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Critiques de Gwendolyn Clare (61)
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

Heyyyy ! Salut toi !



Non ! Ce n’est pas vrai, je ne suis pas un terroriste ! Bon ok, j’ai fait une grosse coupe dans le 4ème de couverture, si tu le souhaites, tu peux le retrouver >>là
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D'encre de verre et d'acier, tome 2 : De br..

Mais quelle suite !!! Allez, viens, je te présente De Brume, de métal et de cendre de Gwendolyn Clare

Oh mon proseur, un vrai régal. Cette opus fait suite à D’encre, de verre et d’acier.



Comme tu peux le voir dans mon article du premier tome, cela a été mon coup de cœur.

Je ne voulais pas lire le deuxième tome de suite, je voulais digérer le premier tome en premier lieu.

Mais je ne sais pas si c’était une bonne idée. Quand j’ai commencé ce deuxième tome, je n’avais plus la tête dans les nuages. J’étais pourtant impatient de lire la suite.



Attention ! Cela reste une très bonne histoire. Le style de l’auteure a simplement évolué, pris en maturité. Mais pas seulement la façon d’écrire, mais aussi ses personnages. Ce n’est plus de la débrouille, il y a de la maîtrise dans leurs arts mais aussi une réelle évolution dans leurs sentiments et les émotions. Leurs responsabilités grandissent également.



En discutant avec une autre blogueuse (je m’excuse, je ne me souviens plus de son nom), j’apprends que la fin est un peu spéciale. Et effectivement, la fin est brutale, frustrante. Je m’attendais à mieux/plus.



L’univers, l’histoire, l’imagination de dame Clare sont toujours excellentes. Cette meilleure maîtrise des personnages donne une nouvelle envergure à l’intrigue et ses conséquences. Comment déjouer ce complot, ces trahisons mais aussi ces sentiments sans que cela ne gêne la mission/sauvetage. Ce que tu ne trouveras pas dans le tome 1, ce sont les tentatives de manipulations, le comment du pourquoi ils tentent de prendre le dessus pour arriver à leurs objectifs.



C’est une très bonne duologie que je te conseille vivement, surtout si tu aimes le steampunk.

Je te souhaite une très bonne lecture. :-*
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

M'y plongeant sans conviction ni attente aucune, quelle ne fut pas ma surprise..! J'ai été complètement charmée par cet univers romano-steampunk et hapée par les aventures de nos héros, qui ne chôment décidément pas. On comprend au fur-et-à-mesure de notre lecture la trame de ce-s monde-s et la façon dont ils sont mis en place. Ainsi, même si l'on est quelque peu dans le flou en début de roman, on n'est jamais totalement perdu-e-s. En effet, les aventures qui s'enchaînent laissent certes peu de place aux descriptions détaillées, mais l'autrice nous donnent suffisamment d'éléments tout au long de notre lecture pour que l'on saisisse les tenants et les aboutissants de l'histoire.

Hâte de lire la suite (que je m'en vais acheter de ce pas), en espérant tout de même qu'elle soit un tout petit peu plus étoffée que ce premier volet, déjà très prometteur.
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D'encre de verre et d'acier, tome 2 : De br..

En droite ligne du premier tome Gwendolyn Clare nous plonge directement dans l'action. Ici pas de pages introductives mais un prologue intrigant mettant en scène un ange mécanique aux longues griffes venu veillé sur un homme endormi. Le tout reste nappé dans une brume de mystère pendant presque trois cent pages avant qu'enfin n'apparaisse la vérité. Avec de subtiles rappels destinés à remettre son lecteur autant que son personnage sur les traces de Léo Garibaldi, l'autrice ne s'embarrasse pas des quelques deux cents pages qui avaient parues si longues dans le premier tome. Dans ce second et dernier volume c'est la précipitation, la fuite en avant, l'échappée belle qui prédomine, la corde est tendu et tous marchent sur un fil, prêts à basculer dans le vide.



Funambule virtuose Elsa n'hésite pas une seule seconde à échafauder un plan qui a tout d'une démarche désespérée pour récupérer le Livre-monde tant convoité. D'ailleurs rien ne fonctionnera comme prévu et rebondissement en rebondissement, de portails en portails, nous suivons avec délice notre personnage se perdre dans les méandres du plan diabolique conçu par sa créatrice... On en prend plein les yeux, entre monstres marins et nuages de cendres gigantesques, folie artificielle et révélations chocs. Les pages défilent à une vitesse folle et après commencé ma lecture à minuit je l'achève, le souffle coupé, à trois heures du matin. Waouh. Les romans de Lumen me font souvent cet effet, de véritable page turner qui n'oublient pas de développer des univers intéressants et captivants. Bravo !



Et cette fois-ci, les points négatifs que j'avais relevé dans le premier tome se sont envolés comme par enchantement, et on s'attarde un peu plus sur les personnages secondaires notamment Porzia, Léo et Faraz qui laissent davantage entrevoir leur psychologie. Oui j'aurais aimé en voir plus, en apprendre plus mais on ne peut décemment pas décrire un univers aussi vaste, présenter une héroïne aussi complexe et ensuite jongler avec perfection entre tous les autres personnages... Non on ne peut pas, mais la tentative est réussie et on se laisse facilement prendre au jeu et...j'adore le personnage de Porzia.



Je ne reprocherai qu'une seule chose : le manichéisme évident du grand méchant, Garibaldi, qui m'a un peu déçue... Mais Aris, son fils, rattrape le coup avec son génie machiavélique et pourtant cette espèce de tendresse que l'on ne peut s'empêcher d'éprouver pour son égoïsme dévastateur. Peut être que je plains ce personnage trop puissant, dont le génie n'a été que la seule raison qui a gardé son père près de lui. Quand on vit sans amour, peut-on seulement être autre chose qu'un monstre ?



