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Citations de Elliott Arnold (16)


Les gouvernements ne tiennent jamais leurs paroles, dit Cochise avec indifférence. Ils sont comme tous les groupements qui se chargent de gouverner les hommes. Ils promettent beaucoup et donnent très peu.
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les feux de la victoire étaient prêts. Il ne restait plus qu'à les allumer.
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- En Arizona, la haine des Indiens est en train de devenir une religion.
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Chaque homme a son sentier tout tracé, et les sentiers de tous les hommes forment une grande route. Souvent il nous semble que nous allons pouvoir progresser à notre guise. Mais nous nous apercevons bientôt qu'il nous est impossible de sortir des limites de notre sentier. Il y a longtemps que j'ai eu la vision du sentier de mon peuple. Il conduit au sommet d'une falaise. Nous atteindrons tout ce sommet, tôt ou tard. Peu importe.
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Tout le monde croit accomplir quelque chose, mais en réalité, personne n'accomplit rien. Nous nous contentons d'assister, impuissants, à la marche des évènements. Parfois, nous songeons à modifier cette marche, mais nous ne le pouvons pas. Tout est décidé en dehors de notre volonté. Nous ne sommes que des spectateurs.
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Un homme fort rencontre toujours un homme plus fort que lui.
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A mesure qu'un homme s'éloigne de lui-même, son passé le talonne toujours de plus près.
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Nous mourrons un peu chaque jour et, quand la mort nous emporte tout à fait, elle vient toujours trop tard.
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Tuer était pour lui d'une nécessité aussi impérieuse que la nourriture et la respiration.
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Le dur désert, qui paraissait, en hiver, trop pierreux, trop métallique, trop nu et trop mort pour garder encore en son sein le moindre mouvement de vie, prenait de plus en plus de teintes grises ou vertes de pastel.
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Si nous ne changeons pas, notre soleil se couchera et nous serons plongés dans la nuit.
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Nous avons à peine que trois cents guerriers, alors que les hommes blancs sont innombrables. ils sont comme les brins de l'herbe, comme les aiguilles du sapin, comme les gouttes de la pluie.
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L'automne touchait à sa fin. C'était le temps de la "Terre Rougeâtre". Le soleil était encore haut. Il versait sa chaleur, comme un liquide, dans l'immense coupe de la Forteresse dont les murailles rocheuses montaient jusqu'à mille cinq cents mètres.
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Ce qui bat dans nos poitrines ne s'accomodera jamais de la prison. Nous somme ce que nous sommes parce que nous sommes libres et parce que nous l'avons toujours été. Nous sommes comme le vent !
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Il regarda calmement Goyatlhley et poursuivit :
- J'ai entendu dire que tu m'attribues certains mots. Et je n'aime pas ces mots.
- Les hommes parlent avec beaucoup de mots, dit Goyatlhley.
- Tu sais desquels je parle, continua Cochise sans élever la voix. Tout le temps où tu t'es coupé de ton peuple, tu n'as pas si vite oublié ses coutumes. Pour eux les mots ont une signification. Pour eux, on ne doit pas prendre certaines choses avec légèreté. Ils doivent être seulement l'affaire des chamans. Je ne te répéterai pas les mots que tu as répandus contre moi parce qu'il peut se trouver ici des hommes qui ne les accepteraient pas.
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Tous ces gens étaient troublés et effrayés. Leur pays venait de leur être arraché, comme un tapis qu'on aurait brusquement tiré sous leurs pieds, à la suite d'un marché conclu à Mexico. La ville, les habitants, les maisons, le ciel, le désert, rien n'avait changé. Cependant, ce pays n'appartenait plus au Mexique, mais aux États-Unis. Les habitants avaient eu le choix de prendre la direction du sud-ouest, de franchir la nouvelle frontière et de garder leur identité, ou de rester à Tucson et de devenir Américains. Pour la pluspart, ils avaient pu observer, à Tucson même, des Américains, et ils en gardaient un mauvais souvenir.
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