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Critiques de Ichiro Kishimi (29)
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Un peu pénible à lire mais une découverte des théories d’Alfred Adler qui m’ont complètement ébaubi ! Les traumatismes de l’enfance n’existent pas, ils ne sont que prétextes pour ne pas agir !!! C’est ma traduction personnelle et je l’assume comme ça ! Le traumatisme un prétexte !!! Ça c’est fort ! Tout le reste du livre n’est qu’un babillage inutile pour faire un livre (un ouvrage de 2 pages est difficile à vendre). J’ai mis en citation les quelques informations importantes que ce livre m’a permis de connaître.
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Cet ouvrage, rédigé suivant la forme philosophique classique du dialogue entre un jeune homme et un philosophe, propose de découvrir la psychologie d'Alfred Adler, à travers les enseignements d'un sage japonais. Tout comme le narrateur, je n'avais jamais entendu parler d'Adler auparavant, et on se demande bien pourquoi, car sa théorie, si elle prend tous nos acquis à rebours, a l'avantage de n'être ni totalement misogyne, ni entièrement consacrée à nous vouer au malheur (suivez mon regard, Dr Freud).



Donc, Adler prône la téléologie plutôt que l'étiologie de Freud : au lieu de penser que nous sommes déterminés par les conséquences de notre passé et les traumatismes que nous avons vécus, il pose pour principe que nous sommes uniquement déterminés par la finalité de nos actes. C'est à dire que nous choisissons d'être traumatisés... ou de ne pas l'être.

D'autres concepts émaillent le texte et sont expliqués de manière claire et parfois répétitive (ce qui est plutôt bien pour arriver à suivre le fil de l'argumentation sans être obligé de revenir tout le temps en arrière) : tous les problèmes sont des problèmes de relations interpersonnelles, on prend conscience de sa propre valeur en étant utile aux autres, le bonheur réside dans le sentiment communautaire...

Je crois que les deux aspects qui m'ont le plus parlé, et qui correspondent au titre du livre, sont l'idée de séparation des tâches (on doit se consacrer aux tâches de sa propre vie, le travail, l'amour et l'amitié, et ne pas essayer de faire celles des autres, c'est-à-dire d'agir suivant ce que les autres attendent de soi) et l'idée que l'on n'est vraiment libre que si au moins une personne ne nous aime pas (ce qui prouve qu'on agit suivant ses propres tâches, et pas en faisant ce que les autres voudraient).



On ne sait pas trop si on doit classer ce livre en philo, en psycho ou en développement personnel. En tout cas, le passage par la culture japonaise est utile pour percoler la pensée occidentale souvent tortueuse : cela donne un ouvrage simple et clair, plutôt agréable à lire malgré le côté légèrement artificiel de la narration.
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Un chef d'oeuvre qui devrait être mis entre toutes les mains ! Je ne saurais que trop vous conseiller de prendre votre temps pour le parcourir pour bien l'assimiler... Pour ma part je pense que j'en ferai une lecture annuelle. Ne vous fiez pas uniquement à son titre, ce livre apporte bien plus !
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Ce livre est une discussion psycho-philosophique entre deux hommes, définis comme étant un jeune et un philosophe. La lecture n'est pas désagréable pour peu qu'on n'ait pas de problème avec une façon un brin scolaire de présenter les choses : questionnement A, explication A, questionnement B, explication B, etc. Cette méthode permet de bien découper toutes les réflexions sous forme de chapitre thématiques, et d'apprendre étape par étape. C'est très clair et confortable.



Maintenant, contrairement à un cours de philo qui s'appuie sur les écrits et réflexions de plusieurs sources, on ne se concentre que sur Adler -moins connu que Freud ou Jung, ses contemporains. D'autres sont rapidement mentionnés, Freud revenant le plus souvent, uniquement pour construire la réflexion Alderienne en opposition. C'est donc un point de vue unique, et c'est sans doute ce qui m'a le moins plu dans la lecture. Il n'y a pas vraiment de débat : c'est une victoire par KO du philosophie sur le jeune, sans compromis (je suis convaincu qu'Adler a raison parce que xxx, j'ai donc raison, et si tu veux avoir raison, tu penseras comme moi désormais -pour simplifier à l'extrême ce qui m'a déplu).



Également, certains titres de chapitres peuvent être déroutants et extrêmement culpabilisants. Les personnes souffrant de troubles neurologiques pourraient par exemple se sentir pointées du doigts. Ajoutons à ça les personnes n'ayant pas (encore) survécu à leurs traumatismes, ou souffrant de dépression.



