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Citations de François Brune (47)


Donc, la mort n'est pas la mort. Elle n'est qu'un passage à une nouvelle forme de vie, comme une nouvelle naissance. Mais comment ce passage se fait-il? En quoi consiste cette nouvelle existence? Procédons par étapes.
D'abord, il faut le dire, parce qu'il est toujours utile de savoir, pour le cas où... plus exactement pour le moment où il faudra bien faire ce passage : c'est merveilleux de mourir! Reconnaissons honnêtement qu'avant, on peut souffrir et même terriblement. Mais c'est du passage lui-même que je veux parler.
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Certains prétendent que nous ne pouvons faire de découverte scientifique, sur notre terre, que lorsqu’elle a été d’abord faite dans l’au-delà. Ce qui expliquerait peut-être que, très souvent, la même découverte soit faite presque au même moment par des équipes de chercheurs complètement indépendantes.
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L’aspect du monde qui nous entoure, les événements qui s’y déroulent, peuvent très bien n’être qu’une transposition symbolique de nos pensées et de nos sentiments.
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Par la force des choses et pour respecter les termes exacts des messages des vivants de l’au-delà, j’ai été amené à utiliser un vocabulaire qu’une longue tradition de sentimentalisme religieux a vidé de son sens et rendu odieux à beaucoup. Je n’ai pu faire autrement. […] Prenez-les comme des mots de poètes, c’est-à-dire nettoyés de toute scorie.
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Une série d'événements extraordinaires se sont déroulés sur une période de quatre jours, du 9 au 12 décembre 1531, au Nord de la ville de Mexico. Quatre jours qui ont profondément marqué toute l'histoire du Mexique. Il semble qu'ils soient même appelés aujourd'hui, dans la crise religieuse que traverse l'Eglise, à jouer un rôle de plus en plus important à travers le monde entier. Il n'existe certainement aucun endroit dans le monde où Dieu soit intervenu de manière aussi éclatante. Le Pape Benoît XIV l'avait reconnu en s'écriant, à propos de ces apparitions et de l'image miraculeuse de la Vierge : Dieu n'en a fait autant pour aucun peuple. (p.11)
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Il semble d’ailleurs qu’il y ait au moins une autre façon d’accéder aux mondes supérieurs, ou, peut-être, de traverser ce tunnel : en dormant. Beaucoup de nos chers disparus nous affirment que, très souvent, nous les rejoignons pendant notre sommeil. Ce sont alors de vraies retrouvailles provisoires, de doux entretiens, dont malheureusement nous perdons presque toujours le souvenir au réveil.
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Requiescat in pace –qu’il repose en paix, dit toujours le prêtre lors de l’enterrement. La paix dont il s’agit n’est pas précisément un repos. C’est un glissement de sens, dû à une traduction trop littérale, d’abord en grec (eirène), puis en latin (pax) enfin en français (paix) du mot hébreu shalom dont le sens est beaucoup plus riche. C’est la paix, mais aussi le bonheur, la plénitude, la vie. Dans bien des religions, les rites censés assurer le « repos des morts visaient surtout à rassurer les vivants qui n’avaient que trop peur de voir les morts revenir sous forme de fantômes insatisfaits.
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Les différents niveaux de l'au-delà

