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Critiques de Francesco Pittau (127)
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Les contraires

Voici un album très intéressant pour les enfants de l'âge de la maternelle. On y découvre sur trente-cinq doubles pages deux mots de sens contraire ou généralement utilisés pour distinguer deux états.



Pas toujours facile d'illustrer certaines notions abstraites. Les auteurs ont donc pris le parti, avec beaucoup d'humour, de partir toujours d'un éléphant. Vous imaginez la drôlerie que cela peut occasionner quand il s'agit d'illustrer des contraires comme solide-liquide, addition-soustraction, froissé-repassé, etc.



Les enfants aiment beaucoup et c'est très utile pour leur faire affiner le vocabulaire. Par exemple, grand et long ou large et gros qui sont souvent utilisés l'un pour l'autre.



Rien qu'au dessin, les enfants non lecteurs mémorisent très bien ces soixante-dix mots contraires. On peut évidemment trouver une certaine limite à n'utiliser toujours que le biais de l'éléphant, notamment pour des notions comme frais-pourri, ou simple-compliqué, ou encore intelligent-bête mais dans l'ensemble, le livre fonctionne très bien et c'est ce qu'on lui demande.



Mais ce n'est qu'un avis, auquel on pourrait trouver beaucoup d'avis contraires, donc, ce n'est probablement pas grand-chose.
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Tête-dure

Tête-Dure, c’est Maman qui lui a donné ce surnom parce qu’il ne se plaint jamais. Et pourtant, il pourrait. Car tout ce qu’il voit ou entend de ses parents l’émeut, le transperce, l’afflige et lui fait mal.

Papa est un râleur né. Avec lui rien ne va. Les gens sont tous des cons. Il hait les capitalistes, les Américains, les Grecs et surtout les Français. Et s’il est venu ici travailler c’est uniquement parce que ce pays avait besoin de lui et qu’il a tout appris à ces ignares de Français. Et puis la politique c’est un vrai foutoir, avec cette menace de guerre à cause des missiles russes à Cuba. Ça hérisse Papa cette possible guerre, alors il boit, il fume.

Quant à Maman, elle ne supporte plus la vie avec Papa, le manque d’amour et d’argent constants, et d’être toujours à la maison à attendre le retour de Papa, préparer le repas, faire le ménage et Papa jamais content. Alors Tête-Dure encaisse ses mouvements d’humeur qu’elle a bien du mal à diriger vers le seul responsable.

C’est difficile pour Tête-Dure d’être seul au milieu de tout ça, d’essayer de comprendre les adultes et de servir de tampon entre ses parents. Alors, il se tait, se cache sous la table abrité par les franges de la nappe, et vit dans son imagination des histoires fantastiques d’indien capable de traverser le désert sans boire ni manger ou de piloter un magnifique camion rouge...

Ha si seulement demain pouvait être un autre jour !



Voilà un roman qui se lit très vite et qui vous fend le coeur.

Il se lit vite car l’histoire est bâtie sur un week-end, celui du 27 et 28 octobre 1962, date que l’Histoire a retenu pour la tension qui régnait entre Américains et Russes à propos des missiles installés à Cuba.

Il vous fend le coeur car il est à hauteur d’enfant, victime innocente des enjeux familiaux. Ce petit garçon qui ne pleure pas et ne dit rien, a bien retenu la leçon de Papa « un homme ça ne pleure pas » et à travers son histoire, nous est contée celle des travailleurs immigrés italiens, des familles dont les pères sont abrutis de travail et les mères abruties par la dictature maritale.



Merci à Babelio et aux éditions Buchet-Chastel pour cette découverte. Un auteur à la plume imaginative qui convoque immédiatement les images et l’ambiance sonore grâce au choix des mots.

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C'est dingue !

Un livre surprise qui nous présente deux éléments sur la page de gauche et une transformation, une combinaison de ces deux éléments sur la page de droite.

Je m'explique :

à gauche, nous sont présentés "une mouche+ une seringue"

à droite, "ça fait un moustique"...

Et pour noter la surprise obtenue, chaque fois cette petite phrase "C'est dingue".

Et cela se passe de même avec 13 combinaisons différentes admirablement illustrées.

Chez nous, il est passé entre toutes les mains des plus jeunes qui savaient se raconter tout haut le livre en poussant un "C'est dingue" à chaque page.

Un très beau petit album avec les deux dernières pages qui présentent deux associations fort différentes des pages précédentes.
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Longtemps et des poussières...

1970, une banlieue boraine où jouent et rêvent de jeunes ritals. le nouveau venu, Gio, Mario, obnubilé par le fric, le Gros et ses fantasmes, et Tony, le 'grand' qui les terrorise.



