Faustina Fiore

Marion tient un journal. À vrai dire, elle aime écrire, mais elle préfère que Nina n'en sache rien. Nina, sa meilleure amie selon elle, son âme damnée selon sa mère, se moquerait sûrement  : écrire un journal, c'est un truc de bonne élève… Une terrible journée qu'elle préférerait oublier, Marion surprend sa mère en train de lire son journal ! SON journal ! C'est abominatroce ! Elle sort discrètement de la chambre. Puisque c'est comme ça, elle va en tenir deux ! deux journaux : un où elle dira ce que sa mère veut entendre, et un autre où elle pourra dire ce qui lui plaît sans risquer d'être démasquée. Non mais, zut de bique !

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Marion tient donc deux journaux : le premier qu'elle laisse sous son oreiller et dans lequel elle joue les petites filles modèles, et un autre, le vrai en quelque sorte, où elle raconte ses bêtises, ses mauvais coups en classe, sa vie de petite fille qui rentrera en sixième à la fin des vacances, dans quelques jours. Ce n'est pas simple de raconter tout et son contraire sans se tromper, et forcément, Marion va se mettre dans de sales draps.

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J'ai beaucoup aimé ce roman que j'ai acheté pour ma petite-nièce et que je vais m'empresser de commander pour la bibliothèque. Drôle, irrévérencieux, gentiment provocateur, le récit que Faustina Fiore nous propose-là se révèle plein d'inventivité et de fraîcheur, comme les illustrations de Sess . Pour se sortir de ses contradictions, Marion est obligée de réfléchir, et si les stratégies qu'elle met en place sont souvent boiteuses, voire complètement délirantes, la petite fille fait face avec courage et détermination : elle mûrit. Les libertés qu'elle prend avec la vérité l'amèneront finalement à réfléchir. C'est normal, la jalousie de Nina ? et Samira, elle est vraiment si nulle que le pense Nina ? Et Hubert, s'il est si mal habillé, il y a peut-être une raison ? le père qui permet tout et qui se laisse manipuler m'a fait sourire : je sais que quelqu'un parmi mes jeunes proches se reconnaîtra dans le rôle de la manipulatrice. Bref, j'ai beaucoup ri. Surlecufiée, j'étais… À mettre entre toutes les mains.

Filippo dit "Filo" est un petit garçon vif et curieux. Sa soif d'apprendre est sans limite, particulièrement en ce qui concerne les sciences et plus spécialement les mathématiques. Heureusement, Papi a une patience d'ange même s'il joue parfois au grand-père bourru. Et il a surtout les connaissances et toutes les idées qu'il faut pour répondre aux questions en rafale du petit garnement.

Voilà l'histoire, mais elle n'est qu'un prétexte. En effet, ce livre n'est pas un roman mais une petite présentation amusante des mathématiques ou plutôt de certains points importants ou historiquement intéressants.

Il ne prétend pas être exhaustif, il propose seulement un petit tour dans l'univers infini des mathématique : Fibonacci, Thalès, Pythagore, le nombre d'or, l'incontournable nombre pi et d'autres curiosités.

La quatrième de couverture indique "de 7 à 77 ans", je dirais plutôt : adapté à des lecteurs de 10-12 ans, curieux et intéressés par les mathématiques, avec un adulte compétent à portée de main car certains passages demandent tout de même quelques éclaircissements.

Ce livre n'apprendra rien au matheux averti. Il ne convaincra pas le lecteur réfractaire aux sciences : n'en attendez pas de miracle, vous seriez déçu. Mais il plaira aux jeunes curieux, à qui il pourra donner envie d'en savoir plus.

Une lecture amusante, distrayante et dans laquelle les mathématiques sont présentées telles qu'elles devraient toujours l'être : un formidable jeu de l'esprit, une invitation ludique à la recherche et la réflexion.

Grâce aux éditions Poulpe Fictions, que je remercie, j'ai eu le plaisir de lire via net galley : Bobards et compagnie, chez la famille Alonzi de Faustina Fiore.

Un problème inextricable ? Appelez Bobards et compagnie !

Dans la famille Alonzi, on trouve 5 frères et sœurs passionnés et survoltés : Frédéric, Marianne, les jumeaux Théo et Léa et l’Alien… le plus jeune et le plus bizarre !

Leur problème du moment ? La médiathèque de leur ville doit fermer !

