Emma McLaughlin

Si le titre de ce roman n’est pas forcément très accrocheur pour tout le monde, le principal intérêt de ce Journal réside dans le charme de son personnage principal, une nounou new-yorkaise simple, intelligente, honnête, cultivée, qui est de surcroît passionnée d’anthropologie. Le roman mélangeant comédie et drame raconte l’expérience d’une jeune femme qui, le temps de faire le point sur ce qu'elle souhaite réellement faire de sa vie, accepte le poste de baby-sitter dans une famille huppée d’un très chic quartier de New York. Mais tel que les personnages, régulièrement figés et exposés dans des vitrines de musée au cours de l'histoire, l’histoire souligne finement les absurdités de cette caste sociale dont l’héroïne va être confrontée. Ainsi, le roman jouant sur les différences sociales se présente comme une étude anthropologique d’un milieu fortuné de Manhattan où Nanny, venant d’une banlieue, découvre un tout nouvel univers déconnecté de la réalité, une toute nouvelle conception d'aimer ses enfants et de paraître en société. Elle affronte la dure réalité de la vie des nouveaux riches new-yorkais et en profite pour dénoncer, pêle-mêle, le consumérisme, la superficialité, le matérialisme, la doctrine de l'enfant-roi, le cloisonnement des classes sociales et autres poncifs. L'inattendu, c'est qu'elle le fait avec un certain charme et sans tomber dans le pathos énervant d'un certain nombre d'autres livres. Elle montre concrètement les conséquences de chacun de ces phénomènes, et en profite au passage pour nous faire rire un bon coup. Mais c'est avec tendresse que l'on voit Nanny s'occuper du jeune garçon dont les parents s'éloignent de jour en jour car le père semble davantage être préoccupé à gérer ses affaires tandis que la mère, femme mal aimée et mal aimante passe la plus part de son temps à organiser son agenda autour de brunchs, virées shoppings et œuvres de bienfaisance, histoire de faire bonne impression dans la haute société. Bien que le sujet du roman est traité légèrement grâce à l’humour et que son scénario se révèle plutôt convenu, Le Journal d’une baby-sitter démontre tout en passant un bon moment et efficacement que les enfants ont besoin de quelqu’un qui les aime pour qu’il puisse pleinement s’épanouir.



Ce roman donne en plus à réfléchir sur l'avenir que l'on se construit petit à petit, en ne prenant pas la route la plus simple. De toutes façons, tous les chemins mènent à Rome, alors pourquoi ne pas emprunter des détours et contours pour y arriver, ça ne manquera pas de nous enrichir.



Donc en mélangeant le tout on obtient un roman pétillant, humoristique, touchant et crédible.

Bof !



Franchement, ce n’est ni comique, ni poignant et le style, même s’il se laisse lire est plutôt plat et brouillon. Une lecture ‘perte de temps’ qui ne nous apprend rien si ce n’est qu’il existe des « gens » qui considèrent que l’argent achète tout et peut compenser l’absence d’amour dans le cas de l’éducation d’un enfant. Message que l’on retrouve dans d’autres romans bien plus enrichissants et surtout, plus amusants.



Allez oust, vite fait bien fait dans une boîte à livres. Je suis certaine qu’il trouvera vite preneur vu le résumé très racoleur :-p

Malgré un titre accrocheur et un résumé prometteur j’ai été quelque peu déçu de cette lecture. Le contraste entre le titre suggérant un ton humoristique et léger et la réalité d'une situation oppressante m’a un peu déconcerté.

Le manque de crédibilité dans les motivations de Nanny pour continuer ce travail, malgré les avis contraires de ses proches et les conditions peu satisfaisantes, a fait que je ne suis pas arrivée à m’immerger dans l’histoire. L'absence de rébellion ou de réaction de Nanny face aux injustices et aux traitements qu'elle subit m’a semblé peu réaliste et agaçants.

Une lecture qui ne m’a pas convaincu et une histoire que je vais vite oublier

Un roman très drôle et empreint de vérité. Très éducatif pour ceux qui n'ont jamais fait ce job.