Somme toute, si la philosophie d'Alder se veut très positive et a pour vocation d'aider chacun à devenir meilleur, elle reste cependant parfois difficile à appliquer au quotidien. Néanmoins, quand on s'y met, c'est sûr qu'on est plus heureux. Aucun doute possible là-dessus, donc y jeter un œil ne peut jamais faire de mal.



Enfin, je trouve que l'épilogue est vraiment très important pour apprécier le livre... Aussi je l'aurais mis en introduction plutôt qu'en conclusion, ne serait-ce que pour donner plus de vie et de profondeur aux deux protagonistes.



Je recommande cette lecture pour les curieux d'une philosophie moins populaire. Le titre est un peu provocateur pour rien cependant, et un simple "avoir le courage d'être soi-même" ou "de s'accepter comme on est" c'était bien aussi. Moins vendeur sans doute ! :)
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Changer ? On y pense … mais n’est-ce pas un jeu, quand on y pense sérieusement ? Sinon pourquoi lire une page de plus d’un livre qui a la prétention inouïe de « changer votre vie ».



Préparons-nous à laisser fuir le verbe être, lui rendre sa subjective et absolue liberté. Rire de son repli identitaire, de sa « plus-value » sociétale, de son statut de définition objective, de l’universalité du sens.



C’est un appel à l’intempérance, direz-vous ? Oui, si celle-ci veut dire maintenant amour et courage.



On n’enlèvera pas à leurs auteurs japonais, d’avoir écrit une déclaration d’amour à la philosophie occidentale. Et c’est déjà un bonheur de revoir la philosophie se jouer comme une fiction, sous la forme d’un dialogue.



Ces auteurs japonais veulent en effet retrouver le style « étonnamment relâché » des dialogues platoniciens. Et moi, je trouve leur dialogue actuel plus relâché encore, car sans trace d’une opposition brutale entre sophistique et philosophie.



Ce dialogue me fait plutôt l’effet du fameux jeune homme féru de Kung fu, face au vieux maître distillant ses koan.s, qui ne disent strictement rien, et qui veulent pourtant tout dire. Extraordinaire, n’est-ce pas ?



En occident, on se veut plus explicite, mais on a aussi nos formules énervantes, comme celle qui nous rappelle instamment que « l’important est ce que nous faisons de ce qu’on a fait de nous ». Qu’importe l’auteur, puisque chacun, dans son style, fera de toutes façons varier le sens.



D’un côté la « volonté de puissance », « la poursuite de la supériorité », « le désir d’être Dieu » ; D’un autre côté, le complexe d’infériorité ou l’excuse, la mauvaise foi, l’attente infinie qu’il se passe enfin quelque chose.



Il y a des rencontres que chacun gardera secrètes, mais il y a un auteur dont ce réclame ce livre, c’est Alfred Adler, psychologue et philosophe.



Le jeune homme, dans notre dialogue, aura des tonnes de raisons de s’énerver ; l’important, c’est de lui offrir une amitié, un amour, sans arrière pensée, sans contre-partie ; ce qui devrait l’encourager à « ne pas se dépouiller de sa subjectivité ».



Être aimé ? Ce serait vivre la vie d’autrui. Et puis quoi ? Ce serait vivre selon le désir de l’autre, selon son rythme, sa cadence, son regard, devenant peu à peu son objet. Nous dirons que « tous les problèmes sont des problèmes interpersonnels », ou que « l’enfer, c’est les autres ». Non, vraiment, contentez-vous d’aimer inconditionnellement.



Une philosophie radicale, direz-vous ? Oui, si radicale veut dire diversité.



Être « là, à sa place », Être « utile à quelqu’un ». Petit scarabée, entends-tu ici normalité, enracinement, et « plus-value » pour la société française ? Laisse fuir ces mots d’ordre, et écoute ton sentiment subjectif. Il y a mille manières de se sentir utile à la communauté.



Je passe sur toutes les situations proposées, et même celle, hallucinante, où un personnage décide de chantonner en faisant la vaisselle, en pensant que c’est encore la meilleure chance pour que quelqu’un se décolle de la télé pour venir l’aider.



Ce qui nous amène à une autre variation de la philosophie de Alfred Adler, avec sa formule de la « résignation positive ». Le jeune homme se dresse. Là encore, ce sont des choses entendues des milliers de fois, chacune dans son style.



