La contemplation ouvre le regard et le cœur, elle chasse la lassitude et le sentiment de vide existentiel qui nous étreint parfois.
(Psychologies HS bien-être)
Peur, incertitude et découragement, manque d’intérêt pour le présent, solitude, hyperréceptivité aux influences, abattement et désespoir, ou encore préoccupation excessive d’autrui… Chacun de ces états, chronique ou permanent, signe d’un divorce entre l’âme et la personnalité, est facteur de troubles émotionnels favorisant à plus ou moins long terme l’installation de la maladie.
La question à méditer :
De qui ai-je peur quand je me mens ?