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Critiques de Fuyumi Ono (104)
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Les douze royaumes, Livre 1 : La mer de l'o..

Premier tome d'une saga de fantasy monumentale (dans son succès public comme sa réputation), La mer de l'ombre est une surprise en ce sens que la fantasy japonaise, méconnue dans nos contrées (ce ne sont pas les parutions disparates de quelques Guin Saga ou de Brave Story), fait montre ici d'une réelle identité.

Ici, l'héroïne est une collégienne à la chevelure de feu (et les roux étant rares, ils sont souvent déconsidérés par les adultes qui les voient comme des m'as-tu-vu), dépassée par sa vie de famille et scolaire, et qui d'un seul coup va se retrouver prisonnière d'un monde parallèle gorgé de magie et de fantaisie.

Mais pas de séquences d'action démesurées ou d'épopée lyrique : la jeune héroïne va se retrouver chargée d'un destin de princesse, et pas une princesse de conte de fée. Elle va devoir gérer son statut, s'acclimater à une vie politique mouvementée et humainement difficile, se former aux armes, prendre des décisions qui n'influeront pas que sur sa propre vie...

L'écriture est parfois surprenante (mais j'avoue ne pas lire beaucoup de romans adaptés du japonais, donc il est peut-être normal qu'il m'ait fallu un certain temps pour m'y faire), mais fonctionne plutôt agréablement, et si l'héroïne débute l'histoire comme une parfaite nunuche pleurnicheuse, les choses changent rapidement, et elle doit faire front sans tarder.

Une premier tome intriguant, par une auteur phare, et qui bénéficie d'une édition soignée par Milan.
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Les récits d'Obana

Les récits d'Obana ,

Six courtes nouvelles positives , qui nous montres que tout problème à sa solution.



Obana, jeune artisan, est la solution à vos problèmes. Lorsque qu'un phénomène paranormal, des bruits, des visions ou autres ont lieu,

Le jeune artisan trouve la solution la mieux adaptée pour vous , mais également pour l' esprit qui vous hante.

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Les récits d'Obana

6 histoires courtes légèrement horrifiques sur le folklore japonais.

A chaque fois, esprit/yokai hante une maison. Il est décidé de rénover pour améliorer la situation. Et l'entrepreneur fait appel à un jeune qui est sensible au surnaturel et qui propose une résolution en adéquation avec les habitants et les esprits.

C'est plutôt bienveillant. Parfois triste.

Une lecture surprenante pour ce genre de récit !
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Les récits d'Obana

C'est bien la première fois que j'ai en ma possession un manga relié ! C'est du coup un bel objet à ranger dans ma bibliothèque.



Ce recueil est composé de 5 histoires mettant en scène des situations surnaturelles qui troublent les habitants de différentes demeures. Ces 5 récits sont assez différents pour que le lecteur ne trouve pas une certaine monotonie à les enchaîner. Je les ai trouvé juste ce qu'il faut de dérangeant pour frissonner le soir sous la couette, sans pour autant faire des cauchemars. Mme Kato m'a même donné envie découvrir l'oeuvre originale de Mme Ono qui va rejoindre ma wish list !



Côté graphisme, on retrouve le coup de crayon de Kazue Kato : son talent permet vraiment de saisir les émotions des personnages.



Un grand merci à Babelio et à Crunchyroll pour cette superbe découverte.
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Les douze royaumes, Livre 1 : La mer de l'o..

Deuxième bien meilleur que le premier. Un but se forme, l'aventure semble enfin lancée.

Je pense qu'il faut voir ces deux tomes comme un tout sans quoi le récit serait vraiment incomplet.

On rencontre de nouveaux personnages et un dénouement est en vue ! Un peu frustrée par la fin cependant, trop rapide, trop simple.

Dommage.

Je vais quand même lire la suite car elle va porter sur d'autres personnages croisés ou mentionné dont le destin m'intrigue beaucoup !
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Shi Ki, tome 10

De la page 1 à la dernière, on dézingue du vampire. La traque a commencé. Tant que dure le jour, les humains ralliés à la cause du docteur Ozaki sillonne la ville pour débusquer les vampires, qui eux attendent la nuit pour se venger.