Alors, ils ont un besoin urgent d’argent de poche pour s’acheter des livres, des BD et des jeux vidéos.

Or cette tribu n’a qu’une seule chose à vendre, un talent incroyable à partager avec le monde : une imagination débordante et une capacité à inventer les meilleurs mensonges !

C’est la naissance de la société Bobards et compagnie.

Vous avez un souci ? Un beau mensonge peut vous changer la vie !

Bobards et compagnie, chez la famille Alonzi est un roman jeunesse plein d’humour sur les pouvoirs de l’imagination et l’accès à la culture.

La médiathèque de la ville va fermer et c'est une vraie catastrophe pour les cinq enfants de la famille Alonzi. Ils ont de gros besoin en livres, bandes dessinées et jeux vidéos. Comment faire et avoir assez d'argent de poche pour acheter ce qu'ils souhaitent ?

Cela semble bien compliqué pour la fratrie !

Leur idée pour gagner de l'argent est très drôle, originale et bien trouvée. Inventer des mensonges pour aider les gens, il fallait y penser :) Et les vendre, alors là il fallait vraiment du culot pour aller au bout de son idée !

Le motif de tout ça est important car mine de rien ça part d'une bonne intention cette entreprise. Ça fait vraiment réfléchir, mine de rien, sur l'importance des bibliothèques et médiathèques pour les enfants.

Les personnages sont amusants et sympathiques. Avec une petite préférence pour l'Alien qui m'a parfois fait hurler de rire.

Ce roman est facile à lire, et m'a permis de passer un bon moment :)

Je le recommande à tous, petits comme grands, dès 9 ans.

Ma note : 4 étoiles.

Marion est une chipie. Avec son âme sœur, Nina, ou plutôt son âme damnée selon sa mère, elle fait les quatre cents coups.

Nom d’un chien bleu à paillettes, quand elle surprend sa mère à lire son journal intime son sang en fait qu’un tour. Elle va mener sa mère en voilier en rédigeant DEUX journaux intimes.

L’officiel, rose bonbon, raconte sa vie de bonne élève de sixième qui fait de son mieux.

Le vrai est noir avec des squelettes qui dansent et livre le fond de ses journées, son ennui à l’école, les bêtises faites avec Nina.

Mais à force d’écrire ce que sa mère a envie de lire dans le carnet rose, ses mensonges la rattrapent.

Comme elle n’est pas une crétignare, elle va devoir faire preuve d’imagination pour ne pas se fourrer dans la gueule du pétrin.

Voici un roman jeunesse très sympathique reçu dans le cadre d’une Masse critique. J’en remercie Babelio et les Editions Poulpe fictions.

C’est frais, c’est drôle, c’est inventif.

Marion, comme sa mère aime à le dire, est en train de mûrir et l’expérience des deux journaux intimes, contre toute attente, va l’y aider.

Destiné à des lecteurs dès 8 ans, je pense que ce roman peut plaire à tout âge. J’ai souri tout du long.

Petit imagier bien conçu autour de la couleur rose. Présente le plus de donner des textures à toucher aux enfants, dont certaines un peu plus recherchées que dans la plupart des livres du même genre.

Par contre, la couleur rose est parfois associée à des choses étranges (papillon, théière, ... ;-) )

Peu de temps avant la rentrée en sixième, Marion découvre une chose horrible ! Une trahison de la plus haute importance ! Sa mère est en train de lire son journal intime, le gardien de ses secrets les plus inavouables. Cela ne va pas se passer comme ça ! Pour se venger, Marion a donc une idée lumineuse, elle tiendra deux journaux intimes. Un officiel, celui de la jeune fille modèle que sa mère pourra lire à sa guise et l'autre, officieux, qui deviendra le récit de ses aventures adolescentes intrépides. Mais à jouer sur deux tableaux, on s'emmêle parfois les pinceaux et on se retrouve ainsi dans des projets farfelus sans comprendre vraiment pourquoi. Cependant, personne n'a dit que c'était une mauvaise chose. Et certainement pas moi, qui a ri plus d'une fois devant ce roman, comme je n'avais pas ri depuis longtemps devant un livre.



C'est un plaisir de suivre les journées de Marion au fil de ses journaux intimes, de découvrir toutes les stratégies qu'elle met en place au fil de ses mensonges. C'est une vraie bouffée d'air frais. Ce roman est un condensé d'humour, d'amitié, de relation mère/fille et d'imagination, beaucoup d'imagination. Car dans la tête de Marion, ça va à mille à l'heure et ses amies ne sont pas en reste. Cette lecture est une vraie parenthèse qui fait du bien, on en ressort avec le sourire et je me dis qu'il y a vingt-cinq, j'aurais bien aimé avoir le courage d'oser comme elle.



