Hugh Howey

"Une colonie" est un roman de science-fiction qui incite les lecteurs à réfléchir sur de nombreuses questions complexes tout en offrant une histoire captivante et engageante.
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Silo c’est un univers dystopique où une atmosphère invivable force la population à se confiner au fond d’un silo souterrain pour garantir sa survie. Un univers clos où les détails de leur existence passée restent enveloppés de mystère. Les informations sur le monde extérieur sont limitées, et curieusement, cela semble ne pas perturber les habitants. Ils ont tellement intégré cette existence souterraine qu’elle est devenue leur réalité incontestée.

L’absence d’antécédent sur terre offre l’occasion pour nous d’explorer d’autres aspects de leur vie et de leur société, concentrant l’attention sur les dynamiques internes du silo, ses machinations, ses luttes, et les subtilités de la survie quotidienne. Cette perspective intensifie une dimension intrigante au récit, incitant le lecteur à plonger dans les entrailles du silo.



Cependant, au sein de cette microsociété confinée, les jeux de pouvoir s’immiscent insidieusement. Des complots intestins, semblant remonter loin dans l’histoire du silo, ajoutent une tension palpable au scénario.

Des secrets défense et des alliances fragiles s’entrelacent, créant une toile complexe où la confiance est une denrée rare puisque la trahison n’est jamais bien loin.



Le nouveau shérif doit naviguer à travers les rouages d’une communauté fracturée par des querelles internes, des complots sournois, et des secrets bien gardés.



Parallèlement, le partage des maigres ressources disponibles devient de plus en plus tendu. Les luttes pour le pouvoir et l’accès à ces ressources déclenchent des conflits qui menacent l’équilibre fragile de la société souterraine. Les rivalités internes atteignent un point de non-retour, faisant craindre un basculement imminent.



Mais les dés semblent pipés.



La structure du roman laisse transparaître clairement ses origines de nouvelle, qui a été peu à peu étoffée au fil du temps. Cela se manifeste surtout au début, où l’on distingue nettement les différentes strates de l’histoire. Je conçois bien que les changements de personnages principaux peuvent être déroutants. On ressent comme des couches superposées au fur et à mesure que l’intrigue se développe.

On monte encore en puissance dans ce troisième et dernier tome, pour moi le plus réussi de la série. Dans ce monde post-apocalyptique, les humains vivant dans des silos isolés se rendent compte qu’on leur a menti.



Encore une fois, il est dommage qu’il n'y ait aucun rappel des personnages et évènements précédents (surtout qu’il faut avoir en mémoire les deux tomes et leurs personnages respectifs !), mais on se ré-immerge très vite dans cet univers, d'autant que l'action et le suspense sont bien plus présents.



Au final, une belle aventure souterraine et un tome qui répond à toutes nos questions des tomes précédents, et à toutes nos attentes (enfin, les miennes en tout cas).

Plutôt que le côté du bien et celui du mal, séparés de manière parfaitement manichéenne, c’est avec subtilité que l’auteur nous dessine ce portrait de la race humaine.
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Happant et à couper le souffle, on se demande comment les personnages vont-ils pouvoir s'en sortir alors que les choses ne font qu'empirer.



Une trilogie que j'aime énormément et que je relirais sans doute plus tard pour me replonger dans l'univers sombre et sous-terrain des Silo !

Un vrai grand merci à Babelio et à Actes Sud (éditions que j’aime beaucoup) pour cet envoi dans le cadre de Masse Critique Mauvais Genres !

Pour l’histoire et le résumé destiné à vous faire envie, je vous renvoie à la 4e de couverture. Pour la critique en 1 phrase, c’est tout en bas, pour les détails, c’est ici :o).

Indiqué comme pouvant être lu indépendamment du tome 1, je pensais initialement jouer le jeu. Mais comme j’avais un peu de temps avant l’envoi, j’ai craqué et j’ai lu, avec grand plaisir, "Outresable". Cela a probablement influencé, malheureusement en moins bien, ma lecture d’"Outredune". J’ai retrouvé avec beaucoup de plaisir l’univers de sable, de dunes et de récup’ du premier tome, que j’avais trouvé intéressant et original. Je me suis à nouveau surprise à lire en apnée, comme si c’était moi qui plongeais… Dans ce tome, on retrouve une partie de la fratrie Axelrod à travers les regards de Conner, de Rob, de Palmer et parfois de Violette. On découvre aussi Anya, qui vient « de l’autre côté », et nous permet de découvrir en partie ce qu’il y a au-delà du No Man’s Land.