D'autres détails viennent renforcer la trame initiale et lui donner davantage de consistance sans que l'on sache lesquels sont importants ou non notamment les éléments uchroniques de la révolution italienne. L'écriture est fluide quoique soutenue parfois et nous entraîne avec brio d'un monde à l'autre sans nous perdre, entre jargon scientifique et émerveillement scriptologique, on continue de s'enrichir de cette histoire troublante où se mêlent sentiments, familles et politiques.



Quant à la fin... et bien. Je ne sais pas quoi en penser. Pour moi, elle présente tous les éléments pour envisager une suite, peut-être avec un autre personnage. D'ailleurs de multiples détails nous invitent à le penser notamment avec une certaine prophétie... qui ne s'est pas encore réalisée. Alors Gwendolyn Clare & Lumen, que nous réservez-vous encore ?



En résumé



De Brume, de Métal et de Cendres est un second tome parfaitement maîtrisé qui nous entraîne sur un rythme affolant dans la gueule du loup. Sur les traces d'Elsa, Léo et Porzia on sursaute, on frissonne et on se réjouit avec eux. Si le roman souffre parfois de manichéisme, il se rattrape largement avec une plume fluide et agréable et des personnages profondément attachants. Si vous voulez un page turner efficace, un univers à couper le souffle et un dépaysement total pendant près de 400 pages...vous frappez à la bonne porte.
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

Depuis que je travaille avec les éditions Lumen, j’ai eu l’occasion de remarquer que leurs quatrièmes de couvertures pouvaient être très longues. Cela dit, avec le temps, j’ai appris à ne plus les lire entièrement afin de ne pas tout savoir dès le début. C’est un parti que j’ai pris, au risque de devoir retourner à ce fameux résumé pour comprendre le début de l’histoire. Enfin, à la réflexion, que ce soit pour Lumen ou les autres maisons d’éditions, je m’aperçois que je ne lis que très rarement les résumés, me laissant plutôt guider par mon instinct !



Revenons à nos moutons…enfin…à nos livres ! J’ai beaucoup accroché à l’univers de Gwendolyn Clare mélangeant avec habileté un roman historique au coeur de l’action tout en créant son propre univers, celui de la scriptologie et de Veldana.



Coté plume, le point fort de ce premier tome est qu’il arrive à plonger le lecteur dans l’action dès les premières pages et c’est un point que j’apprécie particulièrement, surtout lorsqu’on est dans un univers inventé de toutes pièces.



Le point faible en revanche, c’est que l’autrice ne l’exploite pas assez à mon gout. On n’aperçoit Veldana que dans les premiers et derniers chapitres par exemple ou encore la capacité d’Elsa à scripter n’est pas assez détaillée. Quels sont les dangers de la scriptologie ? Comment parvient-elle à faire tout cela ? Vous voyez ce que je veux dire ? C’est le danger avec les mondes crées. Il faut en dire suffisamment pour que le lecteur puisse s’y projeter sans trop poser de questions mais pas l’ensevelir de détails non plus !



Après, il est très probable que l’on en apprenne plus dans le second tome !



Si j’en reviens à l’histoire en elle-même, je peux vous dire que je n’ai pas lâché le livre d’une semelle. Un peu de politique, un soupçon de magie, quelques cuillères d’aventure, et une pincée d’amour dans l’air…Il n’en fallait pas plus pour me convaincre ! Ici, tout est mystérieux mais surtout tout peut changer. Casa contrôle la maison, Léo n’est pas ce qu’il pensait être, Elsa se découvre d’autres passions…jusqu’à la fin j’ai été tenue en haleine.



Si je devais résumer, ce n’est pas forcément un coup de coeur puisque j’ai été dérangée par le monde de Veldana trop peu exploité mais j’ai tout de même adoré le livre et vous le conseille vivement ! J’ai hâte de commencer le second tome maintenant.



Vous pouvez retrouver l'ensemble de mes chroniques sur mon blog : www.unavocatencuisine.com
Lien : http://www.unavocatencuisine..
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D'encre de verre et d'acier, tome 2 : De br..

Je suis toujours aussi fan de cette série dont il me tardait de lire le dernier tome.. c'est chose faite ! le principe de base est toujours aussi sympa, j'aurais peut etre juste aimé plus de détail, plus d'approfondissement quant aux frères Garibaldi... et surtout une fin moins ouverte ! mais ca ce n'est que mon point de vue vous savez a quel point je suis pas fan de ce genre de chose :D ... une duologie fort sympatique a lire, encore une belle trouvaille de chez Lumen ^^
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D'encre de verre et d'acier, tome 2 : De br..

Chronique de Diana :



Attention, si vous n’avez pas lu le premier tome vous risquez d’être spoilé.



Il est rare que je dise ça mais j’espère qu’il va y avoir un tome trois, tout simplement parce que je sors de ce récit avec encore plus de questions .



Mais remettons un peu en premier lieu le contexte de cette histoire.



C’est un univers unique, je n’ai jamais rien vu ailleurs et ça permet des milliers de possibilité, l’imagination n’a plus aucune limite. A la fin du premier livre « D’encre, de Verre et d’Acier », je savais que je devais lire la suite, qu’il me fallait comprendre pourquoi Leo trahissait Elsa et ses amis pour une famille qui l’a rejeté et abandonné.