Ps : les expressions de Marion sont un vrai bonheur ! Rien que pour ça, il faut que vous lisiez ce roman, ça pourrait même vous surlecufier.

Je retrouve ma petite maison d'édition adorée : Poulpe Fictions ! 😍 Mais cette fois, et pour la première fois pour moi chez eux, c'est pour un roman en dehors de la collection où les animaux sont les narrateurs. J'ai quand même retrouvé le style, notamment avec à nouveau ces petits commentaires en bas de page. C'est juste délicieux !



Concernant l'histoire, j'ai quand même eu un petit souci avec le fait que ce soit l'apologie du mensonge... C'est rigolo, parfois pour la bonne cause, mais tout-de-même... Mais ça, c'était ce que je pensais avant l'épilogue qui est juste parfait 😉 ! J'ai donc apprécié et l'histoire, et le style, et les personnages, cette sympathique famille ainsi que les habitants divers.



Et enfin, je n'avais rien vu venir concernant la narratrice. Du coup, la surprise fut sympa. (Quand je dis que je ne vois rien venir et que si ça arrive, c'est que vraiment c'était évident^^).



Un moment vraiment très sympa, je recommande pour la détente !

"Cette fois, franchement, ma mère mériterait que je crève les pneus de son vélo. Que je brûle ses vieux CD de Renaud. Que je remplace son thé en vrac par de l'herbe à chat. (...)" Voici comme s'ouvre le journal de Marion ce lundi 24 août. Mais lorsqu'elle découvre que sa mère ose lire son journal elle imagine un plan diabolique. Elle ne tient plus un seul journal intime mais deux ! Nous alternons alors entre le journal intime rose bonbon destiné à sa maman et le journal noir où tous ses états d'âmes y passent. Elle commence alors à faire passer des messages à sa mère à travers son journal rose. Elle transforme les événements en arrangeant tout à sa sauce. J'ai adoré cette petite héroïne irrésistible qui a de la suite dans les idées. Lorsque le piège semble se refermer sur elle, qu'à cela ne tienne, elle redouble d'efforts pour ne pas se faire prendre. Gros coup de cœur pour ce roman désopilant, impertinent à la mise en page soignée. J'ai aimé retrouver la plume pétillante de l’autrice qui nous plonge avec beaucoup d'humour dans les affres de l'adolescence. C'est frais, drôle et dynamique, on ne s'ennuie pas une seule seconde aux côtés de Marion. Les journaux sont merveilleusement bien illustrés ce qui donne beaucoup de peps à la lecture. Bref un vrai régal je vous le recommande chaudement !

Arno est un jeune garçon qui vit dans un village dont la vie est rythmée par l'apparition de terribles oiseaux noirs. Les habitants vivent leur quotidien autour de cette malédiction dont ils sont victimes. Des abris sans fenêtre sont construits un peu de partout, dans les maisons, du côté des champs ... Régulièrement, ils sèment la terreur dans le village, détruisant tout sur leur passage, effrayant les hommes et faisant pleurer les enfants.

La vie d'Arno va véritablement changer le jour où son cousin qu'il considère comme son frère va être tué par ces oiseaux. Bourré de culpabilité, le jeune garçon pense être responsable de la mort de Bern et décide, malgré le danger que cela représente, de partir à la recherche du vieil homme qui vit dans les montagnes, et qui d'après la légende, est responsable de cette malédiction.

Nous voila donc parti avec Arno pour un voyage très spécial, où il lui faudra du courage et de la détermination. En chemin, il va faire la connaissance d'une jeune fille atypique, Clara, qui voyage avec un bébé. Ils vont faire un bout de route ensemble, Arno profitant des connaissances très spéciales de la jeune fille.

J'ai trouvé que l'histoire devenait vraiment intéressante dès qu'Arno rencontre Clara. Elle n'a pas froid aux yeux, et elle va servir de guide à Arno, l'obligeant à se remettre en question, à se poser des interrogations sur sa vie mais aussi sur ses croyances.

