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Critiques de Fernando Pasarin (25)
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Justice League Rebirth, tome 3 : Intemporel

Allez hop ! Je vous la fais trois en une. Un mot pour donner mon avis sur les trois premiers tomes de Justice League Rebirth, en condensé.



Du coup ça fait pas mal à raconter. Car c’est le début du « Rebirth », nouvelle mouture d’un univers à nouveau secoué, mélangé et reformé, après la version précédente qui s’appelait, en français, « Renaissance » (lol).

Bon, cette fois la coupure n’est pas discontinue. Les héros se souviennent de la version précédente. Apparemment Justice League a perdu son Superman, mort avec les honneurs. Mais un autre Superman venu d’un univers parallèle ou d’un reboot antérieur, qui se la coulait douce dans cet univers avec sa femme Loïs et leur fiston (eux aussi étrangers à cet univers), décide de sortir du bois. Mais les autres membres de Justice League se méfient (surtout Batman évidemment) : ce n’est plus leur ami là, c’est un étranger, plus mur, plus expérimenté.



L’équipe se compose du trio central Superman, Batman, Wonder Woman (cette dernière est encore dans sa personnalité pré Rebirth, genre guerrière qui aime la bagarre, donc pas encore le personnage beaucoup plus pacifique de son propre Rebirth – voir mes billets à ce propos si vous êtes curieux). Il y a Flash / Barry Allen, Cyborg, Aquaman et deux jeunes Green Lantern pour le prix d’un.

Je ne vais pas raconter toutes les aventures en détail, mais il y a un net fil rouge. En gros l’univers DC, tourneboulé, essoré, désintégré façon puzzle et reconstruit tellement de fois, craque de partout (ça fait très mise en abyme). Quelque chose « d’extérieur » menace de rentrer et ça risque de ne plaire à personne.

Evidemment, la Terre et ses super-humains sont responsables de cet état de fait. Et des tas de menaces extraterrestres, entités magiques ou spatio-temporellement mal localisées, de plus en plus puissantes au fil des épisodes, cherchent à sauvegarder l’univers. Systématiquement, la solution passe par un nettoyage en règle de la Terre : absorption de sa population dans une conscience unique, piratage informatique jusqu’au niveau des cerveaux, retour dans le temps pour éliminer les événements menant à la création de forces cosmiques (force véloce, magie, divinité, etc.).

La Justice League s’oppose à ces méthodes qui condamnent la Terre. D’où des tonnes d’action plutôt prenantes. Le scénariste Brian Hitch taquine.



Point de vue relations interpersonnelles, c’est plus dilué. Il y a Superman qui essaie de passer outre la méfiance de ses collègues et reste un peu à l’écart, Flash qui tente un rapprochement avec la fille Green Lantern (sentiments partagés on dirait), pas grand-chose d’autre. Le scénario joue beaucoup sur la lutte contre soi-même, contre ses doutes ou sa mélancolie.



Voilà pour le tour d’horizon. Je vais poursuivre car c’est plutôt fun.

A+

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Les Fils de la Louve, tome 2 : La Louve de ..

N'ayant pas réussi à empêcher l'assassinat de César par Brutus, Luca se réveille à nouveau à l'époque actuelle et il ne sait plus où il en est.

Il rencontre un chauffeur de taxi qui semble avoir des informations sur le fameux symbole de la louve au glaive, puis il se retrouve propulsé dans la Rome antique, à l'époque de Néron cette fois, en tant qu'assistant d'un architecte. Il rencontre la belle Giulia, mais se retrouve à nouveau pris au piège, tant dans le passé que dans le présent.



L'intrigue reste assez confuse, mais ce n'est pas vraiment gênant car on sent qu'il y a un potentiel. L'histoire est intéressante si on n'a pas trop de volonté de logique et d'enchainement entre les scènes, il faut la prendre comme elle vient et se laisser porter, et je pense qu'au final cela donnera quelque chose de bien.



Je ne suis toujours pas emballée par le dessin, qui pourrait être plus fin et plus détaillé, notamment pour le personnage de Luca, mais il est suffisamment classique pour être neutre.
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Superman - Le règne de Savage

La conclusion de Superman approche. On le sait si l’on suite les séries Superman, l’Homme de demain ou Superman, Action Comics. Il a récemment perdu la quasi totalité de ses pouvoirs et donc on assiste de plus en plus à des combats dans lesquels l’Homme d’acier n’est plus au meilleur de sa forme.



J’ai trouvé ce récit très intéressant, car il est dans la continuité des précédents, et c’est vraiment agréable de voir le coté humain de Superman. Car même s’il n’a plus ses pouvoirs, il reste le défenseur de la Terre et un Héros avant tout.



Ce récit est également l’occasion de découvrir le personnage de Vandal Savage, que je ne connaissais pas du tout, en tout cas pas en comics. Je l’ai vu dans la série Legend Of Tomorrow puisqu’il est le méchant de la saison 1, mais je ne savais pas ce qu’il donnait en comics.