C'est inutilement gore. Excessivement répétitif. Sans réelle tension. Et le tome ne sert même pas vraiment de tremplin au tome 11, le dernier d'une saga qui aurait dû se clore en 5 épisodes, à mon avis.
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Shi Ki, tome 5

Le point fort de ce tome 5 est la longue marche des villageois vers le château pour débusquer les vampires. Stupéfaction, ils sont reçus par le châtelain qui montre sa femme et sa fille à la fenêtre... Arnaque bien sûr, mais laquelle?



On découvre que la femme d'Ozaki, revenue au village à l'initiative de la mère du docteur, est de mèche avec l'homme à tout faire du château. Mais quelle est leur combine? Mystère tant qu'à présent. Le personnage de la mère d'Ozaki est également intrigant.



Ozaki et le bonze se disputent, ils commencent à ne plus être d'accord sur la marche à suivre. Le bonze reçoit encore la visite d'une étrange fillette tout en sachant qu'elle est également une Shi Ki, un fantôme ayant encore son enveloppe corporelle. Le bonze commece à se persuader que la disparition du village pourrait ne pas être une mauvaise chose.



Point d'orgue du tome, Natsuno Yùki est traqué par les vampires et a été attaqué par son ami Tooru (alors que Mezugi voulait le mordre la première). Malade, il est visité par Kaori et Akita Tanaka revenus au village pour sauver leur ami. Mais le père de Natsuno les renvoie en leur mentant.



Entre les incrédules, les menteurs, ceux qui sont déjà sous la coupe des vampires... le jeu commence à se complexifier.



Ce n'est pas un grand tome. Il se passe effectivement beaucoup de choses, cela tire dans tous les sens, mais sans doute un peu trop. Cela manque de cohérence et de suite dans les idées. Le dessin continue de me décevoir. Le mélange au sein d'une même case de photo (dense et réaliste) et de dessin parfois simpliste ne fonctionne pas vraiment. En tout cas, ce n'est pas de nature à renforcer l'horreur et la terreur. Que du contraire.
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Shi Ki, tome 4

Enfin un vrai tome dérangeant et glauque. On démarre à la clinique. Une jeune femme censée être morte se tient sous les fenêtres de la clinique, car sa grand-mère s'y trouve. Celle-ci va mieux car le docteur Ozaki et le bonze Muroi sont arrivés à tenir les vampires à distance de la clinique. Mais celle-ci est attaquée par une grosse troupe de morts-vivants. Ils appellent la vieille qui quitte sa chmabre pour la curée. Scène intense et très punch.



Ensuite, on déterre des cadavres. Mais en fait il n'y a personne dans les cercueils. On se balade la nuit. On frissonne. C'est enfin conforme à l'image que veulent donner les auteurs de la série.



Seules ombres au tableau: le personnage de valet des propriétaires du château... bouffon assez insaisissable et peu convaincant, d'une part. Et d'autre part, le dessin. Par rapport au tome 1, on diminue en qualité. Le recours fréquent à des photos retravaillées ne me poserait pas de problème si les ajouts étaient bien intégrés dans l'image. Mais ce n'est pas le cas. Les personnages ajoutés font tache et semblent déplacés le plus souvent. Enfin, les scènes de nuit sont abondantes et parfois il est difficile de distinguer clairement le contenu de la case du premier coup d'oeil.
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Shi Ki, tome 3

Il ne se passe pas grand-chose dans le tome 3. On suit deux humains, personnages-clés du village. D'une part le médecin, titulaire de la clinique, héritage paternel, aidé du bonze local. D'autre part, un ado dont la première victime était amoureuse (et l'est toujours même devenue vampire).