Le style de l'auteure est facile à lire, et conviendra parfaitement aux jeunes lecteurs, avec des phrases courtes et juste ce qu'il faut de descriptions. Le livre en lui même est très plaisant et agréable à lire.

Les oiseaux noirs, ce n'est pas seulement un conte pour effrayer les enfants, c'est aussi une leçon de vie. Évoquant le deuil et l'acceptation de la mort, cette histoire permettra aux jeunes lecteurs de réfléchir sur les conséquences de la mort, et sur ce qu'il peut ou pas y avoir après. Comment faire le deuil, comment accepter la perte d'un être cher, comment le laisser partir, voilà quelques questions qu'on pourra se poser au fil de la lecture.

Un joli conte, assez sombre mais surtout rempli d'espoir. Merci aux éditions Casterman.

Je possède ce calendrier de l'avent depuis mon enfance. Chaque année, je le ressors, il fait partie de mes traditions de Noël bien qu'il soit dédié à un public très jeune.

Ce calendrier de l'avent est un perpétuel composé de vingt-quatre petites histoires pour attendre Noël.



Commençons par parler de sa conception.

Ce calendrier fonctionne un peu comme une fenêtre. Vous l'ouvrez en deux et découvrez vingt-quatre petits livres avec une ficelle dorée à mettre dans le sapin.

Le contenant et le contenu sont en carton rigide et joliment illustrés.

Les illustrations sont vraiment très bien faites. On y découvre des animaux habillés, des gnomes, des créatures fantastiques, des lutins... Quelque fois, les dessins nous font découvrir, par exemple, une fourmilière, des terriers... d'une manière fantaisiste.

Ce calendrier est à posséder, rien que pour le plaisir des yeux !😍



Quant aux histoires, elles sont parfaites pour faire patienter les petits enfants ou les adultes souhaitant retourner en enfance.

Elles permettent de rapprocher et partager un moment entre les parents et leurs touts petits, le temps d'une lecture par jour.

Elles ne possèdent pas forcément une morale, elles servent surtout à faire rêver les plus jeunes.

Elles me font penser aux fables De La Fontaine. Les animaux sont personnifiés et vivent comme vous et moi : préparent le diner, mettent des bonnets, vivent dans des maisons humaines, dorment dans un lit...

Je vous avouerai que l'histoire du vingt-quatre est ma préférée avec le Père Noël.



Je mets 5/5 car même si ces lectures ne sont plus du tout de mon âge, elles sont parfaites pour les petits enfants.

Si vous êtes à la recherche d'un calendrier de l'avent, n'hésitez pas a l'acheter. Les enfants ou les adultes aimant les petits univers fantastiques trouveront leur compte.

De plus, il est intemporel et peut être ressorti chaque année. Une année s'étant écoulée, on ne se souvient plus des histoires, ainsi vous le redécouvrez dès la période de Noël.



Un joli calendrier de l'avent que je ne peux pas me passer !



Bonne fête de la Saint Sylvestre à toutes et tous !🥳



Bonne lecture !📚
Lien : https://lemondeenchantedeses..

Marion a surpris sa mère en train de lire son journal intime : fin du monde ! Même si elle avoue qu’elle ne l’a pas bien caché, mais bon, ce n’est pas une raison ! Pour protéger sa vie privée et se venger, elle va écrire deux journaux : un dans lequel tout sera tout beau tout rose, comme son nouveau carnet d’ailleurs, que sa mère pourra lire et un autre, un vrai journal intime, juste pour elle, pour livrer ses petits secrets. Mais il va se révéler que ce n’est pas si facile d’être une enfant modèle et respecter les mensonges écrits dans ce journal intime, pas si intime.



Quelle belle lecture jeunesse ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas ri comme ça en lisant un livre ! Je me suis vraiment amusée à lire ces deux journaux. Le personnage de Marion est tellement attachant. J’ai eu l’impression de faire un retour en arrière, dans ma jeunesse, où moi aussi j’avais un journal intime et j’avoue que si ma mère l’avait découvert, je n’en aurais pas mené large ! J’ai aussi adoré l’écriture, les mots drôles, les réactions spontanées, un véritable bonheur !



J’ai aussi beaucoup apprécié le fait que pour une fois, c’est la maman qui fait quelque chose de pas bien et non l’enfant. La punition est donc dans l’autre sens. Marion écrit un faux journal intime parce qu’elle sait que sa mère va le lire. Et en même temps, ça la pousse à faire des choses qui la rendront plus mature, qui vont la faire grandir, malgré elle.