Nanny, étudiante, garde des enfants, pour financer ses études. Elle atterrit chez les X. qui vont lui demander tout et n'importe quoi sous prétexte qu'ils appartiennent à la classe privilégiée. Elle n'osera pas refuser.

C'est léger, ça fait sourire et on passe un bon moment. Les auteurs savent de quoi ils parlent puisqu'ils ont été au service d'une trentaine de familles new-yorkaises.

Voilà un roman qui s'annonçait bien mais qui a tout de même fini par m'agacer quelque peu...



Le début est très sympa. Nanny semble avoir la tête sur les épaules et ne pas se laisser "influencer" par ses employeurs. Mais, au plus on avance dans l'histoire, au plus le personnage principal devient agaçant. Pourquoi se laisser tyranniser par sa patronne alors que tout le monde lui conseille de laisser tomber cet emploi ? Pourquoi sacrifier ses études pour aider une femme qui n'en vaut pas la peine ? Je n'ai pas trop compris pourquoi Nanny changeait à ce point au fil des pages et, franchement, je n'ai pas trouvé que ce changement apportait un plus à la lecture, bien au contraire.

J'ai également relevé quelques incohérences dans le texte : des passages qui semblent avoir été écrit de manière précipitée. Problème de traduction ? Aucune idée, et comme je ne compte pas le lire en V.O. (le français me suffit pour celui-là...) je ne le saurai sans doute jamais.

J'ai été un peu déçue par cette lecture.



j'avais des attentes liées au titre (un journal) et le résumé.

Je n'ai pas trouvé ce livre drôle. Au contraire, il m'a plutôt glacé le sang. nanny s'est attachée au petit garçon qu'elle garde et supporte le comportement scandaleux de Mme X pour rester avec le petit Grover. L'esclavagisme n'a pas été aboli à New York. La nounou sert de bonne à tout faire et doit être disponible 24 h sur 24 h sous peine de perdre son job.

J'ai fait pas mal de babysitting quand j'étais lycéenne puis étudiante. Je m'attendais à quelque chose de plus drôle, à des anecdotes avec les enfants.

Pas sur la bonne longueur d'ondes.

Ce n'est pas mal écrit et ça se lit (pour ma part dans les bouchons).

C'est un livre très plaisant, frais et distrayant. La pauvre Nanny est très rapidement submergée par les exigences de Mme X, elle-même excessivement stressée. Malgré les conseils de sa famille, elle n'abandonne pas ce job car elle est très attachée à l'enfant, qui le lui rend bien d'ailleurs.

Ce livre m'a rappelé quelquefois "Le diable s'habille en Prada" et les relations difficiles entre Andrea et Miranda Priestly.

En conclusion, une bon moment de lecture.

Afin de coller au challenge Lire en Thème, j'ai choisi ce petit roman de chick-lit pour ados qui avait l'air bien sympathique. Au final, un bon moment de lecture, pas prise de tête pour deux sous, mais qui n'est pas exempt de points négatifs.







Maxine Scott, 17 ans, est une adolescente New-Yorkaise qui a fondé une société assez particulière : Ex et Cie aide les jeunes femmes qui se sont faites larguer à se remettre d'aplomb et à prouver à leurs ex qu'elles sont bien mieux sans eux à travers ce que Max appelle un "Grand Moment". Tout fonctionne comme sur des roulettes jusqu'à la réapparition de l'ex de Max... Le principe de base m'a bien plu, de même que l'histoire en général.







Les personnages principaux sont assez sympa : Max est indépendante, volontaire, déterminée. J'ai également bien aimé Zack, Phoebe et Ben. Mais j'ai un reproche à faire au niveau des personnages : ils sont beaucoup trop nombreux !! En plus, ils apparaissent et disparaissent en quelques pages sans que l'on sache qui ils sont, pourquoi ils sont là et ce qu'ils peuvent bien apporter à l'histoire ! J'étais même parfois obligée de revenir en arrière parce que je ne savais plus quand tel ou tel personnage était apparu et que diable faisait-il là !! Avouez que c'est un peu gênant...