Une fois de plus j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire, je ne sais pas si ça vient du rythme ou tout simplement de la multitude de possibilités qui s’offrent à nous lors de notre lecture. Je me suis retrouvée un peu comme nos héros à chercher pourquoi Leo avait bien pu agir de la sorte. J’étais fâchée comme Porsia, incrédule comme Faraz me disant qu’il n’avait pu faire ça que sous la contrainte (car rappelons le Leo a volé le livre), et j’ai essayé de comprendre au final comme Elsa qui n’a qu’une idée : trouver une piste et rattraper le jeune homme. Mais à nouveau la magie opère et je me laisse complètement attirer dans le récit.



Donc le schéma est assez similaire dans la construction avec le premier opus, il faut un moment avant que les choses se déclenchent mais ensuite les événements et les rebondissements s’enchainent pour ne plus vous laisser un instant de répit.



Une chose qui est très appréciable avec un récit aussi complexe, c’est l’alternance des points de vue, ça nous permet de nous situer et de ne pas perdre pied dans l’avancement du roman. D’ailleurs je vais préciser que l’enchainement entre ces points de vue est parfait, car ils sont vraiment amenés dans un ordre qui donne une visibilité alors que dans certains cas, on ne sait plus quoi croire ou comprendre.



Je ne trouve pas d’aspects réellement négatifs. Oui, on peut râler avec le rythme lent du début ou parce qu’on trouve que la fin est trop ouverte. Cependant, les personnages sont des génies et leur particularité en action est juste addictive. Le travail en équipe, le fait de grandir et de prendre en maturité nous permet de les voir évoluer. L’auteure n’omet rien, mais elle apporte des détails aux lecteurs en temps voulu.



Je reste donc un peu dans le flou en terminant ce récit, tant de choses restent hors de notre portée mais je me dis que Gwendolyn Clare veut juste que notre imagination prenne le relais.



C’est une duologie jeunesse que j’ai appréciée, si je ne devais trouver qu’un petit bémol c’est que la romance n’est pas utile. L’auteure a une très belle plume et elle sait créer des personnages et des lieux forts.



Une très belle découverte et des romans de toute beauté autant à l’intérieur qu’à l’extérieur.
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D'encre de verre et d'acier, tome 2 : De br..

Pour ce second et dernier tome de la série D’encre de verre et d’acier, Gwendolyn Clare nous introduit dans le vif du sujet, dès les premières pages du roman. J’avais peur de me sentir perdue dans l’univers complexe de la saga mais l’auteure a placé d’habiles rappels du tome 1 dès le premier chapitre du livre. De ce fait, mon immersion a été immédiate.



J’ai beaucoup aimé cette suite et je l’ai même préférée au tome 1 car on ne perd pas de temps avec la découverte de l’univers. Le lecteur est convié plutôt à vivre une aventure avec Elsa, la scriptologie qui vient du monde inventé Veldana, et ses amis du monde réel: Porzia, Leo, Faraz, son compatriote Revan et bien d’autres encore. Tous devront user de toute leur ingéniosité pour récupérer chez l’ennemi, le livre le plus dangereux du monde, un livre capable de changer la réalité.



Je suis toujours aussi fan de l’univers de Gwendolyn Clare, il est même le point fort de cette série: riche, original et surprenant. La sciptologie, cette science qui permet de créer des mondes et les peupler de tout ce que l’on veut, même d’êtres humains. Tout cela, grâce à une ancre et un papier spéciaux. Bien évidemment, ce pouvoir n’est possédé que par quelques personnes que l’on nomme les scriptologues. Le plus étonnant est que la saga est une uchronie que l’auteure fait se dérouler durant l’unification italienne. Elle s’inspire de faits réels historiques durant la seconde moitié du 19ème siècle. Elle insuffle donc de la magie à l’histoire avec un grand H.



Ma lecture a été fluide et j’ai rapidement lu les 467 pages de l’histoire. L’amitié et l’amour qui lient nos personnages vont leur donner du courage pour se battre pour leurs convictions et pour sauver leur monde et ceux qui ont été inventés comme Veldana. Ce tome est loin d’être prévisible car, jusqu’au bout, je ne savais pas comment l’auteure allait clore son récit. L’intrigue commencée dans le tome 1 est terminée mais Gwendolyn Clare nous offre une fin ouverte qui mène vers une nouvelle aventure? La saga est une duologie mais peut être qu’on aura droit à une suite?



De brume de métal et de cendre est le dernier tome d’une duologie avec un univers riche et original. Une uchrnoqie qui nous plonge dans l’Italie du du 19ème siècle et nous fait découvrir une science que l’on voudrait qu’elle soit réelle: La scriptologie. Gwendolyn Clare nous offre une histoire au rythme assez lent mais on ne s’ennuie pas pour autant. J’ai beaucoup aimé ce second tome et j’ai apprécié la découverte de cette saga.




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D'encre de verre et d'acier, tome 1

J’attendais beaucoup de ce livre fantastique, j’ai été malheureusement déçue par beaucoup de points.



J’ai bien aimé les idées des trois disciplines, notamment l’alchimie qu’on retrouve beaucoup dans des livres fantastiques. Malheureusement, la scriptologie aurait pu donner beaucoup plus de mondes incroyables et farfelus, mais l’auteure a finalement concentré son récit dans la réalité et sur Terre, ce à quoi je ne m’attendais pas vraiment et qui m’a déçue, retirant beaucoup du côté fantastique de ce roman.



Il y a aussi énormément de longueurs au début, et je n’ai pas réussi à être transportée dans cette histoire à cause de ça. Ce n’est qu’aux 100 dernières pages que l’action se met véritablement en place, donc ça a été une lecture un peu ennuyante sur le début.



De plus, les chapitres sont extrêmement longs, ce qui m’a beaucoup dérangée car ça casse le rythme de lecture. Je n’avais jamais lu de livres avec des chapitres aussi longs.