Ces deux camps, sans se concerter, arrivent à la conclusion que les propriétaires du château sont responsables de l'étrange épidémie décimant le village. Ils recherchent les points faibles des vampires. De l'ail à l'invitaiton d'entrer, les auteurs ne nous épargnent aucun poincif du genre. Mais peu d'intensité et pas d'horreur. Un tome pour rien.
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Shi Ki, tome 1

Je cherchais une nouvelle série un peu particulière. J'avais alterné, en manga, le bon, le très bon même, et le beaucoup moins bon.



Sur le papier, Shi Ki a tous les ingrédients intéressants. de l'horreur, de l'étrange, du suspense, un petit côté rural, gothique, décalé avec ce village surplombé par un château occidental rebâti pierre par pierre par une famille zarbi qui donne tous les signes extérieurs d'une douce folie vampirique... je ne spoile rien, j'imagine, j'extrapole...



Mettons là-dessus une épidémie de morts, dont certaines semblent naturelles. Avec quelques cases de corps mangés de vers. Miam. Cela peut être sympa.



Au final, je me tâte... Il y a une progression lente, très maîtrisée, qui place l'atmosphère. C'est inquiétant, mais sans plus. La faute aux effets "type manga", trop prévisibles. Trop d'effets tue l'effet... en quelque sorte. Surtout avec ces tronches aux expressions surdimensionnées pour jouer la colère, l'angoisse, la joie... On est parfois à la limite de Candy, le dessin animé nunuche.



Côté dessin, c'est très inégal aussi. On peut passer de cases hyper travaillées à partir de photos (j'aime bien le rendu de ces dessins très réalistes quand c'est bien fait, comme dans The Last Hero) à des dessins hyper simplistes sans décor et au trait dépouillé. C'est un style, je n'en disconviens pas, mais cela ne m'attire pas. D'autant plus que cela casse le rythme et l'aspect étrange que le scénario amène. On peut passer de planches/cases qui rappellent une ambiance à la Lovecraft à d'autres qui font "dessin animé bas de gamme" (style Club Dorothée ou Récré A2, pour les vieux...). Par ailleurs, l'absence de personnes âgées me gêne toujours dans les mangas. Cela peut être un parti pris. Mais ici, c'est juste une pure (et bête) application des codes du manga ou une incapacité à rendre l'âge... tout le monde semble jeune, même les vieillards. Je n'adhère pas.



Mention "médiocre" également pour les personnages auxquels je n'ai pas réussi à m'attacher. Psychologie peu fouillée et profil plat le plus souvent. Si le village de Sotoba était rayé de la carte, cela ne me ferait ni chaud ni froid... C'est mauvais signe.



Bref, je reste un peu dans l'expectative et je demande à voir.
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Shi Ki, tome 1

Je me suis laissé tenter par cette série grâce à la librairie qui est à côté de mon travail.

J'avais entendu de bon avis que ce soit pour l'anime ou pour le manga, je me suis donc laissé emporté par l'univers sombre de Shi Ki.

Dès l'ouverture de celui-ci, on tombe sur une image en couleur la seule qui va donner un peu de gaieté à la série..

j'ai particulièrement préféré l'atmosphère du manga ou quelques scènes d'action sont présentes.

L'auteur arrive parfaitement à représenter l'angoisse grâce aux côtés sombres des cases.

D'ailleurs, Ono Fuyumi montre dès le début l'univers qu'il veut représenter.

De nombreux décès font surface en peu de temps ce qui fait penser comme à une épidémie, mais sans grande raison qui pourrait confirmer le sujet.

Nous n'avons pas d'autres informations sur le manga à part que la cause des nombreux décès serait de cause naturel .. Mais cette idée se fera oublier au fil des pages...

Malheureusement, j'ai été assez déçu par le cadrage et les coupes des personnages.

On a un cadrage ou aucun dessin ne dépasse très carré et trop remplie qui à force m'ont rendu cette lecture très fatigante.

Des coupes cliché style '' Pokémon'' enfantin et pas à mon goût.

L'auteur montre un dessin avec des personnages assez enfantins qui ne sont pas spécialement adaptés au thème, cela donne quand même une originalité à la série.