« Qui dit résignation dit voir clairement, avec force d’âme et acceptation. Avoir une solide emprise sur la vérité des choses – c’est cela, la résignation »



Mais d’où vient la « vérité des choses », de la décision du possible et de l’impossible ? On dira que notre faculté de juger devrait dépendre de Dieu, c’est à dire de l’autre, n’importe quel autre. Mais ce serait vivre la vie d’autrui.



Relâchons « l’esprit de sérieux » : Saint Sophisme, priez pour nous ! Ou comme dit Alfred Adler, « La vie, d’une façon générale, n’a pas de sens. », avant de terminer par une dernière formule énervante : « C’est à l’individu d’assigner un sens à la vie, quel qu’il soit. »
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Du sentiment d'infériorité à la compensation, il est vrai que l'homme est le plus menacé. Par rapport aux adultes, tout enfant est en état d'infériorité et de dépendance, et le mode familiale peut souligner ou au contraire atténuer cette infériorité. De nombreux enfants naissent avec des déficiences soit organiques, soit fonctionnelles. Dans tous les cas, l'enfance se caractérise très tôt par un vif sentiment d'infériorité, et comment se remettra t'il de cette situation?

Malgré les vives controverses qui ont opposées Aldler aux freudiens, il peut être considéré comme décisif pour la psychologie contemporaine.

Quant à considérer ce livre comme véritable phénomène de la librairie en Asie, livre qui a déjà changé la vie de milliers de personnes! mon opinion personnelle est nettement plus mitigée...

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Avoir le courage de ne pas être aimé

Bon je ne sais pas quoi dire. Ce livre est quelque chose...



Commençons par le format. Le texte est sous forme d'un dialogue, un peu à la Socrate. Et là, les problèmes arrivent déjà. Ce livre est long (et encore, 200 pages) parce que le texte est vide et les deux personnes se répètent et tournent dans le vide tout du long. Le jeune qui représente "l'ignorant" (nous) est mis sous un jour de personne constamment en opposition avec les idées du philosophe, têtue et un peu idiot, ce qui laisse un goût humiliant en tant que lecteurice.



Ensuite, le fond en lui même est très culpabilisateur et tout à fait à la sauce de l'ancienne école. Je pense que comme les autres lecteurices, le chapitre "les traumatismes n'existent pas" m'a laissé un goût amère. Je trouve que les victimes se font complètement cracher dessus, et que l'auteur suggère que leur position est de leur faute. Enfin bon.



Il y a un peu de bon, certaines parties poussent en effet à la réflexion sur la façon dont on se positionne dans la société, et sur la manière dont les autres peuvent nous impacter, mais sans ça, je l'ai trouvé catastrophique.
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Avoir le courage de ne pas être aimé

« Pour commencer, là, maintenant, tu es incapable de sentir le vrai bonheur. Tu trouves que la vie est dure, et tu aimerais même pouvoir renaître comme une personne différente. Mais si tu n’es pas heureux maintenant, c’est parce que tu as choisi toi-même de « ne pas être heureux ». Pas parce que tu n’es pas né sous une bonne étoile. »

Connaissez-vous ce best-seller japonais ? Écrit à deux mains sous la forme d’un dialogue entre un philosophe et un jeune homme se questionnant sur le sens de sa vie. Un récit qui vous fera, à votre tour, mes chers lecteurs, vous questionner sur le sens de VOTRE vie. Intéressant, n’est-ce pas ?

C’est mon coup de cœur de cette fin d’année ! Je m’attendais à un livre de développement personnel « classique » et j’y ai trouvé bien mieux. Et c’est clairement une pépite à avoir entre ses mains et dans sa bibliothèque! Un livre à (re)lire à volonté. De l’or brut transmis à travers des mots, des pensées et des réflexions. D’ailleurs, avez-vous déjà entendu parlé d’Alfred Adler ? Oui ? Non ? Peu importe ! A travers ce dialogue et surtout cette dualité, vous allez comprendre tout de la psychologie adlérienne. Des théories qui ont construit notre philosophe et qui, désormais, transmet son savoir à ce jeune homme ; qui pourrait tout autant être vous ou moi. Vivez une drôle de thérapie en tête à tête avec ce livre. Vous aurez réponses aux questions qui vous tourmentent et serez tourmentés par d’autres encore.

J’aimerais vous en dire plus, mes chers lecteurs… mais je ne voudrais absolument pas compromettre votre lecture. Juste une question pour vous : êtes-vous responsable de vos problèmes ? Et la réponse, croyez-moi, n’est pas si évidente qu’elle n’y paraît. Découvrez ainsi toutes les subtilités de la psychologie adlérienne. Oserez-vous explorer vos parts d’ombres ? Telle est la vraie question !