Finalement, tout en douceur, sont abordés des thèmes comme la trahison, l’adolescence, l’école, le harcèlement, des thèmes qui sont d’actualité et dont je trouve qu’on ne parle jamais assez.



En bref, une petite lecture bien sympathique, une bouffée d’oxygène.

Un roman hilarant autour d'une médiathèque.

Des personnages sympathiques, souvent un brin foufus. Des jeux de mots sur chaque nom de famille. Une fratrie très soudée quoique avec des personnalités fort différentes, et tous assez déjantés, de la grand-mère au petit dernier, fort justement surnommé l'Alien. Qui zozote de façon très attendrissante mais qui a un QI qui dépasse apparemment le total de ses frères et sœurs, et une morale voisine de zéro.



La famille Alonzi est catastrophée : le nouveau maire, poussé par des promoteurs immobiliers, a décidé de démolir la médiathèque. Chacun dans la famille s'inquiète de ce qu'il va y perdre : emprunt de livres, de jeux, de BD ou de jeux vidéos.

Seule solution envisageable, gagner de l'argent pour remplacer les emprunts impossibles par des achats. Mais pour un enfant, gagner de l'argent n'est pas une solution facile.

Heureusement, la fratrie est pleine d'idée et de talents variés, dont inventivité et mensonges formidablement mis en scène.

La grand-mère, elle, envisage plutôt des manifestations pour faire céder la mairie. Et tout le village ou presque étant passé par sa classe, elle garde ses réflexes d'institutrice et de directrice, ça marche à la baguette (à la règle plutôt !!)



Chaque personnage est inénarrable, le Maire, complètement dépassé et qui ne veut que la tranquillité, et écouter le dernier qui parle, la coiffeuse, qui comprend toujours de travers ce que zozote l'Alien, la secrétaire de mairie, aux prises avec les tables de multiplication et terrifiée par son ancienne directrice ...

Avec en prime un narrateur extérieur auquel on ne prête pas forcément attention jusqu'à ce que ...



Quand on retrouve dans la médiathèque les victimes de Bobards et compagnie, chacun recherchant le document qui doit sûrement exister, joli coup d'éclat !!

Et j'avoue avoir pleuré de rire à la dernière trouvaille de l'Alien



Un roman pétillant, plein de bonnes idées aussi, malgré ce qu'il y parait. Un régal.
Lien : https://livresjeunessejangel..

Une famille attachante, drôle et soudée au menu de ce roman jeunesse publié chez Poulpe. Alors que la médiathèque du village doit fermer, les 5 enfants de la famille Alonzi sont désespérés. Eux, qui ont peu d'argent adorent emprunter des livres, des DVD ou encore des BD et même des jeux vidéos. Alors que leur grand-mère se met en tête de tout faire pour sauver la bibliothèque, les enfants, eux, veulent gagner de l'argent. Voici la naissance de l'entreprise Bobards et compagnie. Besoin d'aide pour se sauver de toutes les situations ? Les enfants sont les rois des mensonges et des astuces en tout genre. Grace à leur imagination débordante et une solidarité impressionnante, ils trouvent toujours une solution. Le texte, accompagné d'illustrations tantôt drôles tantôt cyniques, se lit rapidement. Une lecture rafraichissante avec quelques messages importants : la solidarité ou la transmission de la culture avec une critique de la société capitaliste bien menée tout cela sur un ton humoristique. #BobardsetcompagniechezlafamilleAlonzi #NetGalleyFrance

Ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux, savent. j'aime les romans "Poulpe Fiction". Je n'ai jamais été véritablement déçue.

"Bobards et compagnie" confirme mon intérêt pour les romans de la maison.. Faustina Fiore montre bien à quel point on peut vouloir protéger la famille &les lieux qu'on aime, malgré tout.



Je n'en dirais pas plus car c'est un (trop) cout roman de moins de 200 pages.



A mettre entre toutes les mains des volontaires.

📓Lorsque Marion découvre que sa mère lit son journal intime, elle est furax. Faut pas la prendre pour un lièvre de 6 semaines. Son idée ? Ecrire deux journaux intimes. Le rose bonbon, sera écrit spécialement pour sa mère, et elle y racontera de façon très édulcorée son quotidien (y mentir ? Bien entendu, elle sait se faire passer pour une petite fille parfaite !). L’autre, restera son journal original noir, où elle continuera à se livrer sincèrement mais qu'elle cachera beaucoup mieux, cette fois ! Sauf que les mensonges inventés dans le journal rose vont finir par la mettre dans une situation complexe... Va t'elle réussir à continuer à jongler entre mensonges et vérité ?