Certaines idées auraient pu être davantage exploitées par l’auteure mais elles semblent délaissées voir abandonnées de mon avis. Je trouve ça dommage car certaines auraient pu apporter une dimension fantastique plus grande.



La fin est hélas très prévisible donc la surprise de la révélation disparaît.



Les héros sont tout de même attachants ; j’ai beaucoup apprécié Elsa vers la fin, quand elle saisit réellement les valeurs humaines, telles que l’amitié. Elle devient agréable.



L’écriture est assez jolie et nous transporte dans cette période.



Pour conclure :

Un roman fantastique dont j’attendais ce côté qui n’a pas beaucoup surgi, trop de longueurs au début et une fin prévisible mais qui est quand même plus rythmée. Des héros attachants et une jolie écriture rendent la lecture plus agréable.
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

Je me suis totalement laissée porter par cette lecture. J'ai beaucoup aimé cet univers. L'histoire est originale et l'intrigue bien menée. J'ai également beaucoup aimé les différents personnages. J'ai un peu buté sur le style d'écriture ce qui m'a fait passé à côté du coup de cœur, notamment les répétitions : "la Veldanienne", "la Pisane", "la scriptologue", "la polymathe", ainsi que les noms de villes italiennes non traduites. Il s'agit en tous cas d'une belle découverte et j'ai hâte de pouvoir lire la suite.
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

Une fois de plus, je suis tombée en pâmoison devant cette couverture. Qu’en dire? Elle est belle, poétique et terriblement attirante. Il ne m’en fallait pas plus, le résumé m’a achevée. Je l’ai donc sorti de ma PAL avec délectation et j’ai peut-être même triché un peu en le faisant entrer dans la thématique Witches Brew, Automne ensorcelant, du Pumpkin Autumn Challenge.



Dans cet univers, les livres-mondes existent. Écrits à l’encre scriptologique, ils permettent de créer des univers parallèles que l’on rejoint au moyen d’activateurs de portails et selon une science très précise. Certaines personnes sont dotées d’un talent rare pour l’alchimie, la mécanique, la scriptologie… Elsa fait partie de ces gens, elle fait aussi partie des habitants de Veldana, un monde entièrement scripté, son paradis, jusqu’au jour où sa mère est enlevée. Une traque à travers l’Europe s’engage, trahisons, coups bas et découvertes l’accompagneront.



En toute honnêteté, les cinquante premières pages ont été un peu difficiles car, dans cet univers, tout est nouveau et on ne nous donne pas de définition : la bordebrume, l’encre scriptologique, les livres-mondes… Nous peinons à comprendre les liens entre Elsa et Jumi, qui est sa mère mais dont elle parle avec une vraie déférence, comme si ce n’était pas sa mère, les liens avec les autres enfants…. et il faut un temps d’adaptation pour bien appréhender ce à quoi ça correspond et les contraintes de cet univers.



Une fois ce seuil passé, nous sommes happés dans l’histoire. Nous suivons les aventures d’Elsa, qui se mènent tambour battant et, au fil des pages, nous découvrons d’autres personnages tout aussi intéressants. J’ai particulièrement apprécié l’ambivalence de chacun. Tous ont cette petite part d’ombre qui nous fait hésiter entre allié réel ou traître en puissance. Alek de Vries particulièrement! Je me suis longtemps demandé s’il ne jouait pas double jeu, s’il ne manipulait pas notre héroïne. Porzia et Gia m’ont fait le même effet, et l’attitude revêche de l’une, secrète de l’autre ne m’a pas aidée à les apprécier au début. Heureusement, dans ce roman, nous voyons les êtres cheminer. La confiance se gagne peu à peu, les défenses se baissent… pour le meilleur et pour le pire! Attendez-vous à des renversements de situation inattendus.



Le récit est plein de rebondissements et la magie de l’univers créé avec ces livres-mondes autorise des aventures hors normes, exaltantes et particulièrement savoureuses. Une réécriture du Minotaure est glissée là, une manipulation via la magie à un autre endroit, du chantage, un arrière-fond féministe se dessine dans un chapitre, une romance également se profile bientôt…. S’il y a bien un passage un peu caricatural et attendu du point de vue romance justement, je trouve que ce bémol s’efface, malgré tout, bien vite au vu de tout le reste du roman. Bref, nous avons un roman dense et intense qui se lit d’une traite en dépit de son volume imposant.



J’ai une tendresse toute particulière pour Elsa et Léo. Léo le sacrifié, l’abandonné, l’écorché vif qui a un problème évident d’attachement, mais qui est aussi prêt à tout donner et à soutenir. Elsa, la jeune fille emplie de certitudes qui toutes se fissureront au cours du temps et des événements, l’insoumise qui d’échecs en déceptions évoluera.



J’ajouterai que je trouve particulièrement intéressant d’avoir croisé des éléments modernes « les livres-mondes », « l’encre scriptologique » avec des éléments un peu plus steampunk comme les mécaniciens et avec des éléments plus anciens comme l’alchimie. A cela s’ajoute un arrière-fond politique et idéologique puisqu’en ligne de fond, un combat pour l’unification de l’Italie est évoqué et sous-tend la quête de certains personnages. Cela donne un mélange étonnant, hors du temps et vraiment séduisant. L’intelligence artificielle due aux mécaniciens ne nous choque pas, tandis que l’alchimie permet de créer Skandar une créature hybride haute en couleur. L’ensemble formé d’éléments si épars, si hétéroclite est surprenant d’équilibre et de saveur.