Beaucoup distinguent sept plans (niveaux ou sphères, tous ces termes sont ici synonymes). Ainsi Georges Morrannier précise-t-il que chacun de ceux-ci comporte à son tour sept paliers. Mais attention, la Terre constitue dans son système le plan zéro et, en fin de parcours, tout le monde n'aboutit pas au septième. Il y a birfurcation après le cinquième vers le sixième ou le septième, ce dernier plan étant réservé aux saints, aux missionnaires, aux moines, aux grands fondateurs de religion ou grands initiés, à tous ceux qui se sont consacrés à Dieu, et qui, selon Georges Morrannier, ont en conséquence renoncé à fonder une famille et à perpétuer la race. On se demande alors où il situe Mahomet, qui était loin d'être célibataire avec ses dix-huit femmes, et même quelle place il accorde aux pasteurs protestants ou aux prêtres orthodoxes, mariés et pourtant consacrés au service de Dieu, ainsi même que tant d'évêques de la primitive Eglise pendant de nombreux siècles, à commencer par saint Pierre. Ajoutons que, la première sphère dans son système étant remplie de criminels, nombre d'entre-nous arriveront, espérons-le, à échapper à cette sphère et peut-être même à la deuxième, pleine de gens encore bien charnels et bien rivés à la terre.
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Si la bande se déroulait lors de l’enregistrement à la vitesse 9,5 à l’audition, on pouvait très bien percevoir aux mêmes endroits trois et même quatre voix de défunts différentes : une à la vitesse de l’enregistrement, donc 9,5 ; une autre à la vitesse accélérée de 19, avec un autre texte mais prononçant à la vitesse normale ; une autre encore avec un troisième texte prononcé à vitesse en déroulant la bande au ralenti, c’est-à-dire à vitesse 4,75 ; et parfois, ce qui est encore plus inexplicable, une quatrième voix, normale, avec un quatrième texte, en faisant passer la bande en marche arrière.
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C'était le 17 septembre 1952. Le père Pellegrino Ernetti, qui se trouvait alors avec lui dans son laboratoire de physique expérimentale, s'en souvient parfaitement et c'est lui qui me l'a raconté lorsque je suis allé le voir dans son monastère San Giorgio Maggiore, à Venise. Ils travaillaient alors ensemble à filtrer des voix pour essayer d'en éliminer les harmoniques. Ils utilisaient pour cela un oscillographe et de vieux magnétophones qui ne fonctionnaient pas encore avec des bandes mais avec des fils. Ceux-ci rompaient tout le temps, nécessitant des opérations délicates et provoquant des pertes de temps. Or, depuis bien des années, depuis la mort de son père, chaque fois que le père Gemelli rencontrait une difficulté quelconque, il avait l'habitude de s'adresser immédiatement à son père défunt en l'appelant familièrement : "Papa, aide moi!" Dans ce travail, les occasions de l'appeler à l'aide ne manquaient pas. Ce jour-là, donc, le fil s'était à nouveau rompu, et, tout en faisant la réparation nécessaire, le père Gemelli avait lancé son appel habituel. C'est alors que, remettant l'appareil en marche, au lieu d'écouter le chant grégorien qu'ils étaient en train d'enregistrer, ces mots se firent entendre, distinctement : "Mais bien sûr que je t'aide, je suis toujours avec toi!"
Le père Gemelli, sur le coup, fut terrorisé. Il commença à trembler et à transpirer. Le père Ernetti l'encouragea cependant à faire un nouvel essai et la même voix se fit alors à nouveau entendre, claire mais un peu ironique : "Mais oui, gros bêta, tu ne vois donc pas que c'est bien moi?" Gros bêta (zuccone), c'était ainsi que son père l'appelait toujours affectueusement.
Les deux religieux se hâtèrent d'aller rendre compte de l'événement à Pie XII. Celui-ci rassura alors le père Gemelli :
"Mon cher Père, soyez tranquille, ceci est un fait strictement scientifique et n'a rien à voir avec le spiritisme ; l'enregistreur est un appareil objectif qu'on ne peut pas suggestionner, il capte et enregistre les vibrations sonores d'où qu'elles viennent. Cette expérience pourra peut-être marquer le début d'une nouvelle étude scientifique pour confirmer la foi dans l'au-delà."
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Dans ce monde spirituel, il n'est pas de divisions du temps telles que le passé,présent et futur,elle se sont contractées en un moment unique,toujours présent,où la vie frissonne selon son véritable sens......
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Tous les cimetières sont vides. On ne le répétera jamais assez. Plus précisément, les tombes ne contiennent que de vieux vêtements en cours de décomposition. Vieux vêtements d'étoffe et vieux vêtements de chair. Infiniment respectables sans doute puisqu'ils ont été les derniers vêtements de ceux que nous aimons. Mais eux sont ailleurs. Sous ces dalles ne gît personne, ne repose personne.
Requiescat in pace : qu'il repose en paix, dit toujours le prêtre lors de l'enterrement. La paix dont il s'agit n'est pas précisément un repos. C'est un glissement de sens, dû à une traduction trop littérale, d'abord en grec (eirènè), puis en latin (pax), enfin en français (paix), du mot hébreu shalom, dont le sens est beaucoup plus riche. C'est la paix, mais aussi le bonheur, la plénitude de vie. Dans bien des religions, les rites censés assurer le "repos" des morts visaient surtout à rassurer les vivants, qui n'avaient que trop peur de voir les morts revenir sous forme de fantômes insatisfaits. Cela a probablement activé ce glissement de sens. On leur souhaite beaucoup plus de rester tranquilles que de vivre dans la plénitude.
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Nous ne sommes responsables que des fautes commises par un endurcissement voulu.
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Certains trépassés vont même jusqu’à dire que nous sommes protégés de l’au-delà à tel point que même nos imprudences sont presque toujours compensées. Mais inversement, quand l’heure est venue, rien ne peut nous retenir.
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L'obscurantisme scientifique, on le sait, n'a rien à envier à l'obscurantisme religieux.
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Par nos sentiments [nos pensées], nous créons sans cesse, et dès ce monde-ci, des forces, des courants d'ondes, des flux, qui, une fois produits, vont continuer leur course indéfiniment, comme des ondes radio émises dans l'espace.
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L’influence de notre conscience est, à chaque niveau, collective. C’est la somme des effluves de toutes les consciences humaines, au-delà du temps et de l’espace, qui donne au monde sa forme actuelle, avec des nuances possibles selon les époques ou les régions.
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Une partie de l’humanité en perdant le goût de vivre crée à son insu dans la structure cosmique l’embryon qui peut précipiter son destin.

-Roland de Jouvenel, Tome V La seconde vie-
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Tous les cimetières sont vides. On ne le répètera jamais assez. Plus précisément, les tombes ne contiennent que de vieux vêtements en cours de décomposition. Vieux vêtements d'étoffe, et vieux vêtements de chair. Infiniment respectables sans doute puisqu'ils ont été les derniers vêtements de ceux que nous aimons. Mais eux sont ailleurs. Sous ces dalles ne gît personne, ne repose personne.
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« Prenez ce livre comme itinéraire. Abandonnez autant que faire se peut vos idées préconçues. N'ayez crainte, si ce livre ne vous transforme pas, vous les retrouverez bien vite. Lisez en tout cas cet ouvrage comme l'histoire d'une découverte fabuleuse et vraie. »
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