Et j’ai plutôt bien aimé, car l’histoire nous raconte ses origines, et comment il est devenu immortel. C’est très agréable de le voir traverser les millénaires, sachant que cette immortalité est lié à Superman. Je ne vous en dis pas plus là-dessus, mais personnellement j’ai trouvé que c’était une bonne idée de créer un lien entre les deux personnages.



Après concernant son plan à long terme, c’est bien fichu, mais il y a quelques faiblesses, au final j’ai trouvé que le pauvre Savage se perdait un peu dans son plan tellement machiavélique que lui-même ne savait plus ce qu’il avait prévu au départ. Il s’entoure également d’une multitude de personnages qui sont ses enfants mais hélas peu utilisés pour être vraiment intéressants. Je retiendrais malgré tout le personnage de Puzzler qui est très important, ainsi que le jeune Salvaxe, dont la conclusion est brillamment traitée par Wonder Woman.



C’est un gros récit qu’on tient là, avec 9 chapitres de trois séries différentes plus un annual. Malgré tout c’est très accessible, et il n’est pas nécessaire d’avoir lu les histoires précédentes pour comprendre, car tout est parfaitement expliqué. Bon si vous les avez lues, c’est mieux, je ne vous le cache pas, mais si vous n’avez pas eu l’occasion de les lires ou que pécuniairement c’est difficile, sachez que ce récit se lit vraiment indépendamment, il ne comporte d’ailleurs pas de numérotation. C’est un One-Shot, qui se passe après Action comics et L’homme de demain.

Au niveau du scénario est des dessins, nous retrouvons plusieurs auteurs que j’aime beaucoup. Il y a notamment Greg Pak et Aaron Kunder pour les chapitres d’Actions Comics, Peter J. Tomasi et Doug Manhke pour les chapitres Superman/Wonder Woman et Gene Luen Yang pour les chapitres sur Superman.



J’ai passé un très bon moment de lecture avec ce récit vraiment bien traité et qui permet, si certains en doutaient encore de montrer à quel point l’héroïsme de Superman ne vient pas de ses pouvoirs. On voit également à quel point il est entouré et aimé et cela lance parfaitement le récit suivant, avec Superman Requiem.


Lien : https://chezxander.wordpress..
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Les fils de la louve, tome 1 : La louve de ..

Luca Marini, un étudiant en archéologie originaire de Turin, arrive à Rome pour des recherches. Sur une statue, il découvre un mystérieux symbole : une louve tenant un glaive entre ses crocs.

Il rencontre aussi une jeune femme, Francesca, mais après une nuit avec elle, il se retrouve à son réveil propulsé dans la Rome antique. Il va alors tenter d’empêcher l’assassinat de Cesar par Brutus.



J’avoue ne pas avoir été emballée par ce premier tome, notamment au niveau du dessin un peu figé et manquant de détails , mais je suis quand même curieuse de connaître la suite car l’histoire semble prometteuse et mystérieuse.
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Green Lantern Showcase, tome 1

Avec ce Green Lantern Showcase #1, Urban Comics expédie les affaires courantes laissées après décembre 2011 par Panini Comics, et ce en vue de préparer au mieux les lecteurs au "relaunch" de l'univers DC à partir de mai 2012. L'intérêt des Green Lantern est que l'on ait déjà que leur continuité temporelle sera peu bouleversée par le "relaunch", raison de plus pour se plonger dans ce "showcase" d'appoint.



Ce Green Lantern Showcase #1 présente le prologue et les cinq premières parties de la Guerre des Green Lantern (dispatchées entre trois séries différentes de cet univers, mais contigües). Geoff Johns encore une fois, pour l'intrigue principale, accompagné pour les deux autres séries de Peter Tomasi, Tony Bedard et Doug Mahnke. Sans spoiler véritablement, on peut dire que le récit monte parfaitement en intensité au fur et à mesure et que les épisodes s'enchaînent sans rupture intempestive. La bataille à la fin de cet opus promet énormément ! Ajoutons à cela de très belles planches esthétiquement parlant, chaque dessinateur tirant admirablement parti de la gamme de couleurs offerte par les différentes équipes de Lantern (chaque équipe se rattache à une couleur qui correspond à une partie de la gamme des émotions : vert pour la volonté, orange pour l'avarice, jaune pour la peur, etc. des Power Rangers cosmiques en somme !). Un bémol certain apparaît par contre : la quantité de noms dont on nous abreuve est gigantesque et difficile de s'y retrouver, mais c'est toujours moins que dans Flashpoint. La conclusion de cette maxi-série se fera dans Green Lantern Showcase #2 que j'attends avec impatience !