Sinon, l'histoire en elle-même est agréable, les rebondissements s'enchaînent et l'on ne s'ennuie pas. Bon, c'est clairement orienté jeunesse, mais en le sachant on ne se laisse pas surprendre. Et la couverture est magnifique ! A croquer ! De même que les illustrations qui ornent chaque début et fin de chapitre.
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Nanny est baby-sitter pour la famille X et découvre les travers de la vie d'employée d'une famille riche.

Ça se lit très facilement et très vite.

Il n'y a pas de grande folie. D'après le titre, il s'agit d'un journal, or, ce n'est pas du tout le cas.

L'histoire n'est pas originale, le style non plus.

La fin est trop simple à mon goût.

Je l'ai lu parce que je voulais une lecture légère. Ça a parfaitement fait le travail.

Pour gagner sa vie une étudiante d'université devient nounou. Elle garde un petit garçon de quatre ans vivant dans une famille très riche. Elle se plie aux exigences des parents jusqu'au jour où désirant des vacances Nanny est virée.

Une sorte de Mary Poppins en moins magicienne qui privilégie l'affection à la richesse.

Un film a été tiré de ce roman en 2008 avec Scarllet Johansson.

Histoire d’une baby-sitter qui travail pour la riche société New-Yorkaise. Les auteurs ont-elles même travaillée comme baby-sitter à New York et ce livre est tiré de leur expérience. Cela fait vraiment peur comme les baby-sitters sont traitées… J’ai beaucoup ri en lisant ce livre et les situations coquasse dans les quelles se trouve Nanny mais j’ai de la peine a croire qu’on puisse les traiter comme cela…

Un livre très frais, pour les ados comme pour les adultes. Une jeune fille de 17 ans qui gère une entreprise comme une adulte et vient en aide à des jeunes filles larguées et qui n'arrivent pas à remonter la pente. Elle a avec elle deux lieutenants : Phoebe et Zach, son meilleur ami gay. Proche de rentrer à l'université, elle va se servir de ses expériences pour intégrer le département du Dr Schmidt, professeur du département psychologie pour que son programme "Ex & Cie" soit reconnu.

Je me suis régalée en lisant cette histoire rafraichissante, tantôt drôle, tantôt triste, mais en tout cas, je ne suis pas restée indifférente. Des rebondissements qui font que nous nous attachons à certains personnages qui, pourtant, n'aurait pas mérité qu'on s'attarde sur eux.

Ce roman est vraiment sans prise de tête et je remercie Mélanie Baranger de me l'avoir fait découvrir.

283 pages.

Comme l’annoncent la couverture un brin déjantée et le verso que vous ne voyez pas mais qui est tout aussi mignon, on se doute que ce livre sera placé sous le signe des lectures légères, pas prises de tête. De prime abord, le thème du sauvetage des cœurs brisés a tout pour titiller notre curiosité car c’est là un sujet plutôt universel, et qu’on cherche à compatir ou à en rigoler doucement, au final on sait qu’on en aura pour son compte.



Il s’agit donc d’un roman plein d’humour, parfois un peu répétitif et perclus de bons sentiments, mais il se lit facilement et l’héroïne, Maxine, est plutôt attachante. Ce qui est assez cocasse, et c’est évidemment sur cela que repose l’intérêt du livre, c’est qu’elle se prend pour une professionnelle des cœurs brisés du fait d’une expérience dans le domaine, et pour cela elle n’a pas hésité à s’organiser pour lutter contre ce fléau avec sa petite société Ex & Cie.



Au départ, on est assez enthousiasmé par cette méthode altruiste mise en œuvre par une ado, et on apprécie de suivre les différents déboires de ses clientes, néanmoins on généralise à l’extrême et on voit bien que Max a un parti pris et une tendance à victimiser les jeunes femmes requérant son aide. Elle joue un peu avec les émotions d’autrui, alors qu’en fait elle n’a aucun droit de s’ériger en donneuse de leçons. On passe par plusieurs phases en lisant ce livre. D’abord, on trouve le principe sympa, puis on commence à se lasser, et on se rabiboche avec l’intrigue car la fin devient un peu plus profonde quand les évènements explosent à la figure du personnage. On se recentre sur le vrai, enfin.



