Nous avons assassiné jusqu'à la déraison. Si votre Dieu existait, nous serions morts depuis longtemps.
Faut pas croire tout ce qu'il y a dans les livres.
- Toute la peine que tu peux t'éviter avec ça [le tracteur] ! Et tout le temps qu'on peut gagner !
- Et qu'est-ce tu crois qu'y va s'passer, ensuite, hein ? Qu'est-ce qu'y va s'passer quand les paysans auront récolté leurs champs plus vite ? Ils voudront labourer d'autres champs plus grands, voilà ! Et il leur faudra de plus grosses machines ! Sauf que c'est pas leur champ qu'ils vont labourer, ce sera çui du gros propriétaire qui les aura bouffés tout crus, parce qu'ils auront été incapables de rembourser leurs dettes ! Ces cons-là, y croyaient avoir tout vu avec le remembrement, mais le remembrement c'est rien à coté de c'qui va s'passer ! Ça oui, y a eu les noces des hommes et du progrès, comme y disent ! Et nous, les paysans, on est les cocus de l'histoire !
La tromperie est dans le cœur de ceux qui méditent le mal !
Un apparatchik n'est pas un homme politique, surtout pas. C'est un guerrier qui sert son maître, un professionnel qui protège son patron. Il est le bras droit toujours, l'oreille souvent, le cerveau parfois.
Que risquons-nous, maréchal ?
S'ils échouent, nous n'aurons pas à indemniser leurs familles !
Nous allons les larguer sur Kepler-452b et les forcer à traverser l'horizon noir.
Si la démocratie est chancelante, alors changeons de système !
Il y avait ce jeune maghrébin à qui je donnais des cours de français et qui me demandait si ce que nous faisions en Algérie était juste. Je lui ai répondu que je ne savais pas, on dit qu'une guerre est juste quand elle est nécessaire, mais ça dépend de quel côté du fusil on se trouve.
Les hommes n’ont pas besoin qu’on les pousse à s’entretuer, ils se débrouillent très bien tout seuls !
On dit qu’une guerre est juste quand elle est nécessaire, mais ça dépend de quel côté du fusil on se trouve.