Enfin, comment ne pas louer (encore une fois) le travail éditorial d'Urban Comics qui, surfant sur les autres sorties kiosque dont la maison d'édition peut déjà se targuer, utilise parfaitement le découpage épisode par épisode des cette Guerre des Green Lantern. Chaque épisode est centré sur un personne principal, un Green Lantern historique pour les publications DC Comics, et Urban Comics nous case un topo pour chacun de ses personnages afin de ne jamais être perdu. Urban Comics est définitivement une maison d'éditions qui rend les comics accessibles au plus grand nombre de curieux !
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Deathstroke Rebirth, tome 7

Ce tome fait suite à Deathstroke Rebirth, Tome 6 : Arkham qu'il faut avoir lu avant. Ce tome est le dernier de la série et il vaut mieux avoir commencé par le premier pour en saisir tous les enjeux et toutes les nuances. Il comprend les épisodes 44 à 50, initialement parus en 2019/2020, écrits par Christopher Priest. Ces épisodes ont été dessinés par Fernando Pasarin et Carlo Pagulayan : les épisodes 44 à 50 pour le premier, avec l'aide du second pour les épisodes 47, 48 et 50. L'encrage a été partagé entre Ryan Winn (é44), Jason Paz (é45, é47, é48, é50), Wade von Grawbadger (é45, é47), Cam Smith (é46, é47, é48), Oclair Albert (é49, é50), Victor Cifuente (é49), Norm Rapmund (é50), Danny Miki (é50). La mise en couleurs de tous les épisodes a été assurée par Jeromy Cox. Les couvertures ont été réalisées par Ed Benes. Les couvertures variantes ont été réalisées par Riccardo Federici, David Finch, Shan (*4), Ken Lashley, Stephen Segovia.



Il y a quelques temps de cela, Deathstroke, (Slade Wilson) est en train de se battre contre Superman et il parvient à le blesser au torse d'un coup d'épée. Au temps présent, Superman flotte immobile dans les airs à plusieurs mètres du sol, observant la scène qui se déroule à ses pieds : le cadavre de Wilson en costume étendu sur un pavois au sommet d'un édicule de rochers entourés de flammes, et plus d'une centaine de personnes venues présenter leur respect, presque toutes sous couvert de l'anonymat assuré par un long manteau avec capuche recouvrant les traits de leur visage. Docteur Light (Arthur Light) explique la situation : une trêve pour que chacun puisse se recueillir devant la dépouille, et Superman en surveillant pour éviter toute interruption, tout débord. Dans la foule, Doctor Ikon (David Isherwood) l'écoute, visage à découvert. À distance, Jericho (Joseph Wilson) écoute en se demandant pour quelle raison les superhéros n'interviennent pas. Superman lui répond de manière apaisante. Devant la dépouille, défilent Talia Al Ghul, Red Lion (Matthew Bland), Raptor, Killer Frost, Deadshot, Deadline, Dr. Ikon, Bolt, Two-Face. Adeline Kane observe la cérémonie depuis chez elle sur un écran.



Le calme de la cérémonie vole en éclats quand la Légion de la Fatalité se matérialise sur place : Cheetah, Sinestro, Gorilla Grodd, Brainiac. Ultra-Humanite demande à Grodd de se calmer. Brainiac suggère de revenir à une discussion calme, en montrant du doigt Superman toujours immobile au-dessus de la foule. À Brooklyn, dans le quartier général des Teen Titans, Robin (Damian Wayne) a un échange délicat avec Red Arrow (Emiko Queen), celle qui a tué Deathstroke d'une flèche. La discussion s'envenimant, elle finit par se jeter sur le lui et lui décocher des coups de poing. Elle est en fait possédée par Jericho. Kid Flash arrive ne comprenant pas pourquoi Robin s'en prend à Red Arrow, et Jericho profite de ce moment pour quitter l'esprit de Red Arrow et posséder celui de Kid Flash. À Gotham Square, plusieurs badauds sont venus costumés en Deathstroke, un cosplay tendance. Ravager (Rose Wilson) les regarde avec mépris. Le commissaire James Gordon s'adresse à elle en lui conseillant de ne pas se lancer dans une vengeance, d'éviter de suivre la voie de la violence. Elle lui répond qu'elle voudrait d'abord que le portrait de son père ne soit pas diffusé sur les écrans géants de la place, puis elle s'en va sans avoir rien promis. C'est au tour de Sinestro de parler devant le corps de Deathstroke, mais il est interrompu par l'arrivée de plusieurs superhéros.