Ainsi, ce premier tome a tout pour plaire : un univers riche et dense, particulièrement ouvragé et orné de jolies petites pépites, un rythme effréné qui joue avec nos projections et nos attentes, des personnages profonds et nuancés. D’encre, de verre et d’acier est une merveille! J’ai d’ores et déjà envie de me jeter sur la suite.
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

J'ai eu un peu de mal à entrer dans cet univers, assez sophistiqué et bien pensé. Ca traîne à démarrer mais c'est original. Par contre je n'ai pas accroché avec les personnages. Alors, je ne pense pas lire le tome 2 de ce roman jeunesse, que le pitch m'avait pourtant bien vendu...
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

Outre sa magnifique couverture, j’avais aussi été attirée par le postulat de départ de ce roman : la possibilité de créer des univers parallèles entiers avec de l’encre et du papier ! J’avais l’impression qu’à partir de là, les possibilités étaient infinies et j’étais impatiente de découvrir toutes les richesses de ces univers. Finalement, j’ai été un peu déçue parce que l’essentiel de l’intrigue se déroule dans le monde « principal » (assez proche du nôtre) et non dans une des créations des scriptologues. Ce monde « principal » n’est pourtant pas dénué d’intérêts puisque, en dehors des scriptologues, s’y cachent aussi des alchimistes et des mécaniciens. Le petit côté steampunk m’a également plu. Cependant, dans l’ensemble, j’ai eu un gout de trop peu : l’auteure avait plein de bonnes idées mais elle ne les a pas assez exploitées, selon moi.

L’intrigue en elle-même ne m’a pas spécialement marquée mais je me souviens que le récit est très dynamique et les révélations captivantes sans être exceptionnelles non plus.

Les personnages étaient sympas mais, malheureusement, ils manquaient de profondeur et de complexité pour que je m’y attache réellement. J’en garde d’ailleurs un souvenir assez flou, preuve, s’il en est, qu’ils ne m’ont pas laissé un souvenir impérissable .

En bref, je suis ressortie de ce livre avec un sentiment d’inachevé, j’en aurais voulu plus ! D’autant que l’univers a énormément de potentiels ! N’hésitez pas à vous faire votre propre avis sur ce roman qui était peut-être tout simplement trop « jeunesse » pour moi…. J’hésite pour ma part à lire le tome 2.


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D'encre de verre et d'acier, tome 1

D’Encre, de Verre et d’Acier avait absolument tout pour me plaire. Un univers un peu steampunk, une Italie du XIXe siècle uchronique, une héroïne au caractère bien trempé et surtout un rapport au livre, à sa fabrication, sa restauration et à son imaginaire qui laissait présager une lecture enrichissante. Et pourtant, bien que cela reste une très bonne lecture je suis passée à rien du tout du coup de coeur. Je remercie les éditions Lumen pour l’envoi de ce service presse.



Mon résumé



Jumi da Veldana et Elsa, sa fille, sont nées dans un monde créé de toutes pièces, un monde d’encre posé sur un papier bien spécifique. Les paysages, les êtres, le ciel, tout a été inventé par un certain Montaigne, un scriptologue de génie mais passablement imbu de sa personne. Normal lorsque l’on se prend pour un dieu. Jumi a décidé à son tour de devenir scriptologue afin de protéger son monde des tendances mégalomanes de son créateur. Mais son amour de la science ne l’aurait-elle pas poussée trop loin ? C’est du moins ce que l’on pense lorsqu’elle se fait enlever dans sa propre maison.



Elsa se lance aussitôt à la poursuite de ses ravisseurs armée de son livre de traverse et d’un revolver. Arrivée dans le monde réel dont elle ne connaît aucune règle, elle désespère de pouvoir retrouver sa mère et son livre-monde, de pouvoir un jour rentrer chez elle. Dépassée par les événements elle se tourne vers Alek de Vries, un homme que sa mère considérait comme digne de confiance et qui la mènera dans une maison pleine d’enfants rescapés exactement comme elle, avec des dons particuliers pour la mécanique, l’alchimie, la scriptologie… A leur contact la jeune fille apprendra à s’ouvrir et à faire confiance, mais à quel prix ?



Mon avis



D’Encre, de Verre et d’Acier est un roman qui prend son temps. Les 200 premières pages sont entièrement consacrées à l’introduction, l’intronisation des personnages, la description de l’univers et de son concept, et la lente métamorphose de notre héroïne, Elsa. C’est peut être cela qui m’a fait passer à côté du coup de coeur… ou peut-être pas. Les premières pages du roman m’ont fascinée : on est plongé dans le monde de Veldana aux côtés d’Elsa qui vient de découvrir une créature marine sur la berge. Dès cet instant, l’autrice a placé son côté « steampunk » : on y présente un gant, presque cybernétique, fait de capteurs et autre machinerie afin de déterminer la stabilité de la créature. Va t-elle se synchroniser avec le monde qui l’entoure ou se désintégrer ?



Cette petite incursion à Veldana sera la première et la dernière (on y revient un tout petit peu sur la fin) et c’est plutôt cela qui m’a dérangée. De ce monde d’encre et de papier on ne connaît quasiment rien. Or, tout le reste du roman on suit notre héroïne dans sa quête pour retrouver le livre-monde l’ayant créé afin de le protéger de ses ravisseurs. Mais on est dans le monde réel. Un monde, certes uchronique, une Italie un peu atypique avec son lot de magie, d’inventions et de faits historiques nouveaux mais un monde avec des êtres humains comme vous et moi, leurs coutumes que l’on connaît bien, la tour de Pise, et autres monuments bien réels et existants. J’aurais tellement voulu en apprendre plus sur son monde, sur ses caractéristiques que l’on survole, etc., que je n’ai pas pu m’empêcher de regretter qu’à aucun moment l’héroïne n’y retourne (pour la simple et bonne raison qu’elle ne pouvait pas savoir si son monde avait été ou non brûlé dans l’incendie ayant ravagé la maison de Montaigne dans laquelle le livre-monde était enfermé).