L'ambiance est bien rendue, les filles et des bagarres, et la nouvelle autoroute qui menace le quartier.



On se doute que l'auteur s'inspire de son vécu mais je n'ai ressenti aucune chaleur, aucune nostalgie et le récit m'a paru froid et un peu lourd.

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Le Noël du loup

Chouette, encore une histoire de loup affamé !

En mode 'conte revisité', évidemment, pas 'reportage animalier', et avec un graphisme comme j'aime, à la fois simple et expressif : la tête du loup efflanqué, la bouille et les postures du cochon bien rose, bien rond.

Texte rythmé par des rimes, intrigue avec répétition et crescendo pour le suspense et et les frissons. De quoi réjouir les petits lecteurs/auditeurs. Et rien de plus gore dans cette histoire que dans les célèbres contes traditionnels avec un loup prédateur.



J'ai adoré de la première à la dernière page... non incluse.

C'est quoi cette fin en queue de poisson ?



Formellement déconseillé aux parents...



• Merci aux 3 J pour le partage ! 😊
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Petit garçon

Il paraît que Roald Dahl a dit que savoir captiver les jeunes lecteurs exige d’« avoir préservé deux caractéristiques fondamentales de ses huit ans : la curiosité et l’imagination ». Pour avoir le bonheur de côtoyer quotidiennement un spécimen, je peux confirmer que ces deux propriétés font tout le charme de cet âge-là. Expériences de physique dans le bain, raisonnements absurdes suivis aussi loin que possible, jeux si prenants qu’ils en deviennent parfaitement sérieux, composition de blagues, examen des hypothèses les plus délirantes, fous-rire, bavardages imaginaires avec les peluches qui ont chacune leur nom à coucher dehors et leur personnalité, longs moments de contemplation rêveuse en cultivant des plantes carnivores, histoires sans fin déclamées jusqu’à s’effondrer de sommeil… Je dois bien admettre que toute cette énergie n’est pas toujours de tout repos et que je mesure souvent à quel point mes huit ans sont loin. Certains auteurs parviennent toutefois merveilleusement à réveiller l’esprit de l’enfance chez leurs lecteurs de tous âges et à bouleverser leur imaginaire. Leurs mots illuminent nos lectures du soir, nous permettant, le temps d’un livre, d’avoir le même âge, de rire sous cape et de vagabonder dans des territoires où tout est possible.



C’est précisément ce plaisir partagé qui a fait tout le charme de la lecture à voix haute de ce Petit Garçon, de Francesco Pittau, qui paraît aujourd’hui dans la magnifique collection Petite Polynie des éditions MeMo. Ce garçonnet nous a entraînés, mon fils et moi, dans un univers malicieux où les idées fusent, la magie se déploie et les choses s’animent. Là bas, chaque jour apporte son lot d’émotions, de surprises et d’expériences fantaisistes qui se dégustent avec bonheur et de nombreux éclats de rire ! Comme ce jour où le mouflet a dû traquer son vrai reflet, parti en vadrouille, où lorsqu’il s’était transformé en mouche. Ou encore la fois où il s’est fait réprimander par les motifs de son dessin qu’il avait certes un peu bâclé ! Un monde que nous découvrons à hauteur d’enfant. Un enfant encore petit dans ce vaste monde. Mais qui grandit, mine de rien…



Nous avons beaucoup ri des (més-)aventures du petit garçon qui ont complètement parlé à mon fils qui a souhaité les relire seul. Les illustrations crayonnées de Catherine Chardonnay, un brin loufoques, donnent la touche finale à l’univers enfantin du roman.
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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Oxiseau

Oxiseau est un livre animé d'une grande beauté et d'une grande inventivité !



Les illustrations sont sublimes. Il y a celles qui font penser aux planches ornithologiques d'autrefois et qui permettent au lecteur d'avoir une image très réaliste de l'oiseau. Ces gravures sont réhaussées de couleurs éclatantes et, par leur côté rétro, entrent en décalage avec les illustrations plus modernes en noir et blanc, qui jouent sur les silhouettes.



Un soin particulier a été apporté à l'agencement des rabats. Parfois il s'agit d'une page entière à déplier ; une autre fois de rabats disposés en plumage qui permettent, lorsqu'on les soulève, de voir à quel animal appartient la plume ; ou encore de rabats en forme de puzzle avec un trou sur chaque pièce, permettant ainsi au lecteur de tenter de deviner qui se cache en-dessous. C'est d'une une grande modernité et cela fait de ce livre un documentaire particulièrement ludique !



Un documentaire oui, car au fond c'est bien de cela qu'il s'agit. On découvre, au fur et à mesure de cette lecture-jeu, plusieurs espèces d'oiseaux, des plus grands aux plus petits, comment sont leurs plumes, quels oeufs ils pondent, quelles caractéristiques les différencient les uns des autres, quels noms ils portent...