Il y a peu de chance qu'un lecteur qui débarquerait dans la série avec ce dernier tome y comprenne quoi que ce soit. Certes, il pourrait apprécier les dessins, le comportement toujours étonnant de Slade Wilson, mais mission impossible pour démêler les causes et leurs conséquences dans les relations interpersonnelles des différents membres de la famille élargie de personnage principal. A contrario, un lecteur présent depuis le début de la série, identifie immédiatement chacun et se souvient tout de suite de ses liens avec Slade, et de leur historique. Joseph, Rose, Adeline : le cœur de la famille. William Randolph Wintergreen, Hosun, Terrence Park, David Isherwood : la famille élargie. Damian Wayne, Emiko Queen, Shado : des personnes dont la vie est affectée de manière irrémédiable par l'existence de Slade Wilson. Le scénariste poursuit son thème principal : comment les actions de Deathstroke affectent les individus autour de lui. Le lecteur retrouve tous ces personnages pour lesquels il s'est pris d'affection, notant que les deux dessinateurs abattent un boulot impressionnant pour reproduire leur apparence ce qui les rend immédiatement reconnaissables et tout aussi impressionné par le fait que Priest sait rendre compte de leur caractère en quelques phrases, à commencer par celui de Damian.



Le lecteur fidèle ne croit pas un seul instant au titre qui annonce que Slade mange les pissenlits par la racine, et se demande comment il va revenir. Il est à nouveau impressionné par le fait que le scénariste continue d'écrire un récit de super(anti)héros au premier degré, et encore plus par le fait qu'il ne se défile pas pour intégrer les contraintes de l'événement en cours dans l'univers partagé DC. Au contraire, il saisit les opportunités offertes par Year of the Villain , intégrant le sigil vert apparaissant dans le ciel et la possibilité d'intégrer l'arrivée d'une autre version de Slade Wilson. De leur côté, Carlo Pagulayan et Fernando Pasarin sont rôdés aux conventions de la narration visuelle de récit de superhéros, et le lecteur en a pour son argent. Jeromy Cox habille chaque page d'une mise en couleurs travaillée, rehaussant discrètement les reliefs de chaque surface, installant une ambiance lumineuse et augmentant la dimension spectaculaire des scènes de combat par un usage intelligent et percutant des effets spéciaux infographiques. Les deux artistes dessinent dans un registre très proche, rendant difficile de distinguer qui a dessiné quoi, mais aussi assurant une réelle unité visuelle, indépendamment de quel encreur s'occupe de quelle planche (ou peut-être même de quelle case) dans tel ou tel épisode. Le lecteur se délecte donc pendant les affrontements : apparition de la Légion de la Fatalité avec des postures sinistres, Robin et Red Arrow se battant maladroitement, Deathstroke assailli par des araignées drones, Jericho volant au-dessus de l'atmosphère dans de superbes planches, Shado se battant contre Ravager, Deathstroke exigeant son augmentation de pouvoir auprès de Legion of Doom, le duel de Deahstroke contre Deathstroke.



Pasarin & Pagulayan en imposent à chaque page par le niveau de détails descriptifs : ils portent une grande attention aux décors, aux déplacements des personnages par rapport aux caractéristiques spatiales dudit décor, aux tenues vestimentaires, aux accessoires de tout type. Contrairement à beaucoup d'artistes de comics, ils ne cherchent pas des raccourcis pour donner l'impression d'un bon niveau descriptif : ils le font, et ça aboutit à un plaisir de lecture bien plus élevé. Le lecteur constate que les environnements sont plus consistants, plus réels, et que les combats se déroulent en fonction des obstacles, avec des conséquences plus concrètes pour les personnages. Cette approche rehausse également les scènes en civil. Impossible de ne pas sourire en voyant Slade Wilson quitter son emploi d'infirmier dans un dessin en pleine page jouant sur la dramatisation, ou de ressentir un pincement au cœur en voyant Joseph s'allonger sur le canapé en posant sa tête sur les genoux de Terrence Park. Les artistes savent également jouer sur le contraste entre la normalité des civils et l'apparence exagérée des individus dotés de superpouvoirs, sans pour autant choisir systématiquement la mise en scène la plus tapageuse. Le lecteur garde longtemps en mémoire l'expression du visage d'Hosun qui réalise que Deathstroke va le tuer. Il est également impressionné par le bon niveau de coordination entre les 2 dessinateurs, ces épisodes ne présentant qu'une seule incohérence : le bras cassé d'Adeline dans l'épisode 49 (une scène éprouvante), redevenu intact dans l'épisode suivant.



Bien sûr, le lecteur veut savoir comment Deathstroke revient, mais aussi comment les amis et membres de la famille de Wilson vont souffrir, et comment il va les manipuler pour leur bien. Christopher Priest est en pleine forme, malicieux, inventif, drôle et intelligent du début à la fin. Le lecteur se régale avec l'arrivée d'une autre version de Deathstroke, et leur discussion tranquille assis dans un diner, prouvant leur intelligence car contrairement à l'usage en vogue chez les superhéros, ils parlent avant de se taper dessus. Il regarde Joseph Wilson être corrompu par le surcroît de pouvoir qui lui est octroyé, commençant ainsi à suivre les pas de son père. Il sourit en relevant les différentes de trajectoire de vie entre les 2 Deathstroke. Il apprécie la justesse de différence de comportement entre l'inexpérimenté Damian Wayne, et le recul acquis avec les années par Shado. Il suit le scénariste qui continue de mettre en lumière la personnalité de Slade Wilson, éclairant ses choix de vie, ses modes opératoires, ses relations avec ses proches, pour un portrait psychologique très fin, un régal.