La construction du roman est peu évidente au début de la lecture : pas de souci à suivre les différents personnages, mais il faut faire attention à la chronologie décalée, qui rend l’identification des nombreux personnages secondaires pas toujours facile au début. Mais c’est aussi un crescendo qui fonctionne bien et crée beaucoup de suspense dans la dernière partie du roman, où la trame se noue.

Dans ce tome, on approfondit la connaissance du monde qui est mis en scène, notamment avec l’aspect psychologique de la plongée (euh, certains aspects techniques du déplacement du sable m’ont un peu perdue et je ne connaissais rien au vocabulaire de la voile, mais ce n’est pas gênant pour la lecture).

J’avais aimé l’histoire familiale un peu compliquée du premier tome, les aspirations différentes, les relations à (re)construire, qu’on retrouve ici entre Palmer et Violette. Je trouve que dans ce tome les rôles sont davantage distribués et fixes, et l’évolution d’Anya prévisible. J’ai moins accroché avec ce personnage, ni avec son univers, trop proche du nôtre. Cependant, des pans entiers du monde d’"Outredune" restent inexpliqués, des personnages n’ont fait que passer… tout est en place pour un 3e tome, que j’espère aussi original que le premier !

À noter : l’édition grand format chez Actes Sud est illustrée, c’est rare en SF adulte, et réussi ! Les dessins en N&B suggèrent sans imposer, la couverture est superbe, et cela fait du livre un bel objet.



En bref : c’est fluide, ça se lit facilement mais ça n’échappe pas à la malédiction du tome 2 : c’est moins bien que le 1…

Un roman postapocalyptique qui se perd dans sa longueur.

La terre a été dévastée par une toxine mortelle qui a exterminé la totalité du monde vivant ou presque. Une micro société a survécu en s’enfermant dans un silo sous-terrain grand comme un building de 144 étages. La natalité est régulée par une loterie. Chaque étage est organisé pour offrir à ses occupants les moyens de sa subsistance. L’ordre règne et ses contrevenants sont condamnés au « nettoyage », une sortie en combinaison soi-disant étanche où ils doivent dépoussiérer les optiques des caméras de leur bunker. Aucun n’est revenu vivant de sa mission, jusqu’au jour où Juliette, nouvelle shérif du silo, subit la même peine suite à une perfide machination, survit à l’épreuve et disparait derrière une colline...

L’histoire est bonne, elle nous rappelle l’atmosphère qui régnait lors du dernier confinement où un virus menaçait la santé de chacun sans pour autant être aussi radical que la toxine de Hugh Howey. Ce dernier recrée parfaitement cette sensation d’enfermement jusqu’à l’étouffement (claustrophobes, abstenez-vous !). Malheureusement l’auteur nous perd dans une litanie de détails inutiles qui alourdissent beaucoup trop la lecture et lui font perdre son rythme.

C’est bien écrit et il y a de bonnes idées. L’auteur arrive à nous rattraper grâce à l’intrigue qui se cache derrière le quotidien monotone de ces réfugiés de l’apocalypse. Mais l’histoire est beaucoup trop délayée, il y a trop de pages inutiles qui au final font de ce roman une œuvre assez ennuyeuse.

C’est un roman où l’on a trop d’occasions, au cours de ces 740 pages, de bailler. L’auteur avait les moyens de nous captiver mais il en a trop écrit.

Traduction de Yoann Gentric et de Laure Manceau.

Editions Acte Sud, Le Livre de Poche, 740 pages.

