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4.06/5 (sur 222 notes)

Nationalité : Italie
Né(e) à : Catane , le 11/11/1983
Biographie :

Giulio Macaione est un scénariste, illustrateur et coloriste de bandes dessinées, et blogueur italien.

Il a grandi à Palerme. Il obtient un diplôme en peinture à l’Académie des Beaux-Arts de Bologne, après avoir gagné la troisième édition du concours "Otto tavole per Mondo Naif", organisé par les éditions Kappa en collaboration avec Fumo di China. Il a débuté sur Mondo Naif 25 avec le récit court "Mortén".

Toujours avec Kappa, il a publié les romans graphiques "The Fag Hag" (2008) et "Innamorarsi a Milano" (2010, les deux sur des textes de Massimiliano De Giovanni.

Pour Alinéa 22, il a publié "Ofelia", bande dessinée présentée sur le web jusqu’à son achèvement et parue en album avec des pages inédites en 2013, puis publiée en France en 2014 chez les éditions Physalis. Pour Renbooks, il a sorti en 2014 "I colori del vicino", spin off d’Ofelia.

Il est auteur de romans graphiques "Basilico" (2016), une histoire de famille situé dans Palerme, et d'"Étoile de mer" ("Stella di Mare", 2018), publiés par Bao Publishing.

Sur son blog l'auteur publie des bandes autobiographiques. Il faisait partie du collectif d'art The Dummies.

Il partage son temps entre Bologne et Cincinnati aux États-Unis et participe à des expositions collectives et personnelles.

son blog : http://giuliomacaione.blogspot.com/

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Source : /la-ribambulle.com
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Intervista a Giulio Macaione


Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Je suis le genre de fille qu'on regarde avec curiosité, mais qu'on n'approche pas.
Petite,on n'arrêtait pas de se moquer de moi. Avec le temps , j'ai appris à vivre seule...à me réfugier dans mon monde.
C'est peut-être pour cette raison que je me suis mise à dessiner. L'art est devenu ma plus grande passion.
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Réprimer sa propre créativité c'est comme s'enfermer dans une cage.
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Je reste là, immobile et impuissante, à regarder la mort.
A la sentir.
Et même si je l'ai déjà regardée dans les yeux, elle me fait encore peur.
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La vérité, c'est que je n'ai plus envie...
Je n'ai plus envie de me battre pour qu'on m'écoute, alors que tout le monde se fiche de ce que j'ai à dire.
On m'a toujours dit de me taire, on m'a toujours repris depuis que je suis enfant.
A la fin, on finit par ne plus avoir envie.
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Mon maître zen disait aussi que le seul moyen d'être vraiment heureux, c'est de vivre le moment présent et de ne pas se préoccuper du futur.
Évidemment, il est mort pauvre et célibataire.
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La chose la plus pénible dans la mort de quelqu'un que l'on aime, c'est que le monde ne s'arrête pas. Les circonstances nous poussent à continuer de vivre, mais il est plus difficile de trouver des raisons de le faire. Quand o,n a vraiment aimé quelqu'un, son absence devient un vide qui nous accompagne toujours, un voile qui nous obscurcit la vue. Et on avance à tâtons. On essaie de marcher malgré tout.

(pages 32 et 33)
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Je me sentais écrasée par l'horizon limité de notre village, mais en réalité, ces limites étaient rassurantes, et nous avions la vie devant nous.
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À l'enfant que j'étais,
à l'enfant que je suis,
à l'enfant que je serai.
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« Venise, moitié femme, moitié poisson, est une sirène qui se défait dans un marécage de l’Adriatique »
Citation de Jean Cocteau
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Comme vous le savez, chers lecteurs, une morte ne peut pas se défendre. Et je n'aurais pas grand-chose à dire de toute façon. 

Lorsque vous disparaissez, ce que vous entendez dire à votre sujet vous marque profondément.

Mais ce sera le seigneur qui me jugera...

Avec toutes les prières que j'ai récitées dans ma vie, j'ai bien le droit à quelques péchés.

Mais à vous, je peux raconter ce qu'il s'est vraiment passé. (p.127)
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