En dehors de cela, ce premier tome est une excellente lecture avec une héroïne qui a du caractère et on peut même voir quelques propos féministes se glissaient çà et là par l’intermédiaire de phrases prononcées par le passé par sa mère. Ayant toujours été seule et ayant toujours eu conscience que son peuple était méprisé par les terrestres pour n’être « qu’une invention », Elsa arrive sur Terre avec une idée bien précise sur ce que les autres pensent d’elle, mais elle ne s’attendait pas à trouver refuge au sein d’une « maison de fous » appartenant à l’ordre d’Archimède visant à protéger les personnes aliénées. Entourée d’adolescents tout à fait singuliers avec qui elle devra composer pour avancer, Elsa ne peut plus cacher son secret : elle est polymathe, douée dans tous les domaines d’aliénation : mécanique, alchimie et scriptologie. Ce don particulier pourrait lui valoir l’attention des Royaumes du monde entier, ou pire, celle des ravisseurs de sa mère. Heureusement elle peut compter sur ceux qui l’entourent désormais : Léo le mécanicien qui cache un passé familial lourd et mystérieux et qui jouera un rôle prépondérant dans le prochain tome, Faraz le tunisien alchimiste de génie avec son petit monstre tentaculaire, Skandar, et Porsia une alchimiste qui porte la responsabilité de la maison familiale au départ de sa mère.



Création de livre univers, traversées de portails scriptologiques, labyrinthe mortel, violation de sépulture, rencontres en tous genres (assassin, cabonari, fantômes du passé) viennent ponctuer le roman, lui offrant son lot de rebondissements et d’action. L’autrice remet également la restauration des livres au goût du jour avec le vocabulaire et les étapes appropriés tout en la mâtinant de magie avec l’aide précieuse d’une machine afin d’accélérer le processus. Casa, l’intelligence artificielle de la maison des aliénés participe à la création de cet univers unique et onirique qui est celui D’Encre, de Verre et d’Acier par de petites apparitions afin d’aider Elsa à avancer vers les autres. Les robots de cuivre, ou encore le « train de table » dont les wagons desservent plats et assiettes, sont tellement bien décrits que j’ai pu les imaginer avec grand plaisir ! D’ailleurs les précisions scientifiques, magiques ou historiques sont extrêmement documentées et décrites permettant une immersion totale dans l’univers de l’autrice, un point qui aura pu en lasser certain.e.s mais qui m’a ravi !



A la lecture de ce premier tome je n’ai pas pu m’empêcher de penser non seulement à Harry Potter et ses chemins de traverse bien sûr, mais également à Fils des Brumes de Brandon Sanderson, que je n’ai jamais eu l’occasion de chroniquer sur ce blog mais qui reste une de mes sagas fantasy favorite pour toutes ses explications très scientifiques, recherchées et immersives des formes de magie qui parcourent les romans. J’espère que ce point ne changera pas !



En résumé



D’Encre, de Verre et d’Acier est un excellent premier tome qui n’en dévoile toutefois pas assez. En dehors de Léo les seconds personnages restent un peu creux et j’ai eu du mal à m’attacher à eux, tandis que l’univers de Veldana manque de consistance. D’un autre côté j’ai adoré l’univers onirique créé par Gwendolyn Clare sur Terre, l’utilisation des sciences mécaniques, alchimiques et scriptologiques extrêmement bien détaillées m’ont charmée et l’héroïne, très caractérielle, m’a convaincue. Point bonus pour la couverture absolument sublime !



J’attends le second tome avec impatience afin d’en apprendre plus sur les Livre-Mondes et poursuivre les aventures avec Elsa et Léo (je croise les doigts pour que Lumen me l’envoie ^^).
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

J'ai vraiment bien aimé ce livre. La couverture m'a énormément attiré mais ce qui m'a vraiment décidé à l'acheter, ce n'est non pas le résumé (étant donné qu'il est extrêmement long et quand général ça me décourage) mais plutôt la phrase d'accroche qui a fait son boulot à merveille : "et si on pouvait vraiment créer un monde avec de l'encre et du papier ?". Rien qu'avec ces quelques mots, j'étais déjà surexcitée à l'idée de me plonger dans ma lecture.



C'est le livre que , jusqu'à présent, j'ai le plus de mal à décrire de toute ma collection.



Bien qu'il soit un peu déroutant au départ et qu'on aie un peu de mal à se situer dans le temps, ce livre a été pour moi une véritable trouvaille. L'univers original et complet à su me faire voyager jusque dans un autre monde. L'auteur a redoubler d'imagination pour créer un monde avec autant de possibilité et de contrainte par ce que même si ça semble facile la scriptologie, il n'en est rien. En effet, cet art est extrêmement complexe, bourré de règle (comme par exemple le fait qu'il est extrêment dangereux d'écrire un nom dans un livre scripté ou encore qu'il ne faut pas oublier les principes de base comme la gravité quand on crée un monde) et nécessite une grande implication. J'ai adoré le concept de folie détournée (qui est en fait une sorte de don et d'obsession pour un art en particulier comme la scriptologie, la mécanique ou encore l'alchimie).



J'ai eu parfois un peu de mal à m'imaginer ou à comprendre deux trois trucs surtout quand il s'agissait de politique (c'est juste que je ne suis pas douée pour) ou quand les personnages utilisent un livre aux propriétés spéciales comme le livre de travers. Mais ça ne m'a pas empêché d'adorer l'histoire.



J'ai adoré le personnage principal, extrement complexe et brillante (et aussi très difficile à décrire).