Ce récit est presque plus proche d’une longue nouvelle que du roman. On y retrouve avec plaisir le style de l’auteur, Hugh Howey et son amour pour l’humanité. Car plus encore que dans ses autres œuvres (Silo ou encore Outresable), ce que l’auteur nous invite à découvrir, au de-là de son fantastique récit, c’est l’être humain ; au travers de la solitude du personnage principal, de ses doutes et de ses choix. Un très beau récit qui nous amène à réfléchir. Un conte philosophique caché sous des airs de Science-Fiction

Ainsi se termine la trilogie Silo qui, personnellement, m'aura bien plu. C'est vrai que certaines descriptions, certains passages de la vie dans les silos sont longs mais ils sont nécessaires selon moi pour bien faire imaginer la vie dans ces espaces confinés.

Je me suis attachée à Juliette, à Solo et aux enfants, à Donald etc et j'avais hâte de connaître le dénouement. Il arrive finalement un peu trop vite, j'aurais aimé que cette fin soit davantage développée, cela paraît un peu trop simple mais j'ai été bien captivée dans l'ensemble.

Bref, une bonne histoire.

Je viens de terminer l’imposant pavé.

Celui-ci est composé des trois romans du cycle Silo.

J’ai déjà écrit une petite critique pour les deux premiers volumes, donc je ne parlerai ici que de la dernière partie de cette intégrale, qui pour moi est la meilleure des trois . Il y a moins de longueurs, moins de temps morts, les grandes révélations sont distillées progressivement dans ce dernier volume. Il y a par ailleurs pas mal d’action et du suspense, plus que dans le volume précédent (Silo origine).

Ce volume final est donc une belle réussite qui clos ce bon cycle de SF, très agréable à lire, même si un peu inégal .

Le monde extérieur est dangereux, il est hostile, il est mortel. À l'intérieur du silo, la vie n'est pas forcément facile, ceux des étages les plus bas le savent bien. La vie est régie par des codes, des règles, on ne fait pas forcément ce que l'on veut mais on vit car de toute façon, à l'extérieur, la mort est l'unique perspective...c'est leur réalité...mais est-ce la vérité ?

Disons le franchement , c'est à mon humble avis

un livre assez court et assez difficile à lire et contrairement aux apparences cette œuvre est moins une distraction légère qu'un roman à thèse. C'est quand même une distraction (sourires).

Un vétéran dans un phare isolé dans l'espace avec de grandes responsabilités et plongé dans un isolement quasiment absolu. C'est un poste à responsabilité avec la gestion et l'entretien d'une balise aux fonctions cruciales avec celui des supports de vie du phare.

Bref le profil idéal pour un vétéran touche à tout, aux nerfs solides et avec une tendance à la misanthropie .

Les phares sont idéaux pour traiter de la solitude ou de la décompensation psychique. Ils sont le cadre de pas mal de fictions. C'est presque un genre littéraire je dirais que ces récits de phare.

Ne jamais spoiler : onzième (sourire) commandement . L'auteur étudie la problématique d'un vétéran traumatisé par la guerre qui ne s'en rend pas vraiment compte mais qui s'en doute sur les bords.

La lecture de Phare 23 est difficile parce que l'aura psychotique supposée ou réelle qui entoure le personnage principal constamment une grande partie du récit est dense et à couper au couteau. Il y a aussi une foule de détails méticuleux et une difficulté à discerner ce qui est hallucination et réalité , à cause d'une ambiguïté structurelle entretenue par l'auteur.

Ce solitaire volontaire a néanmoins une compagnie qui est difficile à cerner car c'est un animal extraterrestre qui n'est pas vraiment un gros minou ,et qui s'avère complexe et risqué à gérer.

A un moment donné le récit s'accélère et des péripéties interviennent et s'enchaînent . Elles peuvent être jugées improbables par le lecteur et donc imposer des seuils à franchir dans cette lecture. Cela dit , j'ai vu de beaucoup plus grosses couleuvres à avaler dans bien des ouvrages adulés par un lectorat aux dynamiques dithyrambiques . Je ne rentre pas dans les détails parce que je suis pour la paix des ménages.

Je signalerais simplement que ce texte est totalement fonctionnel du point de vue romanesque , du point de vue du traitement des thématiques et de celui des développements narratifs . L'auteur qui a quelques ouvrages solides derrière lui , va vers un quelque part qui a à voir avec la vacuité destructrice de la guerre et les ravages quelle inflige aux sacrifiés plus ou moins volontaires à finir en héros réels , utiles ou de circonstance.

