Gilles Gressard

Un livre qui passionne les vrais fans de cinéma .

A la différence du cinéma horrifique , la SF n'a jamais était puérile ou enfantine , il y a toujours eu un grand sérieux dans les vrais films de SF .

L'on peut trouver son bonheur avec la trilogie Matrix , ou avec la SF plus cérébrale de Tarkovski ou Soderbergh quand ils abordent Solaris , ou bien encore avec la science des films de Nolan , la SF à de multiples visages et c'est un genre majeur que ce soit au cinéma ou en littérature .

Ce livre passionnant se propose de faire un état des lieux sur le plan de la scène cinématographique , et c'est un bonheur .

Sur le plan de la découverte pour les amateurs c'est une mine d'or.

Pour autant il ne s'agit point d'un livre pour puristes , chacun trouve son intérêt dans ce passionnant ouvrage qui place au même niveau la SF minimaliste et la bouillie visuelle encensée par une certaine critique .

Un ouvrage captivant et très bien construit , indispensable pour tout les cinéphiles .

L'un des chocs culturels de ma vie survint en 1968 (beaucoup de chocs cette année-là) lorsque je vis "2001:l'odyssée de l'espace".Enfin , moi , fan de SF ,je voyais mes rêves splendidement traduits en images! Ce petit livre retrace l'envol de la SF sur les écrans de Mélies à Spielberg et Lucas . Je lui reprocherai tout de même un manque de sélectivité dans les films présentés : Conan le Barbare,Le monde ,la chair et le diable (et d'autres ) ne sont pas de la SF .

Un petit dictionnaire des films de science fiction qui apparaitra aujourd'hui un peu daté aux fans du genre. En effet, au cours des 20 dernières années le genre a bénéficié des progrès énormes des effets spéciaux.

Ce petit livre de poche permettait à l'époque de faire le point sur la carrière de Christophe Lambert, démarrée sur les chapeaux de roue avec Greystocke la légende de Tarzan ou Subway, et qui depuis la parution de ce livre s'est bien enlisée.

Sergio Leone a laissé une trace cinématographique bien plus nourrie que sa filmographie. Nourrie de western spaghetti en premier lieu dans ce que ce genre a connu de meilleur : Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus et Le Bon, la Brute et le Truand et évidemment le chef d’œuvre opératique du genre, Il était une fois dans l'Ouest.

Son œuvre est étroitement associée à un autre gamin du Trastevere à Rome, son compositeur Ennio Morricone, qui a magnifié (presque) tous ses films et notamment Il était une fois en Amérique.