J'ai trouvé l'intrigue bien construite de telle sorte qu'il étais impossible pour moi de prévoir les événements ou l'auteur des problèmes de nos héros.



Après, il faut quand même que je vous avoue que je me suis un peu ennuyée quand on avait le point de vue d'Alek de Vries (qui permet au lecteur de voir comment les adultes essayent de trouver des solutions) mais bon, ça ne représente qu'une toute petite partie du livre.



Pour terminer, je dirai que c'est surtout par son univers et ses personnages que ce livre m'a conquise. J'attends le tome 2 avec impatience.
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

Le résumé est très tentant mais une fois que j'ai commencé à lire, je me suis retrouvée face à un univers complexe et peu expliqué finalement.



Le roman tire en longueur sur une bonne partie du livre et l'action tant attendue ne vient qu'à la fin, réellement. J'ai eu l'impression que l'auteure souhaitait mettre des intrigues pour en mettre justement, sans pour autant trouver de liens logiques ou de transitions adéquates. L'univers est complexe et les explications arrivent éparpillés au fil des pages. C'est assez dommage car cela semble être un univers riche, prometteur et enrichissant mais j'aurais souhaité avoir des explications claires, apportées dès le départ.



J'ai énormément apprécié que l'intrigue du roman se cale sur une intrigue historique ayant eu lieu au XIXe siècle, lors du printemps des peuples. A cette période il y a une émergence des Nations et il y a la volonté d'unifier l'Italie, notamment sous le personnage de Garibaldi. Cette combinaison de deux intrigues était bien menée et apportée quelque chose d'authentique au roman, et surtout de l'action ! Je pense que ce qui m'a le plus ralenti dans ma lecture est la longueur des chapitres. Le livre en soi est assez court, plus de 470 pages. J'ai déjà lu des briques plus grosses mais pourtant... Les chapitres étaient beaucoup trop longs et la plupart, surtout au début, avaient une action plate. C'est ce mélange qui m'a ralenti dans l'avancée de ma lecture. J'aurais préféré avoir des chapitres plus courts.



La fin du roman peut être vite devinée mais l'action s'y trouve et m'a vraiment pris en haleine. Je ne dis pas avoir détesté l'oeuvre, je dis juste que l'action a traîné en longueur. Sinon, il y a de très bons points positifs et j'ai plutôt aimé dans l'ensemble.
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

J'ai trouvé les 200 premières pages extrêmement longues et plates, et j'ai été bien incapable de rentrer dans l'histoire à ce moment là, d'autant que je n'accrochai pas tellement avec les personnages... Ils manquent en effet d'un peu de profondeurs, et c'est au final les interactions qu'ils entretiennent entre eux qui finissent par les rendre intéressants!

Tout s'arrange néanmoins à la moitié du roman lorsque l'action se met enfin en place et que la complexité de l'univers est révélée, le roman devient alors beaucoup plus immersif et j'ai pris plaisir à découvrir tout ce qu'il pouvait receler d'intéressant ^^

J'aurai malgré tout apprécié que le contexte historique servant de fondement à l'histoire soit plus détaillé, car si j'ai de solides connaissances en la matière ce ne sera peut être pas le cas de tous les lecteurs qui pourraient alors passer à côté de quelque chose!

Finalement, malgré un bilan en demi-teinte, j'ai passé un bon moment avec cette histoire et je me procurerai la suite à sa sortie!
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D'encre de verre et d'acier, tome 1



Une couverture incroyable qui fait penser à une aquarelle, un résumé surprenant et annonciateur d'une intrigue à couper le souffle; décidément, les éditions Lumen n'ont pas fini de me faire baver avec leurs nouvelles parutions ! Un grand merci à eux pour ce nouvel envoi qui m'a fait passer un excellent moment de lecture.



Mais alors, de quoi parle D'encre, de verre et d'acier ?

(#letitrelongetcompliquéquejoublietoutletemps)

La scriptologie est une science qui permet d'inventer de nouveaux univers à l'aide d'un papier et d'une encre spéciale. Elsa, qui est notre héroine n'est pas née sur Terre. Elle est le pur produit de l'invention d'un scriptologue, ce qui n'enlève en rien à la légitimité de son existence. Un jour, sa mère se fait kidnapper avec le livre-monde de leur univers. Elsa part sur Terre pour retrouver sa mère et son périple va la conduire droit sur un orphelinat italien dans lequel on encourage les sciences telles que l'alchimie, la mécanique et la scriptologie.



C'est vrai qu'objectivement, il faut un peu s'accrocher au début de l'histoire pour apprendre comment fonctionne la scriptologie et ce ne sont pas forcément les premières dizaines de pages qui sont les plus intéressantes pour le développement de l'intrigue. Mais en ce qui me concerne, ces dizaines de pages m'ont semblé tout à fait digestes parce que j'ai adoré découvrir en quoi consiste cette science qui m'a semblé être rien de moins qu'une mise en abyme du travail d'écrivain, de quoi donner le vertige et me tenir en haleine !



Après un début assez introductif qui pose les bases d'un univers complexe mais solide, l'intrigue qui va conduire Elsa à se rendre dans de multiples endroits va pouvoir pleinement démarrer. J'ai été émerveillée par l'orphelinat dans lequel notre héroïne va résider et rencontrer ses nouveaux compagnons qui vont l'épauler tout au long de sa quête. La bâtisse est en effet étonnante puisqu'elle est dotée d'une intelligence propre. Elle répond au nom de Casa et, un brin facétieuse mais protectrice, elle rend service aux uns et aux autres de ses occupants en répondant à leurs multiples sollicitations.