Un texte intelligeant où le personnage principal est par exemple tenté de converser avec ce qui est apparemment un caillou à haut potentiel relationnel (non ? oui!).

Je conclue cette bafouille en étant légèrement iconoclaste. En effet : il y a de nombreux textes qui décrivent une situation belliqueuse et qui sont souvent très bavards sur les bavures militaires et sur l'impossibilité supposée ou réelle de rester dans un mode d'agir éthique au combat.

Il y beaucoup moins de textes qui posent la primauté salutaire de la paix comme résultat d'une action inconditionnelle et exigeante tout en faisant l'éloge constructif de la trahison.

Ce deuxième volume est intéressant, car on apprend l’origine des silos. Il y a quand même quelques longueurs, mais pas de quoi se décourager, l’histoire est quand même prenante, le rythme n’est pas haletant.

Les deux histoires se recoupent habilement .

Cela m’a quand même donné envie de lire le dernier volume … à suivre

Que dire de cette dystopie ? Bien, pas grand chose ! Une bande d’adolescents programmés, lâchés sur une planète à l’allure de Terre. Ça pinaille, sans vraiment de suspense. Tout est convenu et est un mélange de séries télés… du déjà vu. Rien d’extraordinaire !

On tourne en rond, on monte, on descend des arbres ou de la mine. Ça se lit. Les lecteurs emballés se trouveront plutôt dans la catégorie Jeunesse.

Un conseil : vous qui avez adoré Silo (à juste titre) ou Outresable (comme moi), passez votre chemin ! Howey est passé à côté du sien !

Dans ce tome nous découvrons les origines du Silo.



J'ai adoré le tome 1, j'ai trouvé celui-ci encore mieux.



C'est une suite de révélations pour nous amener à comprendre comment tout a commencé et nous amener à la source, uniquement la folie d'une poignée d'hommes persuadés d'avoir raison.



Glaçant et extrêmement dérangeant.



Si vous aimez la dystopie post-a, foncez!!!

Le monde est recouvert de sable. Les gens vivent tant bien que mal en surface : tout le monde n'est pas à égalité devant le sable. Et, il y a ceux qui cherchent les trésors des villes enfouies, pour cela ils savent "sarfer" et nager dans le sable avec leur combinaison. On a l'impression de regarder un film d'action ou ça bouge, ca bombarde, ça court, ça saigne... et au final : de l'action sans percussions qui rai-sonnent, sans philosophie. Pas vraiment de message intéressant, pas de phrases à réfléchir. On dirait des dialogues pour accompagner l'action, la vie mouvementée d'une famille, et du patos aussi. A voir la suite, maintenant que les dernières pages ont un peu plus d'attrait que l'ensemble.

Bon. We need to talk about Silo. 😅Recommandé par une amie car je voulais sortir de ma zone de confort, me voilà lancée dans la lecture d’un roman dystopique, où les humains se sont réfugiés sous terre, dans un silo de plus de 150 étages dans lequel on navigue via un escalier central; et où existe un système hiérarchique où “le petit peuple” réside dans les étages du bas (mais est indispensable au bon fonctionnement du silo), là où les grands pontes décisionnaires se sont attribués les meilleurs étages, tout au-dessus.

Pour une raison obscure, on comprend vite que sortir du silo n’est pas une option, mais une punition pour ceux qui désobéiraient au règlement. Et qu’ils sont clairement alors condamnés à mort. 💀



Et puis boum, au bout de 30 pages, on se sépare déjà d’un personnage auquel il a été hyper facile de s’attacher. 😳 on embraye alors sur la back-story d’une autre, Juliette, tout aussi attachante (et on espère qu’elle meure moins vite). 🥺 Cela dit, avant d’arriver à Juliette, on a 150 pages (pas pour rire) de 2 personnes qui descendent un escalier… 🙄



J’ai adhéré à l’histoire (même s’il m’a fallu du temps) et j’ai aimé les rebondissements et la manière dont l’auteur nous tenait en haleine.