Une saison de 50 épisodes extraordinaire en tout point. Il faut un peu de temps pour s'adapter aux idiosyncrasies narratives de Christopher Priest, et passé cette phase, c'est un bonheur : inventivité, attention portée aux personnages, aventures de super(anti)héros au premier degré, regard analytique pénétrant sur la personnalité d'un individu doté d'une intelligence hors du commun, exerçant le métier d'assassin, essayant de protéger ses proches à sa manière très particulière, le tout porté par des dessins descriptifs soignés, plus détaillés que l'ordinaire de la production industrielle mensuelle. Une réussite extraordinaire.
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Les Fils de la Louve, tome 4 : La Louve et ..

Luca va être amené cette fois-ci à porter secours au Roi de Rome, fils de Napoléon. L'héritier de Romulus va-t-il réussir à déjouer les plans de la société secrète des fils de Rémus ?

Un peu moins de suspense dans ce tome, hâte de lire le suivant qui se déroule pendant le fascisme.
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Les Fils de la Louve, tome 2 : La Louve de ..

Luca a du mal à se remettre de son dernier réveil, c'est alors qu'il rencontre cette fois-ci un homme qui va de nouveau être à l'origine d'un deuxième voyage dans le temps. C'est à l'époque de Néron que Luca va devoir mener l'enquête sur une série de meurtres commis par un groupuscule grimé en loup. Tout cela est bien mystérieux. Pour l'instant nous n'avons pas encore toutes les clés mais nous savons que tout repose sur notre héros.
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Les fils de la louve, tome 1 : La louve de ..

Luca étudiant à Rome, se retrouve projeter dans l'antiquité. Il est alors témoin d'un complot contre César qu'il compte bien déjouer. Beaucoup de suspense dans cet album. Tout n'est pas dévoilé dans ce premier tome, mais assez pour nous donner envie de connaître la suite.
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Les Fils de la Louve, tome 3 : La Louve du ..

Lucas affronte, dans ce nouvel opus, les Borgia. A Rome, le conclave s'est réuni pour désigner un nouveau pape, le père de Lucrèce Borgia est le protégé de la société secrète qui consacre Rémus. Finalement, je retrouve des similitudes avec la série Le Scorpion. Ce qui diffère et renouvelle le genre, ce sont les voyages dans le temps.
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Les Fils de la Louve, tome 4 : La Louve et ..

«La Louve et l'Aigle» est l’avant-dernier tome de cette série qui invite le lecteur à revisiter les pages importantes de l’histoire de Rome. Le premier tome se déroulait en 44 avant J.C., juste avant le meurtre de Jules César. Le second volet se déroulait en compagnie de l’empereur Néron, en 64 après J.C. lors du grand incendie de Rome. Le tome précédent permettait d’assister au combat que se livrent les cardinaux Julien Della Rovere et Rodrigue Borgia afin d’accéder au règne papal en 1492, juste après la mort du pape Innocent VIII.



Ce quatrième tome est à nouveau construit de la même manière que les précédents : le personnage principal, Luca, y effectue un nouveau voyage dans le temps et se retrouve cette fois en 1811, à l’époque de Napoléon 1er. La principale nouveauté est que le récit se déroule principalement à Paris, au siège de l’Empire napoléonien, et non à Rome. Une délégation romaine s’y rend afin de remercier Napoléon d’avoir donné le titre «Roi de Rome» à son fils.



Les astuces qui permettent à Luca de voyager dans le temps ne sont toujours pas très convaincantes. Par contre, l’auteur va cette fois tenter de lever le voile sur l’identité des mystérieux fils de la louve, mais cela reste quand même encore beaucoup trop nébuleux. L’aspect historique de cette saga demeure par contre très intéressant. Au niveau du graphisme, ce côté historique et la revisite de ces pages de l’histoire par Patrick Weber est très bien représenté par le jeune dessinateur espagnol Fernando Pasarin, dont le dessin réaliste sied parfaitement à ce thriller historique.



Si l’aspect historique de cette série qui mélange histoire, aventure et fantastique parvient à me plaire, j’ai encore de sérieux doutes concernant les voyages à travers le temps et le thriller contemporain ... à moins que le dernier tome ...
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Quarantine Zone

Ce tome comprend une histoire complète et indépendante de toute autre, initialement parue en 2016, sans prépublication ou sérialisation. Le scénario est de Daniel H. Wilson, un auteur de science-fiction, ayant par exemple écrit Robopocalyspe ou Où est passée ma combinaison spatiale ?. Les dessins ont été faits par Fernando Pasarin, avec un encrage de Matt Ryan. Pasarin est un dessinateur de comics d'origine espagnole, ayant réalisé des épisodes de Green Lantern Corps, Batgirl, Justice Society of America, etc. La mise en couleurs a été réalisée par Paul Mounts, avec l'aide d'Elmer Santos, Beth Sotelo, et John Starr. La couverture a été réalisée par Massimo Carnevale. Pour les lecteurs un inquiets, l'auteur commence son ouvrage par une page de texte explicitant la situation de départ.