D'ailleurs soit on n'aime ou non le style du mangaka.

J'ai quand même mis du temps avant d'apprécier son style de dessin, mais ce n'est pas non plus affreux.

Cela reste un tome d'introduction ou les personnages sont plats et sans vraiment d'âme due à l'atmosphère glaciale.

À la fin du manga, on peut apercevoir un registre des personnages et des décès pour comprendre et mieux suivre le manga.

Je reste mitigé par cette lecture, je me prendrais quand même la suite et si vous n'êtes pas convaincu entièrement par mon avis, je vous laisse visionner l'anime de Shi ki qui pourra vous faire réfléchir si oui, ou non cet univers pourrait vous plaire.

En conclusion, le scénario est lent avec des personnages plats, mais les thèmes et le côté sombre du manga me donnent l'envie de me procurer la suite.
Lien : https://mangastra.blogspot.f..
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Les douze royaumes, Livre 1 : La mer de l'o..

Ce premier tome des Douze Royaumes est peut-être le plus classique de la série.



Yôko est une jeune lycéenne japonaise hantée par des cauchemars peuplés de créatures démoniaques. Elle se retrouve propulsée dans un autre univers, celui des Douze Royaumes, par l'intervention d'un étrange individu : Keiki, venu depuis l'autre monde pour lui prêter allégeance. Séparée de ce dernier à son arrivée sur les Douze Royaumes, chassée par les habitants et traquée par les autorités, attaquée sans relâche par des démons, Yôko cherchera désespérément le moyen de survivre et de rentrer chez elle...



Classique par son intrigue peut-être, ce premier tome est cependant loin de l'être par le traitement qu'il en propose, et encore moins par l'univers dont il dessine les bases.



Les Douze Royaumes, c'est avant tout un univers extrêmement riche et codifié, une fresque intelligente et dense, dont les personnages, les environnements et les intrigues sont fouillés, travaillés, recherchés. Yôko est l'héroïne du premier livre, mais d'autres la remplaceront pour les tomes suivants (même si nous la retrouverons plus tard, tour à tour personnage secondaire ou héroïne) La diversité des points de vue donne du corps à cette série. On y suit les aventures de certains Kirin ou de certains Rois, d'autres étrangers arrivés comme Yôko dans les Douze Royaumes, etc.



Les Douze Royaumes, c'est également une saga dépaysante, une fantasy japonaise dont on découvre les codes avec ravissement. Le style est parfois un peu simple, mais jamais il ne dessert la fabuleuse histoire de Fuyumi Ono. Je recommande : à lire sans modération !
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Les douze royaumes, Livre 1 : La mer de l'o..

Les douze royaumes sont une série totalement fascinante. On suit les aventures de plusieurs personnages, dans différents pays, tous évoluant dans un monde fantastique. Ce sont souvent des histoires liés aux monarques de ces pays. Ces tomes valent vraiment le coup, chaque histoire (qui peut être en un ou deux tomes) nous fait découvrir des personnages travaillés en profondeur, convaincants et attachants. A lire à tout prix, surtout pour ceux qui aiment les ambiances un peu asiatiques!
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Les douze royaumes, Livre 3 : La majesté des ..

Un peu long à se mettre en route... mais arrivé à peu près à la moitié (bon il faut déjà y arriver), l'histoire s'accélère et devient vraiment très intéressante. J'ai particulièrement aimé certaines scènes de la fin.



Bon c'est vrai que j'aime bien le roi de En et Rokuta, donc le fait que ce tome soit centré sur eux ne m'a pas dérangé du tout. En contrepartie je trouve que le roi passe pour un idiot un peu trop longtemps. On sait déjà ce qu'est devenu le royaume de En, alors il ne doit pas être si stupide ;-)
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Les douze royaumes, Livre 1 : La mer de l'o..

J'ai vraiment bien aimé ce volume, l'histoire va vite (peut être un peu trop sur la fin même... mais bon... ) et on en apprend beaucoup plus sur les 12 royaumes.



Bon par contre les passages où Yoko se prend la tête avec elle même sont peut être un peu trop nombreux...