Cependant, je pense aussi qu’on aurait pu écrire l’exacte même histoire avec un tiers de descriptions en moins, sans que cela desserve le récit et son intensité. Pour vous dire, il y a certaines pages où je lisais en diagonale, ne m’attardant que sur les dialogues. 🗣️



J’ai appris qu’il y avait un prequel et un sequel a ce roman, mais sorry ce sera sans moi ! 😅
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Un héros de guerre désireux de se faire oublier travaille seul à la maintenance d’une balise dans l’espace, sorte de phare intersidéral. Comme à l’époque des naufrageurs, des pirates piègent un cargo et s’accaparent le fret de valeur sous ses yeux, isolé dans sa balise préalablement sabotée. Parmi les débris du transporteur les senseurs repèrent une forme de vie.

Ce huis clos de science fiction, par la claustrophobie et l’ombre d’un passé tourmenté, promet dès le début une intensité psychologique. Très vite des rebondissements adviennent avec une action soudaine et surtout un humour grave et grinçant. Cette histoire est le théâtre de ses pensées entre illusion et réalité, déni qui se craquèle et sentiment nécessaire de culpabilité, car il est un lâche, sa décoration militaire une méprise, son statut de héros d’une guerre qui ne cesse de s’étendre une imposture. Sa conscience acide se nourrit de ses souvenirs au front, d’un monde qui s’écroule et se dépeuple pour ne laisser que solitude et amertume dans un solipsisme délirant profondément installé. Ce côté surréaliste mène à un comique glauque, déstabilisant et vivifiant, qui pousse à la réflexion malgré sa noirceur extrême. Le chemin est cathartique et le message consiste en un abandon de l’égocentrisme aveugle pour relativiser la nature de la guerre et de ce qui semble étranger, de ne pas penser que le fait qu’on soit unique exclut les autres. Malgré la tristesse insondable et l’aspect leçon de vie un peu mièvre, Hugh Howey atteint une profondeur certaine dans la pensée que les choses peuvent être autres, que la nécessité n’est pas univoque et définitive, posant la possibilité qu’une minorité d’individus puissent décider d’une action radicale pour le bien de tous.
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Génial!!!

Un premier tome qui me faisait de l'œil depuis très longtemps et que j'ai adoré !

J'ai tout aimé: les personnages, le rythme, le décor, l'ambiance, etc...

Malgré un nombre de pages conséquent il n'y a pas de longueurs et les rebondissements sont justement dosés.

J'ai attaqué le tome 2 rapidement derrière (il est génial), et ai hâte de découvrir la fin de cette trilogie !

Avis contrasté concernant ce livre.

Un début prometteur, avec une trame d'histoire sommes toutes originale, mais qui m'a semblé parfois brouillon et pas toujours cohérente.

De petites longueurs, mais sans plus (il faut s'habituer au rythme du Silo avec ses étages interminables).

Par contre la fin... La plus ridicule et simpliste que j'ai lue depuis longtemps. A croire que l'auteur était à la bourre pour rendre son ouvrage dans l'heure, ou qu'il n'avait plus de papier. En 20 pages, alors que tout va mal... Retournement miracle. Ridicule au possible! (J'ai cru que j'avais sauté un chapitre par erreur...).

J'avoue que j'ai lu ce livre parce que je souhaitais voir la série inspirée de l'œuvre, sortie il y a peu. Et comble du comble, c'est bien la première fois que ça m'arrive, la série télévisée est bien mieux et complète que le livre ! La vie y est mieux décrite, les personnages plus humains,... On ressent mieux la vie du Silo.

Alors certes, la série n'échappe pas à l'habitude de changer pas mal d'éléments pour combler les minutes et rallonger la durée, mais j'ai trouvé que c'était fait de manière cohérente avec le livre et cela donnait de la profondeur au reste de l'histoire. Alors que le livre est plutôt vide de tout ça. Qui plus est, comme ils ont changé beaucoup de choses concernant les personnages (certains sont même complètement inventés... Sims), je ne suis même pas sur que la fin soit la même. Ce qui pour le coup me donne de l'espoir puisque j'ai détesté celle du livre...

Petite parenthèse, j'ai lu le second tome de Silo, et je l'ai trouvé beaucoup plus intéressant que le premier (contrairement à beaucoup de monde semble t il).

Je conseille de le lire personnellement.