Dans un futur relativement proche, éloigné d'une quarantaine d'années, l'humanité a identifié la source des comportements méchants : un virus baptisé Malnoro (il s'attaque à une zone du cortex préfrontal et la modifie). Ce virus se transmet par contact avec du sang. Il est immédiatement actif et déclenche une crise de violence meurtrière. Un vaccin a été développé qui permet de neutraliser ce virus dans la majeure partie de la population. Les autres sont qualifiés d'incurables et sont rassemblés dans une ville ghetto appelée Quarantine Zone (zone de quarantaine). Pour lutter contre les incurables détectées hors de la zone de quarantaine, le gouvernement a mis en place une police d'intervention appelée Quarantine Zone Enforcement (en abrégé QZE).



Le capitaine Matthew Huxley est responsable d'une équipe d'intervention QZE, composée de Rickey Morelli, Sue Ellen Clover, Kevin Jones, Nora Presley, et Neil Bostanci. Il est placé sous les ordres du commandant Answar. Lors d'une intervention en zone de quarantaine, Kevin Jones est blessé et contracte le virus. Le capitaine Huxley (son ami d'enfance) doit ordonner l'activation de la grenade incendiaire dont sont équipées toutes leurs tenues, qui exécute son porteur. De retour à la base, il décline la proposition du commandant d'intégrer une escouade spéciale. Lors du briefing suivant, le commandant Answar leur présente leur prochaine mission : pénétrer dans la zone de quarantaine pour exécuter Holton Gray, un activiste prônant l'intégration des incurables dans la société.



A priori, le lecteur ne sait pas trop à quoi s'attendre de cette histoire. L'expérience a souvent montré que les écrivains de roman ne font pas automatiquement de bons scénaristes de bandes dessinées, et Fernando Pasarin est un honnête artisan, mais pas un dessinateur de premier plan. Il y a fort à parier que les responsables éditoriaux de DC Comics ont avalisé ce projet dans l'espoir d'attirer l'attention de vrais lecteurs (comprendre des lecteurs de livre sans images) et de capitaliser sur la renommée de l'auteur. Par contre, en feuilletant rapidement l'ouvrage, il constate que les dessins de Pasarin sont d'une minutie impressionnante, évoquant régulièrement le sens du détail de Bryan Hitch sur Ultimates de Mark Millar, ou sur America's got powers.



Cette similitude avec l'approche graphique de Bryan Hitch s'impose comme une évidence dès la quatrième page, avec une vue du ciel d'un quartier de la zone de quarantaine jouxtant le mur de séparation. Il y a cette même façon de représenter les décombres, jusqu’au choix des couleurs. D'ailleurs Paul Mounts a souvent collaboré avec Hitch. L'encrage de Matt Ryan reste confiné dans un registre très précis et méticuleux, sans oser appuyer quelques personnages ou contours comme le fait Paul Neary, l'encreur attitré de Bryan Hitch. Néanmoins cette dernière caractéristique ne constitue pas un défaut car cela permet aux dessins de rester dans un registre réaliste, sans s'envoler vers les exagérations de mouvements ou de prouesses physiques propres aux superhéros.



De la première jusqu'à la dernière page, le lecteur est impressionné par la densité d'informations visuelles. Fernando Pasarin met un point d'honneur à représenter les décors et les environnements dans leur détail, dans la majorité des cases, plus de 90% ce qui est exceptionnel pour un comics. L'effet est saisissant car cette attention portée aux détails et cet investissement permettent au lecteur de se projeter dans ces environnements comme s'il pouvait les toucher. Le dessinateur ne se contente pas de faire du remplissage. Il dessine des vues du ciel, des vues intérieures en collant à la réalité. Il ne remplit pas ses cases de hachures pour aller plus vite, il ne se repose pas sur une technologie générique en toc. Un lecteur un peu tatillon pourrait lui reprocher de dessiner à la manière de Bryan Hitch. Ce serait un peu exagéré, parce que faire du Bryan Hitch sans être ridicule est déjà une belle performance, et qu'en plus Pasarin reste dans un registre plus réaliste, moins exagéré.