Sinon... le roi de En est bien marrant !

Vite la suite!
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Les douze royaumes, Livre 1 : La mer de l'o..



Il est vraiment rare qu'une héroïne soit aussi agaçante que cette Yoko. Et malheureusement l'histoire est tout à fait centrée sur elle, ses sentiments, ses indécisions, ses incertitudes, ses réflexions (enfin, vous avez compris). Certes il s'agit d'un roman initiatique, donc il serait normal que Yoko soit mièvre au début de l'histoire, si seulement elle finissait par gagner en maturité. Car au final, à part ses problèmes existentiels, il ne se passe finalement pas grand chose (les phases d'action étant souvent expédiées en deux phrases, au “profit” de la réflexion). Cependant, j'ai été assez surprise par le contraste entre la niaiserie du personnage (et de l'écriture) et la violence des scènes décrites, en particuliers dans les premiers chapitres.

Lire la suite : http://www.bizzetmiel.com/2012/10/fuyumi-ono-12-royaumes-livre-1-la-mer.html
Lien : http://www.bizzetmiel.com/20..
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Shi Ki, tome 3

Je suis de plus en plus bluffée par le graphisme de cette série. Le travail des noirs est époustouflant de maîtrise et rien que pour cela je donne une super note à ce tome, sans compter que l'histoire prend ici un nouveau tournant. Les personnages trouvent un peu plus leurs marques que dans les épisodes précédents et leur rôle respectif commence à se dévoiler. Un très bon tome qui donne envie de poursuivre avec cette série.
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Shi Ki, tome 2

Je suis toujours aussi admirative du travail réalisé sur les ombres, les noirs et les contrastes. Le graphisme est particulièrement intéressant et je pourrai presque me passer de l'histoire tellement j'aime le dessin et le travail du dessinateur. Chaque détail sonne juste et la recherche sur l'ombre et la lumière est vraiment bluffant. Je poursuis donc l'aventure avec Shi Ki.
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Les douze royaumes, Livre 1 : La mer de l'o..

Pour un premier tome, il est bien mystérieux, on ne sait que peu de choses sur le royaume où Yôko a atterri. Les créatures fantastiques sont belles comme pour la femme-oiseau ou d’autres ignobles par exemple les chiens. Jôyû m’a fait penser aux Ames vagabondes. Yôkô est un personnage attachant malgré ses plaintes, elle est humaine et n’aime pas combattre. Keiki est très mystérieux, les autres personnages que Yôkô rencontre sont totalement ignobles, ça pourrait refléter “on ne peut faire confiance à personne”. Ce roman est assez contemplatif malgré quelques scènes de combat (qui m’ont parfois écœurées), il met en place l’univers qui semble passionnant. Le singe bleu est détestable à pousser Yôkô au suicide il va loin ! J’ai beaucoup aimé l’idée de la pierre qui “guérit les maladies, soulage la douleur et la fatigue” et aussi les évènements dans l’autre monde grâce au reflet de l’épée. Le format, tout petit de la taille d’une main, très pratique et mignon, on pourrait croire que c’est un manga, mais non c’est un roman de 300 pages, rapidement lu avec ce format.



Un roman que j’ai aimé malgré tout, je me plongerais dans la suite pour en connaître plus sur cet univers.


Lien : http://novelenn.wordpress.co..
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Shi Ki, tome 2

Et bien il y a du mieux par rapport au volume 1! Déjà comme il y a pas mal de morts, j'arrive mieux à me repérer parmi les personnages vivants que je trouve du coup mieux décrit, plus intéressants (comme le jeune bonze ou le médecin) ;-) Je dois aussi avouer que quand un auteur ose tuer un personnage que j'aime bien (mais pas trop tout de même) l'audace me plait! Je me suis habituée au graphisme, donc moins de gène de ce coté là. Enfin, je comprends un peu mieux ce qu'il se passe.

Un bon deuxième tome pour cette série. J'espère que la suite saura tenir ses promesses.
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