C'est l'harmonie entre les illustrations, l'agencement des rabats et ce que l'on apprend qui rend cet album dynamique et extrêmement ludique. Un sans faute et un très bel objet pour les éditions Les Grandes Personnes !
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C'est dingue !

Grands et petits sont fans de ce petit album, c'est dingue !

Pas de longs blablas, pas de dessins aux multiples détails, ici on va droit au but : ceci + cela = surprise !

Très bon concept, original, qui développe le vocabulaire, la mémoire, et surtout l'imagination de nos ptits bouts !

Pas forcément la meilleure lecture avant d'aller au dodo... car elle stimule et excite quelque peu les petites têtes, mais en journée, top top !

Quant à la fin du livre, ... en décalage avec le reste, mais très bien trouvée !!!

Le mot "dingue" est définitivement acquis pour ma ptite puce de pas deux ans ! ;)
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Le pays gris

Il était une fois, dans un pays gris, un éléphant gris et une souris grise qui vivaient ensemble en toute harmonie dans une maison grise. Ils s'aimaient, et se comprenaient. Mais un jour, l'éléphant en a assez de tout ce gris qui l'entoure et il part pour un pays lointain, un pays sans souris, un pays coloré où vivent plein d'autres animaux aux couleurs variées. Il décide de s'y installer avec eux. Comme eux, il fait l'idiot tout le temps, jusqu'au jour où... les événements lui prouveront que les compagnons de jeux sont toujours là pour s’amuser mais qu’il peut arriver qu’ils n’y soient absolument plus quand on a seulement besoin de leur affection et de leur soutien… alors l’éléphant repense à la souris grise et se rend compte à quel point il était heureux à ses côtés, et n’a plus qu’une hâte, aller la retrouver !

Mon avis : C’est le titre de cet album qui m’a vraiment attirée vers lui, comme un souvenir d’enfance, comme une nostalgie de ma région d’origine ; titre indiqué au dessus d’une maison de bois grise entourée d’arbres plus gris que verts ; mais les fenêtres laissent passer la lumière et l’éléphant et la souris qui s’y tiennent sont rayonnants de bonheur malgré la douleur dentaire qui les oblige à porter chacun un foulard autour des mâchoires. L’histoire se découpe en trois parties, comme vous le laisse facilement deviner mon résumé, chaque fin de partie introduisant la suivante. En la lisant, on ne peut s’empêcher de penser à plusieurs proverbes populaires du style : « tout ce qui brille n’est pas d’or » ou « il n’est jamais trop tard pour bien faire »… Un récit qui invite à se méfier des apparences (si le gris et l’ennui sont des mots qui riment, ils ne vont pas forcément de paire…), et à reconnaître ce qui nous tient à cœur pour ne pas le mettre en péril sur un coup de tête…. Un récit qui invite aussi à être capables de se dire « je me suis trompé de chemin, je fais quoi ; je m’obstine quitte à me nuire aussi, ou je tâche de réparer cette erreur, au moins pour moi… »… Les illustrations sont simples et enfantines, elles pourraient permettre une exploitation en art plastique suite à la lecture du livre. Le début et la fin de l’ouvrage ont bien évidemment une prépondérance de nuances diverses de gris (hormis le jaune pour la lumière s’échappant des fenêtres et le rouge pour les foulards) ; seule la partie centrale utilise à profusion les autres couleurs, jusqu’au moment où les pensées de l’éléphant vont réintroduire les teintes de gris. La police choisie pour le texte est composée de gros caractères, style large vision, mais fait penser à une écriture d’enfant. Un album à raconter quand le soir tombe sur la maisonnée après un jour de pluie…

Public : à partir de quatre – cinq ans.

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Thomas et la jupe

Enfin un album qui prend le contre-poids des albums genré de manière simple et directe : et oui Thomas est un petit garçon qui n'aime pas le foot et aime se déguiser et c'est ça qui permet aussi de vivre une enfance riche, épanouie et constructive. Pittau a brillamment réussi cette exercice d'ouverture d'esprit en variant autant sur les couleurs choisies que sur chaque mot pesé pour un discours simple et percutant. Un album à partager pour avancer dans les égalités hommes-femmes.
Lien : http://www.liresousletilleul..
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La grenouille et le crocodile

Une série de petits livres vraiment sympa.

L'idée de départ est assez originale, on nous présente des "morceaux" d'animaux et on nous demande ce qu'on peut faire avec ça. Puis une fois les 2 animaux fabriqués s'en suit une courte aventure toujours très drôle!
Lien : http://latetedelart2.blogspo..
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Le Noël du loup

Un album déniché à la bibliothèque qui date de 1996 et qui m'a intrigué par son contenu. du coup j'ai été voir les avis sur babelio... Et il n'y en avait pas !