📓 Avec ma fille, nous avons lu ce roman ensemble et nous avons beaucoup apprécié l’alternance journal rose (Marion presque parfaite) /journal noir (Marion diabolique) qui apporte du dynamisme à la lecture.



Malgré son côté diabolique d'élève qui aime se faire remarquer et qui n'aime pas beaucoup travailler, l'autrice la rend attachante par le biais du journal rose, car même si Marion y écrit ce qu'elle souhaite faire croire à sa mère, on sent que se dégage une vraie part d'elle-même .

Sa meilleure amie (qui, selon sa mère, a une mauvaise influence sur Marion), et sa voisine de classe (l'élève modèle) sont assez sympathique et vont apporter, à leur façon et de manière innatendue pour Marion, leur aide afin d'aider Marion à se dépêtrer de ses mensonges.



Nous avons rit en voyant la façon dont elle se sert intelligemment de son journal pour faire passer des messages et des demandes à sa mère, sans que celle-ci ne s'en rende compte.

Les expressions mal utilisées par Marion nous ont également beaucoup fait rire.



📓 Un roman très sympa pour les pré-ado (et pas que) et qui peut être étudié en classe puisqu'un lien vers des fiches pédagogiques est donné en fin de roman.


Lien : https://www.instagram.com/p/..

Livre pour enfants très sympathique!

On retrouve les idées totalement déjantées des petits Alonzi sous la surveillance de leur mère pour offrir le plus beau des cadeaux de mariage à leur tante.

Je n'ai pas vu le temps passé tant l’enchaînement des actions et des chapitres est fluide. L'humour est au rendez-vous dès que possible mais avec un juste dosage tout de même.

Les personnages sont adorables et hyper attachants même la mamie (surtout sur la fin!).

Ce livre, avec son écriture totalement adaptée à un jeune public (dès 8 ans), garantis véritablement un moment de bonheur au fil des pages remplies de folies dignes de leur âge !

Le petit plus de cette série des Alonzi ? Les illustrations de Grégory Elbaz facilitant l'imagination des petites têtes blondes. Je n'ai pas personnellement accroché au style même si l'artiste a vraiment beaucoup de talent !

J'ai donc vraiment apprécié cette lecture et j'ai hâte de lire une autre œuvre de Faustina Fiore !

Amours et compagnie chez la famille Alonzi est un roman jeunesse destiné aux enfants de 7 à 12 ans. Les 5 enfants de la famille Alonzi apprennent une super nouvelle : leur tante va se marier ! Ils cherchent un super cadeau de mariage mais ils n'ont pas de sous... Chaque enfant cherche une idée de cadeau. Les jumeaux ont trouvé une super idée de génie : gagner de l'argent en créant une agence pour former des couples à l'école. Tout le monde se met au travail. Et ils vont aider aussi à organiser le mariage : repas traiteur, robe, matériel pour la salle, faire parts etc... Les enfants ne vont pas tout à fait suivre les consignes, ils vont multiplier les maladresses et enchaîner les boulettes. Ce qui rend ce roman très vivant, très drôle, attachant. L'insouciance de la jeunesse est bien mis en avant. Je me suis régalée à suivre les aventures, les tâches et la super agence de l'amour qui vont réunir des couples. Les enfants se sont impliqués tellement, et ils ne font pas attention à tout ce qui se passe et on découvre des erreurs. C'est tellement amusant et divertissant. L'auteur utilise des références et des clins d'œil pour faire réagir les enfants et suivre des commentaires amusants de l'histoire. C'est une bonne idée, ça m'a beaucoup fait rire !

Un roman agréable à lire, drôle, original ! J'ai passé un super moment ! Merci pour cette découverte !

On replonge avec délice dans l'univers imaginé par Faustina Fiore pour "Bobards et compagnie" : la famille Alonzi, véritable concentré d'imagination, de folie et d'humour, est de retour ! Et autant dire qu'on réalise à la lecture à quel point tout ce beau monde nous avait manqué. Évidemment, il y a les enfants – leurs spécificités, caractéristiques et petits travers faisant de chacun d'eux un alter ego potentiel du lecteur – mais aussi les personnages secondaires qu'on avait adorés. En tête ? Mamie, bien sûr : l'éternelle maîtresse d'école, devenue maire de la petite ville de Cannelle, aura son rôle à jouer au mariage ! Parmi les nouveaux venus, le lecteur fera connaissance avec Aurélie, la tante fantaisiste des enfants, et Pierre-André, son futur mari... qui, il faut bien le dire, est loin d'avoir le grain de folie des Alonzi...





