Personne ne doit s’étonner que les Libérateurs ne soient pas parvenus au triomphe final, car ils ne combattent pas seulement les hordes de la tyrannie, mais aussi la puissante Nation du Nord et toute l’armée anti-chrétienne qui prétend en finir avec le catholicisme mexicain.
Quant aux historiens de la chose militaire, s’ils regardaient en direction des Cristeros, entre 1926 et 1929, ils y feraient cette formidable découverte d’une édition contemporaine des guerres de Vendée… Insurrection mystique et populaire, qui se leva dans les campagnes, au pied des autels, contre les persécuteurs de la foi.
Pendant ce temps, dans les casernes de l’armée fédérale investies par les commissaires de la Révolution, on ne parlait que de curés pendus, vierges violées et statues brisées en petits morceaux. Parler de guerre civile mexicaine, c’est rester très au-dessous de la vérité. Tout se passait alors comme dans les combats de l’Apocalypse.
Quant aux historiens de la chose militaire, s’ils regardaient en direction des Cristeros, entre 1926 et 1929, ils y feraient cette formidable découverte d’une édition contemporaine des guerres de Vendée… Insurrection mystique et populaire, qui se leva dans les campagnes, au pied des autels, contre les persécuteurs de la foi.
Le callisme se vante de l’appui américain, il est en train de semer une haine énorme contre cette nation. J’ai la certitude que s’ils lâchaient seulement cette bride, ils ne tiendraient pas quatre-vingt-dix jours. À cause de Washington, le combat va se prolonger encore une ou deux années.
C’est une croisade, une croisade pour la liberté des enfants de Dieu. Elle n’a pas d’autre préconisateur direct que la fureur des persécutions religieuses, ni d’autre objectif que la survie des institutions catholiques.