Elsa pour sa part, ne m'a pas tant plu que ça. Sa manie d'appeler sa mère par son prénom m'a un peu perturbé mais ce n'est qu'un détail. Ce qui m'a davantage chagrinée, c'est sa retenue constante et sa difficulté à baisser ses barrières afin de laisser les autres l'approcher et l'aider. Ce comportement peut se comprendre à cause de son vécu, mais elle m'a parut un peu froide et distante la plupart du temps et lorsqu'elle se montrait davantage chaleureuse, j'avais un peu de mal à y croire. J'ai également regretté que tout lui tombe tout cuit dans le bec c'est à dire que sa quête semblait au premier abord très difficile mais des évènements extérieurs venaient sans cesse lui faciliter les choses. J'ai en revanche énormément apprécié les trois amis qu'elle s'est fait à l'orphelinat. Léo, Porzia et Faraz ne se ressemblent absolument pas, ils apprécient chacun une science différente mais sont amis depuis des années et petit à petit, Elsa va intégrer leur trio qui va devenir un sacré quatuor.





En résumé, D'encre, de verre et d'acier est un livre atypique. Le début pourra paraître rébarbatif aux plus impatients d'entre nous mais personnellement, l'univers steampunk et l'existence de la scriptologie m'ont passionné. L'intrigue est surprenante, intéressante et dynamique et même si l'héroïne à laquelle je ne me suis pas attachée et la facilité de la quête m'ont fait revoir ma note à la baisse en cours de lecture, je lirai la suite avec grand plaisir.
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

Prometteur sur la papier... quand on le lit c'est moins joli. Une déception bien amer pour moi qui attendais tant de ce livre. Je n'ai pas grand chose à dire au final. Trop cliché, une héroïne antipathique qui se croit au dessus de tout et de tous, une intrigue pas vraiment bien développée (tout est révélé trop vite), bref, hormis la couverture et certaines phrases que j'ai trouvé plutôt joliment dites ou encore les en têtes de chapitres, je ne retiendrais pas grand chose de bon de ce roman que j'ai failli abandonner (un bon point pour lui cependant, qu'on aime ou non, il se lit vite !)
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D'encre de verre et d'acier, tome 1

Le résumé du roman nous promettait de belles choses. Dès que j’ai vu qu’il était question de créer des mondes entiers à partir d’encre et de papier, je me suis laissée tenter. Je remercie donc les éditions Lumen pour l’envoi de ce roman. Je n’ai pas beaucoup accroché avec mais je vais tout de même faire une chronique honnête et constructive. Je m’imaginais voyager dans des mondes nouveaux, complètement imaginaires. Malheureusement, j’ai été un peu déçue sur ce point. Ce roman était ma première expérience avec le genre steampunk. A savoir, un sous-genre de la science-fiction se déroulant généralement au XIXe ou au début du XXe siècle, et devant son nom à l’utilisation massive de technologies en avance sur leur temps, mais à base de machines à vapeur. Ce roman se passe donc dans une Italie alternative, dans un passé futuriste. Je ne sais pas si cela est dû au fait que ce soit ma première lecture du genre, mais je ne suis pas sûre d’avoir vraiment apprécié. Je préfère un roman historique ou un monde imaginaire, mais le mélange des deux m’a un peu gênée.



J’ai trouvé l’idée originale mais je n’ai pourtant pas accroché avec l’intrigue de façon générale. Elsa m’a insupportée du début à la fin du roman, je n’ai vraiment pas trouvé que ce soit une héroïne très agréable. Les personnages secondaires sont également creux, à part Leo, c’est à peine si j’ai retenu les prénoms des autres. Je trouve ça dommage car ce sont souvent les relations entre les personnages qui font avancer un récit. On ne peut pas enlever au roman le fait qu’il y a beaucoup d’action, et ce, dès le début. Tout se passe tellement vite d’ailleurs que l’on n’a pas le temps de connaître la mère d’Elsa. La voir courir tout au long du roman derrière un personnage que l’on n’a pas appris à connaître, c’est un peu dommage malheureusement.



Malgré l’action et une intrigue originale, je me suis malheureusement ennuyée sur la plupart du récit. Tout simplement car je n’ai pas accroché, mais cela ne veut pas dire que ce ne sera pas le cas pour vous. Comme je le disais, le roman est plein d’action et il n’y a pas un seul moment de répit. Si vous accrochez avec l’héroïne et l’intrigue principale, il n’y a pas de raison pour que vous vous ennuyez. J’ai également eu quelques problèmes avec les termes employés, « la folie » et les « aliénés » étant deux concept clés du roman par exemple. J’aurais préféré que l’autrice invente des termes propres à son histoire mais j’imagine que cela était voulu.



En tant que niçoise, cela m’a fait beaucoup rire de voir les personnages se retrouver à Nice, je crois bien que c’est la première fois que je rencontre ma ville natale dans un roman ! Cela m’a également beaucoup surprise de croiser Garibaldi parmi les personnages, cette référence historique dans ma ville qui a donné son nom à des places, des rues, des arrêts de bus et de tram et que l’on étudie en cours d’histoire. Je trouverai toujours ça curieux qu’une autrice américaine s’intéresse à ma relativement petite ville parmi toutes les capitales européennes, mais ça reste plutôt chouette !



Heureusement, j’ai beaucoup accroché avec la toute fin et j’ai dévoré les derniers chapitres. Cela m’a vraiment donné envie de découvrir la suite, malgré le fait que je me sois un peu ennuyée sur la plupart de ma lecture. Cela ne rattrape pas l’ensemble du roman mais me laisse tout du moins sur un bon souvenir. Et impossible de terminer ma chronique sans mentionner à quel point la couverture est magnifique !
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