    La narration, qui était déjà le point fort du premier opus, s'affirme ici comme la marque de fabrique de l'autrice (et d'une série en devenir ?) : jouant sur les mots et les phrases, s'amusant et amusant le lecteur de notes de bas de page tordantes et prenant un plaisir évident à briser le quatrième mur. On n'aurait pu rêver meilleure plume pour raconter les inventions toutes plus perchées les unes que les autres de nos cinq petits héros. La création de leur agence de rencontre est évidemment sujette à détourner la thématique des rencontres arrangées, des algorithmes, ou tout simplement la notion de service après-vente, dans un festival de drôlerie qui flirte plus d'une fois avec l'humour de situation.





En bref : Le retour hilarant et plein de fantaisie de la famille Alonzi ! "Amours et compagnie" s'inscrit dans la droite lignée de "Bobards et compagnie", avec son lot de nouveaux personnages, de surprises et de situations à se tordre de rire. Audacieux, intelligent et drôle ; on espère retrouver la fratrie Alonzi dans un troisième tome !

Note : 8/10



Et bien figurez-vous que c'est une bien drôle d'histoire ! Le maire de leur ville a décidé de détruire la médiathèque pour y construire un hôtel de luxe et un parking.

Devant cette aberration, c'est la panique ! Qui dit plus de médiathèque, dit plus de livres, CD, jeux de société, DVD... Une révolte s'organise parmi les habitants pour protester contre ce futur projet qui ne leur apportera rien mais les privera de beaucoup.

Ne sachant comment faire, la fratrie de la Famille Alonzi se doit de réagir ; ils vont avoir besoin d'argent pour pouvoir se procurer des ouvrages jusqu'à présent empruntés à la médiathèque. Cinq enfants élevés par une maman seule, leur budget ne le leur permettrait pas. Ils se réunissent tous à la recherche d'une idée. Après un sacré brainstorming, ils décident de se lancer dans une activité pour le moins saugrenue : fournir des mensonges pour aider des personnes à se sortir d'affaires.

Tracts fabriqués et distribués, site internet créé, tout peu commencer. Et les clients ne se font pas attendre. Les premiers deniers sont encaissés et le bouche à oreille fait son chemin. Mais la situation ne va pas durer...

Qu'adviendra-t-il de la médiathèque ? Sera-t-elle sauvée ou détruite ? La culture et les loisirs des enfants seront-ils préservés ? Mais que va-t-il se passer ?

A vous de découvrir cette aventure pour une bonne cause, celle de sauver un patrimoine culturel et  bien utile pour une ville et ses concitoyens.

J'ai ri, oui, à en surprendre mes voisins de voyage. C'est très touchant de voir la force, le courage et l'obstination de ces enfants. J'ai aimé donc je conseille vivement.

Lecture pour les petits de 8 à 12 ans et les plus grands... vraiment plus grands 😉

Je remercie Babélio et les Éditions Poulpe Fictions pour le cadeau de cet ouvrage dans le cadre d'une masse critique.



https://littelecture.wordpress.com/2022/06/13/bobards-et-compagnie-chez-la-famille-alonzi-de-faustina-fiore/

J’ai découvert une histoire pleine d’humour et de rebondissements avec des illustrations amusantes qui accompagnent bien le récit.



Les enfants sont attachants et très créatifs. La fermeture de leur médiathèque les bouleversent, et le manque de moyens les poussent à enjoliver le quotidien.

L’Alien m’a beaucoup fait rire avec ses réflexions effrayantes et décalées.



L’histoire est bien rythmée, la fin plutôt drôle et c’est très agréable à lire. J’ai aimé le message en faveur des médiathèques, un lieu de culture accessible à tous et qui mérite d’être défendu.

La grand-mère engagée ira jusqu’au bout. C’est un personnage que j’ai beaucoup apprécié aussi avec son petit côté pète-sec.



J’ai dévoré ce roman en peu de temps et je serais ravie de lire d’autres aventures de la famille Alonzi.
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