Bien évidemment les dessins de l'artiste sont asservis au récit et montre ce que l'intrigue prévoit. Fernando Pasarin a créé des personnages normaux, immédiatement reconnaissables, des environnements urbains très proches du quotidien. Il représente une technologie d'anticipation pas très éloignée de celle actuelle, à l'exception des armures utilisées par les soldats du QZE. Il a intégré des parties flexibles avec des parties rigides et renforcées, pour un résultat peut-être un peu trop propre sur lui. Chaque séquence est d'une grande lisibilité, grâce à une mise en scène adaptée, un dosage étudié des détails pour que chaque case reste lisible. Les metteurs en couleurs travaillent en retrait pour assurer que chaque surface se détache de celle contigüe, sans surcharger le dessin, ou associer trop de couleurs entre elles.



Absorbé et convaincu par l'aspect visuel construit et riche, le lecteur découvre le récit. Le point de départ semble un peu simpliste : une humanité guérie de ses penchants mauvais. D'entrée de jeu, le scénariste utilise une dichotomie bien / mal primaire, et sujette à caution quant aux critères moraux (non explicités bien sûr) qui permettent de distinguer entre le bien et le mal. Pourtant la mise en œuvre du concept est réalisée de manière à éviter de trébucher sur les limites inhérentes à cette éradication du mal dans l'esprit humain. Le lecteur peut même comprendre que des individus continuent à avoir des comportements agressifs (les soldats du QZE) puisqu'ils ne le sont qu'en situation de combat, contre des individus susceptibles de causer des violences, de nuire à la sécurité des citoyens.



Le début du récit est un peu pataud, le scénariste présentant les concepts de manière très explicites et pas à pas pour être sûr de ne perdre aucun lecteur en route, au cas où il aurait affaire avec des individus à la comprenette limitée. D'un autre côté, cela laisse tout loisir au lecteur d'admirer le travail de Pasarin et Ryan. Par la force des choses, l'auteur a recours aux ressorts habituels des romans : relation amoureuse avec proposition de mariage, héros qui doute, incurable non identifié, réalité de la société des incurables, secrets cachés, assaut donné à la Maison Blanche. L'intrigue est déroulée de manière linéaire et chronologique, plusieurs rebondissements et révélations se sentent venir de loin, mais rien de catastrophique.



Par contre le lecteur se rend compte qu'il ne s'attache pas aux personnages. Quand le capitaine Matthew Huxley se prend la tête entre les mains pour pleurer son ami tombé au combat, ou cogne contre son casier pour extérioriser sa rage, le lecteur le voit comme un fait, sans empathie pour le personnage, sans ressentir son émotion. Quand le même Huxley et Nora Presley échangent des confidences et des promesses, il s'agit à nouveau d'une prise d'information, sans grande émotion. Les dialogues restent à un niveau fonctionnel, sans réussir à faire passer la personnalité des protagonistes. Du coup, les ficelles utilisées en termes narratifs restent à nu, et elles apparaissent comme des grosses ficelles en l'absence de personnages incarnés.



Malgré les efforts conséquents, l'investissement sur chaque page et le talent de Fernando Pasarin, Matt Ryan et Paul Mounts le lecteur n'arrive pas à se projeter dans des personnages stéréotypés. Du coup, c'est l'ensemble du récit qui en prend un coup dans l'aile. En l'absence d'accroche émotionnelle, il ne reste plus qu'une intrigue convenue, enchaînant mécaniquement les séquences attendues, du rebelle Holton Gray qui se révèle être progressiste, au commandant Answar qui s'avère être psychorigide. Certes, Daniel H. Wilson a bien pensé à montrer la société qui s'est établie au sein des incurables, mais elle n'a rien de particulier, pas de conséquence liée au virus Malnoro. Sans surprise le récit s'achemine vers des retournements d'allégeance qui n'intéressent plus le lecteur, et vers le principe qu'il n'est pas viable d'exclure une frange de la population pour bâtir une société.



Malgré la formidable prestation graphique de Fernando Pasarin, Matt Ryan et Paul Mounts, le lecteur progresse dans un récit plan-plan, utilisant les ressorts romanesques les plus usuels, sans réussir à faire exister les personnages, pour développer un thème basique.
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Les Fils de la Louve, tome 2 : La Louve de ..

Luca Fontana, jeune étudiant originaire de Turin, s'est installé à Rome pour y poursuivre sa thèse en histoire de l'art. Mais rapidement il fait d'étranges rencontres et se retrouvent à plusieurs reprises plongé à l'époque de la Rome antique.Dans ce 2nd tome, Luca est à nouveau mêlé à un sanglante intrigue à l'époque de Néron l'empereur incendiaire. Les auteurs ont su maintenir le niveau de qualité du 1er volume dans ce second tome. Le dessin dans le plus pur style de la ligne claire est magistral et l'histoire permet une intéressante immersion dans l'antiquité romaine soutenu par le suspens des aventures du jeune héros.
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Les Fils de la Louve, tome 2 : La Louve de ..