C'est un petit album dont toutes les pages ont un fond brun/gris parsemées de quelques flocons de neige. Comme souvent le loup a faim, comme toujours il va chercher quelques animaux à boulotter. C'est un loup et le végan il ne connait pas.

" C'est bientôt Noël.

Il fait froid, il neige.... "

Et là ce n'est pas un loup ridicule qui va se faire avoir. Il fait bombance ce loup un peu en avance sur Noël.

Un conte totalement immoral, car ce loup n'a aucune reconnaissance quand on l'aide et une fin assez surprenante.

"Une histoire qui se termine bien".

Je n'en suis pas convaincue. Une histoire de noël qui dénote un peu dans la production jeunesse. Humour noir c'est certain ! de quoi faire peur aux petits qui craignent déjà le loup . Mais pas pire que la petit fille aux allumettes...







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Les contraires

Sur chaque page, un éléphant est dessiné, assez grossièrement, au feutre. Le dessin est simple. L'éléphant de la page de gauche fait face à celui de la page de droite, et Pittau et Gervais nous présentent les contraires : haut/bas, Fermé/ouvert, bouché/débouché... 70 termes de vocabulaire, parfois abstraits, traités avec beaucoup d'efficacité et humour et de façon ludique. Je l'ai lu des milliers de fois avec mes enfants.
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La coccinelle et l'araignée

Une série de petits livres vraiment sympa.

L'idée de départ est assez originale, on nous présente des "morceaux" d'animaux et on nous demande ce qu'on peut faire avec ça. Puis une fois les 2 animaux fabriqués s'en suit une courte aventure toujours très drôle!
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Les contraires

Pour ses vingt ans, le Seuil Jeunesse a imaginé en 2012 une très belle édition " collector " - tirage limité, couverture toilée et tiré à part -, un habillage haute couture pour dix albums incontournables de la maison, "Les contraires" a eu ce privilège.

Parmi la bonne trentaine de contraires on trouve ainsi : visible/invisible, bosse/trou, emballé/déballé, carré/rond, droit/tordu, simple/compliqué, plat/montagneux, bouché/débouché, large/étroit, haut/bas, avant/arrière, poils/plumes, à poils/à plumes, gonflé/dégonflé, bouclé/raide (au sujet des cheveux), frais/pourri...

Une façon ludique d'apprendre sans contrainte les contraires à des jeunes de trois à six ans. Un éléphant dont la taille est réadaptée constamment au concept est le support attrayant choisi pour l'objectif fixé.

Chez Bayard était paru en 1996 "A la découverte des contraires" illustré par Thierry Courtin le créateur de T'choupi. Cet ouvrage n'est plus disponible.
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La poule et le ver de terre

Une série de petits livres vraiment sympa.

L'idée de départ est assez originale, on nous présente des "morceaux" d'animaux et on nous demande ce qu'on peut faire avec ça. Puis une fois les 2 animaux fabriqués s'en suit une courte aventure toujours très drôle!
Lien : http://latetedelart2.blogspo..
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Le rhinocéros et le rhinocéros

Une série de petits livres vraiment sympa.

L'idée de départ est assez originale, on nous présente des "morceaux" d'animaux et on nous demande ce qu'on peut faire avec ça. Puis une fois les 2 animaux fabriqués s'en suit une courte aventure toujours très drôle!
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Kakao et le caillou bleu

un petit album tout en couleur pour parler de la jalousie, de l'entraide et de l'amitié aux enfants.

On retrouve les codes et les thématiques que l'on peut observer, en particulier en crèche et les possibilités de désamorcer les conflits.

Ici les deux amis n'ont besoin de personne mais il en est souvent autrement en groupe.
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Une année avec l'ours José

Une couverture hivernale, pour un album pop-up & calendrier perpétuel tout à la fois, qui présente, de double page en double page, chaque mois de l’année dans la vie de l’ours José, en douze tableaux. La couverture du livre est en format portrait, tandis que l’ouvrage se lit en format paysage, avec, pour chaque mois, une scène qui se déploie en volume, accompagnée d’un court texte résumant la quintessence du mois. Le graphisme présente tous les codes des saisons de manière interactive et originale.
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Le moustique et l'hippopotame

Une série de petits livres vraiment sympa.

L'idée de départ est assez originale, on nous présente des "morceaux" d'animaux et on nous demande ce qu'on peut faire avec ça. Puis une fois les 2 animaux fabriqués s'en suit une courte aventure toujours très drôle!
Lien : http://latetedelart2.blogspo..
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