Les protagonistes secondaires sont assez caricaturaux avec Zach, le meilleur ami gay, Phoebe, l’assistante groupie, et les figures parentales compliquées de partout. Disons que les amis passent bien dans ce contexte, mais leur côté bon petit soldat agace un peu par moments, car l’amitié c’est plus profond que de s’occuper ensemble des problèmes des autres sans jamais évoquer ce qui nous lie réellement. Le seul personnage qui a trouvé grâce à mes yeux, c’est Ben, un jeune homme qui travaille dans l’entreprise paternelle, qui se cherche vraiment et qui ne triche pas.



Un livre pour la jeunesse avec un concept sympa, qui parle des sentiments comme d’un problème à régler et qui du coup manque de profondeur en dépit des anecdotes tristounettes de chaque protagoniste.



NB : Quelque chose de pénible à la lecture, ce sont toutes les marques citées qui cassaient un peu les descriptions de vêtements ou matériel informatique. L'effet pub était indigeste.
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C’est le premier roman de l’écrivaine que je lis, et il s'agit aussi du premier roman de Cecelia Ahern. Il a été inspiré par l'expérience de Cecelia Ahern, qui a perdu son père à un jeune âge.

Je salue le roman pour sa description du chagrin et de l'amour. C’est une histoire touchante et émotionnellement puissante : Le roman explore le deuil d'une manière à la fois poignante et réaliste. Il capture la douleur et la confusion ressenties par Holly après la perte de son mari, et montre comment elle trouve la force de continuer grâce à son amour pour lui. Les personnages sont attachants. Holly est une protagoniste à laquelle il est facile de s'identifier. Elle est imparfaite mais courageuse, et son parcours est inspirant. Gerry est également un personnage attachant, même s'il n'est présent que dans les flash-back et dans les lettres. Le style d'écriture est fluide et engageant. Cecelia Ahern a un don pour raconter des histoires qui captivent, et a réussi à attirer mon attention du début à la fin du livre. Son écriture est à la fois simple et élégante, et elle sait comment créer des émotions fortes.

L'intrigue peut être un peu prévisible. Le ton peut être un peu trop sentimental, personnellement, j’ai adoré. Le roman est rempli d'émotions, ce qui peut être un peu lourd. Et la fin peut être trop facile et elle ne résout pas complètement les problèmes des personnages.

L’histoire : PS: I Love You est un roman romantique et poignant qui plaira aux fans de Nicholas Sparks, numéro un aux Etats-Unis et de Jojo Moyes, numéro un en Angleterre. Il s'agit de l'histoire douce-amère d'une jeune veuve, Holly Kennedy, qui est aux prises avec le chagrin après la mort de son mari Gerry, atteint d'une tumeur au cerveau. Une histoire d'amour, de perte et de survie qui vous fera rire et pleurer. Le roman suit le parcours de Holly qui découvre une série de lettres que Gerry a écrites avant sa mort, chacune d'entre elles étant destinée à l'aider à reprendre le cours de sa vie. Les lettres sont toutes signées du post-scriptum "P.S: I Love You".

Nanny cherche un travail , elle rencontre Mme X qui cherche quelqu'un pour s'occuper de son fils Grayer, mais Mme X très avenante au premier abord deviendra tyrannique et en demandera de plus en plus à Nanny qui ne peut quitter son emploi par besoin d'argent, mais aussi par amour pour Grayer ...



J'ai acheté ce livre pour diverses raisons, pour l'humour, pour l'expérience personnelle des auteurs, car moi aussi je suis Nanny mais à temps plein ...