Ce livre est écrit par "Weber", pas Bernard Werber.
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Green Lantern Showcase, tome 1

Graphiquement, les dessinateurs choisis sont à la hauteur de l'affaire. Ils nous en mettent plein la vue avec de nombreuses scènes spectaculaires.
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Deathstroke Rebirth, tome 7

Pour sa fin, le tome 7 de Deathstroke Rebirth montre un Chrisopher Priest toujours à l’aise pour explorer la famille Wilson. S’il parvient à s’insérer dans les concepts les plus flingués de DC Comics avec une aisance remarquable, son discours tourne en rond et se fait parfois complexe pour rien.
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Les Fils de la Louve, tome 3 : La Louve du ..

«La Louve du Vatican» est le troisième des cinq tomes que devrait compter cette série de la collection Polyptique du Lombard.



La trame de l’histoire de ce nouveau tome est la même que pour les deux précédents : un nouveau voyage dans le temps afin de plonger le héros de la saga dans la riche histoire de Rome. Le premier tome envoyait Luca en 44 avant J.C., juste avant le meurtre de Jules César. Le deuxième le propulsait en compagnie de l’empereur Néron en 64 après J.C. (Jésus-Christ pas Jules César), année du grand incendie de Rome. Ce troisième volet l’expédie en 1492, juste après la mort du pape Innocent VIII, afin que l’on puisse assister au combat que se livrent les cardinaux Julien Della Rovere et Rodrigue Borgia afin d’accéder au règne papal.



Le passage historique s’avère une nouvelle fois très intéressant. Le fil rouge de cette série, qui permet à Luca de voyager à travers les différentes périodes de Rome, est par contre beaucoup moins convainquant. Il y a d’abord les mystérieux fils de la louve dont les actions défient le temps et dont on ne sait encore quasiment rien. A chaque époque, on retrouve des types déguisés en loups, qui installent un climat de terreur en tuant des innocents et qui semblent préparer le terrain pour Luca. C’est pour le moins étrange et je commence un peu à craindre l’explication finale. Et puis, il y a Luca, qui a la fâcheuse tendance à se souvenir de ses cours d’histoire, seulement quelques pages avant la fin de chaque album. Et, last but not least, il y a ces mystérieux voyages à travers le temps qui plongent ce récit historique dans le fantastique et qui demeurent également inexpliqués. Bref, malgré un aspect historique didactique, le scénario demeure encore beaucoup trop nébuleux.



Au niveau du graphisme, le côté historique et la revisite de ces pages de l’histoire par Patrick Weber est très bien représenté par le jeune dessinateur espagnol Fernando Pasarin, dont le dessin réaliste sied parfaitement à ce thriller historique.



Bref, si l’aspect historique de cette série est très convainquant, les éléments ésotériques et fantastiques ont malheureusement beaucoup plus de mal à tenir la route.

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Les Fils de la Louve, tome 2 : La Louve de ..

Tous les chemins mènent à Rome et en particulier pendant ce mois de juin 2006, avec la parution du cinquième tome de "Murena" et du deuxième tome de cette série qui devrait en compter cinq au total.



La trame de l’histoire de ce second tome est la même que pour le premier tome : un nouveau voyage dans le temps pour à nouveau se retrouver dans la Rome antique. Après le petit voyage à la fin sanglante de notre jeune passionné de la Rome antique en 44 avant J.C. et le meurtre inévitable de Jules César, il se retrouve maintenant en face de l’empereur Néron en 64 après J.C. (Jésus-Christ pas Jules César :)), année du grand incendie de Rome.



Ce côté historique et la revisite de ces pages de l’histoire par Patrick Weber est intéressante et admirablement représenté par le jeune dessinateur espagnol Fernando Pasarin, dont le dessin réaliste sied parfaitement à ce thriller historique.



Ce qui n’a pas encore réussi à me combler dans cette série, c’est le côté fantastique et les voyages dans le temps de Luca. Mais il reste 3 albums aux auteurs pour me faire changer d’avis sur ce point.

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Les fils de la louve, tome 1 : La louve de ..

Un étudiant en archéologie est projeté malgré lui sous la Rome antique et va tenter d’empecher le complot contre Jules César d’aboutir au meurtre de ce dernier par Brutus. Une intrigue classique mais efficace, dans une atmosphère de trahison, plongée dans le quotidien de l’antiquité romaine.



Le dessin de Pasarin, légèrement figé, se prete mieux à l’époque antique et ne m’a donc dérangé qu’en débût de tome (le dessin du loup qui fait dévier la voiture dans l’arbre vaut le détour). Voilà un premier tome, vaguant entre l’ésotérisme, le polar fantastique et l’aventure, qui laisse présager un developpement intéressant de l’histoire dans les 4 tomes suivants. Alea iacta est ...
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Deathstroke Rebirth, tome 7

Un dernier acte autour de la famille et de l'impossible rédemption convaincant, à l'image d'une série qui nous a surpris plus d'une fois.
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