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Citations de Frédérique Lorient (14)


À quoi bon vivre si l'on m'a vendu... À quoi bon vivre si ma propre fille refuse que je prenne son nouveau-né dans les bras sous prétexte que l'habituer à la douce chaleur humaine en fera un être capricieux et improductif, comme je le suis... Improductif ! J'ai été professeur [des écoles], avant...
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Il n'était même pas capable de lui en vouloir. Quelle détestable capacité que de pouvoir comprendre pourquoi celle que vous aimez vous fait du mal. Comprendre au point de pardonner et de ne ressentir aucune haine, seulement une sorte d'amour féroce, tapi comme une bête fauve. Indélogeable.
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T'es un drôle de mec. Tu donnes l'impression de planer à cent mille. Réveille-toi vite ou tu feras pas long feu. Les bouquins, c'est fini. Les belles histoires, c'est un luxe qu'on ne peut plus se permettre quand il s'agit de savoir si on va crever ou pas.
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Il m'a dit qu'il me défendrait. Mais je ne veux pas qu'on me défende. On ne défend que les coupables et je n'ai rien fait. Je n'ai encore rien fait.
Ne me poussez pas à bout.
Ras-le-bol de courir dans tous les sens comme un lapin effaré.
Ras-le-bol d'avoir peur.
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[...]il avait volé des livres...
Lui qui n'en avait pas ouvert un seul pendant les seize premières années de sa vie ! Les écoles-écrans avaient bien fait leur travail. Il y avait appris les quelques rudiments nécessaires pour travailler sans réflexion ni rébellion pour une usine quelconque. Il aurait parfaitement pu passer sa vie à côté d'une montagne de livres et ne pas ressentir une seule fois l'envie d'en ouvrir un.
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J'ai l'impression de trop entendre, de trop voir, de trop sentir, répondit Cléophée encore plus doucement. ça me fait mal. Même parler, ça résonne en moi et ça me fait mal...
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Page 103-104: "-Vous pouvez vous promener seule, le jour comme de nuit, n'importe où à travers Maya. Les Suris ne vous feront jamais de mal, et je suis même prêt à parier qu'ils mourraient pour vous protéger ou pour vous obéir. [...] Vos cheveux sont blond doré, expliqua patiemment Trree, une belle couleur d'épis mûrs, et leurs boucles très serrées font penser aux ondulations des lignes de grains de maïs. [...] Or les Suris savent reconnaître les signes sacrés. Ils voient le soleil dans le maïs, ils ont vu ce soir une déesse solaire."
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Je me souviens d'un proverbe vachement bien, enchaîna Loé d'une voix rageuse: " Si un type te dit que tu es un cheval, fous-toi de lui. Si deux types te le disent, commence à y réfléchir. Si trois types te disent que tu es un foutu bourrin, fonce au magasin et achète-toi une selle." Moi je te le dis aussi, Dork: T'es qu'un con, doublé d'un salaud. Ca te fait déjà deux avis, Dork. Manque plus que le troisième, et tu pourras aller t'acheter ta parure de con doublé d'un salaud.
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En une seconde, le raz-de-marée fut sur lui: il fut balayé comme un fétu. Le choc vida ses poumons de l'air qu'ils avaient inspiré. Il traversa le passage, emporté par un flot rugissant furieusement et jaillit aussi vite qu'une balle de fusil dans ce qui restait du dôme principal. Car celui-ci n'existait déjà presque plus. Les murs disloqués s'ouvraient comme des fleurs, exhalant vers la surface d'énormes bulles d'air.
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J'ai ramassé une grosse poignée de sable pour la tamiser entre mes doigts entrouverts. Des fragments de nacre, striés, complexes, se mêlaient à des larmes de verre poli dont les traces blanchâtres semblaient avoir été dessinées à la craie. La lumière puissante de l'été jouait dans ces mondes infimes, les révélant puis les éteignant, à mesure que je les faisais crisser en les coulant d'une main à l'autre.
C'est alors que le sable s'est mis à changer.
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Sous ses pieds, le Med dansait, agitant ses tentacules comme ces anciens dieux hindous leurs bras multiples... "Lumière", "Lumière"...
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Tristan avait l'impression que ses yeux avaient fondu dans leurs orbites. Une migraine atroce l'empêchait de penser. Il mourait de soif. Il manipulait tel un robot les différentes commandes. Décollage, hyperespace, pointage. Le temps n'existait plus.
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page73-74
Un fracas de tonnerre retentissait à l'autre bout du camp.
-Maée ! appela-t-il en enfilant rapidement sa combinaison.Les harpies !
La jeune fille se réveilla en sursaut. Elle poussa un cri découvrant Delphie blottie contre elle.
-Tu t'en occupes, hein ? commanda Kaël. Comme si elle était ce que tu as de plus cher au monde.
Elles le fixaient, pâlies par la peur. Il s'efforça de prendre un ton rassurant.
-Ici, vous êtes beaucoup plus en sécurité que l'autre fois. Ce toit est nettement plus solide que celui des hangars collectifs. Surtout, ne quittez la chambre sous aucun prétexte. Si malgré tout, le toit est traversé, planquez-vous sous la table métallique ou au pire, sous le lit. Il enfila son casque et son armure, prit sa matraque, arme dérisoire contre les jets de pierre, et sortit.
Laurine.s
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Un fracas de tonnerre retentissait à l'autre bout du camp.
-Maée ! appela-t-il en enfilant rapidement sa combinaison. Les harpies !
La jeune fille se réveilla en sursaut. Elle poussa un cri découvrant Delphie blottie contre elle.
-Tu t'en occupes, hein ? commanda Kaël. Comme si elle était ce que tu as de plus cher au monde.
Elles le fixaient, pâlies par la peur. Il s'efforça de prendre un ton rassurant.
-Ici, vous êtes beaucoup plus en sécurité que l'autre fois. Ce toit est nettement plus solide que celui des hangars collectifs. Surtout, ne quittez la chambre sous aucun prétexte. Si malgré tout, le toit est traversé, planquez-vous sous la table métallique ou au pire, sous le lit. Il enfila son casque et son armure, prit sa matraque, arme dérisoire contre les jets de pierre, et sortit.
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