Finalement pour l'humour (vaux mieux regarder la bande-annonce du film ...) , pour l'expérience personnelle je veux bien y croire j'ai retrouvé certaines des miennes ... Je comprends que Nanny ne peut pas quitter cet emploi par besoin d'argent mais aussi car elle veut pas laisser l'enfant dont elle s'occupe, j'ai vécu la même expérience c'est un choix cornélien entre déprime et désespoir pour soi et pour l'enfant aussi ...



Pour la fin, je suis restée dubitative en me demandant comme d'autres ou était la fin ? Mais en y reflechissant, c'est la vie de Nanny qui est raconte , est ma propre expérience fait que je suis rarement restée en contact avec mes ex employeurs et donc que je ne peux qu'imaginer , voir souhaiter ... Des lors Nanny ne peut faire que de même et au mieux formuler ce dernier vœu (voir la dernière page)... D'ou peut être la fin si abrupte ...

Après une rupture difficile, Maxine se rend compte que depuis la nuit des temps, les femmes sont laissées pour compte avec leur douleur, personne n’essaie de les réconforter alors que les hommes ne semblent pas ou peu affecter par la séparation. Elle créer donc, avec l’aide de deux de ses amis une petite activité : Ex&Cie. Ils viennent en aide aux filles récemment largué et qui n’arrive pas à remonter la pente en les soutenant, en leur disant quoi faire pour oublier leur ex et se prouver a elle même qu’elle sont beaucoup mieux sans lui. Mais un jour, l’ex de Maxine refait surface, alors comment appliquer à soi-même tous les conseils que l’on donne aux autres ?

Les personnages sont vrai, sympathique et attachant. On a l’impression d’être au lycée et de monter des plans tous tordu les uns que les autres avec eux. Je me suis attaché à Ben qui est un garçon très gentil, attentionné, responsable et un peu perdu, comme nous tous a cet âge, malgré cela il sait faire les bons choix. J’ai beaucoup aimé l’histoire de Bridget (une cliente de Max) et Taylor, elle est réaliste et belle, les situations autour d’eux sont assez drôles.
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A la recherche d'une lecture divertissante, ce roman a parfaitement rempli cette fonction. Etre une nanny à New-York au sein de riches familles n'est pas une sinécure. Il s'ensuit un récit drôle, parfois émouvant, quelques fois crispant, mais jamais amer bien que les auteures relatent des faits personnellement vécus. On n'est jamais bien loin Du diable s'habille en Prada. Sympathique.

c'est une histoire bouleversante sans jamais tomber dans le pathos, tous les sentiments y sont décrits avec beaucoup de justesse, amour, amitiés, soutien familial. Ce livre pourrait être déprimant au premier abord mais est ponctué tout au long du récit de petites joies, de tendresse, de complicité et aussi de jalousie. l'ensemble est dosé comme une bonne recette de gâteau à déguster sans modération. Jolie surprise.

Je n'ai pas accroché  du tout au style d’écriture de l'auteur, ou plutôt « des » auteurs

L'histoire est vraiment trop brouillon pour moi. On passe d'une histoire à une autre sans s'en rendre compte et on ne comprend plus rien, tout se mélange et en plus on dirait qu'il manque des parties avec l'absence de certains détails.

J'ai terminé le livre car je voulais absolument savoir le dénouement final mais là aussi je suis déçue...même si ça finit bien j'aurai aimé une autre fin.

Une belle surprise à laquelle je ne m'attendais pas du tout. On suit les aventures d'une jeune étudiante, qui accepte un poste de Nanny chez une riche famille New-Yorkaise. Alors bien sûr, on a l'impression d'écumer les clichés : parents peu présents, infidélités, enfants surbookés par les activités extra-scolaires, vacances dans les Hamptons, règne de l'apparence, ... Mais tout cela sonne tellement le vécu que je me suis surprise à ressentir une infinie tristesse pour le petit garçon, Grayer, dont cette Nanny a la charge.

En ressort un livre, presque un témoignage, plutôt féroce et rempli d'ironie sur ce microcosme des riches new yorkais qui s'érigent en parents modèles, mais sont surtout plutôt indignes...