se rend-elle même pas compte qu'elle fait ça quand elle se concentre sur quelque chose.
" Arrête de penser, dit Tony d'un ton très calme. Les filles mortes ne pensent pas."
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