En vous souhaitant une bonne lecture !
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Souvent les livres basés sur les idées et les pensées des philosophes sont compliqués à lire, celui ci est adapté à tous types de public, on parle d‘Adler sous forme de dialogue, le titre personnellement n‘a rien à voir avec le contenu… Pour ma part je dirais que c‘est un livre écrit pour une petite découverte de soi, une petite ouverture aux autres. J‘ai enlevé une petite étoile car le dialogue très sincèrement entre les deux est agaçant, voir ennuyant ! Mais mon 4 étoiles est pour le contenu, pour la découverte d‘Adler, la simplicité de l’écriture et la facilité de compréhension.
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Sur la forme il s'agit d'un dialogue entre un philosophe et un jeune homme. Celui-ci fait le bêta tout au long du livre, agresse quasiment le philosophe pour le prendre en défaut et fait régulièrement le béotien qui n'a pas compris. Ça peut être souvent assez drôle.

J'ai apprécié cette forme, qui permet de revenir régulièrement aux concepts.



Sur le fond, il s'agit de comprendre ce qu'est la philosophie adlérienne. Du nom de son créateur Adler.

Pour lui les relations interpersonnelles sont extrêmement importantes. Le passé n'a pas d'importance contrairement à ce que pouvait dire Freud. Ou encore nous ne souffrons pas du choc de nos expériences, mais en faisons exactement ce qui sert notre but.



Je dirais que j'ai retrouvé dans ce livre un petit peu du pouvoir du moment présent, pas mal des accords toltèques, un petit peu de l'art de la simplicité.



Je l'ai lu en ebook, mais si je tombe dessus un jour en occasion, en papier, probable que je le reprendrai et le relirai avec intérêt. Et que je le comprendrai mieux !
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Excellent livre qui permet de découvrir la psychologie d'Adler, en totale opposition avec la théorie du trauma de Freud. Très bien écrit. Je l'ai dévoré en deux jours!!
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Quelle déception...

Les passages les plus intéressants de ce livre, pour moi, résident dans le titre et la 4ème de couverture (ce qui m'a hélas incitée a acheter ce livre). Ah si, peut-être aussi dans les titres des chapitres.

Le reste, c'est à dire le "dialogue" entre le "philosophe" et le "jeune homme", est d'un creux... je n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'au bout.

Comme il a été si bien dit dans une autre critique, un livre ne peut pas tenir sur deux pages...

Mais ce n'est qu'un avis personnel, d'autres apprécieront sans doute et trouveront peut-être des réponses...
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Avoir le courage d'être heureux

Véritable coup de ❤ encore une fois.



Toujours dans la continuité de son prédécesseur " Avoir le courage de ne pas être aimé", ce livre "Avoir le courage d'être heureux" vous propose des pistes de réflexion sur votre vie et sur la manière de la changer. Mais, ici, on pousse le bouchon encore plus loin...



Les auteurs vous donnent, enfin, toutes les clés nécessaires (sur base de questions et de réflexions) pour comprendre et surtout, changer votre vie de manière à ce qu'elle devienne la plus simple possible.



Dans ce deuxième tome, on approfondit des concepts importants de la psychologie adlérienne : les trois tâches de la vie, le bonheur, l'autonomie. Il nous guide vers ce changement parce qu'il est clair, que nous devons être les premiers à le faire.



Enfin, ce tome est un coup de coeur encore plus important que le précédent puisqu'il m'a fourni des pistes pour changer ma méthode d'enseignement.

Car comme les auteurs le disent très bien : l'éducation a pour objectif de mener chaque enfant vers l'autonomie, vers la libération de son "moi égocentrique" et c'est en montrant l'exemple, en nous libérant nous-mêmes et en devenant autonomes, qu'on peut y arriver.



Alors, je vous repose la question : Aurez-vous le courage de confronter votre vie à cette nouvelle manière de penser, de changer et d'être heureux ?
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Coup de coeur pour ce livre au titre provocateur !



Bien plus qu'un livre de recettes miracles ou un énième livre de développement personnel, cette pépite vous pousse dans de profondes réflexions sur votre style de vie voire vous donne l'envie de tout changer.



Bien qu'au départ je fus perdue par la manière dont le livre a été écrit et par les nombreux concepts de psychologie énoncés, je me suis rendue compte que je me fourvoyais dans certains aspects de ma vie.



