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Citations de Fred Hidalgo (25)


Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir,
et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer,
et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions.
Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux
au réveil et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement,
à l'indifférence, aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite simplement d'être vous.

[Jacques BREL, 1968 - cité par Fred Hidalgo, clôturant ainsi son ouvrage de souvenirs : "Jacques Brel - L'aventure commence à l'aurore", éd. L'Archipel, 2013 - page 380]
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Dans l immédiat,donc ,Ne Me Quitte pas est une excellente affaire et Jacques Brel en remercie Gérard Jouannest en lui offrant un piano.Car cette chanson devient,du vivant même du chanteur,un classique international.Son introduction au piano (mi-mi-fa-mi-mi,encore)devient un gimmick qui ,qui sous toutes les latitudes,se reconnaît immédiatement.En français,en anglais,dans dix ou vingt langues,Ne Me Quitte pas suscite des dizaines de versions qui,parfois,émeuve son créateur lui-même.Ainsi,en 1967,le jeune Yves Simon chante en première partie de Jacques Brel au Casino de Vittel.Il raconte :Brel m avait écouté dans la coulisse et il m a invité à dîner dans un night-club.Quand on est entrés dans la boite de nuit,ils passaient la version de Nina Simone de Ne Me Quitte pas.Ca a été un moment très court,peut-être trente secondes :Brel avait les larmes aux yeux.
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Aujourd'hui, les enfants qui vont à l'école dans les cités n'en sortent pas et ne vivent qu'un seul monde où ils n'ont d'autres choix que d'être gagnants où perdants. p364
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Loin d’être une sorte d’appendice à sa vie d’artiste, parachevée avec sept ou huit chansons majeures, sa vie d’être humain dans cet archipel parmi les plus isolés au monde – la « Terre des Hommes », ainsi nommée par ses premiers habitants il y a plus de deux mille ans – aura été plus qu’un aboutissement, un véritable accomplissement. C’est là que l’œuvre de Jacques Brel a pris tout son sens, comme on transforme un essai, légitimée et validée rétrospectivement par ce voyage au bout de la vie ; là, enfin, qu’en allant au bout de sa quête altruiste, au bout de lui-même, l’homme a opéré – vraiment et définitivement – la jonction avec l’artiste.
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Mais sait-on jamais, quand vous rencontrez quelqu'un que vous aimez, que c'est la dernière occasion de le lui dire entre quatre yeux ? p260
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« Il y a des camionneurs qui conduisent des camions, des comptables qui comptent, des accueillants qui accueillent. Moi, je suis chanteur, alors je chante. Voilà. »
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Il est vrai que la médisance et la calomnie sont le passe-temps de l'oisiveté (Marcel Jouhandeau), que l'impuissance de faire mieux se venge par la médisance (Pierre-Claude-Victor Boiste) et que tout le talent de la méchanceté consiste à débiter d'absurdes médisances (Shakespeare). p446
Alexandre Dumas n'assurait-il pas aussi que la calomnie est le ver solitaire de la société ? p448
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Le rouge est la couleur de l'espoir. C'est le sang qui coule dans nos veines la vie qui va, le feu, la colère... p231
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Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir,
et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns.
Je vous d'aimer ce qu'il faut aimer,
et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions.
Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux
au réveil et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement,
à l'indifférence, aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite surtout d'être vous.
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Il n’y a qu’en mer qu’on est peinards ! Et encore !
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La calomnie est une guêpe contre laquelle il ne faut faire aucun mouvement, sans quoi elle revient à la charge, plus furieuse que jamais.
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On ne triomphe de la calomnie qu’en la dédaignant.
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Il y a des tas de choses qu’il n’y a pas, mais on s’aperçoit que ces choses ne servent jamais à rien. Il n’y a pas la télévision, on s’en porte très bien. On lit beaucoup plus, on parle beaucoup plus, on rit beaucoup plus, puisqu’on est obligé de faire soi-même ce qu’éventuellement quelqu’un, un jour, peut faire à la télévision pour vous. Et Dieu sait que c’est rare. Alors on se le fait soi-même. On fait le couillon !
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Pas besoin de faire du sport quand on fait régulièrement le trajet du village à la piste d’aviation ! On se fait tous les muscles. On se cramponne au volant, on serre les fesses près du ravin, et on joue du pied avec finesse constamment. La montée est un rêve à côté de la descente, et je connais bon nombre de gens qui, débarquant par temps de pluie, ont préféré rejoindre le village à pied.
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Il faut être fou ! L’homme n’est pas fait pour rester figé. Il faut arriver par discipline à n’avoir que des tentations relativement nobles. Et, à ce moment-là, il est urgent d’y succomber. Même si c’est dangereux, même si c’est impossible… Surtout si c’est impossible !
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La vie ne subit pas le hasard, écrit le toubib dans son livre sur Brel, elle le provoque.
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On ne se goinfre pas le jour ! Seule la nuit est aux agapes.
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L’ennui, avec les génies, c’est qu’on s’habitue si vite à eux que, lorsqu’ils sont partis, le manque est vraiment immense.
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Faire semblant était au-dessus de ses moyens. Tricher aurait été une injure faite au public.
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Tout le malheur du monde, vient de l’immobilité. Toujours ! On n’est pas fait pour mourir, puisque mourir c’est s’arrêter : tout Brel est là.
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