Comme la plupart d'entre nous, j'évolue dans une société ancrée sur la psychologie de Freud. Mais au fil des pages, j'ai compris qu'inconsciemment, je pratiquais certains concepts propres à la psychologie adlérienne. Et je dois admettre, que dans ces moments-là, ma vie me paraît beaucoup plus simple parce que j'ai eu le courage de le faire.



Alors, je vous le demande : aurez-vous le courage de confronter votre vie à cette psychologie et de changer ?
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Avoir le courage de ne pas être aimé

J’avais lu le deuxième tome de cette série par erreur et je n’avais pas trop accroché. J’ai quand même voulu essayer celui-ci, qui avait initialement retenu mon attention, et je n’ai pas été déçue. Ce livre est une introduction à la psychologie adlerienne qui remet en question le postulat de la psychanalyse de Freud, à savoir que ce qui nous arrive est la conséquence de ce que nous avons vécu dans notre enfance. Pour Adler, ce qui compte, ce ne sont pas les cartes qu’on nous a distribuées à la naissance, mais ce que nous choisissons d’en faire après. Une remise en question du déterminisme de nos vies, et le pouvoir de changer qui revient entre nos mains. Toujours sous forme de dialogues entre un philosophe et son élève, nos objections à cette théorie sont abordées une à une, et on peut ainsi aborder nos événements de vie, nos relations, sous un autre angle. J’ai trouvé ce livre très intéressant.
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Avoir le courage d'être heureux

Je me suis trompée en empruntant ce livre à la bibliothèque, car je voulais lire le premier tome de ce diptyque «  Avoir le courage de ne pas être aimé ». J’ignorais qu’il y en avait deux. J’ai quand même commencé celui-ci et je suis passée par différents états durant sa lecture. Tout d’abord, la forme du dialogue entre le philosophe et le jeune homme m’a un peu agacée même si c’est souvent ainsi que l’on présente des textes de philosophie, notamment pour les plus anciens. J’ai de plus trouvé le rôle du jeune homme particulièrement agaçant et caricatural. Toutefois, certains passages de ce texte m’ont beaucoup parlés, comme des fulgurances qui résonnent avec des questionnements que j’ai en ce moment. D’autres passages m’ont en revanche perdue en chemin. Je suis donc assez mitigée sur ce livre qui, même s’il comprend des passages intéressants, ne m’a pas vraiment convaincue. Je vais quand même essayer de lire le premier car il me manquait peut-être des éléments de compréhension pour aborder celui-là, et je verrai si je vais jusqu’au bout ou si j’abandonne.
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Avoir le courage de ne pas être aimé

C’est un livre qui m’a bousculé . Il concentre tout ce que je ressentais confusément sur la liberté, le freudisme ou le Présent. On se sent plein de légèreté et de joie après cette lecture ,,ce dialogue entre un philosophe et un jeune homme. A lire et à relire
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Avoir le courage de ne pas être aimé

J'ai beaucoup apprécié le format de ce livre. Le dialogue rend la lecture plus fluide et plus concrète, comme si quelqu'un nous expliquait vraiment directement, avec des mots simples, les concepts expliqués. Le fait qu'il y ait aussi quelqu'un qui réfute les propos du philosophe permet d'adresser les arguments que nous pourrions avoir, montrant que l'auteur est conscient des différentes perspectives qui existent.

Il y a des messages intéressants, des façons de voir les choses qui sont différentes de ce que je pense et de ce que j'ai pu lire par le passé. C'était donc une lecture instructive, même si certains concepts me paraissent encore un peu obscure et si je ne suis pas d'accord avec tout.
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Avoir le courage de ne pas être aimé

Un super livre dans le fond. Aide à réfléchir, relativiser, avoir une autre vision du monde et remettre en doute nos fonctionnements. Super pour le développement personnel, je conseille +++. Par contre je l'ai découvert en format AUDIBLE et ça a été très compliqué pour moi de m'accrocher : le livre est sous forme d'une discussion entre un jeune homme et un philosophe mais la lecture est faite par un robot, dépourvu donc de modulations, intonations...
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Avoir le courage de ne pas être aimé

J'ai bien aimé la forme, un dialogue entre le philosophe et l'élève, à la manière de Socrate et Platon. Ça rend le texte vivant, très facile à lire (les chapitres sont courts), et facile à comprendre. Après, à assimiler, cela s'avère plus compliqué, tant les concepts développés sont étonnants. Néophyte sur le sujet, je ne pense pas que ce livre va changer ma vie dans l'immédiat, je l'ai de toute manière lu plus par curiosité qu'autre chose, mais il va continuer de me faire réfléchir, ça c'est sûr.
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